L'eveil de carole - I : Le balcon

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Proposée le 24/12/2006 par Carole M

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Lorsqu'on a été endormie pendant presque trente ans on peut s'attendre à ce que le réveil soit long, mais il arrive parfois qu'on ait une bonne surprise. Il m'a fallu un peu moins d'une semaine pour être au final bien plus éveillée que la moyenne, et moins de deux mois pour l'être intégralement et assumer pleinement mon impatience de rattraper le temps perdu. Je dois en remercier mon amie, pour m'avoir fait rencontrer Jérôme lors d'une soirée chez elle, et Jérôme, pour m'avoir fait découvrir les multiples facettes de l'érotisme, du sexe sans tabou.

La soirée en elle-même n'est plus qu'un vague souvenir. Je me souviens qu'il s'agissait d'un repas sans prétention, histoire de passer un moment agréable entre amis, et bien sur du charmeur de service : Jérôme. Le regard toujours brulant de désirs, un sourire ravageur, Jérôme a très vite su m'entrainer dans un long jeu de séductions et d'allusions. Au final je ne sais plus qui a réellement charmé qui, je me souviens juste avoir rapidement eu envie de lui et qu'il l'avait très bien compris. Nous avons quitté la soirée en même temps et je m'attendais à ce qu'il m'invite à prendre un dernier verre. Il ne l'a pas fait, Monsieur se levait tôt. J'ai dû me contenter d'une invitation pour le lendemain et d'un léger bisou sur les lèvres pour me signifier la nature galante du rendez-vous.

J'ai fantasmé sur lui toute la nuit. Je me suis imaginée ses mains et sa bouche visitant la moindre parcelle de mon corps, et j'ai laissé libre cours à mon imagination, nue sur mon lit, pour me caresser encore et encore. Au début je me suis plus attardée sur mes seins et mon clitoris, puis rapidement je me suis surprise à m'intéresser à ma bouche, à mes fesses. Je sentais que mes mains et mes doigts prenaient progressivement de l'avance sur mes envies, et que j'attendais beaucoup de la soirée à venir. Cette nuit là je me suis longuement caressée, avec une rare intensité, avant de m'endormir repue sous mes caresses et de me réveiller câline et sensuelle. J'avais le lit pour moi toute seule, rien qui m'obligeait à me lever, et mon corps qui était toujours aussi avide de caresses. La matinée a été un havre de plaisirs sensuels, entre caresses et somnolences, jusqu'à l'appel de Sandra, notre hôtesse de la veille.

Pour une fois ce n'était pas moi qui l'appelais pour prendre des nouvelles de sa dernière aventure, mais l'inverse. Sandra était une épicurienne qui dévorait la vie et j'enviai sa faciliter à passer sans complexe d'un homme à un autre, privilégiant sans sourciller son plaisir au qu'en dira-t-on. Lorsqu'elle a appris qu'il ne s'était rien passé mais que je comptais y remédier le soir même, elle a été enthousiasmée. « C'est génial. Je passe de te voir dans l'après-midi et nous choisirons ta tenue ensemble ». La connaissant j'aurai dû me méfier. Elle est arrivée avec une jolie robe noire minimaliste qu'elle tenait fièrement devant elle, et un grand sourire qui m'en disait déjà long sur ses intentions. L'essayage a été un passage obligé, et l'adoption quasiment une formalité. C'était du Sandra dans toute sa splendeur. Elle n'a pas eu l'once d'un doute sur la justesse de son choix ou sur son pouvoir de conviction.

La robe était effectivement magnifique, mais sans Sandra je n'aurai jamais osé me présenter à un premier rendez-vous galant dans cette tenue. Je ne peux pas dire non plus qu'elle a beaucoup eu à insister, mais elle a donné le petit coup de pouce nécessaire. Elle m'a ensuite aidée à prendre la décision de laisser ma poitrine nue sous le décolleté très ouvert de sa robe. « Si j'avais tes seins crois moi je ne les cacherais pas ». Sur ce point je n'avais aucun doute, et pour tout dire je rejoignais son avis. J'ai compris dés l'adolescence que mes seins étaient effectivement un de mes plus beaux atouts de séduction, et j'ai vite appris à l'utiliser.

Elle m'a accompagnée jusqu'au grand départ. J'avais l'impression qu'elle préparait sa sœur pour le rendez-vous de sa vie, et je n'étais pas si loin de la vérité. De la centaine de conseils essentiels qu'elle a dû me donner je n'en ai retenu qu'un seul, celui qui a peut-être contribué à faire basculer la nature de la soirée : « arrêter de tirer sans arrêt sur sa robe, comme une cruche qui n'assume pas son choix». Plus facile à dire qu'à faire lorsqu'on à l'impression d'avoir sans cesse le cul à l'air, mais son sourire plein de vices a eu raison de moi et elle m'a fait promettre de ne plus y retoucher de la soirée.

J'ai déshonoré cette promesse qu'une fois, devant la porte de Jérôme, juste avant de sonner. Entre l'assise creusée du siège de ma voiture, et mon enjambé pour m'en extraire, la robe avait perdu toutes décences. Si je désirais mettre en pratique mes envies de la nuit précédente je ne voulais pas pour autant avoir l'air d'une salope. Et puis la soirée n'était pas vraiment commencée ....

Lorsque Jérôme a ouvert j'ai un moment cru qu'il allait me sauter dessus, ou peut-être l'ai-je juste rêvé. Moi j'en ai eu envie, mais je n'étais pas encore la gourmande assumée, capable de me présenter à moitié nue à un rendez-vous galant et de ne pas attendre d'avoir quitté le palier pour sauter sur mon futur amant. J'ai eu le droit au même petit bisou que la veille, cette fois plus sur la commissure des lèvres que sur les lèvres elles-mêmes, et j'ai pu constater que la robe de Sandra faisait son effet. Pendant la première demi-heure le sourire amusé de Jérôme passait régulièrement de mes seins à mes jambes, c'était très agréable. Nous avons repris naturellement notre jeu de séduction là où nous l'avions laissé mais cette fois rien ne nous empêchait de le pousser aussi loin que nous le souhaitions. Plus le temps passait et plus je me sentais prendre de l'assurance, plus je l'encourageais à plonger dans mon décolleté par quelques gestes calculés. Au milieu de l'apéritif je prenais un malin plaisir à garder mes yeux dans les siens et à bien me pencher devant lui pour récupérer quelques pistaches. Notre jeu de séduction s'affirmait de minutes en minutes et l'issue faisait de moins en moins de doutes. A la fin de l'apéritif je mourrais d'envie de le toucher, de passer mes mains sur son torse, de l'embrasser. Je voulais le sentir plus proche de moi et notre face à face autour de la table du salon devenait insupportable.

Je me suis alors levée et ne sachant pas trop où me jeter je me suis dirigée vers son balcon. Est ce que Sandra aurait eu le culot de se diriger directement vers Jérôme ? Moi pas, enfin pas à l'époque. Je crois que je voulais simplement lui donner l'occasion de se rapprocher plus librement. En tout cas j'étais loin d'avoir prémédité ce qui allait se passer lorsque je me suis accoudée à la balustrade pour admirer la vue magnifique qu'offrait son balcon.

En dehors du voisinage en léger contre bas on pouvait voir la mer, et je sentais le vent marin caresser mes cuisses, remonter s'engouffrer sous ma robe. J'étais impatiente que Jérôme me rejoigne et lorsqu'il a allumé le balcon je ne me suis pas retournée. Je voulais qu'il puisse regarder à sa guise mes jambes dénudées et mes fesses tendues. J'espérais qu'il vienne s'accouder près de moi et qu'il renforce l'intimité que nous avions commencé à créer, mais je ne pensais pas qu'il viendrait doucement se coller derrière moi. J'ai été surprise. Une délicieuse surprise, mais une surprise. Lorsque ses mains ont commencé à glisser sur mes cuisses je me suis même esquivée. Cette réaction était ridicule mais je suis contente de l'avoir eue. Sans elle tout ce qui a suivi n'aurait peut-être jamais eu lieu. Suite à mon rejet il est resté sans bouger quelques instants, se plaçant à côté de moi, et je me suis traitée de tous les noms. J'étais venue pour m'envoyer en l'air et je rejetais son avance !!!! Qu'elle conne. Lui ne bougeait plus, et j'ai compris que si je ne reprenais pas l'initiative l'attente me serait interminable. Doucement, je suis alors passé sous son bras et j'ai repris ma place dos contre lui, avant de guider moi-même ses mains sous ma robe.

Je ne sais pas ce que Jérôme a compris, ou ce qui s'est passé dans sa tête, mais il a immédiatement changé de comportement. Sans la moindre hésitation et sans se soucier du fait qu'il relevait amplement ma robe au passage, il a commencé à remonter sa main droite pour venir caresser les lèvres de mon sexe. Il s'est montré extrêmement habile, et je ne me voyais pas le rejeter une deuxième fois sans passer pour une folle lunatique. A ma grande surprise je n'ai offert aucune résistance et je n'ai fais aucun geste pour réajuster ma robe alors que je me tenais sur un balcon bien éclairé, offerte aux regards. Au début j'ai été mal à l'aise, puis j'ai très vite été dépassée par mon propre plaisir. Ses doigts ont commencés à faire des miracles et j'ai été submergée par ce que je m'étais jusqu'alors interdit : l'exhibition. J'étais partagée entre l'envie de me retourner pour l'embrasser et l'envie de ne surtout pas bouger pour l'inciter à continuer. Jérôme a compris l'invitation. Sa main droite a continué son ouvrage tandis que son autre main est venue se poser sur mes fesses pour les redessiner doucement de ses doigts. Je me sentais délicieusement céder et ne voulais surtout pas qu'il s'arrête en si bon chemin. Je me suis cambrée et j'ai émis un petit son de satisfaction. J'étais complètement sous l'emprise de sa main droite, de ma propre exhibition, et j'ai laissé sa deuxième main remonter ma robe sur mes hanches.

Je me rappel avoir regardé rapidement autour de moi, consciente de me montrer totalement indécente. Je savais que nous pouvions être surpris à tout moment mais je n'avais pas envie de l'arrêter. J'ai objecté un timide « non » lorsque ses mains ont fait glisser mon string, mais je ne me suis pas convaincue moi-même. Jérôme se contenta de le laisser bien apparent à mi-cuisse, probablement autant pour le plaisir de me voir exhibée ainsi que pour ne pas prendre le risque d'un refus au moment de l'ôter complètement. Un refus ! Excitée comme je l'étais par la situation il n'en était plus question. Ses mains sont remontées lentement et j'ai tendu de plus belle mes fesses, ne gardant qu'une main pour me soutenir contre la balustrade pendant que de l'autre je commençais à caresser mes seins. Loin d'avoir peur d'être vue je cherchais maintenant du regard un éventuel voyeur pendant que je sentais les mains de Jérôme remonter le long de mes cuisses, l'une par devant et l'autre par derrière. Deux doigts de sa main droite sont venus se glisser entre les lèvres plus qu'humides de mon sexe, tandis qu'un doigt de sa main gauche s ‘est arrêté contre l'entrée de mon anus, l'ouvrant un peu sans oser le pénétrer. Ses doigts se sont ensuite activés en moi, entrant progressivement plus profondément à chaque mouvement. Chaque progression de la main droite étant accompagnée par une très légère progression de la gauche, c'était divin. Tous mes sens étaient à l'écoute de ses doigts, de la lente progression de son majeur entre mes fesses. Je sentais ma rosette se dilater, s'ouvrir, et l'empresser d'aller toujours plus loin.

Le regard vague sur les lumières des pavillons avoisinants, je me faisais délicieusement doigter des deux côtés sur son balcon éclairé en plein vis-à-vis. J'étais offerte à m'importe quel regard. Jamais jusqu'à maintenant je ne m'étais imaginée un jour en pareille situation, mais je ne pouvais qu'admettre y ressentir un plaisir d'une extraordinaire intensité. Sans me retourner (surtout pas), je me suis redressée pour me coller à Jérôme, prenant soin de conserver d'une main ma robe bien relevée pendant que de l'autre je me frayais un chemin derrière mon dos à la rencontre de sa braguette, de son sexe. Je voulais sentir son sexe nu et chaud dans mes mains, contre mon corps de plus en plus impatient. Jérôme profita de cet instant pour arrêter ma masturbation et remonter ses mains sur mes épaules. J'ai perçu au contact de son sexe un surcroît d'excitation lorsqu'il a descendu les bretelles de mes épaules pour libérer mes seins et bloquer mes bras serrés le long de mon corps. M'exhiber lui procurait du plaisir et je n'étais pas partie pour le décevoir.

Le vent caressait ma peau et complétait mon sentiment de nudité. Je me sentais vicieuse, prête à tout, et la sensation d'avoir les bras immobilisés par la robe enflammait mon imagination. J'adorai ça. Je serrais mes bras contre mon corps autant pour renforcer l'impression d'être totalement offerte que pour faciliter l'accès à son sexe, pour le masturber, le découvrir. Je frottais délicatement son sexe contre ma vulve et j'espérais qu'il s'introduise en moi avec une certaine autorité. J'attendais d'être prise et j'ai regardé une nouvelle fois autour de moi pour voir si on nous regardait...

Depuis combien de temps était-il là ? Il me regardait sans se cacher, à guère plus d'une cinquante de mètres en contre bas, debout sur sa terrasse, les mains dans les poches de son peignoir. J'ai senti mon désir se nourrir de son regard et je n'arrivais plus à le lâcher des yeux. Je voulais lui plaire, l'exciter. Sans réellement m'en rendre compte je me suis vue me pencher en avant et écarter au mieux mes cuisses malgré l'entrave de mon string. Jérôme n'a rien eu à faire pour s'engouffrer en moi. Il a à peine accompagné mon mouvement d'un léger coup de rein vers l'avant pour glisser sa queue au fond de ma chatte. J'ai alors été submergée par une vague de plaisirs qui restera à jamais gravée dans ma mémoire. Jamais auparavant je n'avais eu à ce point envie de sexe. J'ai offert mon plus beau regard de vicieuse à cet inconnu et j'ai accentué mon mouvement de recul contre le sexe Jérôme. Je voulais qu'aucune ambiguïté ne lui soit permise sur ce que nous étions en train de faire, et la réaction de Jérôme fut immédiate. Ses mains sont venues s'accrocher à mes hanches pour imprimer un long mouvement de va et vient puissant. D'un geste ferme il me rabattait vivement contre son sexe et faisait claquer son ventre contre mes fesses. Je pouvais le sentir entrer au plus profond de moi et ressortir presque entièrement de mon vagin avant de le remplir à nouveau pleinement. J'étais comblée. Le souffle court j'exhibais mon plaisir et je prenais soin de régulièrement lancer des regards de braise à mon voyeur. Je voulais qu'il ait envie de me posséder lui aussi, et qu'il se souvienne à jamais de la salope du balcon. Je voulais hanter ses rêves et j'incitais Jérôme à en rajouter.

Jérôme n'a d'ailleurs pas été dupe de la situation, et mon comportement face à cet homme l'a déchainé. Il a commencé à tenir mes cheveux en arrière d'une main et à tirer légèrement dessus pour que je garde ma tête relevée, avant de glisser deux doigts dans ma bouche pour que je les suce. Jamais je n'ai sucé avec autant de vice deux simples doigts. Mes yeux ne quittaient plus mon admirateur pendant que Jérôme me pilonnait littéralement. A ce moment précis je pense que j'aurais tout accepté, et j'ai joui les yeux rivés sur ce voisin, cet inconnu. J'espérais de tout cœur qu'il lise que mon orgasme lui était aussi dédié, que dans ma bouche c'était son sexe que j'imaginais. Jérôme m'a suivi quelques instants après, je l'ai senti se tendre pour aller encore plus loin en moi avant de sentir les soubresauts annonciateurs de son éjaculation. Jamais je ne me serais crue capable d'un tel acte et jamais j'aurais imaginé y prendre autant de plaisirs. Cette nuit là j'ai perdu une partie de mes tabous et j'ai surtout découvert mon goût pour l'exhibition.

C'était aussi la première fois qu'un amant me possédait avant même qu'il m'embrasse. Je me suis retournée pour embrasser Jérôme qu'après avoir joui, offrant ainsi à mon voyeur la dernière vue qu'il n'avait pas encore eu de mon anatomie. Notre premier baiser fut plein de fougues et je me suis de nouveau concentrée sur Jérôme. Lui par contre n'oubliait pas notre ami, et ses caresses mettaient mes fesses à l'honneur. Nous nous sommes un peu câlinés mais après avoir joui notre tension sexuelle était retombée. Je n'ai même pas cherché à savoir si notre ami était toujours à son poste, mais j'image que c'était le cas, sinon à ce stade le majeur de Jérôme n'aurait pas été aussi entreprenant entre mes fesses. Quoi qu'il en soit ça n'avait plus la moindre importance pour moi. Je l'ai laissé s'amuser quelques instants et j'ai réajusté ma robe pour que la soirée reprenne un cours presque normal. Nous sommes allés manger avec les yeux pleins de gourmandise pour le dessert, et nous avons refait l'amour, dans sa chambre.

Dix ans après j'ai encore des souvenirs et des images qui me reviennent avec une précision surprenante. Probablement parce que c'était la première fois que je me montrais aussi vicieuse et la première fois que j'avais envie d'être perçue comme une « salope ». Plus je me montrais vicieuse et insatiable, plus mon plaisir était intense, ce qui était nouveau pour moi. Je me caresse encore de temps en temps en me remémorant ce fameux soir sur le balcon, parfois j'ajoute des variantes mais le plus souvent ce sont mes vrais souvenirs qui me donnent le plus de plaisirs.

Quant à Jérôme je ne sais pas si ça lui a laissé un souvenir aussi durable, par contre je suis certaine que sa première impression sur mon tempérament sexuel a joué un rôle primordial dans la suite de notre relation. Jérôme a vu en moi la vicieuse de ses rêves, celle qui allait probablement lui permettre de vivre ses fantasmes les plus fous. Suite à cette expérience il a été convaincu que j'étais une vraie « gourmande » sans tabou, et je n'ai rien fait pour le détromper. J'y ai vu l'occasion rêvée de me laisser entrainer là où je ne serais jamais allée toute seule, là où visiblement j'aurai dû me laisser entrainer depuis longtemps. Jérôme a été ma solution pour découvrir toutes les facettes du sexe sans en prendre l'initiative et sans m'en trouver honteuse.

Jérôme était sexuellement très prévisible, et j'ai joué avec lui autant qu'il a joué avec moi. Je ne suis d'ailleurs pas certaine qu'il ait compris à quel point je dirigeais ses initiatives les plus folles. La seule chose que je n'avais pas anticipé, c'est que j'allais y prendre autant de plaisirs. Nous avons vécu une aventure débridée pendant deux mois, et pour mon plus grand plaisir sur le balcon j'en ai gouté que les prémices. Mais ceci est une autre histoire ...

Carole.
(maboitecoquine@hotmail.com)