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Proposée le 15/09/2009 par Talis Cat

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Récit assez hard
Désolé s'il manque des partie à cette histoire mais deux chapitres n'ont pas été publiés. Ils le seront peut-être après modification.


Vous êtes à dans un coin de la terrasse du café de l'hôtel où vous résidez le temps de votre voyage d'affaire. Votre mari vous manque mais au moins vous êtes hors de portée des griffes de votre tortionnaire... Quelle humiliation il vous a faite subir dans le train... Et le pire c'est que vous n'arrêtez pas de vous sentir excitée en y repensant. Vous soupirez.
"- Je peux m'asseoir ici, Madame ?"
Vous répondez sans lever les yeux de votre tasse :
"- Oui, oui, bien sur..."
"- Tiens mais on se connait, non ?"
Un crétin de dragueur. Ca faisait longtemps. Vous répondez nonchalamment :
"- Ca m'étonnerait, je suis ici de passage."
"- Moi je suis sûr qu'on se connait, petite pute."
Il a dit ça sur un ton tellement naturel. Et, d'un coup, cela vous revient. Cette intonation, la façon dont il vient de vous appeler ... Non, ce n'est pas possible... Vous n'osez pas lever la tête pour confirmer vos craintes. Il se penche alors vers vous. C'est lui. Vous retenez un cri d'horreur. Sa main glisse dans votre jupe et se pose sur votre fesse. Vous tremblez :
"- Ah, je vois que tu me reconnais..."
Vous restez figée alors qu'il pétrit votre fesse. Heureusement vous êtes dos au mur, pratiquement personne ne peux vous voir... Sa main descend. Il écarte votre culotte. Non, il ne va quand même pas ... Son majeur s'enfonce dans votre anus. Vous retenez un petit cri mais une chaleur que vous commencez à connaitre envahit votre abdomen : cela vous excite malgré vous. Il dit d'un ton détaché :
"- Bon, et si on parlait affaire ?"
Vous êtes étonnée, il en profite pour enfoncer son doigt plus profondément :
"- En quoi mes affaires vous intéressent-elles ? Vous ne comptez pas détourner des fonds grâce à moi quand-même !"
"- Je parlai de NOS affaires ..."
Son doigt fait des va et viens dans votre jupe. Tout vos efforts pour vous dégager ne font qu'augmenter vos sensations. Le salaud s'y prend bien. Vous avez du mal à garder les idées claires, à ne pas mouiller. Vous froncez les sourcils :
"- Nos affaires ?"
Il commence à dire à voix haute et distincte :
"- Et bien oui, le fait que vous vous prosti..."
Vous vous redressez d'un bond, lui mettez la main sur la bouche :
"- Euh, oui, oui, je vois, nos affaires, en effet."
Son doigt fait alors de légers mouvements et vous vous apercevez que votre jupe est partiellement descendue alors que vous avez entrainée sa main en vous relevant. Vous vous asseyez lentement. Il continue un peu ses caresses et ressors sa main :
"- On m'a dit beaucoup de bien de votre dernière mission. Vous allez avoir des clients fidèles maintenant. Une très bonne opération de com'. On reconnais une femme d'affaire aguerrie."
Quel odieux personnage. Vous murmurez :
"- Vous ne préfériez pas en discuter dans ma chambre ?"
Il s'appuie sur son siège, vous scrute et dit :
"- Si vite ? Et bien je vois que vous êtes en effet aussi chaude qu'on me l'a reportée..."
Salopard...
"- Non, mais, enfin... Ce sera plus discret."
"- Oui, je vois, plus intime."
Il a l'art de manipuler les mots. Et cette chaleur qui se propage peu à peu vers votre intimité et que vous n'arrivez pas à étouffer... Vous dites, vaincue :
"- Oui, plus intime..."

Vous montez alors avec lui dans votre chambre. Il vous force à prendre l'escalier pour pouvoir mater votre cul en montant. Enfin vous arrivez à votre suite. Vous entrez tous deux. Il vous saisit alors par la taille, vous embrasse. Vous tentez de vous dégagez. En vain. Il soulève votre jupe, descend votre culotte, viole votre intimité des doigts. Vous mouillez malgré vous. Il remonte alors votre culotte et vous regarde :
"- Oui, bien chaude..."
Il vous entraine sur le lit où vous vous asseyez. Il vous embrasse, vous caresse. Puis il se place entre vos jambes, les écarte, détache votre porte jarretelle et ôte votre culotte. Il scrute votre chatte. Vous voudriez réagir mais n'y arrivez pas. Il pose ses lèvres sur votre fleur et la caresse de la langue. Son doigt s'immisce à nouveau dans votre anus. Vous penchez la tête en arrière, fermez les yeux et vous mordez la lèvre pour retenir un cri de jouissance. Mais votre respiration haletante vous trahit :
"- Tu en veux, cochonne..."
Vous ne dites rien, de peur de répondre par l'affirmative. Il ouvre alors votre corsage et votre chemisier puis dégage vos seins de votre soutien-gorge. Il suce vos tétons durcis. Vous le regardez, impuissante. Un deuxième doigt s'est glissé dans votre anus sans même que vous ne le remarquiez. Vous avez une folle envie de coller son visage sur votre poitrine, de l'encourager dans ses caresses. Mais vous parvenez malgré tout à articuler :
"- Non, non, arrêtez, s'il vous plait."
Il vous penche en arrière, son pouce caresse votre clitoris. Il introduit un troisième doigt. Un râle de plaisir vous échappe. Il sourit et dit :
"- Pas de sodomie à sec aujourd'hui, déçue ?"
Vous n'arrivez plus à vous retenir. Vous l'embrassez et dites simplement :
"- Prenez-moi."
Il vous allonge sur le ventre et vous pénètre délicatement. Vous ne ressentez que très peu de douleur. Il s'arrête dés que vous vous tendez avant de reprendre sa progression quand vous vous relaxez. Il sait s'y prendre en fait, le salaud. Il aurait pu vous faire aimer ça dés le début. Mais il a préféré vous faire souffrir, vous humilier... Quel salopard ! Mais que c'est bon...

Il commence à vous limer l'anus en douceur, en profondeur. Ses doigts caressent votre intimité, s'y engouffrent dans un bruit de succion obscène. Ca vous excite. Vous perdez pied, gémissez, criez votre plaisir. Il sort de votre corps, s'allonge sur le dos et vous vous placez sans attendre au dessus de lui. Vous vous léchez les seins puis dirigez sa queue dans votre cul. Vous commencez alors à bouger vos hanches en ouvrant votre chatte trempée de votre mouille. Ses mains se posent sur vos seins, les massent. L'orgasme vous envahit comme un raz de marée. Vous tombez sur son torse. Il continue à vous caresser puis passe sur vous et se branle avant d'éjaculer sur votre dos. Vous sentez sa semence sur votre colonne vertébrale. Elle coule jusqu'au creux de vos reins. Il s'allonge à vos côtés, vous l'embrassez :
"- Tu es devenue une vraie nympho tu sais ?"
Vous reprenez peu à peu vos esprits :
"- Non, je..."
"- Tu vas nier que tu as eu un orgasme et que tu as aimé te faire prendre peut-être ?"
"- Je... Non, enfin si..."
Il caresse votre chevelure, descend le long de vos flanc jusqu'à vos seins :
"- Ne nies pas ta nature, tu es faite pour le sexe."
Silence. Enfin il ajoute en se relevant :
"- Tu vas prendre une deuxième chambre. Tu y recevras des clients. NOS clients. Je te recontacterai."
"- Non, s'il vous plait."
"- Tu veux à nouveau sentir ma queue en toi, comme aujourd'hui ?"
Vous baissez la tête, honteuse. Vous en avez envie, vous ne pouvez pas, n'arrivez pas à dire le contraire :
"- Bien, alors fais ce que je t'ai dit. Et si un client est mécontent je te baiserai. Mais pas comme aujourd'hui. Comme avant."
Vous ne voulez pas. Il vous à fait tellement de bien aujourd'hui ...
Il ajoute d'un ton cynique :
"- Mais, salope comme tu es devenue, tu es capable d'aimer aussi !"
Il éclate d'un rire sardonique et part en vous laissant sur le lit, perdue dans vos pensées ...