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Proposée le 27/09/2009 par Talis Cat
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Après une folle matinée passée sous les draps à être ma chienne je l'ai libérée de sa laisse. Elle est redevenue une femme. Un très belle femme qui se ballade nue sous mes yeux et s'apprête à faire couler un bon bain pour elle et son amant ... Je vaque à mes occupations, regarde la télé, lis un peu. Le bruit de l'eau qui coule m'excite ... Je l'imagine glissant sur son corps de déesse ... Je prends la laisse et me dirige vers la salle de bain. Une vision de rêve m'y attend : elle est penchée pour tester la température de l'eau ... Je m'approche et frotte mon sexe qui commence à durcir entre ses fesses. Je demande :
"- Tu as envie, ma puce ?"
Elle se relève, se retourne et me caresse doucement la verge. Elle m'embrasse :
"- Oui, Maître."
Ces yeux étincellent de désir. Je lui tends la laisse :
"- Prouves-le ..."
Elle s'agenouille, met le collier et la laisse et me la tend. Je l'attrape en souriant, lui caresse les cheveux. Elle marche à quatre pattes, se frotte à mes jambes. Je dis :
"- Voyons, ne soit pas aussi excitée, ma petite chienne, tu vas me faire tomber !"
Je commence à rentrer dans l'eau et tire sur la laisse en disant :
"- Allez, c'est l'heure du bain !"
Elle se glisse lentement à mes côtés. J'admire ses seins qui flottent, sa chevelure les recouvrant partiellement ... Je suis déjà raide et le bout de mon gland dépasse de la surface de l'eau. Elle se penche et commence à le sucer. Je soupire :
"- Umm ... C'est bon. Mais il va falloir tout avaler pour me satisfaire ..."
Elle me regarde, en me masturbant. Puis elle me sourit et plonge la tête sous l'eau en avalant ma verge. Je pousse un râle. Elle commence à faire des va et viens. Je bloque alors sa tête sous l'eau, plongeant mon sexe au plus profond de sa gorge. Je reste ainsi, guettant sa réaction. Elle est d'abord surprise, un peu paniquée même. Elle pousse sur mon ventre pour se retirer. Puis, enfin, elle s'abandonne. Je sens sa crainte à travers la manière dont elle me suce, dont sa langue parcoure ma hampe. J'attends encore un peu et elle commence à se débattre. Je relâche alors la pression et elle sort de la tête, toussant, crachant de l'eau. Elle ne dit rien. Je la regarde et demande :
"- Tu as aimé ?"
Elle reprend enfin sa respiration :
"- Non !"
Je grogne :
"- Comment cela ? Tu n'aimes pas me sucer ?"
"- Si, si, Maître ... Mais j'ai eu peur ..."
Je la regarde :
"- Tu me déçois, je pensais que tu avais confiance en ton Maître. Tant pis ..."
Je commence à sortir de l'eau. Elle s'apprête à me suivre mais je dis alors :
"- Retournes dans ton bain, moi je le prendrais plus tard."
J'ajoute en détachant la laisse :
"- Tu as été une méchante petite chienne."
Elle replonge dans l'eau, baisse les yeux.
Elle a vraiment l'air déçue. Elle est si désirable ... Je cède :
"- Mais peut-être seras-tu une meilleure salope que chienne ?"
Elle m'adresse un regard plein d'espoir. Je m'approche et elle tend son cou pour que j'y attache à nouveau la laisse. Je souris :
"- Comment comptes-tu te faire pardonner ?"
Elle sort de l'eau, s'agenouille et commence à me sucer avec application. Elle dit alors :
"- Punissez-moi, Maître, je l'ai mérité."
Je m'assoies alors sur le rebord du bain et ordonne :
"- Allonges-toi sur moi."
Elle obéir sans rechigner. Je commence alors à la fesser. Elle pousse un petit gémissement ... Pas vraiment de douleur !
"- Et bien, tu as l'air d'aimer ta punition dis-moi ..."
"- J'aime tout ce que vous me faites, Maître !"
Je hausse le sourcil :
"- Vraiment tout ?"
Elle rougit, repensant à ce qui vient de se passer. Elle répond d'une petite voix :
"- Oui, absolument tout, Maître."
Sa réponse m'excite terriblement ...
"- Bien, essayons autre chose alors ..."
Je replonge dans le bain. Elle me suit et commence à me caresser le sexe. Je lui souris et tire sur la laisse. Elle prend alors une grande inspiration et plonge sa tête sous l'eau pour me sucer du mieux qu'elle peut. Je joue avec les boucles de ses cheveux qui flottent et murmure :
"- Ah, ma petite salope, tu sais te faire pardonner !"
Je prends cependant garde à ne pas réitérer l'expérience de la dernière fois, conscient d'y avoir été un peu fort ... Après tout je suis aussi le garant de son bien être. Et puis je sens qu'elle fait des efforts pour rester immergée de son plein gré aussi longtemps que possible ... Et cela m'enivre. J'attends sans bouger. Enfin elle ressors, visiblement essoufflée. Je lui souris en lui disant :
"- Ta langue fait des merveilles ..."
"- Merci, Maître."
Je l'embrasse :
"- Tu as été une bonne salope, tu es excusée."
Elle parait heureuse. Elle replonge sa tête sous l'eau et reprend ses caresses buccales. Je pose mes mains sur sa nuque et force délicatement l'entrée de sa gorge. Elle se laisse faire sans broncher. Elle s'agite juste un peu pour me signaler qu'elle manque d'air et je la relâche. Elle ressort la tête et vient m'embrasser langoureusement. Elle dit alors :
"- Merci, Maître. J'ai beaucoup aimé cette fois-ci ..."
"- J'en suis heureux, ma petite chienne."
Nous nous embrassons à nouveau. Elle demande alors :
"- Puis-je sortir du bain s'il vous plait ?"
Je fronce les sourcils, mécontent :
"- Pourquoi cela ?"
"- J'aimerai aller à la cuisine, boire un peu et grignoter. Je veux être en forme pour vous, Maître. Et là j'ai un petit creux ..."
Je souris :
"- Ton petit déjeuner ne t'as pas plu ?"
"- Si, Maître, c'était délicieux ..."
Elle se lèche les lèvres pour accentuer son affirmation. Je ris puis dis :
"- Vas-y, mais ne me laisses pas languir trop longtemps !"
Je l'entends ouvrir le frigo, se préparer un sandwich. Une idée me vient alors. Je lui lance :
"- Amènes ta gamelle si tu as faim !"
Elle répond, interloquée :
"- Ma gamelle ?"
"- Et bien oui, une chienne ne mange pas dans une assiette que je sache !"
Elle panique. Elle cherche frénétiquement la gamelle de son ancien chien puis elle réduit son sandwich en petit morceau et le dépose à l'intérieur. Elle me rejoint ensuite dans la salle de bain. Je lance, goguenard :
"- Et bien, j'ai failli attendre !"
"- Désolée, Maître ... Je ne retrouvais plus ma gamelle."
Je ris en voyant son air contrit. Je saisis la gamelle, la cale dans un coin de la baignoire et dis :
"- Viens me rejoindre, tu pourras manger en même temps ..."
Elle rentre dans l'eau et se met à quatre pattes pour manger dans sa gamelle. Elle trémousse innocemment son petit cul devant mes yeux. Je caresse sa croupe et demande d'un ton faussement détaché :
"- Tu n'as pas envie d'autre chose, ma petite chienne ? Ton repas te suffit ?"
Elle ne réponds pas mais écarte les cuisses et prend appui sur le rebord de la baignoire avec ses coudes sans arrêter de manger. Je glisse mon pouce dans son anus. Puis je me redresse et pénètre doucement son intimité. Elle pousse un soupir de plaisir. Je commence à lui limer méthodiquement la chatte. Le clapotis de l'eau accompagne notre étreinte, décuplant notre excitation. Ses seins caresse la surface de l''eau. Je me penche pour lui souffler à l'oreille :
"- Continues à manger, si tu veux ..."
Elle sourit et s'efforce de manger dans sa gamelle alors que je continue à la prendre. Je saisis son buste et la relève contre moi. Je l'embrasse dans le cou puis je saisis délicatement son menton et l'embrasse. Je partage avec elle quelques morceaux de tomates de son sandwich ... Nos langues s'emmêlent alors que nos lèvres se séparent et je dis :
"- C'est bon ce que tu manges ... Je ta gâtes trop, ma petite chienne !"
Puis je l'embrasse à nouveau en pétrissant ses seins. Ma main descend vers sa fleur et je caresse délicatement son clitoris en continuant à la prendre. Elle se cambre. Je fais tourner son buste pour pouvoir lui sucer le sein. Je sens la rigidité de son téton sur ma langue. Je le titille et dis :
"- Tu es très chaude, ma petite chienne ... Tu es en chaleur ?"
"- Oui, Maître. Je suis toujours en chaleur quand vous êtes là ..."
Je me contente de la sucer plus fort. Je sens que je vais venir.
Elle aussi le sent ... Elle me demande alors :
"- J'aimerai être prise comme une salope, s'il vous plait, Maître ..."
"- Comment cela ?"
Elle se dégage de mon étreinte, je la laisse faire. Elle s'allonge dans la baignoire, sur le dos. Elle se lèche les seins et m'adresse un regard follement érotique. Puis elle écarte ses cuisses et dis :
"- Prenez-moi, simplement, aussi fort que vous pouvez. Imaginez que je suis juste une catin qui vous offre ses cuisses au détour d'un chemin ..."
Je n'ai aucun mal à m'imaginer la scène ... Je pose mes mains sur ses épaules et l'empale sans autres formes de procès. Elle crie, hurle son plaisir. L'eau du bain déborde alors que je la pilonne violemment. Mes râles se joignent au siens. Enfin je jouis en elle. Je la serre contre moi en la pilonnant à nouveau, j'aimerais tant garder ce moment d'extase, le retenir. Mais il part et nous laisse tout deux exténués dans la baignoire à moitié vide. Je l'embrasse. Je demande :
"- C'était bon ?"
C'est une question stupide, mais je ne suis plus en état de réfléchir. Elle se contente de me sourire, et m'embrasse à nouveau en me caressant la verge ...