Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 16/09/2009 par Talis Cat
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Récits très hard et non consensuel au tout départ, textes très crus, merci de ne pas lire si vous n'appréciez pas.
Cela fait plusieurs mois qu'elle en a envie. Ce prof de piano est si mignon. Et puis gentil et poli aussi. Elle est sûre qu'il doit être très doux en amour. Alors aujourd'hui elle va l'accueillir en jupe d'écolière. Avec un chemisier sans soutien-gorge et un string blanc. Elle n'a pas envie de faire du piano aujourd'hui, elle veut sentir ses doigts jouer sur, dans, son corps. Elle s'est déjà masturbée tellement elle est excitée. Mais elle mouille encore... Elle a tellement envie qu'il la prenne délicatement sur son tabouret de piano... Elle entend la sonnette. Enfin !
Il monte les escaliers en soupirant. Il faut bien gagner sa vie mais certains jours c'est pénible. Enfin, au moins son élève est mignonne. Si seulement elle s'habillait plus sexy... Oui, il lui apprendrait des choses à cette petite pute. Il lisse ses habits et sonne.
Elle ouvre, lui dit bonjour. Il ne répond pas tout de suite. Sa queue durcit. Mais il se reprend. Elle doit avoir rendez-vous avec son copain après le cours. Enfin en tout cas c'est une cochonne. Il en était sûr. Il dit bonjour et entre. Il se laisse guider. Il mate son cul, regarde sa fente à peine voilée par son string lorsqu'elle monte l'escalier. Il a du mal à retenir ses pulsions animales. Il se demande si il ne devrait pas aller se branler dans les toilettes. Mais il faut tenir un cours entier...
Ils arrivent au piano. Elle s'assoit sans prendre garde à cacher son string avec sa jupe. Il commence à se pencher et sa main se dirige vers l'entrejambe de la jeune fille. Mais il se retient. Elle le regarde et lui adresse son plus beau sourire :
"- Ca ne va pas, Monsieur ?"
"Non, ça ne va pas. J'ai terriblement envie de te sauter, salope." C'est ce qu'il voudrait dire. Mais il se contente d'un laconique :
"- Si, ça va. Sors ta partition."
C'est lui ou elle à l'air déçue ? Non il doit s'imaginer des choses. Elle commence à jouer. Ses yeux sont fixés sur son chemisier. C'est ses tétons qui pointent ainsi ? Et puis il m'a semblé que son string était mouillé... Elle est excitée la chienne ?
Enfin le morceau se finit. Elle demande :
"- C'était bien."
"- Oui, très bien."
Il pense évidemment à sa poitrine en disant ça, pas au morceau qu'il n'a pas écouté ...
"- C'est vrai ? Je suis contente alors !"
Elle ajoute :
"- Vous êtes sûr que ça va ? Vous voulez quelque chose ?"
Il craque. Il sort son sexe et dit :
"- Oui, salope, suces-moi."
Elle est étonnée par son ton autoritaire. Et puis il l'a appelé salope aussi... Peut-être qu'elle n'aurait pas du... Mais elle saisit sa queue puis la lèche doucement et commence à lui tailler une timide pipe. Il pousse un soupir de soulagement et dit en lui caressant les cheveux :
"- C'est bien, tu as bien fait tes exercices..."
Elle est rassurée, ce n'est qu'un petit jeu. Elle le suce plus vigoureusement. Enfin il sort sa bite et l'embrasse. Il dit :
"- Montres-moi ta belle fleur..."
Elle s'appuie sur le piano, toujours assise sur le tabouret. Elle écarte ses jambes, sa jupe, son string et enfin les lèvres de sa chatte. Elle se caresse pour lui. Il regarde d'un air détaché. Mais son sexe est bien raide. Il s'approche et dit :
"- Ouvres-ton chemisier."
Elle obéit, sort un de ses seins et le lèche sous le regard de son professeur. Il se penche sur elle et lui masse la poitrine en suçant son téton. Elle gémit. Il sort son autre sein. Enfin il se relève :
"- Continues à te toucher et suces moi à nouveau."
Cette fois elle s'agenouille par terre et commence à bien le sucer. Ses doigts entrent dans son intimité avec un léger bruit de succion. Elle est très excitée... Il dit alors :
"- Bien. Mais je vais te donner un cours sur comment bien contenter un homme avec ta bouche."
Il saisit alors sa nuque et enfonce sa verge aussi loin qu'il le peut. Elle étouffe. Il commence à lui baiser la bouche. Elle panique. Ca ne devait pas se passer ainsi ! Des larmes et de la bave coulent sur son visage. Enfin il la laisse reprendre son souffle. Il la redresse et commence à caresser délicatement son corps. Oui, c'est mieux ainsi. Il a juste eu un moment d'égarement. Ou bien peut-être est-ce elle qui n'est pas assez expérimenté pour lui. Mais tout va bien se passer. Il ouvre d'un coup sec son chemisier, arrachant les derniers boutons. Elle est saisie d'une nouvelle vague de frayeur. Mais il lui murmure doucement à l'oreille :
"- Va t'appuyer sur le piano..."
Elle s'exécute. Elle sent son string glisser le long de ses jambes. Puis son gland vient frotter l'entrée de sa vulve. Il demande :
"- Tu en as envie ?"
"- Oui... Beaucoup."
"- C'est vrai que tu es sacrément humide. Mais tu n'as pas de chance, moi je ne veux pas."
Elle est surprise par sa réponse. Mais il saisit alors ses hanches et empale son anus avant qu'elle n'ait pu comprendre. Elle hurle. Il la ramone de plus bel en ricanant :
"- Tu vois, petite pute, c'est ce qu'on gagne en allumant les gens. Tu aimes ?"
"- Ca fait mal..."
"- C'est un peu le but, ma cochonne. Mais ne t'inquiètes pas, les prochaines fois tu auras moins mal. Question d'habitude."
Il lui pétrit les seins en continuant sa besogne. Le piano fait des accords discordants alors que le corps de la jeune fille tape sur les touches. Elle essaie de se débattre. Mais il utilise alors le string pour attacher ses mains dans son dos :
"- Tiens-toi tranquille, salope, ça ne fera que plus mal si tu te débats. Enfin d'un autre côté ça m'excite aussi..."
Il glisse ses doigts dans sa fente et la masturbe violemment. Il lui mordille l'oreille en susurrant :
"- Mais, dis-moi, c'est encore très humide tout ça... Ca t'excites aussi en fait..."
Elle voudrait le nier. Mais elle n'a pas vraiment envie que ça s'arrête. Malgré, ou à cause, de la douleur, de l'humiliation, de ses rêves d'amour doux envolés. Elle bafouille :
"- Non... Non..."
"- Allez avoue, ma chienne, ça te libérera."
Il donne un grand coup de rein. Elle pousse un cri mais ce n'est pas juste un cri de douleur... Il y a autre chose aussi. Un désir masqué. Un désir qu'elle ne veut pas accepter... Il pince ses tétons durci. Sa respiration est haletante. Elle sent sa langue sur son cou. Elle se cambre malgré elle, accueille cette verge qui lui fait si mal... Mais dont elle a tant envie. Elle avoue enfin :
"- Oui, prenez-moi, c'est bon."
"- Appelles-moi Maître."
Elle devrait être étonnée. Mais non. Elle dit juste :
"- Oui, Maître. Je suis à vous, Maître. Enculez-moi autant que vous le voudrez."
Ses coups de boutoir se font alors plus doux, plus amples, plus lents. Elle apprécie. Il dit :
"- C'est bien que tu ais fini par comprendre. Bien nous allons sceller ta soumission. Tu vas boire ma semence."
Il sort alors de son anus dilaté, détache ses mains. Elle s'agenouille. Son sexe sent la merde et le sang mais elle le lèche sans hésiter avant de l'enfourner dans sa bouche. Elle se caresse le sexe, la rondelle, les seins. Elle le regarde en avalant sa queue. Quand il pose à nouveau ses mains sur sa nuque elle se contente de prendre une grande inspiration et le laisse entrer aussi profond qu'elle le peut. Il a l'air content. Elle aussi l'est :
"- Tu apprends vite, petite pute. C'est bien."
Il jute. Elle garde son sperme en bouche. Il dit, courroucé :
"- Avales !"
Elle tire alors la langue, prends un peu de sperme qu'elle étale sur sa fleur et avale le reste. Elle lui sourit en branlant sa queue :
"- Désolé, Maître, j'ai pensé que ça vous plairait..."
"- Non, tu as bien fait. Tu es une bonne salope."
Elle se penche en arrière en se masturbant. Il regarde et finit par dire :
"- Tu n'as toujours pas eu d'orgasme apparemment..."
"- Non, Maître..."
Il l'attrape par les cheveux et la traîne vers la chambre :
"- On va arranger ça !"
Une fois arrivés à côté du lit il la relâche. Il s'accroupit à ses côtés et lui demande en lui ôtant son chemisier :
"- Tu es très excitée, n'est-ce pas ?"
Elle se contente de hocher vivement la tête. Il caresse sa chatte :
"- C'est vrai. Ca se sent."
Il lui fait lécher ses doigts. Puis il commence à lécher les pétales de son intimité. Elle se caresse les seins en poussant de petits cris. Il enfonce quelques doigts dans son anus et elle se cambre. Enfin il s'arrête :
"- Tu es proche de l'explosion, n'est-ce pas ?"
Nouveau hochement de tête. Elle n'arrive même plus à parler, à penser :
"- Tu aurais un orgasme juste en te masturbant un peu, n'est-ce pas, ma chienne ?"
"- Oh oui, Maître."
"- Alors on va éviter ça ..."
Elle le regarde interloquée. Il lui saisit les poignets et utilise son chemisier pour fermement les fixer au montant du lit. Elle crie :
"- Non, Maître, non ! Je veux me toucher ! Maître ..."
Elle éclate en sanglot. Il lui caresse le visage :
"- C'est moi qui décide, compris ?"
"- Par pitié, Maître..."
Sa chatte est en feu, c'est une fontaine... Elle a tellement envie de se toucher... Elle se frotte à la moquette pour essayer de se stimuler. En vain. Il la regarde quelques instants puis sort de la pièce.
Enfin elle reprend un peu ses esprits. Mais elle a encore très envie de se faire prendre. Alors elle monte comme elle peut sur le lit, les bras toujours attachés. Elle s'allonge sur le ventre, puis redresse ses fesses. Peut-être qu'à la vue de son cul ainsi offert son Maître daignera l'honorer... Elle sent son excitation couler le long de sa cuisse. Cela l'excite encore plus. Elle se trémousse. Enfin il revient :
"- Et bien... Pas d'alcool, pas de soda. Juste du jus d'oran... Qui t'as permis de monter sur le lit ! Espèce de petite pute désobéissante !"
Elle qui espérait l'exciter ...
"- Non, Maître... Pardon... Mais je voulais... Pardon, Maître..."
"- Descends immédiatement."
"- Oui, Maître..."
Elle se laisse tomber au sol, anéantie. Il s'assoit. Il tient une règle en fer dans sa main :
"- Ca tombe bien, je viens de trouver ça..."
Il commence alors à lui donner de petits coups sur le corps, les seins, les cuisses. A sa grande surprise cela l'excite plus que cela ne la fait souffrir. Elle expose son corps à la punition. Il dit :
"- Remontes sur le lit."
"- Bien, Maître."
"- Allonges-toi sur mes genoux."
"- Voilà, Maître."
La règle claque alors sur ses fesses. Les doigts du Maître entrent en elle. Elle frémit de plaisir. Son pouce entre dans son anus sans aucun problème :
"- Tu avais envie que je t'encule, c'est pour ça, hein salope ?"
"- Oui, Maître... Très envie."
Nouveau claquement :
"- Tu regrettes ?"
"- De vous avoir désobéi. Oui, Maître. De vous avoir offert mon cul. Non, Maître."
"- C'est bien."
Ultime claquement. Elle frissonne de désir. Il pose la règle :
"- Tu sens ma verge sur ton ventre ?"
"- Oui, Maître, elle est bien dure."
"- Ca te fais envie ?"
"- Oh oui, Maître."
Il se dégage alors de dessous elle. Elle attend, anxieuse, impatiente. Il écarte ses jambes, lui glisse quelques doigts dans le cul. Elle gémit. Elle le sent s'approcher. Oui, pense t-elle... Enfin ! Il entre doucement, très doucement dans sa vulve humide. Elle crie son plaisir. Elle sent comme une bombe à retardement dans son ventre. Une intense radiation. Il la lime de plus en plus vigoureusement. Elle essaie d'accompagner ses mouvements malgré ses bras liés. Enfin il ressort. Elle sait ce qui va suivre, elle l'attend même. Il entre dans son anus. Sans ménagement cette fois-ci. La bombe explose. Elle tremble de tout son corps. Il commence à la pilonner et elle perd conscience...
Quand elle reprend conscience elle est sur le dos. Elle sent une liquide gluant couler de ses seins vers sa gorge. Il est assis à côté d'elle. Il dit simplement :
"- J'ai utilisé tes seins pour me finir. Belle poitrine d'ailleurs."
"- Merci, Maître."
Il la détache :
"- Nettoies-moi la queue, veux-tu ?"
Elle lèche délicatement la bite molle qui lui est offerte puis la range délicatement dans le pantalon de son Maître. Il dit alors :
"- Bien, tu me donnes mon salaire ? Je suis déjà en retard ?"
"- Hein ? Mais on n'a pas fait cours..."
"- Je t'ai appris combien c'était bon de se faire sodomiser. Et comment bien sucer. Et je t'ai donné un sacré orgasme... N'est-ce pas, ma chienne ?"
"- Euh, oui, Maître."
"- Alors t'as eu ton cours."
Il tend la main. Elle va chercher l'argent du cours et lui donne.
"- Dix euros de plus pour service particulier..."
"- Bien, Maître."
Elle paie sans broncher. Il part alors en lui lançant :
"- Pour le prochain cours je t'apprendrai d'autres choses ! Tiens toi prête !"
Elle répond simplement :
"- Oui, Maître. J'attendrai avec impatience."
Puis elle se laisse tomber sur son lit et se masturbe ...