Torride canicule...

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Proposée le 15/10/2009 par batman69

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Il faisait incroyablement chaud ce soir là. En cette fin août, la température frisait les 40 degrés avec l'humidité et malgré que j'étais épuisée après une longue semaine de travail, je n'arrivais pas à trouver le sommeil. Contrairement à mon habitude, je m'étais couchée nue et mon corps cherchait désespérément la fraîcheur dans les draps du lit. Pourtant la vendeuse ne m'avait-elle pas dit, lorsque je les avais acheté, que le satin était idéal pour dormir ? Frais, doux et si sensuel m'avait-elle promis, surtout avec cette couleur rouge cerise ! Bon, sensuel pour qui ? Moi qui suis célibataire... Enfin, j'étais là à tourner d'un côté et de l'autre, impatiente de tomber dans les bras de Morphée. Peine perdue, le sommeil me fuyait ! C'est à ce moment que j'ai enfin pensé aller faire saucette dans ma piscine creusée, histoire de réajuster ma température corporelle.

Il faisait nuit noire ce soir là et seul un mince quartier de lune éclairait la piscine. Alors à quoi bon enfiler un maillot ? La caresse de l'eau sur ma peau serait un délice de plus. C'est donc en costume d'Ève que j'ai plongé dans l'eau fraîche. Mon corps a vivement réagit à la différence de température avec l'air ambiant. La pointe de mes seins s'est durcie automatiquement. Flottant sur le dos, je pouvais voir mes seins sortir de l'eau et mes mamelons qui pointaient vers le ciel. Je pense bien que cette image m'a excité moi-même. J'ai barboté de longues minutes, glissant parfois sous l'eau, le mouvement de mes jambes provoquant un délicieux courant qui venait se frotter entre mes cuisses. Après quelques brassées énergiques, je me suis laissée dériver sur l'eau et j'ai doucement glissé ma main le long de mon ventre, de mon nombril, puis finalement sur les lèvres de mon entrejambe. Mmmm!!! Douce caresse, folle envie de me donner du plaisir.

J'ai donc laissé mes doigts s'aventurer tout près de mon petit bouton de plaisir, mouillé de l'eau, de la moiteur de ma chatte très excitée. J'ai commencé à le frotter doucement, tout en m'accrochant au rebord de la piscine pour ne pas glisser dans l'eau. Le plaisir montait lentement, sûrement. Je laissais défiler dans ma tête des images du dernier film pornographie que j'avais téléchargé sur Internet, des images d'un érotisme puissant. Je revoyais les images de l'homme qui sodomisait la femme accroupie devant lui. J'entendais encore leurs cris de jouissance, elle plus aigus, lui plus rauques, véritable grognement de plaisir! Les fesses de la femme claquaient sur la peau de l'homme. Elle avait tellement crié en jouissant que ça m'avait fait atteindre l'orgasme instantanément. Comme il semblait bon de se faire enculer! Voilà une expérience que je n'avais encore jamais tenté.

C'est donc sur ces images totalement indécentes que j'ai joui de nouveau, l'eau se frottant effrontément contre mes seins, contre ma chatte, effaçant toute trace de mon plaisir. Je me suis laissée flotter encore quelques instants, j'étais tellement bien, paisible, maintenant prête à me laisser envahir par cette douce torpeur qui précède le sommeil profond. C'est à ce moment que j'ai entendu son raclement de gorge...

J'ai sursauté! Qu'est-ce que c'était? Je me suis enfoncée plus profondément dans l'eau et j'ai laissé mes yeux s'habituer assez à la noirceur pour tenter de voir d'où était parvenu le son. Et je l'ai vu! Il était là, debout, à mi-chemin entre mon terrain et le sien. C'était mon voisin. Je ne le connaissais pas très bien, il n'avait emménagé que 3 ou 4 mois plus tôt. On ne s'était même jamais parlé! Je savais seulement qu'il avait à peu près mon âge et qu'il était absolument craquant! Mais comme il était camionneur, il n'était pas rare qu'il soit absent durant plusieurs jours, ne revenant qu'un jour ou deux avant de repartir à nouveau.

Il était immobile, nu pieds, en short et torse nu. Je n'osais parler et lui ne disait mot non plus. Je me demandais s'il m'avait vu me masturber. C'est drôle, je n'en éprouvais pas de gêne. Était-ce parce que, depuis son arrivée dans le voisinage, je nourrissais de secrets fantasmes à son égard ? Environ six pieds, brun aux yeux noisettes, il avait un corps musclé à souhait et des abdominaux incroyables! Et son sourire... Carrément ravageur! J'avais craqué au premier regard ! Combien de fois m'étais-je caressée et donné du plaisir en pensant à lui ? J'imaginais ses fesses rondes et fermes, ses cuisses musclées et dures sous les doigts, ses biceps roulant sous sa peau et ses bras forts et puissants m'étreignant pendant qu'il me faisait l'amour. J'imaginais sa langue douce et experte sur mes lèvres, dans mon cou, sur mon clitoris. J'imaginais son membre dur et profondément enfoui en moi ! Je repensais à ce fameux film XXX et c'est moi que je voyais empalée par lui, c'est sa queue que je voyais pénétrer entre mes fesses. C'est moi que j'entendais crier de plaisir...

Il s'est approché de la piscine, se tenant à l'opposé de l'endroit où j'étais. Sous le clair de lune, j'étais certaine de voir briller ses yeux et j'ai eu droit à son fameux sourire aguicheur. Il ne parlait pas, il ne faisait que me regarder et moi, petite sirène toujours nue sous l'eau, je ne pouvais m'empêcher de soutenir son regard. Le silence n'était pas pesant, il était carrément excitant! L'un comme l'autre nous savions ce qui se passait dans la tête de chacun. L'un comme l'autre savions ce qui allait se passer.

Lentement, il a commencé à contourner la piscine et a rejoint l'échelle. Je me suis laissée voguer de l'autre côté, pas tant pour m'éloigner de lui que pour me calmer. De là où j'étais, j'ai pu le voir faire glisser son short le long de ses jambes pour le laisser tomber par terre a ses pieds et se retrouver aussi nu que moi. Si je savais ce qu'est un arrêt cardiaque, je jurerais en avoir subi un à cet instant. À contrejour de la faible lumière de la lune, son profil se dessinait très clairement. Un corps à tomber par terre! Un corps dont j'eus envie, immédiatement, d'abuser. Il était magnifique! Il a plongé dans l'eau et m'a rejoint en quelques brasées seulement. Mes jambes tremblaient, mes mains ne savaient plus si elles devaient s'accrocher quelque part ou protéger ma nudité. Ma chatte, si ce n'avait été de l'eau, aurait été totalement inondée de moiteur tant j'étais excitée. Mon clitoris palpitait aussi fort que mon cœur. J'avais follement envie de recréer le film porno de l'autre soir!

Sans préambule, il m'a attiré vers lui et il a pris possession de ma bouche. Il avait un léger goût de bière et de menthe. Son baiser était délicieux et me faisait chavirer. Sa langue fouillait ma bouche sensuellement, nos lèvres se mordaient et se dégustaient. C'était le baiser le plus incroyable qu'on m'avait jamais donné. Parfois dur et violent, puis tout d'un coup doux et sensuel. Sa bouche cherchait la mienne, la trouvait et la gardait. Puis ce fut au tour de mon cou. Sa bouche déposait mille et un baiser à la base de mes cheveux, dans le creux de mon cou, là où une veine palpitait de désir, puis sur mon épaule. Une main agrippait ma chevelure alors que l'autre pétrissait un de mes seins, nu et froid, au mamelon pointé et invitant. Sa langue suivit le tracé de ses doigts et happa un téton fébrile de sa bouche, en mordilla la pointe, la lécha langoureusement. Sa main descendit sous l'eau et chemina jusqu'à mon ventre, s'arrêtant juste assez haut pour susciter de la frustration en moi. Vas-y, touche-moi plus bas, caresse-moi avais-je envie de lui crier! Tu ne vois donc pas que j'en meurs d'envie ?

Lisant dans mes pensées, sa main glissa enfin entre mes jambes et trouva rapidement le point culminant de mon excitation. Il caressa mon clitoris, exerça une légère pression, décuplant mon plaisir, puis il enfouit un doigt dans ma chatte. Il poursuivit son petit manège de longues minutes. Je haletais, je gémissais, je lui disais de continuer, que c'était bon ! Deux doigts étaient maintenant enfoncés dans ma chatte alors que son pouce titillait mon bouton de plaisir. Son autre main caressait une de mes fesses. Je me tortillais, me déhanchais, je retenais mon plaisir tant je tenais à prolonger ce moment. Sa langue avait repris le chemin de ma bouche et c'est dans un baiser torride que j'ai laissé exploser ma jouissance. Orgasme puissant, cris étourdissants.

Il m'a laissé reprendre mes esprits tout en continuant de m'embrasser. Mes mains agrippaient toujours ses épaules. Mes ongles enfoncés dans sa peau, je m'accrochais à lui tant je voulais qu'il reste et que se continue cette séance de corps à corps érotique. Ce dont il avait aussi envie, apparemment...

Il m'a pris la main et m'a attiré vers l'échelle de la piscine. Il est monté devant moi et arrivé en haut des marches, il s'est retourné et s'est assis, laissant ses pieds et ses mollets tremper dans l'eau, mais son sexe incroyablement bandé s'exhiber devant mes yeux. Une invitation à la fellation qui ne se refusait pas ! Et je n'allais pas m'en plaindre! Ma bouche s'est donc emparée de son membre dur. Ma langue le découvrait pour la première fois et en était déjà accroc! Un léger goût de chlore se mêlait à ma salive. Ma bouche l'engloutissait, le dégustait, le léchait. Je m'amusais avec son gland, ma langue l'agaçait. Elle tournait autour, puis s'attardait tout le long de la queue dressée, découvrant avec délectation chaque parcelle de peau. Ma bouche découvrait et dévorait ! Je pris ses testicules dans ma bouche et les suçai avec sensualité. Mes mains s'accrochaient à ses cuisses pendant que je lui offrais une pipe dont il se souviendrait longtemps. Montant une marche, je me suis penchée au-dessus de lui et je l'ai embrassé. J'ai ensuite baissé le torse de manière à ce que ma poitrine vienne se frotter contre son membre que j'ai glissé entre mes seins. De mes mains, je les serrais l'un contre l'autre, emprisonnant ainsi sa queue entre eux. J'allais et venais, la laissant se frotter contre moi. Il gémissait et je sentais sa queue durcir incroyablement contre moi. Après quelques instants, je l'ai reprise dans ma bouche et c'est là qu'il a explosé et que son sperme a complètement aspergé ma langue. J'ai avalé le liquide chaud et j'ai léché mes lèvres avant de l'embrasser de nouveau et de lui faire partager ce goût sublime!

Heureusement, il n'en avait pas fini avec moi!

Il m'a aidé à monter les marches. Complètement nue devant lui, il m'a examiné de longues secondes. Son regard appréciateur m'a encore plus allumé. Il semblait aimer ma chatte épilée, mes longues jambes galbées, mes seins ronds et fiers. Mes longs cheveux dégoulinaient d'eau qui ruisselait sur ma peau, glissait sur mon visage, ma bouche, mes seins... Il m'a fait prendre sa place et m'a écarté les jambes de façon à ce qu'elles soient à l'extérieur de l'échelle. Ainsi écartelée, j'étais à sa totale merci! C'est alors qu'il m'a offert le plus incroyable cunnilingus de mon existence! Sa langue semblait déjà tout connaître de mon intimité car elle faisait exactement ce qui me faisait le plus d'effet. Elle me léchait, m'embrassait, titillait mon clitoris du bout de la langue, le suçait. Ainsi positionnée, je me sentais prisonnière, mais je n'avais pas peur. Il me procurait des sensations divines ! Je voulais retenir mon plaisir encore une fois, le faire durer, mais il ne mit pas longtemps à éclater. Sa langue enfouie entre les lèvres chaudes de ma chatte, mes propres gémissements à mes oreilles... Je n'en pus plus et je jouis comme une folle! Du plaisir pur et extasiant! Je n'avais maintenant qu'une envie et c'était de sentir sa queue en moi et de le voir bouger au-dessus de moi. J'allais me relever, mais il retint mes jambes et remonta un peu dans l'échelle de façon à venir positionner son membre à la hauteur de mon sexe. Mon cœur débattait d'excitation, je m'attendais à tout moment à être pénétrée, mais il se contenta plutôt de venir appuyer son gland contre ma chatte et le frotter de haut en bas. Il a pris sa queue entre ses mains et a dirigé son gland contre mon clitoris encore frémissant de mon orgasme et plongé son regard dans le mien, lisant sur mon visage tout mon plaisir, mon désir, mon vœu non formulée qu'il m'enfonce son pieu bien profondément dans la chatte.

C'est là qu'il s'est reculé et qu'il m'a aidé à me relever. Je l'ai entraîné dans la maison où l'on s'est séché rapidement avant de se diriger vers ma chambre et mes fameux draps de satin! C'est à ce moment que j'ai réalisé combien ils étaient en effet très sensuels ! Je me suis laissée tomber sur le dos sur le bord du lit, les bras au-dessus de ma tête, les jambes légèrement écartées, les pieds touchant presque le sol, complètement offerte. Il s'est penché sur moi pour m'embrasser, son sexe se cognant sur le mien. Il a passé les main sous mes genoux et m'a attirée brusquement à lui, mes fesses presque suspendues dans le vide. Et il m'a pénétré d'un coup sec ! J'ai crié de surprise, mais aussi de plaisir ! Comme il était bon de sentir son membre au fond de moi ! J'ai accroché mes jambes à lui et j'ai entamé une danse du bassin pour mieux accompagner ses mouvements. Je sentais sa queue enfouie dans ma chatte, je la sentais si dure ! J'ai glissé ma main entre nous et j'ai enroulé mes doigts autour de la base de son membre mouillé de nos fluides sexuels. J'aimais le sentir sous mes doigts et en moi. Je gémissais de plaisir ! Il empoignait mes seins, les massait presque sauvagement ! Il pinçait mes seins, se penchait pour les prendre dans sa bouche, les mordiller. Mes mains s'accrochaient à ses bras et sentir ses muscles bandés sous sa peau m'exaltait! Il continua son petit jeu encore un peu puis se retira soudainement. Il me demanda de me retourner et de me mettre à quatre pattes sur le lit. Je ne savais trop si j'avais envie de lui être si soumise si rapidement, mais comme je savais que l'occasion d'une baise avec lui ne se reproduirait pas de sitôt, j'ai décidé de jouer le jeu jusqu'au bout et d'en profiter. Je me mis donc à genoux de façon à lui offrir mon cul en cadeau. Il émit un sifflement appréciateur et passa la main sur ma chatte, puis mon anus. Je me tortillais de plaisir, impatiente de savoir où il avait l'intention de mettre sa queue. Mais c'est plutôt sa langue que j'ai senti sur ma chatte. Oh mon Dieu ! Il m'a doucement poussé de façon à me faire coucher sur le lit et il a grimpé au-dessus de moi. Puis enfin j'ai senti sa queue fouiner entre mes jambes et finalement s'enfoncer de nouveau en moi. Ma chatte était complètement inondée, j'étais follement excitée, j'entendais le bruit de son membre qui entrait et sortait de moi, je ne pouvais m'empêcher de gémir. Mes seins étaient écrasés sous moi, mes reins courbés, mes fesses légèrement relevées, mes mains s'accrochaient à la tête du lit. Pratiquement agenouillé au-dessus de moi, il écartait mes fesses pour mieux voir sa queue entrer et sortir de moi. Il me pénétrait, se retirait légèrement, me pénétrait de nouveau, insérant son membre dans ma fente, le glissant contre mes lèvres qui l'enserraient. Puis il se retira complètement et me fit remettre à quatre pattes devant lui. Les mains appuyées contre le matelas, mes cheveux retombant en cascades sur mon visage, je passais ma langue sur mes lèvres asséchées! Il agrippa mes hanches et me pénétra de nouveau, me martela de son dard. J'en voulais toujours plus, toujours plus fort. De son pouce, il a commencé à agacer mon anus et je compris immédiatement qu'il prévoyait visiter mon petit coin secret. Je n'en demandais pas moins, même si cela m'effrayait un peu. De son doigt humidifié de salive, il forçait tranquillement la porte jusqu'alors maintenue close et après une longue préparation, il se retira de ma chatte pour appuyer son gland entre mes fesses. Pour lui démontrer mon accord et mon désir d'être prise de cette façon, j'ai reculé mon petit cul pour mieux l'approcher de lui et il dû comprendre mes intentions puisqu'il a commencé à enfoncer sa queue en moi. La douleur fut vive, mais très peu de temps après, j'en ai retiré un tel plaisir que plus rien d'autre ne comptait ! Je sentais son membre au fond de moi et j'aurais voulu qu'il aille encore plus loin. Je réalisais maintenant à quel point il était bon de se faire enculer ! C'était incroyablement bestial, primitif. Ainsi positionnée, à quatre pattes, sa queue me sodomisant, je nous sentais comme deux bêtes qui assouvissent leurs plus bas instincts. Nos râles et nos cris se mêlaient, je me sentais enfin comme cette fille dans mon film porno, sinon qu'à ce moment même, j'étais l'héroïne et les cris étaient les miens.

Je sentais sa queue en mouvement dans mon cul, ses doigts enfoncés dans ma peau, mes fesses qui cognaient contre lui dans un claquement, mes seins qui bougeaient sous moi, mon plaisir qui montait dangereusement en moi. J'aurais voulu faire durer ce plaisir, mais je sentais l'orgasme qui venait, j'allais jouir ! Ma main avait glissé sous moi, rejointe plus tard par celle de mon amant. Positionnée par-dessus la mienne, il me montrait le mouvement qu'il aurait lui-même fait. Je laissais un doigt aller en moi, puis en ressortir mouillé pour aller se frotter contre mon clitoris. Et je recommençais le même manège. J'étais étourdie de plaisir ! Alors il se mit à bouger plus vite en moi, augmentant le rythme de notre danse sexuelle, je sentais sa queue incroyablement dure contre mon petit anneau de chair, et lorsque sa bouche émit un véritable cri de guerrier, je ne pus que jouir moi aussi, alors que son sperme se répandait en moi.

On s'est écroulés tous les deux sur le lit, essoufflés et en sueur. Quelle soirée ! Quelle baise ! On reprenait notre souffle, il avait pris ma main dans la sienne et la retenait prisonnière contre son torse. Je serrais encore mes cuisses tremblantes, je sentais ma peau mouillée. Près de lui ainsi, je pouvais sentir son parfum musqué et masculin, mêlé à l'odeur délicieuse de nos corps empreints de sexe. J'avais si chaud ! J'ai alors réalisé l'ironie de la situation : j'étais sortie me baigner pour lutter contre la chaleur accablante, et je me retrouvais maintenant avec la peau encore plus brûlante.

Nous sommes donc retourné ensemble dans la piscine, histoire de rafraîchir nos ardeurs. L'eau sur nos corps fut encore une fois une caresse délicieuse, mais ne réussit pas à calmer nos ardeurs. C'est pourquoi il ne fut pas long à nos deux corps nus de se retrouver de nouveau et le contact fut tout aussi sensuel et torride.