L'experience : Le Sportif & Moi, Part.III

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Proposée le 22/09/2009 par MeliMelo

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Le lendemain, c'est fiévreuse que je m'éveillais vers midi. L'excitation contenue des deux soirées précédentes m'excitait prodigieusement. Je savais que je ne le verrais pas sur le net ce jour-là car, il avait un entrainement. Nous nous étions donné rendez-vous dans un hôtel à 20h, le premier arrivé prenant possession de la chambre.

Je préparais mes affaires, tenues, sous-vêtements, quelques surprises pour lui, des bougies et des préservatifs, de l'huile de massage. Puis je filais dans la salle d'eau, et pris une douche chaude. Je sentais ma peau palpiter sous mes doigts. Il m'avait excité, et je ne pensais qu'a lui. Je voulais qu'il me prenne, qu'il me fasse jouir et crier. Je voulais être désirable, j'entrepris donc shampoing, soin, puis gommage, rasage intégral, gel douche. Tout en me lavant soigneusement, je sentis mon corps vibrer alors que je lavais délicatement mon intimité. L'intégralité de mon sexe était trempée, tendue, érigée, en manque. J'hésitais, puis accentuais la caresse, adossée au mur, je fermais les yeux, me mordis les lèvres, tête renversée. Le plaisir m'inonda en quelques secondes, et j'eus un violent orgasme, qui m'arracha de petits cris de plaisir. Cependant, loin de me sentir contentée, mon corps appelait plus violemment le sexe de l'homme. Je sortis de la douche, m'essuyais, me passais de la crème, puis me fis un joli brushing, et enfin une manucure. J'assortis mon vernis et mon maquillage à mon ensemble prévu pour le soir : une jupe blanche plissée au dessus du genou, des bottes blanches à talons hauts, un corsage rouge cintré boutonné avec un décolleté qui dévoilait l'entre-sein et offrait une vue plongeante sur ma poitrine. Je sortis mon ensemble de sous-vêtements dentelle rouge et blanche, avec des lacets sur les cotés et dans le dos. Des bas chair compléteraient l'ensemble.

Je consacrais l'après-midi à la rédaction de passages du roman que j'écrivais : quoi de mieux que la frustration, l'excitation contenue, le désir, l'envie, pour écrire les scènes d'amour ? Le temps passa plus vite que je l'avais escompté, et il fut bientôt l'heure de partir.

Quittant mon peignoir de soie que j'avais gardé tout l'après-midi, je décidais d'aller plus loin que j'avais prévu. Ouvrant mon tiroir, je sortis l'un de mes jouets préférés, mon plug Rosebud dont la pierre décorative rouge rubis se mariait a la perfection avec ma tenue. Je le glissais à sa place, déclenchant des frissons de plaisir. Je ne l'avais jamais utilisé pendant que je faisais l'amour, et j'avais envie d'essayer. J'enfilais le reste de ma tenue, glissement des étoffes, crissement du nylon, puis partais.

En route, je lui envoyais un texto, je savais qu'il devait être sur le départ aussi, pour lui dire combien j'avais hâte. Il me répondit qu'il était parti aussi et qu'il avait tout autant hâte. Cependant j'avais une longueur d'avance et arrivais avant lui. Je récupérais donc la clef de la chambre, puis allais préparer ma mise en scène : bougies allumées, lit ouvert, ambiance feutrée. Je mis de la musique en sourdine, parfumais la pièce de mon parfum. Puis j'envoyais un texto à nouveau pour lui donner le n° de la chambre. Il me répondit qu'il arrivait.

Impatiente, je sentais mon excitation monter de plus en plus, et je savais qu'avant qu'il arrive, mon shorty serait trempé. Je commençais à faire les cents pas dans la chambre, sentant mon plug bouger à chaque pas, et cela m'excitait encore plus. Je mouillais et mes seins étaient plus tendus que jamais, pointant dessous le tissu du soutien-gorge et du chemisier. Je trépignais. Les secondes semblaient s'égrener avec la lenteur d'un coucou suisse.

Soudain, j'entendis deux coups à la porte. Mon cœur manqua un battement, alors que j'allais lui ouvrir. Il était devant moi. Aussi plein de charme que sur les photos ou sur mon écran d'ordinateur, il paraissait tendu. Je ne pu m'empêcher de lui sourire, à son tour, il sourit, ne semblant pas savoir quelle attitude adopter. Après un salut timide, je l'invitais a entrer dans la chambre. Il portait un jean moulant noir, avec un tee-shirt a manches longues moulant blanc, et une veste en cuir noire. Ses yeux noisettes brillaient. Nous échangeâmes quelques mots maladroit, il semblait peiner à ne pas garder les yeux fixés sur mon décolleté..

Comme il semblait bloqué, je décidais de faire le premier pas, et m'avançais vers lui. Toute l'excitation contenue depuis soixante-douze heures menaçait d'exploser à chaque instant, et la sensation du plug n'aidait pas. Mais je voulais une soirée inoubliable, et au prix d'un effort colossal je retins la sensation. J'étais devant lui. Je tendis la main, touchait son visage lisse... Il ferma les yeux, puis les rouvrit, me sourit... prenant mon visage dans ses mains, il m'embrassa. Ses lèvres étaient fines mais pleines, chaudes, humides, douces. Je me sentais liquéfiée. J'avais envie de lui avec une telle violence que c'était presque douloureux. Il recula un peu, me regarda, je vis combien ma tenue lui plaisait a son expression...

Je le débarrassais de sa veste, en profitant pour caresser les muscles durs et bien dessinés : pectoraux, épaules, biceps... Il était sec, musclé, ferme. Je pris son blouson puis me retournais pour le poser sur une chaise. Il était juste derrière moi, le souffle court. Il posa ses mains sur mes hanches, je fermais les yeux, le laissant explorer avec ses mains ce qu'il avait déjà dégusté des yeux. Ses mains remontaient le long de mes hanches, emportant la jupe légère qui remonta, dévoilant le porte jarretelle. Sa respiration s'accéléra. Remontant doucement, il défit un a un tous les boutons du chemisier, dévoilant le wonderbra qui me faisait la poitrine aussi affriolante. Il toucha ma peau du bout des doigts, l'effleurant. Je m'abandonnais à ses suaves caresses. Il m'affolait les sens. Il fit glisser ses main dans mon dos, fit descendre le chemiser puis dégrafa le soutien-gorge, qui tomba sur le sol dans un bruit mou. Il se colla a moi, prit mes seins dans ses mains. Nous ne pûmes retenir un gémissement de plaisir (de désir ?) de concert. Il se serra encore, je sentais son érection contre la naissance de mes fesses. Il fit glisser ses mains plus bas, relevant la jupe jusqu'à mes hanches. Chacun de ses doigts sur ma peau déclenchait en moi des frissons de plaisir. Je gardais les yeux fermés, le laissant continuer son affolante exploration. Ses doigts remontèrent le long de mon ventre, effleurant, glissant, il remonta jusqu'à mes seins, les caressant, les effleurant, prenant leurs points érigées tantôt avec douceur, tantôt les pinçant légèrement ; sa langue caressait la pointe de mon épaule.. Il me lâcha, je me retournais, lui enlevait son tee-shirt. Sa peau lisse, brulante, colla à la mienne quand il plaqua son corps parfait sur le mien. Un grognement de désir lui échappa, à nouveau, il posa ses lèvres sur les miennes, m'embrassa fiévreusement. Il glissa sa main sur ma nuque, plaqua ses lèvres plus violemment sur les miennes. A mon tour, je le dévorais, l'embrassant, léchant ses lèvres, caressant son visage, me plaquant contre lui plus fort encore. Je fis descendre mes main sur son torse musclé, caressant ses abdominaux parfaits, puis posais mes doigts sur sa ceinture...

Il souris à nouveau, d'un geste, sans me lâcher, il ôta ses chaussures et s'écarta légèrement pour que je puisse défaire sa ceinture et déboutonner son jean. Ce que je fis avec empressement, effleurant par la même occasion son sexe tendu. Il rejeta la tête en arrière, se mordit les lèvres, ferma les yeux. Je poussais plus avant, faisant choir son jean, puis son boxer, et sans attendre, je pris son vit, déjà décalotté et luisant, entre mes doigts, et commença a le branler. J'étais restée à genoux, et le regard qu'il baissa soudain sur moi était sans équivoque, il mourrait d'envie que je le prenne en bouche. Je ne le fis pas attendre, et engouffrait son jouet dans ma bouche. Elle était chaude et sucrée, dure, les bourses bien pleines : sa frustration était aussi palpable que la mienne, et nous avions autant envie de sexe l'un que l'autre. Je léchais son gland, puis sa hampe : une main posée délicatement sur mes cheveux, il me regardais, les yeux brillants, la bouche entre-ouverte : l'incarnation même du plaisir, et du désir.

Je le lâchais, puis me redressais et m'assis sur le lit. Il se pencha, pris mes tétons en bouche, les mordilla, fit glisser sa langue sur mes seins, puis descendit a ma taille. Dézippant ma jupe, je soulevais les hanches pour qu'il l'enleva. Il ôta aussi mes bottes puis mes bas. Il ne restait plus que mon shorty, et j'étais tendue, brulante de désir, abandonnée. Se penchant à nouveau, il me lécha, taquinant ma peau de la point de sa langue. Je me laissais aller, profitant de la sensation d'intense volupté. Je sentis ses mains écarter lentement mes cuisses, je n'ouvris pas les yeux, je le laissais faire. Son pouce descendit sur mon sexe, écarta à travers le tissu les lèvres, appuya sur mon clitoris. Je ne pus retenir un cri, autant de surprise que de plaisir. Cela acheva de l'exciter : il pris la ceinture du shorty, le fit glisser, l'ota. Chacun de mes mouvements de hanches me provoquait une avalanche de sensations, toutes plus fortes les unes que les autres : du plaisir provoqué par mon rosebud dans mon anus, à ses lèvres brulantes, ses doigts, son sexe qui m'effleurait... J'ouvris grand les cuisses, pressée qu'il me prenne. Il plaqua sa bouche sur la mienne, glissa ses doigts dans mon intimité dégoulinante, puis entrepris une descente... Et c'est là qu'il le sentis, je le sentis sourire, il se redressa, me regarda, sans cesser ses caresses. Allongée sur le lit, je m'offrais a lui. Il vint à coté de moi, puis m'enfourcha, rapprocha son sexe de ma bouche, légèrement à cheval sur ma poitrine. Je pris de nouveau son sexe en bouche, puis glissait mes mains entre mes cuisses tandis qu'il prenait mes seins a plaine main. Ce fut instantané : je jouis, pompant sa verge plus fort. Il gémissais de concert. Finalement, il se retira, puis vint rapidement entre mes cuisses. Je me redressais, saisis un préservatif sur la table de nuit, l'ouvris en lui jetant des coups d'œils en coin. Prenant l'objet, je le posais sur son sexe, le fis coulisser jusqu'à la base, l'embrassais, puis me laissais retomber en arrière. Il ne lui fallut que quelques secondes pour glisser son gland entre mes lèvres détrempées. J'ouvris les yeux, le regardais bien en face, tandis qu'il avançait lentement, profitant de la sensation. Mon rosebud le comprimait légèrement, je voyais qu'il aimait ce que nous faisions. Puis d'un coup, il s'enfonça profondément, commença a pilonner, avide, chacun de ses coups de butoir me provoquait un océan de sensations complètement folles, des frissons, des sueurs froides. J'eus un nouvel orgasme particulièrement violent, criais, réclamais encore, et cela eut raison de lui : il éjacula dans un cri de victoire, nous unîmes nos orgasmes, puis nous effondrèrent, épuisés, cote a cote. Sitôt le préservatif jeté, il entrepris de me caresser, puis de me lécher chaque centimètre carré de ma peau. C'était divin, et c'était la première fois de la soirée mais pas la dernière....