Des vacances mouvementées (Partie 2)

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Proposée le 23/10/2009 par Talis Cat

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Mes potes rigolent autour de moi. Moi je les maudis de ne pas m'avoir laisser aller jusqu'au bout... Elle le voulait en plus !
"- T'as la trique mon pote ! Elle t'excite déjà d'avance la pute que je vais t'offrir ?"
Je ne réponds pas. Je passe une soirée exécrable, je suis grognon. Je la cherche du regard. Rien d'étonnant à ce que je finisse la soirée seul...

Le lendemain mon pote vient me voir :
"- Tu viens ? T'as gagné ton pari, je vais te donner ton gain..."
Je réponds un peu sèchement :
"- Je suis pas d'humeur. Je vais aller faire des emplettes, plutôt."
Il me regarde comme si j'étais un extra-terrestre :
"- T'es pas d'humeur ? T'as vu le petit lot que c'est ? Et puis elle est bien salope !"
Il ajoute :
"- C'est maintenant ou jamais, mon gars."
"- Ben alors va la niquer avec les autres. Tu m'en trouveras une autre."
"- Franchement je pense pas en retrouver une aussi bien gaulée et chaude... Et que j'aurais l'occase de droguer pour rendre encore plus cochonne !"
"- Mais si, je suis sur que tu y arrivera."
Je le laisse planté là, estomaqué. Je m'en fiche de l'autre blondasse. Je n'ai que Jeanne en tête, ce qu'on avait commencé. C'est pas normal. Faut que je la baise. Oui, je la baise et après elle me sortira de la tête, comme les autres. Mon pote part en grommelant.

Me voilà devant l'épicerie... Merde, son mari ! Comment je vais m'en débarrasser ? Je panique, j'ai tellement envie de la sauter... Je fais les cents pas devant le magasin.
Je la vois sortir :
"- Bonjour, Chris, un problème ? Vous paraissez soucieux..."
Elle est à nouveau dans ses habits normaux. Je bande malgré tout. Elle m'excite. J'ai l'impression d'être en face d'une de ces stars du X en lingerie provocante... Comment fait-elle ça ?
"- Euh, non ça va. Mais j'ai oublié ma liste..."
"- Ah, c'est fâcheux... Venez fureter à l'intérieur, cela vous aidera surement à vous en rappeler."
"- Bonne idée. Mais on pourrait se tutoyer, non ?"
J'ai envie de rajouter : 'Surtout après ce qui c'est passé...' Mais je ne veux pas la mettre mal à l'aise. Et puis son mari pourrait entendre ...
"- Bien sur, tu as raison... C'est plus convivial."
Je la suis dans le magasin, elle se dirige vers l'arrière boutique :
"- Tu fais encore l'inventaire ?"
J'entends sa voix sortir de la salle :
"- Oui, mon mari est absent aujourd'hui."
Mon cœur saute dans ma poitrine. Avant que je n'ai eu le temps de comprendre j'ai déjà fait deux grandes enjambées vers l'arrière boutique. Je me ressaisis et me dirige vers une étagère. Juste à temps, elle ressort :
"- Alors, vous..."
Elle rougit puis se reprend :
"- Tu arrives à te rappeler ?"
Je la regarde. Je me répète sans cesse : 'Surtout ne pas lui sauter dessus, ne pas la prendre là, tout de suite.' Je soupire et dis :
"- Plus ou moins... Tu veux que je t'aide pour l'inventaire ?"
Elle parait touchée par ma proposition. Je pense : 'Rêves pas, c'est pour avoir l'occasion de te sauter en toute tranquillité.' Mais je n'en suis pas si sur au fond de moi...
"- Bien sur !"
Elle réfléchit, rougit, baisse les yeux. Puis elle redresse la tête et nos regards se croisent. Je sens un incendie se propager entre nous. Je sens qu'elle bouge ses jambes avec gêne... Elle mouille ? Enfin elle me dit :
"- Attends là, j'ai une surprise pour toi !"
Elle m'adresse un clin d'œil, rougit à nouveau et disparait à l'étage. Je reste planté au milieu du magasin, un emballage dans les mains. Des pâtes je crois...
Puis elle redescend. Quand elle apparait devant moi je lâche le paquet que j'avais en main. Elle a remit les vêtements que nous avons acheté.
Elle fait un tour sur elle même puis me demande d'un ton coquin :
"- Alors, tu aimes ?"
Je m'approche, la saisis par les épaules et me contente de dire :
"- J'ai envie de toi..."
Je l'embrasse. Elle est étonnée mais ne tarde pas à me rendre mon baiser, elle se pend à mon cou.
La cloche du magasin retentit. Elle saute en arrière, me laissant les lèvres tremblantes...
"- Bonjour, Jeanne ! Et bien, tu t'es faites belle ! Un événement à fêter ?"
Elle regagne son calme avec une vitesse incroyable. Cette femme est extraordinaire...
"- Non, j'avais juste envie de changer un peu ! Tu aimes, Fernand ?"
"- Bien sur, tu es belle comme un cœur. Je suis sur que le petit jeune homme est d'accord avec moi, n'est-ce pas ?"
J'ai envie de répondre : 'Casses-toi, Fernand, tu déranges.' Mais je dis simplement :
"- C'est tout à fait vrai, elle devrait le faire plus souvent, ça fidéliserait les clients !"
Nous rigolons tout les trois. Mais casses-toi, Fernand ! Je bande comme un taureau, là...
Il prend son temps pour faire ses emplettes. Moi je reste planté sur place, je me retiens avec peine. Si je bouge je vais sauter sur Jeanne.
Enfin il passe à la caisse et part en lançant en rigolant :
"- Pas de bêtises tous les deux !"
S'il savait... Jeanne me lance un regard. Pas besoin de mots. Elle va fermer la boutique pendant que je me dirige vers l'arrière-boutique. Je l'attends.
Elle arrive enfin. Nous nous enlaçons fiévreusement. Mes mains glissent sur ses cuisses, ses fesses. Nos langues jouent entre nos lèvres.
Enfin elle recule, ouvre ma braguette, sort mon sexe. Elle le caresse. Je sens qu'elle hésite :
"- Un problème Jeanne ? Mon sexe te parait trop gros ?"
Je voulait faire une blague mais le ton de ma voix est préoccupé. Ca ne me ressemble pas de me soucier autant de mes partenaires ...
"- Non, non... C'est juste que..."
Elle me caresse encore un peu. Me regarde. Elle m'embrasse et je sens qu'elle a pris une décision. Elle se penche en avant et commence à me sucer.
Cette position... Umm, ça me change des filles qui s'agenouillent. On reconnais bien les femmes d'expérience...
"- Tu aimes sucer ?"
Elle s'arrête me branle et bafouille, gênée :
"- Je ne l'ai jamais fait avant..."
J'ai peine à y croire. Elle suce si bien. Et cette position de salope...
Je caresse son dos, remonte sa jupe pour bien voir son fessier. Je ne ressens pas de gêne de sa part. Elle recommence à me sucer.
Je me penche en avant pour pouvoir écarter sa culotte et glisser mes doigts sur sa chatte. Elle est très humide, comme je m'y attendais.
Mon mouvement a plongé ma queue plus loin qu'elle ne l'avait prévu dans sa gorge mais elle fait un effort pour ne pas reculer.
Je lui caresse la chatte. Puis ma main remonte frôle son anus. Elle trésaille. Je ne serais pas étonné qu'elle n'ai jamais été sodomisée non plus...
Je m'attarde sur son dos puis saisis sa tête pour donner quelques coups de hanches. Elle se laisse faire, et accentue même ses mouvements de langues.
Je relâches mon étreinte et mes mains caressent ses seins. Elle pousse un gémissement étouffé par ma verge. Ses tétons sont durs...
"- Tu ne m'as pas répondu : tu aimes sucer ?"
Elle répond sans s'arrêter :
"- Umm, umm !"
Son ton enthousiaste laisse peu de place à l'interprétation...
Je la redresse, la serre contre moi, l'embrasse fougueusement. Mon sexe contre sa cuisse. Elle le caresse. Ma main libre pétrit son sein. Je descend la partie de la robe couvrant sa poitrine et bataille avec l'attache du soutien-gorge heureusement située sur le devant. Je lui demande alors :
"- Tu aimes ma queue ?"
Elle hoche la tête, sa respiration est haletante, ça m'excite.
"- Tu veux la sentir en toi ?"
Elle ne répond pas, se contente de m'adresser un regard plein de passion, pose sa main sur mon visage et glisse sa langue entre mes lèvres. Nos langues s'entremêlent sans que nos lèvres ne se touchent. Enfin je la regarde droit dans les yeux et dit :
"- Je crois que ça veux dire oui..."

----- Partie écrite par ma correspondante -----

J'avais le goût de votre langue dans ma bouche depuis hier soir. Quand je vous ai revu, j'en avais encore envie. Et puis mes mains se sont promenées sur votre cœur. J'ai senti votre sexe gonflé sous votre pantalon. Ce fut irrésistible en moi, j'ai eu envie de le toucher et je l'ai touché. Et puis, ça ne me suffisait pas. J'ai voulu l'avoir dans ma bouche tout comme votre langue. Je l'avais en main et ça ne me suffisait pas. Alors que je n'en avais pas du tout l'habitude, je me suis penché et sans hésitation j'ai ouvert mes lèvres et je l'ai engouffré.

Je suis penchée sur vous. J'ai votre sexe dans la bouche. Il glisse sur ma langue. Il glisse entre mes lèvres et c'est une sensation qui m'enivre, une sensation toute nouvelle en moi. Je le sens durcir, grossir et soudain je ne sais plus quoi faire. Je suis débordée par les événements. Allez-vous éjaculer dans ma bouche ? Vous me parlez et je ne peux répondre. Vous me demandez si j'aime sucer alors que tout cela est si nouveau. J'accélère les mouvements de ma tête. Vous dégagez ma tête. Je respire fort.

Nous sommes debout, collés l'un à l'autre, ma langue cherche à nouveau la votre. Mes seins sont nus enivrés par vos caresses. Je me retrouve allongée sur la banquette de l'arrière boutique. Vous enlevez mon slip. J'écarte les cuisses. Vous êtes sur moi. Vous êtes en moi. Vous m'avez pénétré très lentement, vous vous êtes retiré un peu puis vous vous êtes enfoncé à nouveau d'un seul coup et j'ai poussé un cri. Vous provoquiez en moi un plaisir croissant. Et j'en voulais encore plus. J'étais incapable de dire un seul mot. Vous me posiez des questions et j'étais incapable d'y répondre. Mes yeux extasiés répondaient à ma place. Je jouissais.

Quand tout s'est calmé, j'étais en nage. Vous me caressiez gentiment. Marc, mon mari, ne me caressait jamais comme ça après l'amour. De toutes façons nous le faisions de moins en moins. Vous me caressiez tout le corps, vous y déposiez des baisers. Je me suis mise à vous caresser aussi. J'ai commencé par votre visage, vos cheveux, vos joues, vos lèvres. Je me demandais comment je m'étais retrouvée ainsi dans vos bras. J'ai caressé votre torse et je suis descendu jusqu'à ce que je touche votre sexe. Ma main était plaquée dessus. Ce sexe qui m'avait tant procuré de plaisir. Je le prenais à pleine main. Il était mou. Je le caressais. Et puis j'ai eu envie de le regarder. Je découvrais ses formes pour la première fois. Pour le remercier, je l'ai embrassé et il commençait à durcir contre mes lèvres. Je l'ai pris dans ma bouche et je vous ai sucé, sucé, sucé. J'étais sur vous, mes fesses à la portée de votre main. Vous me caressiez les fesses et mon sexe. Vous amusiez à entrer vos doigts dans mon sexe puis à les faire glisser dans ma raie, entre mes fesses.

Je vous suçais encore, j'y prenais beaucoup de plaisir à vous rendre votre vigueur car je savais que j'allais en profiter. Je me suis retrouvée sur le ventre et vous êtes venu sur moi. Vous avez continué à me caresser le dos et les fesses. Vous avez écarté mes fesses. Vous les avez embrassé. Vous vous êtes couché sur moi et j'ai senti votre sexe sur moi et j'ai eu peur et j'ai crié « Non, pas ça ! » et avec un incroyable soubresaut je me suis retrouvée sur le dos. Mes cuisses étaient grandes ouvertes, vous étiez sur moi et vous m'avez aussitôt pénétré. Et ce fut un merveilleux moment. Je chavirais. D'une main je me retenais à l'oreiller, de l'autre à vos cheveux. Le plaisir était de plus en plus intense. J'étais complètement enroulée sur vous. Je gémissais sans plus me retenir. Je souhaitais que ça ne s'arrête jamais. Ca a duré longtemps.

Le calme était revenu. Nous étions côte à côte, allongés sur la petite banquette de mon arrière-boutique. Je reprenais petit à petit mon souffle. La sonnette du magasin m'a fait sursauter : "Oh mon dieu, j'aurais dû ouvrir depuis vingt minutes." Je me suis levée rapidement. Je ne portais plus que mes bas et je cherchais mes vêtements éparpillés. Vous m'avez fait tomber sur le fauteuil rouge. "Attends Jeanne, je voudrais une photo de toi. Montre moi ce que tu viens de m'offrir." Je vous ai souri, j'ai écarté mes cuisses, j'ai relevé mes genoux, j'ai ouvert mon sexe avec mes doigts. Je vous ai présenté mon sein avec l'autre main. Vous avez pris une photo.

J'ai ramassé mon slip et je l'ai enfilé. "Jeanne, sourit moi !". Je vous souris et vous me prenez en photo. "Jeanne, montre moi ton cul !". Une photo. "Jeanne, un sourire !". Une photo. "Jeanne ! Jeanne !" Je prenais des poses rapides, vous appuyez sur le déclencheur. J'avais hâte d'ouvrir le magasin. Je vous laissais dans l'arrière boutique et je me précipitais pour ouvrir le magasin. Cinq clients attendaient !

Je les ai servi, je bafouillais, je m'excusais d'avoir ouvert en retard. Je devais être toute rouge. Je suffoquais sous la chaleur. Je servais des boites de petits pois, je conseillais sur une marque de sauce tomate, je pesais un kilo de carottes. Je trouvais tout ça nul et je m'inquiétais de savoir si vous vous étiez rhabillé. J'ai dû servir encore quelques clients avant de retourner dans l'arrière boutique. Vous étiez toujours allongé nu sur la banquette.

"- Chris, tu ne peux pas rester ici, mon mari va rentrer, rhabille toi s'il te plait...
- suce moi d'abord !"

Je me suis penchée sur vous et j'ai pris votre sexe dans ma bouche. Votre main passe sous ma jupe et vous me caressez les fesses puis le sexe en m'y enfonçant le bout de tissu du slip. Ça sonne, je me dégage. Vous confisquez mon slip. Je vais servir une cliente. Je reviens, vous vous masturbez. Vous éjaculez. "Viens me lécher !" Je ne veux pas, je ne veux plus, le temps passe, ça sonne encore dans le magasin : "Je t'en conjure Chris, faut que tu habilles et que tu partes.". J'ai dû revenir deux fois pour vérifier que vous étiez bien prêt à déguerpir. Il était temps ! Mon mari entrait dans la boutique quand vous en sortiez. Vous vous êtes même salués. J'ai failli défaillir et je me suis retenue au comptoir.

"Décidément, c'est un bon client ce petit jeune. Il est toujours aussi con ? Il voulait quoi cette fois ?
- un... un... un... une boîte de thon...
- tu lui as refilé une boîte périmée j'espère ?
- tu sais bien que nous n'avons rien de périmé dans la magasin...
- je sais, Jeanne, je sais mais dis moi c'est quoi cette robe, tu te crois encore au bal ou quoi ?
- j'ai voulu faire un essai...
- et ben c'est pas réussi, ma pauvre femme, tu fais plus tenancière de bordel qu'épicière ! Va te changer !
- oui je vais le faire en plus j'ai chaud...
- parait même qu'hier soir t'avais chaud au cul ?
- ne parle pas comme ça Marc, tu sais bien qu'il ne faut pas écouter tous les ragots du village, garde la boutique, je vais me changer."

Au passage, j'en ai profité pour ranger l'arrière boutique. Je regarder avec regret les meubles : le canapé et le fauteuil rouge. Je grimpais dans notre chambre. J'enlevais tous mes vêtements et les mettais au panier à linge sale. Dans la grande glace, je me suis vue nue et je me suis trouvée jolie. Je n'ai pas pris de douche pour garder la sensation de vos mains sur mon corps. J'ai mis un slip et un soutien gorge usagés et une robe légère d'été. Je me suis passée un peu d'eau sur le visage. Je ne me suis pas rincé la bouche. Je me suis recoiffée. Je suis redescendue.

La fin de l'après-midi fut très longue à passer. J'écoutais d'une oreille discrète les démarches que mon mari avait fait. Je me demandais si vous repasseriez et vous n'êtes pas repassé. Je me suis dit que je pourrais peut être sortir faire un tour à la fermeture du magasin mais nous avons fermé trop tard, il fallait ranger une nouvelle caisse sur les étagères, je devais faire le dîner. Après le dîner, je n'ai pas non plus trouvé d'excuse pour sortir.

Mon mari s'est couché tôt. J'ai regardé la télé sans vraiment regarder le film. J'étais en chemise nuit. je me suis surprise à me caresser l'entrecuisse en pensant à vous. J'ai fini par rejoindre mon mari qui dormait et ronflait. Alliez-vous revenir ? Allions-nous recommencer ? Mon mari serait là les jours suivants et je n'avais aucune raison pour quitter le magasin. Lundi prochain, peut être mais resterez-vous là jusqu'à lundi ? Je me suis endormie.

Le lendemain matin, j'étais réveillée la première. Je me suis enfin décidée à prendre une douche. Je pensais encore à vous. A 8 h 30, nous ouvrions la boutique comme d'habitude. Même mon mari trouva que j'étais belle ce matin. Nous étions mercredi, une nouvelle journée commençait.