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Proposée le 1/10/2009 par Delivicieuse
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Ce soir là, la boîte de nuit était bondée de monde. Avec mes cinq copines on se donna rendez vous dans un coin du bar au cas où on se perdrait dans la foule. Il faisait une chaleur torride sur la piste de danse et mes trois verres de vodka orange et martini citron rendaient mes déhanchements plus lascifs encore. Mes vêtements collaient à mon corps en sueur. Mon top noir en vinyle qui dénudait mes épaules laissait deviner mon 100E drapé d'un débardeur noir équivoque. Mon pantalon en lin léger me permettait de sentir des fesses, des mains, des jambes de danseurs et danseuses s'émoustillant à mes abords. Je vis au loin une de mes copines danser le cul collé au bas ventre d'un latino. Elle me vit la regarder et me fit un clin d'il suggestif. Je compris ce que suggéra son clin d'il en sentant, de derrière moi, une main sur ma hanche gauche, puis l'autre de mon invité-surprise sur mon autre hanche. Il se cala tout contre mes fesses en me ramenant à lui dans un mouvement lent et plein d'assurance. A la fois ivre de chaleur, de ma propre façon de me mouvoir sur la piste, et d'alcool je me laissais aller contre lui, sans même savoir de qui il s'agissait. A force de bouger en rythme, je finis par sentir son sexe bien raide tout contre ma croupe, il m'inclinait de plus en plus pour que je le sente mieux. Je devinais une taille monstrueuse au frottement. Soudain le DJ balança une musique plus langoureuse. Il me fit tourner face à lui et je vis un beau regard sombre me fixer dans un visage très mat. Il me plaqua contre lui en me saisissant fermement d'une main sur ma taille et de l'autre il entreprenait de me caresser le visage, les seins, les fesses. J'écartais les cuisses pour sentir la bosse qui s'était formée sous son pantalon. Je sentais ma culotte de plus en plus trempée, des images de moi empalée par son membre gigantesque me traversaient l'esprit. Il se pencha vers moi je pensais qu'il allait m'embrasser alors j'entrouvris les lèvres... Mais il se pencha jusqu'à mon oreille et me chuchota : « Tu veux la goûter ? ». Au lieu de répondre « Non », je laissai échapper un gémissement voluptueux en m'arc-boutant à lui tout en envoyant ma tête vers l'arrière. Il posa des lèvres humides sur ma gorge en me disant : « Je sais reconnaître une salope quand j'en vois une... ». Je m'arrêtais de danser tout net. Ses mots m'excitèrent au plus haut point à mon grand étonnement ! Moi qui n'avais jamais connu de relation d'un soir, je me surpris à lui demander avec une pointe de défi dans le regard : « Et si j'y goûte ? », il me répondit du tac au tac : « Tu ne pourras plus t'en passer ». Il m'emmenait déjà vers la sortie quand je voulut lui dire que je n'étais pas venue seule et que je devais avertir mes copines que je ne rentrai pas avec elle. Mais aucun mot ne sortit, j'étais dans un état second. Oubliant jusqu'à mon mec et ses 16cm... J'avais senti une queue nettement plus grosse contre ma croupe et sa façon peu cavalière de me traiter de salope laissaient présager une baise torride et indécente. Au parking il nous arrêta devant une voiture sur laquelle il me plaqua sans ménagement. Me tint par le cou et m'embrassa la bouche goulûment. Je lui rendais ses baiser en le caressant derrière la nuque. Ma tendresse de femme noire occidentale jurait avec la bestialité qui se dégageait de ce descendant de tirailleurs. Il s'avançait vers moi de telle sorte qu'il n'y ait plus d'espace pour que je puisse fuir. Alors, j'écartais les cuisses sous sa force pour sentir sa puissance virile contre mon sexe humide et avide de l'accueillir. Il mit assez de distance pour qu'une main passe entre lui et moi et défasse son ceinturon, libère son sexe de son jean puis de son boxer trop serré pour ce pénis encore plus énorme que ce que j'imaginais ! Il scrutait mon regard qui allait de ses yeux sombres et narquois à sa verge qui devait faire pas moins de 28cm de long pour 10 bon cm d'épaisseur ! Il lâcha moqueur : « N'aies pas peur fillette ! elle est adorable avec les bonnes chaudasses ! ». Il me fit accroupir face à lui de sorte que ma bouche se retrouve au niveau de son sexe étendu et fier prêt à être pompé. Toujours dans mon état second, j'ouvrais la bouche et commençais à doucement emboutir sa longue, épaisse et très douce queue. Elle était terriblement bonne. Je salivais à mesure que sa queue pénétrait plus profondément dans ma bouche jusqu'au fond de ma gorge. Quand il libéra ma bouche, je pus lui gober ses couilles pleines, pour revenir lécher sa verge de tout son long et aspirant son gland. Je sentais ma bouche démesurément déformée par son énorme queue et j'imaginais, toute excitée, les sensations que j'éprouverais s'il me prenait là tout de suite. J'étais en train de sucer un inconnu à la bite trop grosse pour ma cavité buccale mais j'envisageais sérieusement de me faire baisée par ce parfait inconnu. Toutes à mes rêvasseries érotiques, je sentis un liquide dégouliner dans le fond de ma bouche. Il venait de jouir. Trop pudique et morale pour avaler la semence d'un inconnu - d'un autre homme que celui dont je partageais le quotidien - je la recracha confuse et il sourit moqueur. Il remis son boxer et son jean, boucla sa ceinture soutenant mes regards dépités et plaintifs de ses yeux sombres avec une détermination s'y lisant. Il me fit me lever d'un mouvement sec il me plaça coté passager de la voiture qui fut témoin de la fellation que je venais de faire à un type dont j'ignorais tout. Il se mit coté conducteur, démarra la voiture et fila dans la nuit. Durant le trajet je lui appris timidement que je n'étais pas seule dans la vie. Affirmation à laquelle il répondit : « Moi non plus, je ne vis pas seul... » et il tourna un visage résolument moqueur vers moi. Je ne comprenais pas. Il délaissa le volant d'une main et vint la placer devant mon sexe humide, à travers mon fin pantalon en lin et mon string. Il sentit mon humidité qui transperçait mes vêtements et il me dit : « Hum t'es chaude... ». Il continua malgré ma gène évidente : « Tu as connu combien de mecs avant ton copain ? ». S'il pensait m'aider à aller mieux avec ce genre de questions... Je lui répondis timidement : « Quelques uns ». Il insista : « D'accord, plus de cinq ? Plus de dix ? Plus de vingt ? » et il se moquait ouvertement de ma gène. J'étais partagée entre l'excitation et la honte. Alors je décidais que c'était un inconnu et que ses jugements je m'en contrefichais, je lui avouais : « plus de dix et moins de vingt ! »... Je ne baissai plus les yeux. J'ajoutais : « J'ai eu de vraies histoires, et pas d'aventure d'un soir ! ». Il redevint plus intrusif encore : « Tu aimes la queue... Tu en as déjà eu trois pour toi toute seule dans la même partie de jambes en l'air ? ». « Jamais ! » Répondis-je sans hésitation. Et il remit sa main sur le volant pour se garer. « Descends, c'est là. ». « C'est chez toi ? » M'enquerrai-je pour faire la conversation. Il plongea son regard dans le mien et me dit : « C'est mon baisodrome ». Je baissais les yeux encore, en pestant contre moi-même, d'être si excitée ! Il me fit monter un petit escalier en colimaçon, passer une porte qui s'ouvrit sans qu'il fasse tourner de clé dans la serrure. Tout me semblait normal. J'avais seulement envie qu'il apaise le feu qu'il avait mis en moi ! Nous entrâmes directement dans une pièce qui servait de chambre. C'était la seule pièce de l'appartement, avec une porte d'où on devinait des toilettes. Au milieu de cette pièce il y avait un lit immense, dans le fond une kitchenette, et... au mur et au plafond tout un jeu de miroirs ! Ca ne faisait pas le moindre doute c'était un studio qui servait à s'envoyer en l'air et à se regarder faire ! Il souriait en m'observant qui détaillais la pièce qui allait me voir passer de la fille fidèle et sérieuse à la petite dévergondée face à un inconnu aux murs manifestement légères ! « Assieds toi, je te sers un verre ». J'en avais besoin. Il me tendit un verre de je ne sais pas quoi que je bus d'un trait et devinais que c'était du rhum arrangé. « Un autre ? » demanda-t-il ironique. « Oui » disais-je dans un souffle. « Non... Je ne veux pas que tu sois saoule ». Je baissais de nouveau la tête et il se pencha pour m'embrasser. Je passais mes bras avidement autour de son cou et j'ouvrais la bouche pour cueillir ses baisers. Il fit tomber mon pantalon. Je me mis à califourchon sur lui à son initiative. Je l'embrassais encore, avec plus d'ardeur que lui-même, quand je sentis une main sur mes seins à travers le fin tissu de mon soutif, et une autre qui s'était glissée à l'intérieur de mon string pour titiller l'entrée de mon anus d'un doigt. Je me retournais et constatai sidérée que nous n'étions pas seuls. « C'est mon frère et mon cousin » répondit mon hôte devant mon regard plein de questions. Il continuait « Je t'offre de réaliser un véritable fantasme féminin... Te faire baiser par trois mecs... Aux bites bien plus intéressantes que les dix que tu as connu. ». J'allais objecter, il me fit basculer sur le lit, et m'écrasa de tout son poids, écarta mes cuisses, cala son sexe à mon entrejambe et me dit « Si tu veux ma queue, tu devras accepter les deux autres ». J'entrepris simplement de l'embrasser. Il s'arracha à mon étreinte et ses deux acolytes me tendirent deux queues tout aussi monstrueuses que celle que j'avais sucé dans le parking ! Assise sur le lit face à ses deux invités, je passais d'une queue à l'autre en léchant et pompant leurs gros chibres en les enfonçant de plus en plus profondément dans ma gorge. Je sentis mon hôte enlever mon soutif et me caresser les seins. Il glissa sa langue dans mon cou, mon oreille « Tu as bien mérité quelques coups de queue ma salope »... Il me fit lever tandis qu'il s'allongeait. Je m'agenouillais devant lui sur le lit, il fit glisser mon string. L'un des deux invités me caressait les fesses, l'autre passait devant pour se faire sucer encore, mon hôte me fit passer sur lui, et me dit « Prends la... ». Je me languissais de la sentir dans mon vagin depuis tellement longtemps que je ne me fis pas prier. J'avais hâte des sensations à venir ! J'étais dans un tel état d'excitation. De la sentir enfin pénétrer en moi m'arracha un cri qui me surprit moi-même ! Je montais et descendais de plus en plus bas sur cette queue, je jouissais, gémissais, l'entendais me traiter de salope, me dire comme je baise bien... J'implosais littéralement, et puis ce fut l'explosion, le plaisir me parcourait tout le corps dans un frisson qui se faisait plus violemment intense à mesure que mon sexe absorbait un peu plus le sien. « Tu aimes ça hein, sale pute », je disais seulement entre deux coups de pompes et trois gémissements « Oui ! Oui ! Oui ! ». Le troisième resté derrière moi me léchait l'anus, y glissait un doigt, puis deux, puis trois... Mon cul se dilatait, il prenait de l'assurance. Bientôt, je sentis quelque chose qui n'avait plus rien à voir avec des doigts à l'entrée de mon rectum. C'était sa bite ! Non ! Il n'allait pas m'enculer avec un tel engin ?! Son gland rentrait déjà et ressortait, pour rentrer de nouveau. Je poussai pour le laisser entrer malgré la peur, le désir était plus fort ! Sa queue devait sûrement être à moitié dans mon cul ! Je me sentais remplie ! C'était étonnamment bon ! Je jouissais plus fort encore ! Il me l'a mise entièrement et je poussai un cri de plaisir et de douleur ! J'étais prête à tout pour que ça ne s'arrête pas ! Des queues ! Des queues ! Que pour moi ! Mon hôte en dessous de moi me baisait le vagin complètement trempé par mon propre jus m'arrachant des cris de plaisir, son frère ou son cousin m'enculait savamment, en vrai expert de la sodomie ! Le spectacle de nos ébats se réfléchissait sur les miroirs. Parfois mon regard croisait celui de l'un de mes baiseurs et je le soutenais, en véritable salope accomplie ! Le reflet de notre partie à quatre ne laissait pas de doute sur mes propres murs. Elles ne pesaient guère très lourd ! Je me faisais baiser la bouche par le troisième larron qui s'en donnait à cur joie ! Puis nous changeâmes de position. Mon hôte me mis à quatre pattes sur le lit pour me prendre en levrette pendant que je suçais les deux autres. La sensation de ce chibre énorme dans une telle position était tout simplement exquise ! « Je viens ! je viens ! je viens » m'écriai-je pour la cinquième fois de la soirée, au bord de l'orgasme ! Pour moi qui n'avais fait que jouir depuis tout ce temps de ma vie sexuelle, je me faisais cinq orgasmes dans une nuit ! Je jouis et il pris ma sécrétion pour lubrifier mon cul et m'enculer à son tour ! Les deux autres me jouissaient sur la face et les seins ! Mon hôte se délogea de mon cul, dont je n'osais imaginer l'élargissement, retira sa protection et finit par jouir sur mes fesses. Mon hôte m'indiqua la salle d'eau. J'y pris une douche tiède. Quand je revins dans la pièce principale les deux autres larrons s'étaient éclipsés. Je m'allongeais lessivée et dans une plénitude orgasmique à coté de celui que je considérais comme mon amant. Je lui dis avant de m'endormir « Merci, c'était trop bon », je l'entendis, dans mon demi sommeil, me répondre « Quand tu veux ma belle ».