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Proposée le 23/10/2009 par Talis Cat
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
J'ai enfin pu partir en vacances dans le Sud avec des potes. On est là pour deux semaines. A nous le soleil, la plage, la mer, les soirées arrosées, les nanas...
Par contre on doit serrer le budget. Nous allons donc faire nos courses dans des petits bourgs paumés alentour.
Dans les ruelles nous parlons fort et les quelques habitants nous regardent bizarrement. Quel bande de bouseux...
Un de mes potes, Thomas, me lance :
"- Hey, Chris, même pas cap de draguer l'épicière !"
"- Hein ? C'est une vieille même pas belle... En plus je parie qu'elle pue vu la chaleur qui règne dans le magasin..."
"- Ben ouais, justement, c'est pour ça que c'est drôle. Sinon y'aurait pas d'enjeu."
"- Mouais. Et je gagne quoi ?"
"- Tu te rappelles la petite d'hier ?"
"- Un peu que je m'en rappelle mon salaud, t'as décroché un beau petit lot !"
"- J'avais prévu de lui mettre la dose d'aphrodisiaque pour qu'on puisse tous la baiser. Si tu gagnes, elle est à toi."
Je réfléchis, c'était une sacrée bombe...
"- Et si je perds ?"
"- Soit tu me trouves une autre bombe d'ici la fin du séjour, soit tu me prêtes ta copine une fois de retour sur Paris."
"- Elle voudra jamais !"
"- T'inquiètes, je m'en occupe."
Je reste pensif. Elle risque de m'en vouloir...
"- Bah, ok. Et je dois juste la draguer ?"
"- Nan, trop facile. Tu dois l'embrasser et la peloter. Et qu'elle se laisse faire."
"- Ah ouais, quand même. Je dois faire ça aujourd'hui ?"
"- Non, tu as trois jours."
"- Pari tenu, topes là !"
On se tape dans les mains puis nous dirigeons vers l'épicerie en rigolant.
Une fois sur place je constate avec satisfaction que son mari n'est pas là. Sans doute dans l'arrière-boutique. Je m'avance :
"- Bonjour, belle demoiselle."
Elle en reste figée. Ca doit faire longtemps que l'on ne l'a pas appelée ainsi. Peut-être que c'est la première fois en fait, elle est si banale.
Je me retiens de mater son décolleté. Il ne cache pas grand chose et sa sueur le rend presque transparent. Il faut dire que le ventilateur du magasin fait plus de bruit qu'autre chose. Mes amis ne se gênent pas eux. Elle s'en aperçoit, rougit et essaie de l'ajuster. C'est encore pire : ça fait poindre ses tétons. Je ressens malgré moi une certaine excitation...
La voix de son mari retentit :
"- Arrête de bailler aux corneilles, pour une fois que l'on a des touristes !"
Elle se ressaisit :
"- Euh, oui chéri..."
Je me dirige vers une étagère, prend un bocal de cornichon situé en hauteur, le regarde et dit :
"- Ils sont périmés vos produits..."
"- Hein ? Non, ce n'est pas possible..."
Elle s'approche alors que je repose le bocal et regarde autre chose.
"- C'est celui là ?"
"- Oui."
Je la laisse se dresser sur la pointe des pieds pour atteindre le bocal. Je regardes sa chute de rein, ses fesses... Pas si mal.
Elle le saisit enfin :
"- Mais non ! Que dites-vous, Monsieur ?"
"- Appelez moi Chris."
"- Euh, oui, moi c'est Jeanne..."
Je m'approche. Je sens son odeur musquée. Ce n'est pas désagréable en fait... C'est bizarrement envoutant. J'ai envie d'elle.
Son mari arrive :
"- Ben alors, tu dragues les jeunots ?"
"- Non ! Il disait que nos produits étaient périmés."
"- Hein ? Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Attends je m'en occupe..."
Ah non ! Ce con va ruiner mon plan !
"- Non, non, c'est bon. Retournes à ton inventaire."
Je suis étonné de son ton autoritaire. Un petit bout de femme comme elle... Oh oui, je la veux... Son mari grommelle :
"- Bon mais te fais pas arnaquer..."
Il s'en va. Elle soupire de soulagement. Je sens une pointe d'excitation aussi... Umm, je crois qu'elle ne veux pas que son mari la voit avec moi, c'est bon signe pour moi !
Je me mets alors à côté d'elle et poses la main sur son épaule. Elle trésaille mais ne se dégage pas. Elle doit penser que tous les citadins font ça. Quelle naïveté !
"- Regardez cette date, là."
Elle scrute attentivement le bocal. Je caresse sa nuque du regard. Ca y est, je bande...
"- Ah, mais ça c'est la date de mise en bocal ! La date de péremption est ici !"
Elle me montre le bocal d'un air victorieux. Elle bombe le torse inconsciemment. Je me retiens de la peloter mais mon regard est fixé sur ses seins... Elle rougit et reprend une posture normale :
"- Ah oui, suis-je bête..."
Ma main glisse sur sa hanche. Cette fois-ci elle se dégage. Mais ces seuls mots sont :
"- Vous le prenez ?"
Elle a envie de moi, elle ne le sait juste pas encore... Je saisis le bocal :
"- Oui, bien sur... Ma petite Jeanne"
Je la laisse rougissante alors que je me dirige vers la caisse. Je me conduis alors d'une façon courtoise et distante pendant que nous finissons nos courses. Elle a l'air déboussolée par mon attitude. Elle doit penser qu'elle s'est imaginée des choses, qu'elle s'est excitée toute seule... Que je l'attire... Parfait.
Enfin nous partons.
Sur le chemin du retour Thomas me dit :
"- Quel tombeur, tu vas gagner ton pari dés demain si ça se trouve !"
Je réponds distraitement :
"- Oui, probablement..."
Je suis ailleurs. Entre ses seins, ses cuisses... Je la veux. Je l'aurais...
----- Partie écrite par ma correspondante -----
Dimanche après-midi, nous fermons le magasin. C'est le seul jour de la semaine et c'est un repos vraiment mérité. L'été, on travaille beaucoup plus et il fait chaud. On pourrait aller à la plage mais mon mari préfère faire une sieste. Alors, moi je reste à la maison allongée sur un transat à l'ombre des arbres et je lis des magazines.
Après sa sieste, quand le soleil commençait à baisser, nous sommes sortis faire un tour. Il y avait de l'animation au village. Une bande de jeunes étaient en train d'installer leurs tentes au bord d'un champ. Il y avait cinq garçons dont celui que j'ai servi ce matin. A notre passage, il me cria « Bonjour Jeanne ! ». J'ai hoché la tête. Mon mari me demanda aussitôt si je le connaissais. je crois que j'ai rougi et j'ai bafouillé que c'était le client de ce matin, celui qui s'était trompé de dates.
La vraie attraction, était cependant la fille qui était avec eux. Une belle jeune fille blonde avec une mini jupe vraiment courte. Elle aidait les garçons à monter une tente, se mettait sur la pointe des pieds et se penchait sans aucune gêne. Ça avait attiré du monde. Avec mon mari, nous avons fait une promenade dans la campagne. Avant de rentrer chez nous, nous sommes passés au café pour boire une boisson fraîche. Le groupe de jeunes était là. Ils faisaient du bruit et riaient. La blonde attirait les jeunes mecs du coin. Les minettes du village entouraient les garçons.
On s'est installés à une table un peu éloignée. A coup sûr, mon mari reluquait la blonde. A un moment, le garçon de ce matin me fit un geste de la main puis un sourire puis un nouveau geste. J'avais l'impression qu'il me disait de venir avec eux. Je devais me faire des illusions, je restais assise sans bouger. J'ai repensé à ma jeunesse. Il m'avait dit son prénom mais je ne me rappelai même plus. A quoi bon de toutes façons...
Chris ! Il s'appelle Chris et il est assis à côté de moi. Sa cuisse est même collée à la mienne. Nous sommes dans le car qui nous emmène à la ville. Le lundi, c'est mon mari qui tient l'épicerie et moi je vaque à mes occupations. Je vais souvent en ville. Aujourd'hui, j'ai décidé de m'acheter des vêtements, une robe surtout pour le bal de demain soir. Quelle coïncidence que vous soyez monté dans le même car que moi et que vous vous soyez justement installée à côté de moi. Quand je vous ai parlé du bal du lendemain, vous vous êtes mis à compter sur vos doigts. Vous avez compté jusqu'à trois puis vous m'avez regardé et vous vous êtes mis à rire. « Ça va être bon, Jeanne ! ». Vous avez posé votre main sur mon genou. Je ne savais où me mettre.
Alors, j'ai parlé. Vous me posiez des questions et je vous répondais. Vous avez appris que j'avais 41 ans, que mon mari en avait 8 de plus, que c'était un ancien militaire un peu sec mais gentil tout de même. Nous avions trois enfants : l'aîné s'appelle Loïc, il a 18 ans et est parti pour la première fois seul en vacances avec ses copains. Je me suis intérieurement demandé s'il faisait la fête comme vous, la veille, au café. Le deuxième c'est Jérémy, 14 ans, et la petite dernière, c'est Émilie qui a 11 ans. Ils sont tous les deux chez leurs grands-parents. C'est mieux l'été pour... Je suis plus libre avec mon mari... non, ce n'est pas ce que vous croyez... c'est pour le boulot... ce n'est pas très passionnant... il faut bien vivre...
Nous sommes arrivés en ville. Votre main était encore posée sur mon genou. Je vous ai fait remarqué que nous devions descendre. Vous avez absolument tenu à m'accompagner pour acheter ma robe. Gênée au début, j'ai fini par trouver ça amusant. Mon mari ne m'accompagnait jamais dans les magasins. Vous m'avez fait prendre une robe que je n'aurais jamais osé choisir toute seule. Pendant que je me changeais dans la cabine, vous m'aviez sagement attendu. La robe était noire, moulante, assez courte mais surtout le haut était transparent. On voyait ma poitrine et mon soutien-gorge. Je vous en faisais la remarque comme si nous étions des amis intimes. « Mais c'est la mode Jeanne, toutes les filles montrent leurs sous-vêtements comme ça, c'est la mode Jeanne, allez laisse toi aller, faut juste que tu achètes le soutif qui va avec. »
Alors j'ai pris un slip et un soutien-gorge cordonnés blancs avec des motifs brodés en noir. Vous en avez caressé le tissu pour me conseiller et je vous écouter comme si vous étiez un expert. J'ai aussi pris des bas. Nous sommes enfin passés chez un marchand de chaussures et vous m'avez fait prendre des chaussures avec un talon bien plus haut que je n'avais l'habitude. je me laissais faire comme une gamine alors que c'était moi l'adulte et vous...
J'étais dans un drôle d'état d'excitation. Vous avez voulu qu'on déjeune ensemble. Je ne pouvais pas, j'avais rendez-vous avec une copine. Vous n'avez pas insisté. Vous m'avez fait la bise pour me dire au revoir. Votre main a touché mon sein droit : « T'en fais pas, t'as de beaux nichons, Jeanne ! ». Ma copine est arrivée quelques instants après. Je me suis même demandée si elle nous avait vu. De toutes façons, on ne faisait pas de mal. Pendant tout le repas, la sensation de votre main sur mon sein ne me quittait pas. Ma copine me parlait et moi, j'étais ailleurs.
J'ai repris le car pour rentrer. J'y avais pensé mais non, vous n'étiez pas là. C'était aussi bien. Je me trouvais plutôt bête d'avoir agi comme ça.
Mardi soir, avec Jo, mon mari, nous sommes partis à la fête du village. Il trouvait ma robe un peu provocante et c'est tout. Nous avons dîné d'un sandwich et d'une bière. Le bal ne commençait pas avant une heure. Jo en avait déjà marre, il n'aimait pas les fêtes. J'avais retrouvé des copines. Il me laissa et il est retourné à la maison. Avec les copines, ont a bu deux cocktails pour nous mettre en forme. On n'arrêtait pas de rire. Le bal avait commencé. On dansait entre nous. De temps en temps, on nous invitait pour danser le rock.
Puis, il y eu un slow et vous avez tapé sur mon épaule : « Tu danses Jeanne ? ». Et nous avons dansé. Nous étions collés l'un à l'autre. J'ai fermé les yeux. J'entendais la musique au loin. Je sentais vos mains au bas de mon dos. Nous ne bougions presque pas. Et il y eut un deuxième slow tout de suite après. Et je ne me rappelle plus commet ça s'est passé. Je sais qu'après je vous ai suivi dans un coin sombre. J'étais contre un mur. Votre langue était dans ma bouche. Vous aviez remonté ma robe, vous me caressiez les fesses, vous me caressiez les seins, vous m'embrassiez sur la bouche... Et je me laissais faire et c'était bon !
« Allez Chris, c'est bon ! Viens maintenant ! »
C'était vos amis. Ils nous avaient vu, j'étais morte de honte. Vous m'avez fait une bise sur la joue et vous êtes parti avec eux. J'étais mis un petit moment à m'en remettre. J'ai rajusté ma robe et remonté mes cheveux. Je suis retourné au bal. Mes copines n'étaient plus là. Je suis rentrée chez moi aussi.