La Lessive

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Proposée le 25/09/2009 par Antoine de St Perley

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La Lessive

Chaque jeudi régulièrement, Ginette faisait sa lessive. Juillet cet année selon les pronostiques de la météo serait caniculaire elle y songea tout en étendant sont linge.
Ginette n'était plus toute jeune, mais pas encore assez âgée pour avoir tiré un trait sur sa féminité, elle venait d'avoir quarante-quatre ans.
Le soleil maintenant brûlait ses épaules dénudées, elle commençait vraiment à avoir très chaud sous sa blouse de travail pourtant, dessous elle était entièrement nue.
Ses seins, d'énormes ballons momentanément libérés de leurs soutiens, se balançaient nonchalamment au rythme de ses mouvements. Ginette avait certainement des kilos en trop, lorsqu'elle se baissait, on pouvais deviner sous sa blouse tendue une paire de fesses généreuse. Ginette pesait quatre vingt douze kilos pour un mètre soixante cinq.
Elle avait gardé un joli visage lisse, une bouche aux lèvres charnues et sensuelles. Ce qui de primes abords fascinaient chez elle, c'étaient ses yeux, un regard profond et énigmatique, ce furent à cet instant mes premières impressions sur Ginette.
D'un coup de reins puis d'un rétablissement, je réussis à m'extraire du transat pour aller à sa rencontre.
Les quelques pas qui me séparaient me permirent en un instant de me remémorer mon arrivée dans cette confortable pension de famille située au bord du lac de Genève.
Cela faisait maintenant deux jours que j'y résidais.
J'avais lu par hasard une petite annonce dans un journal parisien, cela tomba à pic j'avais vraiment besoin de quelques jours de repos. Le résultat de ma démarche a fait que je suis ici pour huit longues journées.
- Madame, Ginette !... permettez-moi de vous aider
- Vous arrivez trop tard... Je viens tout juste de terminer, mais venez si vous voulez à l'intérieur ! Car moi je ne tiens plus sous ce soleil... !
- Vous savez !... J'ai un peu honte, si j'avais su que vous termineriez aussi vite, je me serais bougé plutôt, mais j'ai du m'assoupir quelques instants à l'ombre de votre gigantesque châtaignier, peut-être ai je trop abusé de vos plats délicieux ?
- Mais c'est avec plaisir que j'accepte votre invitation !... Un peu de fraîcheur me ferra du bien aussi.
Je pris de ses mains le panier en lui emboîtant le pas, je la regardais marcher, j'étais fasciné par son déhanchement, elle avait vraiment un cul énorme et ce n'était pas du tout du genre chaire flasque, c'était rond plein et dure.
Arrivé à l'intérieur, elle me convia de m'assoir à la grande table rustique en me priant gentiment de patienter.
Resté seul, je laissais mon regard parcourir cet intérieur ou la chaleur du bois et la fraîcheur du sol en dallage faisait que l'on se sentait bien, ou bout d'un court moment, mon hôtesse réapparut rayonnante et souriante.

Elle avait rajusté sa coiffure, enfilé une ample robe imprimée profondément et décolletée sur le devant. De ses petites mains potelées, elle tenait un plateau sur laquelle étaient disposées des boissons fraîches.
Un seul instant elle se pencha au-dessus de mes épaules pour déposer son plateau, d'un coup d'œil furtif, j'eus le temps d'apercevoir par l'entrebâillement du décolleté, deux énormes globes de chair laiteuse, j'en fus littéralement fasciné !... Je m'efforçais d'alimenter coûte que coûte la conversation.
- Madame Ginette !... Vous avez une maison très agréable la chaleur des boiseries conjuguée à la fraîcheur du carrelage donne un mariage très réussi.
- Nous avons essayé à l'époque de faire de cette maison une demeure agréable.
- Elle est d'autant plus agréable quelle abrite une très jolie hôtesse... Elle rougit sous l'affirmation.
- Merci pour le compliment... Julien, Je peux vous appeler par votre prénom n'est ce pas ?
- Cela me fait même plaisir Ginette...
- A la bonne heure Julien...
S'étant assise en face de moi sans un mot, elle remplissait les verres.
J'étais subjugué par le volume de ses seins qui sous mes yeux subjugué se mouvaient langoureusement à chacun de ses mouvements.
- A votre santé...
Je rectifiais... Tout en me levant sans précipitation.
- A notre santé
Je fis naturellement le tour de la table pour la rejoindre. J'accompagnais le geste à la parole en choquant mon verre contre le sien, de même elle s'était lever à son tour et c'est debout que nous bûmes à grand trait notre verre de limonade.
Je fus surpris en m'approchant d'entendre ses mots sortir tout naturellement de ma bouche.
- Ginette... La prenant avec douceur par la taille.
Vraiment j'ai follement envie de vous embrasser...
Un premier baisé posé comme une caresse sur son joli front bombé, l'autre immédiatement suivit sur la commissure de ses lèvres charnue. Une main audacieuse déjà doucement caressait ses long cheveux retenus prisonniers d'une simple barrette, d'un geste que je voulais naturel, je libérai d'un seul mouvement cette magnifique masse de chevelure noir jais qui en cascadant libéra en moi une poussé irrésistible d'adrénaline.
Je la pris tendrement dans mes bras nos lèvres se trouvèrent...
Pressé contre elle, je sentis tout contre ma poitrine la douce rondeur de ses seins fermes. Nos langues se mêlèrent en une tendrement caresse.
Reprenant notre souffle, la tenant étroitement enlacée. Je la découvrais douce et détendue...
Son regard dans le mien, nous nous découvrîmes alors vraiment. La douceur de ses beaux yeux bleus contrastait avec son physique.
Le temps sembla s'arrêter, perdu dans les labyrinthes de nos pensées. Finalement c'est elle qui rompit ce charme. Se rapprochant comme si quelqu'un d'autre pouvait entendre, tendrement, elle susurra en me mordillant l'oreille du bout de ses lèvres charnues et déjà gonflées par le désir.
- Nous serons tranquilles, mon mari ne rentrera qu'à sept heures puis elle alla verrouiller la porte.
Presque en courant, elle vint se blottir dans mes bras. Ma main se posa naturellement sur sa hanche droite, puis ma main gauche vagabonda en direction de la partie la plus charnue de son anatomie, mes doigts alors se mirent à pétrir cette chair ferme et souple à la fois. Je m'attardais sur le sillon de ses fesses rebondies, puis mes doigts s'incrustèrent plus en profondeur entre la fourche de ses grosses cuisses à la rencontre de cette inconnue, le sexe d'une femme.
On l'imagine puis c'est la découverte, la surprise, l'émerveillement, en proie à une pulsion irrésistible, ma bouche prit de nouveau la sienne, nos deux langues s'enchevêtrèrent.
Elle embrassait bien. Je sentis le contact de sa main se poser sur ma virilité qu'elle se mit en devoir d'explorer, de masser avec douceur et précision au travers de mon pantalon.
Toute en la caressant, je lui demandais de me tourner le dos, mes mains s'engouffrèrent sous sa robe, que je relevais partiellement, puis libérant mon sexe gonflé à éclater, je le plaquais entre et tout contre la raie de ses fesses.
Mes mains se mirent en mouvement mes doigts coururent sur sa chair palpitante, mon souffle s'accéléra à l'approche et au premier contact avec sa grosse moule, encore plus dodue et velue, que je n'aurais put l'imaginer.
Elle avait une pilosité abondante qui lui remontait presque jusqu'au nombril, quelle cramouille énorme, excitante, velue avec des lèvres bien ourlets et dodues,
J'empaumais sa pine à pleine main. Mes doigts fébriles déjà se frayaient un passage dans sa chatte, écartant au passage ses deux grandes lèvres souples et bombées, elle mouillait abondamment coulant de plaisir.
Ma main gauche remontait déjà, en suivant les courbes de son ventre bombé et lisse. A ma surprise, mes main ne rencontrèrent aucun vêtement, ma belle était complètement nue sous sa robe. Ses énormes pastèques libres de tout soutien se balançaient aux rythmes des ondulations de son gros cul que ma petite salope frottait contre ma queue incrustée, pour notre bonheur, dans la raie de ses fesses.
Ma main attrapa à la volée sa poitrine gauche énorme, lourde. Une sensation qui provoqua dans le bas de mes reins une onde de plaisir qui remontait. Je la pressais, la soupesais, puis la malaxais avec un déchaînement incontrôlé.
Ma main droite rejoignant celle de gauche, des deux je les empaumais, les pétrissaient avec une délectation prodigieuse. Les pointes de ses grosses mamelles maintenant dressées, n'échappèrent point au traitement de choc que je leurs appliquaient. Maintenant ils avaient doublé de volume. De vraies petites bites érigées, que je fis rouler délicatement entre mes doigts experts. Je ne m'étais pas senti aussi bien depuis bien longtemps.
D'une voix rauque elle susurra comme dans une plainte.
- Viens vite mon gros chat, et prends moi par derrière. Viens fouiller ma chatte, sens tu comme je coule !...
Tout en me parlant, elle m'entraîna vers la grande table de bois massif, au-dessus de laquelle elle se courba, en cambrant ses reins au maximum. Je ne mis qu'un instant pour retrousser la robe légère, dévoilant ses grosses fesses joufflues. Quel cul mes aïeuls. Je pris à pleine main sa grosse motte aux longs poils noirs, perlés de foutre, que je me mis à triturer, mon doigt était déjà trempé de son abondant écoulement, c'était un vrai robinet à foutre. Avec mes deux mains posées à plat sur sa croupe, j'écartais ses fesses, pour voir ce qu'elle cachait entre ses deux masses de chaire laiteuse.
Une jolie petite auréole brunâtre apparue à mes yeux ravis, au milieu du quel un petit trou sombre, couronné de chaires plissées, qui ne demandaient qu'à être dilatées par une grosse bite.
Après avoir humecté l'index, j'entrepris de la lui enfoncer agilement, sous l'attaque inattendue elle sursauta, sans lui laisser le temps de réagir, j'enfonçais brutalement ma grosse queue dans sa pine gluante, et je commençais à la bourrer de plus en plus profondément.
J'avais l'impression que mon sexe s'allongeait à chaque vas et viens, un doigt dans son fondement s'activait au même rythme que ma queue qui la prenait.
Elle ne tarda à tortiller du cul, je me retirais un instant de ce fourreau brûlant, pour agripper, et jouir, de ses deux grosses mamelles.
Les pointes de ses seins étaient très dures, et terriblement sensibles. A chacune de mes caresses, il me sembla quelle prirent du volume, sont corps toute entier voué aux plaisirs tressaillait à chaque une de mes caresses.
J'abandonnai à contre-cœur ses magnifiques nichons pour me concentrer d'avantage sur son gros cul.
Ma bite retourna ardemment pilonner sa grosse cramouille ouverte et dégoulinante. En continuant à la défoncer, ma main gauche écartait ses grosses fesses, tendis que la droite, s'occupait ardemment à caresser et à agacer son clitoris qui avait pris des proportions impressionnantes. Elle coulait littéralement, d'une de mes mains je recueillie sa fiel, que j'étalais comme dans une caresse sur le petit orifice ridé, et sans crier gare, je me retirais brusquement de sa chatte pour m'enfoncer avec brusquerie et brutalité, dans son fondement. Elle poussa un petit crie de surprise. Pour moi plus rien n'existait, je la bourrais, la défonçais, et la violais au plus profond de son intimité. Le passage étroit fortement resserré, décuplait mon plaisir et augmentait la raideur et le volume de mon sexe. J'avais réellement l'impression de la déchirer.
Ma main gauche empaumait et caressais ses fesses charnues, la droite était posée sur sa chatte, avec un doigt enfoncé entre ses babines poilues, qui branlaient méthodiquement son petit clito.
Sentant le plaisir monter et l'ayant déjà fait jouir trois fois, je me retirais en lui administrant une claque érotique sur une de ses fesses. Elle comprit qu'il fallait qu'elle se leva. Les joues en feu et toutes en sueur, nos regards troubles se croisèrent.
Cela aura suffi à ce qu'elle se blottisse dans mes bras. Je l'enlaçais tendrement et pris ses lèvres, nos langues s'entremêlèrent, tendis que ma main qui n'avait pas quitté un seul instant sont bas ventre, continuait entre ses cuisses écartées, à caresser et à pétrir, sa grosse pine baveuse. Nous décidâmes d'enlever la robe, devenue inutile et gênante.
En un instant, elle se retrouva complètement nue offerte à mon regard. Une certaine gène s'empara d'elle, aussi me contournant elle alla se blottir tout contre mon dos, ses doigts habiles firent glisser mon pantalon au sol, puis prise d'une frénésie, elle arrachât littéralement le reste de mes vêtements.
Lorsque nu je fut comme elle, elle me fit face et d'autorité elle prit entre ses doigts dodus ma virilité pour la placer entre ses cuisses ouvertes la calant tout contre et au fond, de sa fente ouverte, en resserrant ses cuisses, j'étais prisonnier, pris en sandwich, entre ses deux grosses babines dodues et foutreuses. Ce qui était loin de me déplaire. Ses poils drus me grattaient et m'excitaient, quel tablier de sapeur. Puis tendrement elle caressa mes fesses, mes cuisses, et tout mon corps.
C'était son tour après tout. Lorsque sa curiosité était satisfaite, elle me glissa à l'oreille !
- Tu es beau !... Et de partout, si tu savais comme tu me rends heureuse.
A ma grande surprise à genoux à mes pieds, elle commença à lécher mes testicules, avec un art consommé. Puis tout naturellement, elle enfourna mon sexe entre ses lèvres sensuelles.
Alors elle se déchaîna, me suça, me pompa, pendant de longs instants, moi, je lui caressais les cheveux tendrement. Soudainement elle me prit entre ses seins je faillis lui gicler au visage. L'ayant deviné elle m'abandonna pour aller s'asseoir sur le rebord de la table en me lançant d'une voie rauque.
- A ton tour maintenant !...
Elle se coucha sur le dos en écartent largement ses grosses cuisses charnues, je me mis à la caresser.
Sa chatte béante était comme une invite à la goûter. De ses deux mains, elle écarta ses babines dodues, de sa belle chatte. Ma bite attirée comme par un aimant, la pénétra au plus profond de son vagin. Après trois ou quatre va et viens, j'enfouissais mon visage entre ses cuisses béantes. D'abord je la goûtais, pour ensuite la déguster.
Mais déchaîné par l'odeur de sa moule et le goût salé de l'amour, je me mis à la bouffer littéralement. Sa chatte n'avait plus de secret pour moi, j'en connaissais maintenant tous les coins et les recoins. Ma belle femelle ne tarda pas a ce mettre à gémir de plaisir, car en la bouffant, la buvant, la léchant, et en triturant ses tétons en même temps, que pouvait-elle faire d'autre.
Je décidais de monter sur la table et de me coucher sur elle en prenant la position du soixante neuf.
Ginette compris immédiatement et ne fut pas longue à entourer de ses lèvres charnues ma jolie ma queue, tendis que moi je reprenais ma place confortable entre ses cuisses ouvertes. Sa pilosité caressaient tendrement mes joues son clitoris ressemblait maintenant à une vrai petite bite, que je me mis à branler érotiquement avec la pointe de ma langue.
Soudain des picotements agréables et significatifs, au creux des reins, me commandèrent de changer de position. Aussi je me mis à califourchon, au-dessus de sa magnifique et opulente poitrine, ma queue se plaça tout naturellement entre les deux globes laiteux de ma femelle. En les rapprochant je fus un instant prisonnier de ses charmes.
Tout en la pelotant, je me masturbais doucement entre ses deux énormes globes de chaire, douce comme une peau de pêche.
La volupté extrême, une sensation inconnue et inégalée. Prenant la situation en main, et comprenant parfaitement ce que j'attendais d'elle, Ginette pris le relais, en prenant elle-même ses gros seins, entre ses petites mains délicates, en les pressants l'un contre l'autre aux maximum, et en me léchant au passage avec la langue, à chacun un de mes vas et viens. Ma main droite maintenant enfouie, entre les poils de sa chatte, cherchais désespérément, les lèvres de son con, que je parvins enfin à trouver. Après une longue exploration et de multiples caresses de sa pilosité. Ma jolie tigresse, qui exprès cuisses serrés, se dérobait pour uniquement faire durer le plaisir.
De mes doigts agiles, j'écartais enfin ses babines humides, pour caresser et titiller, son mignon clito. Une sensation délicieuse monta au creux de mes reins, j'allais jouir.
- Vite ma chérie !... Met toi à genoux.
Elle comprit de suite, et vu l'urgence de la situation, elle s'exécuta avec une rapidité surprenante pour une femme de sa corpulence.
- Super ma chatte !... Ecarte bien tes cuisses... Oui comme ça c'est magnifique, comme tu es excitante.
Elle m'offrit le spectacle extraordinaire, de ce cul énorme, avec une chatte ouverte, aux poils doux très noirs et bouclés, perlés de stupre, le tout offert à ma vue et à mes pulsions.
A ce moment je ne pus vraiment m'empêcher de m'enfiler, dans ce fourreau de chaire rose chauffé à blanc ouverte pour moi et ruisselante de désire.
Jamais je n'ai vu une femelle mouiller à ce point. Après quelques aller-retour, je dus me retirer, car je n'arrivais plus à me retenir. Après quelques instants, le temps de reprendre le contrôle de mes sens. Je positionnais mon gland, tout contre son petit orifice ridé et fermé, et je poussais pour m'enfoncer de nouveau dans se cul, déjà lubrifié par mon premier passage. Je poussais cette fois ci doucement, mon gland dilata délicatement le tendre passage en distendant la petite couronne de peau ridée, qui retrouva une jeunesse soudaine, et tendue maintenant épousant parfaitement les contours brûlants de mon sexe. Ses gémissement de plaisir décuplèrent en moi une jouissance sans tabou. Le cul perforé, ma grosse salope s'empalait sur moi avec des cris de salle de garde.
Plus rien ne m'empêchait de la bourrer, avec rage et délectation, en la pénétrant, au plus profond de ses entrailles. Ses énormes nichons, se balançaient, aux rythmes de mes coups de boutoir. La salope passa une main entre ses cuisses et me pressa délicatement les testicules. J'explosais littéralement, au plus profond de ses reins.
Je n'en finissais plus d'éjaculer. Elle se dégagea pour me prendre entre ses lèvres de peur que je ne me vidai complètement.
Le dernier jet c'est au fond de sa gorge qu'elle gicla elle me but avec gourmandise. Sa langue maintenant en me léchant tendrement recueillait les dernières gouttes de mon sperme.
Elle me nettoyait comme le ferait un chaton.
Je m'écroulais sur elle le visage entre sur ses seins, un téton enserré entre les lèvres.
Nous restâmes ainsi, un très long moment enlacé et repus...

Antoine de Saint Perley...