Les assistantes maternelles prennent le relais

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Proposée le 7/09/2009 par assmatecrivaine

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Les assistantes maternelles prennent le relais.


Profitant de la présence de ma mère, qui peut garder les enfants, vendredi dernier, j'ai accepté l'invitation de Sylvie, une copine assistante maternelle avec qui j'avais sympathisé. Comme elle aime la gymnastique, nous devions aller voir un gala de 16h00 à 19h00 et ensuite rentrer chez elle pour manger. Son mari étant routier international, ce soir, comme de nombreux autres, elle était seule à la maison.
Comme elle n'habite pas loin de la maison, vers 15h30, je prends la voiture et me rend chez Sylvie. Lorsqu'elle m'ouvre, je m'aperçois qu'elle n'est pas du tout prête à partir. En effet, vêtue d'un peignoir fermé à la va vite, ses cheveux mi-longs sont trempés et les gouttes d'eau tombent dans la même quantité sur ses épaules et sur le carrelage. Elle me repousse gentiment quand je fais mine de vouloir l'embrasser en me montrant la flaque d'eau qui s'élargit à ses pieds.
- « Suis-moi, il faut que je me sèche les cheveux avant de saboter tout mon ménage ! » me dit-elle en riant.
- « Je sais ce que c'est - fis-je en riant - mais d'habitude, j'essaie de m'organiser pour ne pas être à la bourre. »
- « Moi aussi, mais cet après-midi.... - dit-elle sans finir sa phrase - enfin je suis en retard. »
Je la suis jusqu'à la salle de bain. Celle-ci n'étant pas très grande, sans toutefois être exigue, je reste sur le pas de la porte. Continuant de disserter, elle attrape une serviette et se frotte vigoureusement les cheveux. Lorsqu'elle s'arrête, elle ouvre le tiroir et en sort un sèche-cheveux.
- « Tu n'as pas peur que l'on soit un peu en retard ? - demandais-je - En plus j'imagine que tu vas te maquiller après. »
- « Toi, on voit bien que ton mari est militaire ! A cheval sur les horaires, et tout, et tout.... » dit-elle en riant.
- « Ce n'est pas ça, mais j'aimerais bien voir le spectacle en entier. » répondis-je.
- « Pas de problème ! Prends ça et suis-moi. » dit-elle en me collant le séchoir dans les mains
Je la suis jusqu'à sa chambre qui est gigantesque, une chambre comme on en rêve. Le lit pourtant de bonne taille donne l'impression d'être tout petit. De plus il n'y a pas d'armoire mais une penderie qui prend tout un pan d'un des murs. Les 4 portes coulissantes sont recouvertes de glaces de même taille. Dans un coin de la chambre, il y a une coiffeuse ancienne recouverte de maquillage, de brosses à cheveux et d'ustensiles dont seule une femme peut expliquer l'usage.
Elle s'assoit face à celle-ci et me désigne une prise électrique à côté de la table. Tandis que je branche l'appareil, elle se relève et retire son peignoir qu'elle jette sur le lit.
- « On ne peut pas dire que tu sois tellement pudique ! » remarquais-je.
- « Si on commence à se gêner entre copines, on est pas prête de se faire des confidences. » répond-elle du tac au tac.
La remarque étant plutôt juste, je n'insiste pas et me place derrière elle en allumant le sèche-cheveux. Pendant ce temps elle prend quelques « outils et ingrédients » et commence à se maquiller. La combinaison simultanée de nos efforts, porte ses fruits et au bout d'une dizaine de minutes, elle me sourit dans le miroir et dit :
- « Ça ne me semble pas si mal pour une vieille. »
- « Vieille ? Et bien, qu'est ce que je devrais dire moi ! »
- « Tu parles, tu n'as que 2 ans de plus que moi, alors ne joues pas les mémés. »
Alors que je débranche le sèche-cheveux et le pose sur la coiffeuse, elle se lève et se dirige vers une des grandes portes de la penderie. Alors qu'elle vient d'ouvrir ce qui semble être son côté, je suis soufflée par le nombre de tenues qui sont sur cintres. Elle fait mine de chercher, et au bout d'un moment, elle sort deux cintres qu'elle dépose sur le lit, l'air songeuse.
- « Tu vas t'habiller comme ça ? » lui demandais-je interloquée, devant les deux robes, apparemment très courtes qu'elle a sorties.
- « Ben oui, je ne sors jamais sans m'habiller. Évidemment, toi tu ne me connais qu'en nounou, mais dès que je redeviens Sylvie.... Maquillage et tenue sexy !!! Alors, laquelle trouves tu la mieux ? »
Je regarde les deux robes et m'aperçois qu'elles sont identiques, hormis la couleur. L'une est turquoise avec des bordures rouges, l'autre vert pomme avec des liserés jaunes. Connaissant mes goûts, tu penses bien que je lui ai désigné la bleue, et là, surprise !!!
- « D'accord, - dit elle - je prends la verte. »
- « Si tu veux, mais j'avais dit la bleue. »
- « J'ai bien entendue, Bab, alors comme apparemment tu la préfères, c'est toi qui la porteras. - rajoutant devant mon air hébété - Tu ne crois tout de même pas que je vais sortir habillée avec une copine vêtue de la même façon que pour aller chercher ses gosses à l'école. On sort entre filles, alors, ce n'est pas parce qu'on ne va pas en boîte qu'il faut qu'on se rappelle à chaque instant qu'on est mère de famille. Soyons comme deux ados et faisons-nous plaisir. »
- « Tu me l'aurais dit avant je me serais habillée chez moi. »
- « Je sais, mais j'avais envie qu'on s'habille pareille. Comme deux sœurs jumelles. On ne se ressemble pas vraiment, mais on a les mêmes cheveux, les mêmes proportions, alors tout ça devrait t'aller. Essayes-la, d'accord ?»
- « Si tu veux. » répondis-je.
N'essayant pas d'être plus royaliste que le roi, je commence à retirer mes vêtements les déposant au fur et à mesure sur le dossier de la chaise de la coiffeuse. Sylvie, tout le temps nue, ouvre un des tiroirs de la petite commode jouxtant cette dernière. Celui-ci est apparemment dédié aux soutiens-gorge. Elle fouille un moment en sort un blanc, très joli, puis referme le tiroir. Le deuxième tiroir est occupé par les culottes et elle en sort un string assorti au soutien-gorge. Le troisième est celui des bas et collants, mais je souris en découvrant un petit godemiché de style réaliste. Tournant la tête vers moi, mais n'ayant aucunement l'air gênée, elle remarque mon sourire.
- « Tu n'en as jamais vu ? »
- « Si bien-sûr. » répondis-je.
- « Rien de tel pour agrémenter les longues soirées d'une femme si souvent délaissée. » ajoute-t-elle.
- « A qui le dis-tu ! » rétorquais-je.
- « Ah bon, parce que toi aussi.... » dit-elle, en ne finissant pas sa phrase.
- « Tu sais, dans la série des femmes délaissées souvent, être femme de militaire c'est pas mal non plus. »
- « Tu en as un aussi ? »
- « Bien-sûr, mais même si j'ai sensiblement le même, celui qui a ma préférence, est un peu plus.... Comment dire.... Elaboré. »
- « Ah oui ! Tu sais j'en ai aussi quelques autres. Tu veux les voir ? »
- « Pourquoi pas, mais tu ne crois pas que l'on va être un peu en retard ? »
- « Tu as raison, je te les ferais voir en rentrant. Allez dépêchons-nous. »
Je suis en sous-vêtement, string et soutien gorge. J'enfile donc la robe qui me va comme un gant et je me regarde dans la glace, satisfaite. Sylvie, derrière moi, termine d'enfiler la sienne et se met à côté de moi pour vérifier sa mise.
- « Je nous trouve très en beauté. Qu'en penses-tu ? »
- « Je suis assez de ton avis, on a vraiment l'air de frangines, ou tout du moins de cousines. »
- « C'est vrai. Allez, on y va. »
Nous prenons nos sacs et montons dans la voiture pour nous diriger vers le gala de gymnastique. Notre arrivée ne passe pas inaperçue et les hommes présents nous rendent hommage par leurs regards insistants.
Depuis la sortie de la voiture, Sylvie me donne la main ou me tient par le bras. Nous avons l'air de deux ados et je dois avouer que cela fait longtemps que je ne me suis pas sentie aussi bien. Je commence à découvrir une Sylvie que je ne connaissais pas, et j'avoue que je l'apprécie énormément. Elle n'arrête pas de parler et le temps passe rapidement. Aux différents entractes nous allons à la buvette, et à chaque fois nous trouvons le moyen de nous faire payer à boire. Il faut dire que Sylvie est très prompte à lier la conversation avec tout le monde, en particulier avec les hommes. Le spectacle est d'un assez bon niveau et nous apprécions à leurs justes valeurs les prestations fournies par les gymnastes. Lorsque ce sont les gymnastes masculins qui entrent à leur tour, Sylvie a l'air beaucoup plus intéressée par leurs physiques que par leurs performances. Les allusions qu'elle ne prend même pas la peine de voiler sur leurs attributs virils avantageusement moulés par leurs collants se succèdent. Je ris de ses plaisanteries et je me surprends d'y répondre de façon tout aussi crue qu'elle même. Certaines femmes, assises non loin de nous, nous regardent d'un air qui exprime bien la réprobation qu'elle éprouve à écouter nos propos. J'en fais part à mon amie qui ne trouve rien de mieux à faire que de leur tirer la langue. Nous nous comportons vraiment comme deux étudiantes délurées et quelque peu attardées. Le spectacle touchant à sa fin, de nombreux spectateurs quittent la salle, mais nous décidons d'aller une dernière fois à la buvette, au grand plaisir de notre fan club. Les 7 ou 8 hommes présent se disputent presque pour nous offrir nos verres. Sylvie a vraiment l'air dans son élément au milieu de cette mini cohue. Pour ma part je suis un peu gênée, même si je participe à la conversation et réponds avec gentillesse à tous. Les questions ressemblent plus à un interrogatoire en règle qu'à une conversation sportive, malgré les 2 ou 3 heures que nous avons passé à regarder le gala. Pour ces messieurs, la chasse est ouverte ! Je dois avouer que c'est assez agréable comme sensation, et qu'à part 2 d'entre eux, les autres ont tous apparemment 30 ou 35 ans et sont plutôt beaux gosses. Sans faire attention, nous devons nous comporter différemment car les 2 hommes précédemment cités nous disent au revoir avant de s'éclipser. Apparemment, les 5 restant sont ensembles et nous invitent à venir prendre un verre (autre que du jus d'orange, du coca ou de la bière) dans un bar situé à 3 kilomètres. Sans me consulter, Sylvie accepte, mais je dois avouer qu'à ce stade là, j'aurais fais pareil, tant ils ont l'air sympathique. Montant dans nos voitures respectives, nous suivons celle de nos camarades de conversation. Effectivement, après 2 ou 3 kilomètres, nous nous arrêtons devant un petit bar aux fenêtres en verres dépolies de couleur orangée. Lorsque nous pénétrons à l'intérieur, l'ambiance est très feutrée, et à part une barmaid derrière le comptoir, il n'y a qu'un client accoudé au comptoir devant une bière. D'ailleurs celui-ci à l'air passablement éméché et ne se retourne même pas à notre arrivée. Les hommes font la bise à celle qui s'avère être la patronne, nous présentent à celle-ci, et après avoir eu droit nous aussi à la bise qui à l'air rituelle, nous nous installons autour d'une table, dans un coin de la pièce. Sylvie et moi sommes assises sur la banquette, un garçon de chaque côté et séparée par un autre, tandis que les deux derniers s'installent face à nous, sur des chaises. La chasse est vraiment ouverte !!!
Claire, la patronne vient prendre la commande et repart vers le comptoir, préparer nos verres. Deux vins cuits pour mon amie et moi, Ricard et whisky pour les hommes. Assaillie par les questions, j'ai un peu de mal à y répondre, m'embrouillant dans les réponses et dans les prénoms de nos camarades. Cherchant de l'aide, je tourne la tête vers Sylvie et je suis surprise de l'écouter nous décrire comme deux vieilles copines « divorcées ». Elle à l'air de beaucoup s'amuser et je n'ai pas beaucoup d'effort à faire pour calquer mon attitude sur la sienne. M'apercevant que les garçons seraient peu intéressés par la Barbara, mère de famille, épouse aimante et assistante maternelle, je m'invente une personnalité et une vie quelque peu différente de la mienne. Cela m'amuse beaucoup et comme ça ne porte pas à conséquence...
Même s'ils sont très empressés, les garçons se comportent très bien, et aucune fausse note ou geste déplacé n'est à déplorer. Je me laisse aller à l'ambiance feutrée et je m'aperçois que nous parlons presque tous à voix basse. Au bout d'une demi-heure, le poivrot du bar s'en va, nous laissant entre nous. Je n'en finis pas de raconter ma vie « virtuelle », l'égayant d'expérience et de voyages exotiques. Pourquoi se gêner ?!!! Sans m'en apercevoir, le troisième Frontignan vient remplacer les deux premiers verres déjà oubliés. Je me sens bien et l'alcool aidant je suis très détendue. Je me surprends à poser moi même des questions intimes à nos amis de la gente masculine. Deux d'entre eux sont divorcés, deux célibataires et celui qui se trouve entre moi et Sylvie est marié. Je l'interroge effrontément sur ce que penserait sa femme si elle le voyait. Il me répond assez mystérieusement qu'elle se moque bien de la façon dont il passe ses soirées, et que lorsqu'il est avec ses potes, elle ne lui demande jamais rien. Charmante ambiance de couple !!! Tu me diras que je peux bien parler, mais moi je sais que je raconterais tout à mon mari, et que si je n'étais pas sûr que cela ne le dérangeait pas, je serais restée à la maison.
Contre toute attente, Sylvie m'interroge sur l'opportunité de rentrer manger. Répondant par l'affirmative, nous ne pouvons tout de même pas refuser le quatrième verre que nous buvons, sachant qu'il ne nous en faudrait pas beaucoup plus pour être ivre. Nous sommes ce que je qualifierais de «pompettes» lorsque nous sortons du bar après avoir embrassé les garçons qui nous ont tous donné leur numéro de téléphone portable. Nous avons pu éviter de leur donner les nôtres prétextant quelques explications peu convaincantes, mais qu'ils ont accepté avec courtoisie.
C'est avec une petite angoisse due à mon imprégnation alcoolique que je m'installe derrière le volant. J'introduis la clé de contact et démarre. Nous n'avons qu'une douzaine de kilomètres à faire, mais je sens que ça va être assez long. En effet, à peine ais-je roulé 3 ou 4 kilomètres que je m'aperçois que je vois mal la route. La tête me tourne un peu, et j'ai très chaud. A cet instant, j'aperçois un panneau annonçant un parking à 250m. Je mets mon clignotant et je rentre dans le parking où je n'ai aucun mal à me garer vu qu'il n'y a personne. Sylvie, m'interroge :
- « Pourquoi tu t'arrêtes ? »
- « J'ai la tête qui tourne, je ne vois pas grand-chose et je crève de chaud. »
- « Tu as trop bu ? »
- « Je crois bien. Tu veux conduire ? »
- « Oh non, ta voiture est trop grande et je n'ai jamais conduis de voiture automatique. »
- « Ce n'est pas difficile tu sais. »
- « Je ne préfère pas, ouvrons les fenêtres et récupérons un peu. »
- « Comme tu veux. » dis-je en ouvrant les fenêtres.
Une fois les vitres ouvertes, je recule mon siège et bascule le dossier afin d'être mieux pour récupérer. Sylvie farfouille un peu et me demande :
- « Comment tu fais pour reculer le siège ? »
Plutôt que lui donner l'explication, je me penche, tire sur la poignée et lui demande de pousser. Le siège recule et je reprends ma place.
- « Excuses moi encore, mais pour le dossier, je fais comment ? »
- « Lèves les bras je vais le faire. »
Ce faisant, je me couche carrément sur ses jambes et je bascule la poignée vers l'avant afin de libérer le verrou de dossier. Sa main se pose innocemment sur ma hanche, dans un mouvement naturel. Je me relève doucement et sa main glisse en travers de mon dos. Alors que je m'allonge, elle fait de même, mais sa main prend la mienne.
- « Tu t'es bien amusée ? » s'inquiète-t-elle.
- « Oh oui, c'était vraiment super. Il y a longtemps que je ne m'étais pas sentie aussi libre que ça. En plus ils étaient sympas, tu ne trouves pas ? »
- « Tu m'étonnes !!! Ils voulaient surtout nous sauter !!! Enfin, sans vouloir te choquer. »
- « Tu me prends pour une oie blanche ou quoi ? Je me doute bien que ça devait sacrément frétiller dans leurs caleçons. »
Nous nous mettons à rire comme deux folles à gorges déployées. Je ferme les yeux et m'abandonne à la torpeur. Ma tête tourne un peu, mais le petit courant d'air me fait du bien et je me dis que 15 ou 20 minutes de repos me permettront de trouver la force de continuer. Sylvie n'a pas l'air de tenir en place. Sans ouvrir les yeux, je l'interroge :
- « Ca ne va pas ? »
- « J'ai envie de faire pipi. - souffle-t-elle, comme si quelqu'un pouvait l'entendre - Tu n'aurais pas un mouchoir pour que je puisse m'essuyer ? »
- « Regardes dans le vide poche, il y a des lingettes, j'en ai toujours pour les gosses. »
- « Super ! » Elle ouvre le vide poche, prend les lingettes, ouvre la porte et relève sa robe jusqu'aux hanches, avant de s'agenouiller en se tenant au siège et à la portière.
- « Tu aurais plus te mettre plus loin ! » lui dis-je en riant.
- « C'est ça, et si quelqu'un passe, il verra mon cul ! » fait-elle mine de s'indigner.
- « C'est vrai que ça pourrait causer un accident, et après, pour expliquer aux flics pourquoi il a perdu le contrôle, ça devrait être coton ! »
Nous rions à nouveau, et je m'aperçois que j'ai aussi envie qu'elle.
- « Dépêches toi - lui dis-je - il faut que je prenne ta place ! »
- « Ah, ah, ah !!! - s'esclaffe-t-elle - tu pouvais te moquer de moi. »
- « Magnes toi, je vais me pisser dessus ! » criais-je en sortant précipitamment de la voiture.
Je fais le tour de la voiture tout en relevant rapidement ma robe sur mes hanches. Arrivée derrière elle, je baisse mon string sur mes genoux et me baisse en m'appuyant sur ses épaules. Je ne suis pas sitôt accroupie que je commence mon office dans un bruit de cascade impressionnant.
- « Et bien ma chérie, ça c'est ce qu'on appelle une grosse envie ! » lance-t-elle.
- « Rien d'étonnant avec ce que j'ai bu. Par contre je crois bien que ma culotte est un peu mouillée. »
- « T'inquiètes pas, la mienne aussi. Tu veux une lingette ? »
- « Oui s'il te plait. »
Je saisis la lingette et me relève. Je m'essuie et avisant une poubelle à 2 mètres de moi je vais la déposer dedans.
- « Je te signale que ta robe est sur tes hanches et ton string sur tes genoux. » me dit-elle.
- « Je le sais bien, mais je ne vais pas la remettre comme ça. » dis-je en retirant cette dernière.
Je redescends ma robe sur mes cuisses et remonte dans la voiture après avoir déposé ma culotte derrière le siège. Sylvie après avoir retiré sa culotte et l'avoir mis derrière son siège se rassoit. Par contre sa robe est toujours au niveau de ses hanches. Je fais mine de n'avoir rien vu et ferme les yeux. Sa main se repose sur la mienne et nous poursuivons notre récupération. Au bout de quelque temps, je sens un léger changement dans la pression de ses doigts sur ma main, rien de réellement important, mais je desserre mes paupières pour en avoir le cœur net, veillant à ne pas changer l'expression de mon visage endormi. Derrière le rideau de mes cils, je vois sa main libre caresser doucement son sexe. Ses cuisses son ouvertes autant qu'elle a put le faire, et ses doigts impriment une caresse légère sur sa fente que je ne peux que deviner. Essayant de retenir ma respiration qui aurait tendance à s'emballer, je ne bouge absolument pas, mais ne parviens pas à quitter le spectacle des yeux. Le manège dure bien pendant près de cinq minutes. La pression de sa main sur la mienne se fait sporadique, sans être brutale, sa respiration devient saccadée et les doigts de sa main droite s'enfoncent plus profondément entre ses cuisses. J'entends bien lorsqu'elle retient ses gémissements et étouffe ses soupirs. Mais soudain, tout s'arrête, plus de respiration, de pression sur ma main, de mouvement de ses doigts sur son sexe. Elle ne bouge absolument plus. J'attends ainsi pendant au moins vingt secondes avant de me décider à relever subrepticement la tête. Mes yeux accrochent les siens et elle me sourit. Ouvrant complètement les miens, je lui rends son sourire.
- « Et bien, tu t'ennuies pas ma belle ! » lui dis-je en riant.
- « Tu peux parler, ça fait au moins 10 minutes que tu te rinçais l'œil ! »
- « Tu rigoles, je viens juste de m'en apercevoir ! » fis-je, l'air indignée.
- « Causes toujours voyeuse, il y a plus de 10 minutes que tu ne bouges absolument plus et que tu retiens ta respiration. Je n'ai jamais vu quelqu'un dormir comme ça ! ».
- « Admettons - avouais-je à moitié - mais ça n'empêche pas que c'est quand même bizarre que tu te caresses dans la voiture. »
- « Tu as peur que je salisse tes sièges tout neufs ? »
- « Non, mais.... Je veux dire... C'est gênant, non ? »
- « Pour moi, comme tu peux le constater, ça ne l'est pas du tout ! » lance-t-elle joyeuse.
- « Je m'en suis aperçue - dis-je en riant - Tu es quand même une drôle de fille, avoues le. »
- « Parce que je me caresse ? »
- « Non, parce que tu le fais à côté de moi. » dis-je dans un souffle.
- « C'est parce que je me suis sentie en confiance avec toi que je me suis permis de le faire. »
- « C'est gentil, et puis après tout je dois bien t'avouer que ça m'a intéressé beaucoup plus que je ne l'aurais cru. »
- « Ah bon ? Pourquoi ? »
- « Je ne saurais pas le dire, peut être parce que tu me tenais la main pendant que tu le faisais. J'avais l'impression d'être une invitée privilégiée. »
- « Tu l'étais réellement Bab, je pense que je voulais te provoquer un peu. »
- « Tu veux dire que tu voulais que je te surprennes ? »
- « Je le souhaitais, c'est vrai, et peut être plus encore... » dit-elle énigmatique.
Ne voulant pas me laisser entraîner sur ce terrain plus que glissant je proposais de rentrer, indiquant que j'étais mieux et que je commençais à avoir faim. Elle me dit qu'elle aussi et après avoir réglé les sièges, nous sommes rentrées chez elle.
Une fois chez elle, nous nous dirigeons vers la cuisine et commençons à nous préparer un petit repas. L'intermède de la voiture semble oublié et nous rions de notre soirée et surtout de l'empressement dont nous avons été victime de la part des garçons. Une fois le repas prêt, elle me propose de le prendre dans le salon sur la table basse en écoutant un peu de musique. J'accepte, et nous emmenons les plateaux dans le salon. Alors que je dispose les petits plats sur la table, elle entreprend d'allumer un feu dans la cheminée. Je lui dis qu'il ne fait pourtant pas froid et elle me rétorque que cela n'a rien à voir avec la température, mais que c'est juste pour l'ambiance. Elle rajoute aussi :
- « Que dirais tu de prendre une douche avant de manger, on a pas mal transpiré, on a un peu bu et on mange que des trucs froid. »
- « Oui et en plus une douche froide devrait te faire du bien, si tu vois ce que je veux dire ! »
- « Je vois très bien mais j'ai le regret de t'informer que cela aurait exactement l'effet inverse à celui recherché. »
- « Ah oui ? »
- « Yes ! Bon je vais la prendre. Viens, j'irais vite et tu passeras derrière moi. »
Je la suis jusqu'à la salle de bain. Elle ouvre le robinet et le temps qu'elle chauffe, elle fait passer sa robe par dessus sa tête, la jetant dans la corbeille à linge. Comme elle entre sous l'eau, je fais comme elle et m'assied sur le bout de la baignoire afin d'attendre mon tour. Effectivement, il lui faut moins de 5 minutes pour être prête à sortir. Elle me demande une serviette que je lui tends, et dès qu'elle pose un pied hors de la baignoire, je me glisse à sa place. Moi qui aime bien l'eau chaude, je commence à baisser un peu celle-ci afin de me dégriser un peu. Au bout d'un moment que j'estime suffisant, je prends le gant de toilette qu'elle m'a donné et je remonte un peu la température du jet. Après m'être bien savonnée, je me rince, savourant avec délice l'eau qui ruisselle sur moi. Cela fait presque 10 minutes que je suis sous l'eau quand je me décide enfin à l'éteindre. Sylvie me tend une serviette, et après m'être séchée, elle me demande si je veux un peignoir ou alors mettre la serviette comme elle, nouée au dessus des seins. Je lui dis que cela ira très bien comme ça, et nous sortons de la salle de bain pour nous rendre dans le salon. Elle jette quelques coussins devant le canapé et nous nous asseyons côte à côte face à la table, le dos calé par le canapé. Nous piochons avec les doigts dans les plats et nous régalons des petits canapés que nous avons préparés.
L'ambiance est très bonne et très chaleureuse. Sylvie semble aussi heureuse d'être avec moi que je le suis moi même d'être en sa compagnie. Nous découvrons que nous avons énormément de choses en commun, les goûts, les espérances, les pôles d'intérêts. Malgré la chaleur dans la pièce, Sylvie s'obstine à remettre du bois dans la cheminée. Par contre, chaque fois qu'elle se lève pour aller chercher ou faire quelque chose le nœud de sa serviette se défait et elle se retrouve nue comme le jour de sa naissance. Je me lève à mon tour pour aller fouiller dans sa collection de CD audio, quand il m'arrive exactement la même chose.
- « Quelle merde ! - lâchais-je - Pardon, mais c'est vraiment embêtant. »
- « A qui le dis-tu ! Ca ne serait que de moi je resterais à poil, surtout qu'en plus il fait une chaleur à crever. »
- « Tu m'étonnes, tu n'arrêtes pas de remettre du bois dans la cheminée. »
- « Je sais mais j'adore voir le feu dans la cheminée, c'est moi qui ai insisté pour que nous en ayons une. »
- « Ok, mais on fait quoi ? Je ne vais tout de même pas me rhabiller, je vais suer comme une vieille bête. On reste en tenue d'Eve ? » proposais-je.
- « Je n'osais pas te le demander, mais moi quand Kevin n'est pas là, je suis à poil en permanence. D'ailleurs quand il est là aussi !!! »
- « Moi aussi, enfin quand les petits sont couchés et qu'il fait bon. »
- « Alors d'accord - dit-elle en se levant - donnes moi ta serviette que je les ramène dans la salle de bain. »
Je ramasse ma serviette et la lui tend. Tandis qu'elle fait ce qu'elle a annoncé, je continue de chercher un CD qui me plairait. J'en trouve un gravé dont la mention sur la pochette est : « musique apaisante ». Je m'en saisis et l'insère dans la chaîne. Aussitôt une musique douce remplit la pièce. Sylvie approuve de la tête lorsqu'elle rentre dans le salon.
- « J'adore ce CD, c'est une copine qui me l'a gravé. Il y a 2 heures et demie de musique du même genre, il est vraiment génial. »
- « Je te l'emprunterais pour en faire une copie, si tu veux bien ? »
- « Aucun problème ma chérie. Si tu en trouves d'autres tu peux les prendre aussi. » dit-elle en se réinstallant devant la table.
- « Je te remercie. Si tu veux, Michel en a beaucoup aussi. Il passe son temps à pirater des musiques et surtout des films sur internet. »
- Je verrai quand je viendrai chez toi, mais ça m'intéresse. »
Je me rassois à côté d'elle et elle me resserre un verre de vin. Je m'aperçois que nous avons déjà bien attaqué la bouteille, et additionné à ce que nous avons bu avant, ça doit commencer à faire une belle dose d'alcool. Pourtant bizarrement, je ne me sens pas ivre. Je suis légère, étrangement calme, mais pas éméchée. Nous ne parlons pas pendant un bon moment savourant autant la musique que le bon vin. Les yeux fermés, la tête rejetée en arrière, nuque calée sur le canapé, les bras étendus de chaque côté du corps, je me sens planer. J'ai l'impression d'être seule au monde et cette sensation me semble délicieuse. Malgré le vide qui se fait dans ma tête, je me remets à penser à l'intermède dans la voiture et ce souvenir me procure une impression de chaleur dans le bas ventre. Je tourne la tête doucement vers Sylvie et m'aperçois qu'elle a les yeux fermés et elle aussi, la tête en arrière. Par contre, sa main droite est posée à l'intersection de ses cuisses et elle est animée d'un léger mouvement. « Et après tout, pourquoi pas ? » me dis-je à moi même, et, joignant le geste à la pensée, je pose ma main sur mon sexe que je découvre déjà très humide. Sans bouger le bras, mes doigts se mettent à tourner doucement autour de mon clitoris. La sensation est délicieuse et le fait de faire ceci à côté de Sylvie décuple cette impression. Je plie les jambes, écarte mes genoux, ouvrant grand mon sexe avide. Je ramène ma deuxième main et écarte les lèvres de mon sexe afin de faciliter l'exploration de mon autre main. J'introduis un puis deux doigts dans mon sexe désormais trempé et continue simultanément à titiller mon petit clito.
- « Gardes les yeux fermés, ne t'arrêtes pas. » me souffle Sylvie à l'oreille.
Je sens une de ses mains se poser sur l'intérieur de ma cuisse droite, encore à une vingtaine de centimètres de mon sexe. Immédiatement après, je la sens se pencher sur moi et ses lèvres se collent aux miennes. M'abandonnant, j'entrouvre les miennes et laisse sa langue s'insérer dans ma bouche. La mienne la rejoint et se mêle à la danse qu'elle entreprend. J'aime sa manière d'embrasser, la saveur de sa bouche et sa main qui se met à descendre vers la fourche de mes cuisses. Ma main gauche abandonne mon sexe pour venir saisir sa nuque, tandis que le droite remonte le long de sa cuisse jusqu'à sa toison. Son sexe est aussi mouillé que le mien et deux de mes doigts se glissent dans sa grotte soyeuse. Je sens ses muscles se contracter autour de mes phalanges et de nos deux bouches soudées, elle laisse échapper un gémissement. Sa main aussi ne tarde pas à entrer dans la danse et ses doigts, puissants lorsqu'ils me pénètrent, se font légers quand ils effleurent mon petit bouton. Je gémis à mon tour, et inconsciemment, j'ouvre encore plus le compas de mes jambes et pousse mon bassin plus en avant, m'offrant ainsi totalement à sa fougue et lui signifiant mon total abandon. Elle répond à mes attentes et s'offre à moi de la même manière. J'ai envie de ce qui va venir, de découvrir cet autre aspect de l'amour, et je sais qu'elle est capable de combler tout mes désirs, et réciproquement, je sais, sans aucune forfanterie, être en mesure de satisfaire les siens. Nous sommes semblables, nos désirs sont identiques, le modus operandi nécessaire pour y parvenir l'est aussi.
Sans abandonner sa bouche, je l'invite à s'allonger, et une fois étendues face à face, reliées par nos bouches voraces, j'entreprends une caresse exploratoire de son corps. Ses seins sont lourds, ses hanches pleines, ses fesses rebondies et fermes, ses cuisses et son dos musclés. Nous sommes taillées sur le même modèle et ce corps inconnu une heure avant est presque un territoire connu depuis une éternité. Même le grain de sa peau est semblable. Au moins, je suis satisfaite, car si elle s'apprécie, elle m'appréciera. Elle se colle de plus en plus à moi, gênant mes caresses, et au bout d'un moment me fait rouler sur le dos. A ce moment, abandonnant mes lèvres, saisissant mes poignets qu'elle bloque au sol, elle entreprend de descendre le long de mon corps, embrassant chaque centimètre carré de peau sur le chemin de sa bouche. Happant mes seins tour à tour, elle en suce les tétons, joue à les mordiller avant de poursuivre son itinéraire vers mon bas ventre. Mon nombril détourne encore un instant son attention de sa destination finale, puis jugeant qu'elle l'a assez honoré, elle arrive enfin à toucher au but de sa quête.
Au début, sa langue et ses lèvres semblent ne pas s'intéresser du tout à ma fente impatiente. Elle lèche les plis de mon aine, mordille l'intérieur de mes cuisses, tire mes poils avec ses dents, remonte juste en dessous du nombril puis repart vers le bas, allant même jusqu'à l'arrière de mes genoux. Enfin, comme on ressent une délivrance, sa langue trouve le chemin de mon intimité. S'attardant sur mon bouton d'amour, elle en fait le tour, tantôt dans un sens, tantôt dans l'autre. Elle a déjà compris que c'est LE point de départ et d'arrivée de mon plaisir. Je relève les jambes, saisit le pli de mes genoux avec mes mains et ouvre mes cuisses comme si je voulais qu'elle entre en entier dans mon sexe gourmand. Elle répond à l'invitation avec empressement. Laissant pour un temps mon clitoris à la sensibilité exacerbée, elle se met à lécher consciencieusement tout ce que je semble lui offrir. Elle pénètre mon sexe au plus profond de ses possibilités, dardant sa langue, la rendant raide et longue comme un sexe de mâle, puis s'éclipsant, elle va imprégner de sa salive la vallée séparant mes fesses, s'attardant comme par malice sur mon petit œillet qui frémit de plaisir et de désir réunis. Puis elle reprend son chemin, variant l'intensité, la vitesse, la quantité de salive, les endroits honorés. J'ai tellement de plaisir que j'ai besoin de lui rendre ses caresses. Je le lui dis, et elle ne se fait pas prier pour accepter. Quittant sa position, elle se met en position de 69 au dessus de moi, enfourchant mon visage avec ses cuisses et m'offrant une vue imprenable sur sa fente détrempée. Je saisis ses fesses à pleines mains et à l'instant même où sa bouche reprend possession de mon sexe, la mienne plonge sur le sien. D'emblée son odeur me plait, et c'est avec délice que je bois son nectar directement à la source, fière d'être à l'origine d'une telle inondation. Son clitoris est beaucoup plus développé que le mien et c'est un véritable petit sexe d'à peu près un centimètre que je suce entre mes lèvres avides. Les coups de reins qu'elle donne et les gémissements qu'elle pousse me montrent que je tiens là, la clé de son plaisir. La position devient tout de même rapidement inconfortable pour mon cou qui doit supporter le poids de ma tête, et je dois rapidement tirer à moi deux coussins qui traînent à côté de moi. La surépaisseur est telle que je suis pratiquement étouffée par son sexe et ses cuisses, mais ma nuque ne me fait plus mal du tout. Par contre sa langue me procure un plaisir extrême et je sens de grandes vagues partir du plus profond de mon ventre et annoncer l'arrivée d'un orgasme imminent et qui sera, j'en suis sûr, mémorable. Ne voulant pas la laisser en chemin et sachant que dès que je commencerais à jouir je ne serais plus en mesure de l'honorer comme il faut, je redouble d'ardeur et c'est presque instantanément que nous jouissons ensemble. J'inonde son visage autant, sinon plus qu'elle inonde le mien. Je prends conscience pour la première fois de ce que mon mari appelle l'éjaculation féminine. Et moi qui croyais qu'il exagérait !!!
Nos cris se sont à peine éteint que nous restons pétrifiées de surprise. Une voix de stentor, inconnue de moi s'élève dans la pièce :
- « Et bien, on ne peut pas te laisser toute seule cinq minutes à ce que je vois ! Crois tu que ce soit une façon d'accueillir son mari, qui plus est, quand il est accompagné d'un ami ? »
Une voix différente se fait alors entendre :
- « Salut Sylvie, qui est ta ravissante amie ? Je ne crois pas la connaître. Et toi Kevin ? »
- « Moi non plus, mais je pense qu'elle doit s'appeler Barbara. C'est le nom de la copine qui devait l'accompagner au gala de gym. Je me trompe ? »
- « Non tu ne te trompes pas, mais tu es vraiment un goret, lorsque tu nous as vu, tu aurais pu retourner dans l'entrée et faire un peu de bruit de manière à ce que nous ayons le temps de nous couvrir. Crois-tu que ce soit bien vis à vis de mon amie ? Je suis sûre qu'elle est très gênée. Tu es vraiment con des fois ! Luc, files dans la cuisine et arrêtes de sourire comme un crétin, et toi va chercher les peignoirs dans la salle de bain, rapportes les et va attendre qu'on vous appelle dans la cuisine avec ton idiot de copain ! »
Le ton est dur et il n'y a aucune trace de plaisanterie dans sa façon de s'exprimer. Je sens qu'elle est vraiment très en colère. J'essaie de la calmer et de la rassurer :
- « Ne t'inquiètes pas ma chérie. Ce n'est pas très grave, tu sais j'ai le même à la maison et le connaissant, lorsque tu l'aurais entendu ça aurait été au moment où ses deux mains se seraient posés sur tes fesses, et là, il t'aurait dit :
- « Bonjour madame moi c'est Michel, pourriez vous me dire votre prénom avant que je m'introduise. »
- « Tu plaisantes ? »
- « Bien-sûr, je pense qu'il se serait d'abord introduit avant de se présenter et te demander ton prénom. »
- « Il est comme mon mari alors ? »
- « Ben ça, je ne peux pas le dire vu que je ne l'ai pas vu du tout. Souviens-toi que lorsqu'il est entré j'avais la tête prisonnière entre tes cuisses. »
Nous partons dans un fou rire, et nous roulons sur nous même pour nous relever. Lorsque le mari de mon amante, entre dans la pièce, il regarde par terre et a l'air de prendre très au sérieux la colère passée de son épouse. Il lui tend les peignoirs sans rien dire et file en direction de la cuisine. Nous enfilons ces derniers, nouons convenablement nos ceintures, et retenant nos rires avec peine, nous dirigeons vers la cuisine où attendent les deux hommes, penauds. Sylvie, me prenant par la taille, fait les présentations :
- « Bab, je te présente Kevin mon mari et Luc son meilleur copain. Soit dit en passant, si c'est le meilleur, je suis heureuse de ne pas connaître les autres. Les garçons, je vous présente Barbara, mon amie, et même vraisemblablement ma première meilleure amie depuis que je suis sortie du lycée. »
- « Bonjour Kevin, bonjour Luc - commençais-je - je suis heureuse de faire votre connaissance, et.... Je crois qu'on peut se faire la bise car je crois qu'on se connaît déjà très intimement. Tout du moins vous ! »
Encore gênés, les deux hommes s'approchent de moi, me font la bise du bout des lèvres et Luc va même jusqu'à me dire : « Bonjour madame ». Ce qui déclenche un fou rire général. Une fois les rires éteints, Sylvie interroge son mari :
- « Comment ça se fait que tu arrives ce soir, tu devais rentrer vers 9 heure demain matin ? »
- « Le client qu'on devait charger a décommandé et nous sommes rentrés directement. Je voulais te faire la surprise ! Remarques que pour ça, j'ai été aussi surpris que toi ! Et moi - insiste-t-il - je ne me suis pas mis en colère ! »
- « Tu m'étonnes, obsédé, depuis le temps que tu me bassines avec ton fantasme de me voir faire l'amour avec une autre femme, tu n'allais sûrement pas m'engueuler. »
- « Ce n'est pas vrai ! - se défend il - ce n'est pas MON fantasme ! »
- « Je confirme - dit-elle perfide - ton fantasme c'est de me voir faire l'amour avec une femme et après de te taper les deux. Je suis plus prés de la vérité là ! »
Il ne répond pas et comme on dit chez nous, « Qui ne dit mot, consent ».
- « Bon, - reprend Sylvie pour changer de conversation - j'imagine que dans la surprise il y avait aussi celle de vous faire à manger. Je me trompe ? »
- « Ben non. On a roulé d'une traite et on ne s'est pas arrêté. C'était pour.... »
- « Pour la surprise - finit pour lui son épouse au bord de la crise de fou rire, devant la gêne de ses deux grands gamins - Allez, mettez vous à table, on va vous préparer quelque chose. »
Tandis qu'ils s'installent, nous fouillons le frigo, les placards et commençons à leur préparer un repas simple, mais consistant. Une fois les hommes servis, nous prenons place autour de la table après nous être servies un café. Le silence qui se faisait un peu pesant est rompu par Kevin.
- « Je suis un peu embêté, mais j'avais proposé à Luc de dormir à la maison et de le raccompagner chez lui demain matin, mais si Barbara reste cette nuit, cela risque d'être délicat. »
- « Ne t'inquiètes pas, je devais repartir en fin de soirée. » le rassurais-je.
- « Je dois t'avouer que si tu avais passé la nuit ici, ça ne m'aurait pas du tout embêté. » dit-il en riant.
- « Tu m'étonnes - le coupe Sylvie - et j'imagines que ce n'était pas dans la chambre d'ami que tu l'aurais fait dormir ? »
- « Tu me prends vraiment pour un obsédé. » s'offusque ce dernier.
- « Jures moi sur ce qui t'est le plus cher, que ce n'était pas à ça que tu pensais. » reprend Sylvie.
- « Que je pense à n'importe quoi de toute façon, ce n'est pas grave, elle rentre chez elle. »
- « Oui, mais pas maintenant. Alors si vous voulez aller vous coucher, ne vous gênez pas pour nous. »
- « Ben, on n'a pas sommeil nous. En plus j'étais heureux de passer la soirée avec toi. »
- « Je vois à quelle genre de soirée tu fais allusion, surtout avec Luc ici ! » dit-elle.
J'avoue que cette dernière remarque me laisse septique.
- « Ce n'est pas grave - dis-je - de toute façon il va falloir que je rentre. Je vais vous laisser. »
- « C'est hors de question. Ta maman garde les petits et tu n'es pas obligée de rentrer maintenant. »
- « Elle à raison Barbara - intervient Kevin - Nous allons aller prendre une douche, mais tu peux rester aussi longtemps que tu veux. Tu es l'invitée de Sylvie alors c'est comme si tu étais la mienne. »
- « Ouah !! Un vrai homme du monde - s'esclaffe Sylvie - Vas donc te laver avant de raconter des bêtises en en faisant trop ! »
- « Et je prends quoi comme peignoir, Barbara à le mien ? »
- « Tu te démerdes et Luc aussi. Maintenant ouste ! »
Les mecs s'en vont et nous rangeons la cuisine avant de retourner dans le salon. Nous prenons avec nous le café afin que les hommes le prennent à leur sortie de la douche.
Kevin entre 5 minutes plus tard, une serviette ceinte autour de la taille, suivi 5 minutes plus tard de Luc, vêtu de même. Il prend place sur le fauteuil, en vis à vis du canapé, où Sylvie est entourée de Kevin à sa droite et moi à sa gauche. Les deux hommes racontent leur semaine de travail, vu qu'ils étaient en déplacement depuis lundi. Une fois le sujet épuisé Kevin m'interroge sur notre famille et me demande comment je supporte tes longues absences répétées. Je lui réponds que c'est l'habitude, mais que j'ai du mal, d'autant plus qu'il faut aussi encaisser la tristesse des enfants. Il a vraiment l'air de compatir, et j'ai la faiblesse de croire qu'il est sincère. Luc participe aussi à la conversation et me demande si j'ai des amis sur qui je peux compter. Je lui dis qu'il est difficile de s'appuyer sur les amis car cela revient trop souvent et que j'ai peur de devenir un boulet pour eux.
- « Moi, tu pourras toujours compter sur moi, et je te jure que ce ne sont pas des mots, et que ça n'a rien à voir non plus avec ce qui c'est passé tout à l'heure. »
- « Je te remercie, mais tu as ta vie et tes propres amis, moi, tu ne me connais pas depuis longtemps. »
- « La journée que j'ai passé avec toi est une journée exceptionnelle pour moi. Tu penses peut être que j'ai fais ça pour te draguer, mais c'est faux. Je pense que comme pour toi, c'était la première fois. »
- « J'ai du mal à te croire, ça avait l'air tellement naturel pour toi... »
- « C'est la première fois que je me sentais si bien avec une fille, et comme je ne suis pas du genre à tourner autour du pot pendant dix ans... »
- « A qui le dis tu !!! » la coupe Luc.
- « J'ai confiance en toi Bab, alors je vais te confier quelque chose de très intime. Kevin et moi sommes ce qu'on appelle un couple libertin, c'est-à-dire que nous avons des relations avec d'autres personnes qui ont les mêmes aspirations. Mais jusqu'à présent je n'avais jamais eu de relation avec une autre fille. Je te le jure. »
- « Je te crois, Sylvie, et comme tu le dis devant Luc, j'imagine qu'il fait partie de ces personnes ? »
- « Et oui, car malgré tout ses défauts il a d'énormes qualités et je ne parle pas que de ses mensurations. Tu verras, c'est quelqu'un de sensible sous ses airs de crétin. »
- « Eh !!! Je ne te permets pas de dire ça de moi !!! Je ne suis pas un crétin !! »
- « Bien sûr que non, c'était une plaisanterie. Bon toutes ces confessions m'ont données soif. Kevin comme tu ne dis rien tu ne voudrais pas aller chercher une bouteille de champagne, il y en a une dans le frigo. »
- « A tes ordres ma chérie. » et il part dans la cuisine, d'où il revient quelques instants plus tard avec la bouteille et 4 coupes.
Alors qu'il se penche pour poser délicatement les flutes en cristal, la serviette se détache brutalement et tombe à ses pieds. Heureusement, il n'essaie pas de la récupérer avant qu'elle ne tombe, sauvant ainsi les coupes d'un sort peu enviable. Il pose les coupes, la bouteille et se penche pour ramasser la serviette. A ce moment là, je ne sais pas ce qui me passe par la tête, mais je suis comme hypnotisée par sa verge que je vois pendre le long de sa cuisse, et dans un réflexe, je pose mon pied sur le tas informe qui jonche le sol, et lui dit :
- « Avant toute chose, ne pourrais-tu pas remettre une buche dans le feu ? »
- « Tu as froid - dit il en se redressant - pourtant je trouve qu'il fait bon. » reprend il étonné.
- « C'est juste parce que j'aime le feu, le regarder, jouer avec. » dis je-en regardant Sylvie.
- « Vas remettre une bûche s'il te plait chéri - dit-elle à son tour - tu remettras ta serviette après. »
- « Comme vous voulez les princesses, mais après ne venez pas me dire que vous avez trop chaud ! »
- « Si on a chaud on enlèvera une épaisseur. » répondis-je, en souriant.
- « C'est vrai ça, pourquoi n'y ais je pas pensé tout seul ? » dit-il narquois.
Il remet une bûche, attise un peu le feu, referme la vitre et revient vers nous. N'essayant même pas de ramasser la serviette, il saisit la bouteille et entreprend de l'ouvrir. J'ai du mal à détacher mon regard de son sexe, mais il reste imperturbable. Je jette un coup d'œil vers Luc, et je vois que pour sa part, la situation est loin de le laisser de marbre. Une bosse impressionnante déforme le devant de sa serviette et je remarque que Sylvie n'en perd pas une miette.
- « Luc peux tu aller chercher les boudoirs dans le meuble de la cuisine ? » demande-t-elle.
- « Bien sur. » dis celui-ci en se levant.
La tension est telle que lorsqu'il se lève la serviette se dénoue et tombe. Son sexe dressé est impressionnant. Il est assez fin, mais très long, et encore la finesse est toute relative. Comme Kevin il n'est absolument pas gêné et file vers la cuisine avant d'en revenir avec une boite de boudoir qu'il dépose devant moi après être resté un bon moment debout à l'ouvrir, son sexe à 20 centimètres de mon visage. Il me regarde et me propose un gâteau, que j'accepte. Au lieu de se rassoir sur le fauteuil, il s'assied à côté de moi, sa hanche et sa cuisse, touchant les miennes à travers le tissu en éponge. J'ai soudain très chaud et ce n'est pas seulement dû à la température. Le rouge me monte aux joues et Sylvie m'interroge :
- « Tu as chaud Bab ? »
- « Assez oui, je commence à avoir des gouttes qui dégoulinent. »
- « Tu n'as qu'a enlever ta veste - me propose-t-elle - je crois que je vais faire pareil. »
- « Tu as raison - dis-je en me levant - donnes la moi je vais aller l'accrocher dans la salle de bain. »
Elle se lève, se débarrasse de son peignoir et me le tend. Luc se lève à son tour, ramasse les deux serviettes et au lieu de me les tendre, me suit dans la salle de bain. J'accroche le peignoir de Sylvie à la patère, et m'apprête à retirer le mien.
- « Attends je vais t'aider - me dit Luc - laisses moi faire. »
Il se met devant moi et défait le nœud. Puis il saisit les pans du peignoir et les ramène derrière moi, m'obligeant à reculer les bras et donc à le faire avancer. Son sexe est contre mon ventre quand je retire les bras des manches, et j'ai un frisson. Il pose le peignoir et s'inquiète :
- « Tu as froid ? »
- « Non, c'était juste une réaction à ton contact, comment dire.... viril. »
- « Excuses moi - dit-il en souriant, mais ne pensant, me semble-t-il absolument pas ce qu'il dit - je n'ai pas fait attention. » ment-il encore avec le même aplomb.
- « Je m'en doute bien - ironisais-je à mon tour - sinon tu ne l'aurais pas fais, n'est ce pas ? »
- « Bien sûr que non - affirme-t-il en continuant le jeu - on rejoint les autres ? Je pense que si on s'absente trop longtemps, ils vont se faire des idées. »
- « Je crois surtout que si on tarde, on risque de découvrir un spectacle tout à fait spécial. » complétais-je.
Nous retournons dans le salon, et reprenons notre place. Luc, par contre reprend place sur le fauteuil en face de moi, et je dois avouer que j'en suis presque peinée. Kevin nous tend les flûtes remplies du liquide doré et pétillant et nous portons un toast à tour de rôle.
- « A notre retour inopiné. » lance Kevin.
- « A notre retour plein de bonne surprise. » reprend Luc.
- « A votre retour un peu gênant. » poursuit Sylvie.
- « A notre soirée qui à l'air de s'annoncer comme mémorable. Tout du moins pour moi !!! » lançais-je à mon tour.
- « Bienvenue au club ! » me répond Kevin, aussitôt imité par Sylvie et Luc.
Nous levons nos verres de concert et le liquide glacé me fait du bien. Personne ne repose sa flûte avant qu'elle ne soit vide, puis chacun se rassied à sa place, tandis que Kevin remplit à nouveau nos verres. Je me décide à leur demander comment à commencé leur liaison à trois. C'est Sylvie qui m'explique.
- « Luc était un copain de travail de Kevin et celui-ci m'en parlait souvent. Luc par ci, Luc par là. Un jour je lui ai proposé de l'inviter à la maison, car il m'avait dit qu'il venait de divorcer et que son ex-femme lui cherchait des poux dans la tête. Lorsqu'il est arrivé, je l'ai tout de suite pris en affection, sûrement à cause de sa tête de chien battu. De plus, comme tu peux le constater, il est plutôt joli garçon. Comme il se faisait tard, nous lui avons proposé de passer la nuit dans la chambre d'ami, et comme il n'a pas de voiture et que Kevin était fatigué, il a accepté. » elle s'arrête de parler et prend sa coupe.
- « Et puis ? » m'impatientais-je.
- « Du calme gourmande, ça donne soif de parler. »
- « Et puis, ils ont été se coucher - poursuit Luc - J'étais resté ici, dans le salon pour regarder la télé. J'avais mis le son au plus bas pour ne pas les déranger, mais la fatigue de Kevin avait du passer car je les entendais s'amuser dans la chambre et ils avaient l'air très en forme. Je suis allé prendre une douche et je suis revenu dans le salon. Cette fois ci, je n'ai pas allumé la télé, mais j'ai pris le casque audio, et allumé la chaîne stéréo. Avant dans le coin là-bas, il y avait un fauteuil, et je m'y suis installé. Au bout d'une demi-heure, ils sont allés sous la douche, puis dans la cuisine. Je les voyais traverser la maison à poil, mais je n'osais pas me signaler de peur de les gêner. »
- « Ecoutes, c'est maintenant le meilleur ! » me prévient Sylvie.
- « Une fois désaltérés, ils entrent dans le salon sans bruit. Kevin s'appuie contre la poutre de la cheminée, là, à un mètre cinquante de moi. Sylvie arrive, ils s'embrassent et elle s'agenouille à ses pieds afin de lui faire une pipe. Comme ils n'ont pas allumé et que je suis dans le recoin encore plus sombre, ils ne font pas attention à moi, mais moi je les vois bien à cause de la lumière de la lune qui entre par la fenêtre. Au bout de cinq minutes, Kevin la fait se relever, la retourne, la fait se courber et avancer afin qu'elle puisse se tenir aux bras du fauteuil. Mais quand elle y pose les mains, c'est sur mes avant-bras qu'elle les pose. Elle recule un peu, mais Kevin qui n'a rien vu commence à la pilonner. Je retire mes bras et elle repose les mains sur les accoudoirs. Pendant que Kevin fait son œuvre, nous sommes si près que nous distinguons bien nos visages, et nos regards ne se quittent pas. Ma respiration s'accélère et elle s'aperçoit que je suis très excité. Une de ses mains glisse sur moi, entrouvre mon peignoir et prend mon désir à pleine main. Après je te laisse imaginer la suite. Elle m'a pris dans la bouche et m'a sucé jusqu'à ce que Kevin jouisse en elle. Une fois qu'il a repris son souffle, il lui pose une question que ni elle, ni moi ne comprenons, alors la sentant toujours bouger, il comprend qu'il se passe quelque chose de bizarre, tend la main et allume la petite lampe qui se trouve entre la cheminée et le fauteuil, et...... il découvre le spectacle ! » il s'interrompt un instant pour boire à son tour, et c'est Kevin qui continue l'histoire.
- « Je ne sais pas pourquoi, mais la surprise passée, j'ai tout de suite étais heureux. La femme que j'aime et que je viens d'honorer qui suce mon meilleur ami. J'ai retrouvé immédiatement la grande forme - il s'arrête de parler, regarde son sexe en érection et reprend - un peu comme ça ! J'ai fais relever Sylvie sans rien dire, puis j'ai fais signe à Luc de me suivre et nous nous sommes assis côte à côte sur le canapé. J'ai appelé Sylvie doucement et lui ai demandé de nous sucer tous les deux. C'était il y a cinq ans et nous n'avons jamais rompu notre relation. Luc vient très souvent, 2 ou 3 fois par semaine, nous rejoint quelque fois pendant les vacances et nous sommes très heureux comme ça. »
- « Mais vous faites cela, toujours tous les 3 ? » demandais-je.
- « Il nous est arrivé de trouver d'autres partenaires, mais dans l'ensemble, c'est souvent tous les 3. je crois même que nous faisons l'amour plus souvent à trois qu'à deux. C'est une question de plaisir, même si à deux c'est bien, pour honorer une femme il vaut mieux être deux hommes. L'amour n'a rien à voir là dedans. Luc est notre meilleur ami, il n'est pas amoureux de Sylvie qui ne l'est pas non plus de lui. Nous avons seulement remarqué que nous avons plus de plaisir à trois et comme nous avons tous de gros appétits, cela arrange tout le monde. »
- « Je comprends - dis-je un peu sous le choc - je ne sais pas si je pourrais vivre une situation comme celle là. »
- « Ton mari est jaloux ? Tu crois qu'il n'accepterait pas ? »
- « Ah ça, il n'y a pas de risque qu'il refuse, cela fait des années qu'il me donne les mêmes arguments que vous venez de me donner pour me convaincre de faire l'amour à trois avec un autre homme !!! »
- « Et alors, pourquoi ne le fais tu pas ? »
- « Je n'ose pas. J'aurais du mal à faire l'amour avec un autre homme alors que je suis mariée... »
- « Bab, tu écoutes ce que tu dis. Il ne fait de doute pour personne sur l'issue de la soirée. Je pense que tout le monde, toi y compris, sait que nous allons faire l'amour tous ensemble. Tu le sais depuis un moment et pourtant tu es toujours là, et je ne pense pas que l'alcool y soit pour grand chose. Je ne pense pas non plus que tu sois amoureuse de l'un d'entre nous, et pourtant tu es prêtes, voire impatiente, de commencer. Je me trompe. »
- « Non, mais j'avoue que tout cela me trouble. »
- « C'est normal - dit Luc en s'installant près de moi et en passant son bras autour de mes épaules - la situation n'est pas commune, mais ce qui est bien, c'est que tu ne luttes pas pour rejeter tes désirs et aucun de nous ne fait pression sur toi. Tu peux refuser, tu peux même partir, mais tu ne le fais pas car tu as décidé de suivre ton désir, et c'est très bien. »
Je me laisse aller et je pose ma tête sur son épaule. Il caresse mon bras avec la main qu'il a passé autour de moi, et dépose un baiser sur mes cheveux.
- « Je suis bien avec vous alors je crois que je vais suivre ce que me dicte mon instinct. Je vais rester avec vous et j'essaierais de ne pas vous décevoir. »
- « Ne racontes pas n'importe quoi Barbara - dit Sylvie, en posant une main sur ma cuisse - ce n'est pas un test d'entrée dans un club. C'est beaucoup plus dur d'y rentrer, car il faut que nous reconnaissions tout les trois le nouveau arrivant ou la nouvelle en l'occurrence comme une amie et ce test est beaucoup plus dur que tu ne le crois. Tu as désormais trois nouveaux amis, et là, je ne parle pas de sexe. »
- « Je te remercie - dis-je en posant ma main droite sur la cuisse de Sylvie et la gauche sur celle de Luc - je vous remercie tous les trois pour cet accueil si chaleureux. »
- « Bienvenue au club !!! » disent-ils tous ensemble.
- « Ca s'arrose !!! » dit Kevin en se levant pour aller à la cuisine.
- « Je t'assure que ce n'est plus la peine de me saouler Kevin, je me suis totalement abandonnée à l'ennemi supérieur en nombre. » lançais-je toute guillerette.
Tout le monde éclate de rire, et moi aussi. Le dos de ma main est désormais bien calé contre la hampe dure de Luc, qui pour sa part laisse sa main immobile sur l'intérieur de ma cuisse. Pensant qu'il attend une sorte d'autorisation, j'entrouvre subrepticement les jambes, lui laissant une plus grande marge de progression. Il répond à mes attentes, aussitôt suivi par Sylvie, qui, manifestement, ne veut pas rester en arrière. Lorsque Kevin revient il nous découvre dans cette position et lance d'un péremptoire :
- « Eh vous deux ! n'oubliez tout de même pas qui est le maître de céans, je crois que c'est à moi que reviendrait le droit de lui faire effectuer le tour du propriétaire. »
- « Ne les sermonnes pas trop, - dis-je - je pense que je suis un peu responsable. » rajoutais-je.
- « Ca ira pour cette fois - dit-il faussement bougon - allons, buvons une coupe pour sceller notre amitié et nous ouvrirons le bal tous les deux si tu veux bien. »
- « Je me place sous les ordres du maître des lieux - ironisais-je - acceptant par avance qu'il use et abuse de moi, pauvre novice, de ses jeux démoniaques. »
- « Je vois que tu commences à comprendre les règles du jeu, jeune ingénue. »
- « Il se prend pour qui cet abruti ? » s'interroge à haute voix son épouse désespérée.
- « Tais-toi femme et bois ! » réplique Kevin appréciant apparemment beaucoup son rôle de seigneur.
Tout le monde ayant en main une coupe bien remplie, nous nous levons tous et trinquons en portant un toast à la soirée qui commence sous de si bons auspices. Les verres sont vite vidés, tant tout le monde est pressé de commencer les festivités et autres bacchanales. Kevin tend la main pour que je lui confis ma flûte, la prend et la pose sur la table basse. Il s'approche de moi, et je fais à mon tour un mouvement en avant afin de lui montrer que je ne serais pas que passive et que je compte moi aussi, garder une certaine initiative. Nous sommes maintenant face à face, les bras le long du corps, et nous nous regardons en souriant.
Il lève la main et caresse mon visage. A ce signe, j'avance et me blottit contre lui. Je sens son corps contre le mien, son sexe qui bat contre mon ventre, et lui ne peut ignorer le mien. Mes deux bras enserrent sa taille, une de mes mains part vers le haut de son dos, tandis que l'autre se pose sur sa hanche, maintenant la pression entre nos deux corps. Ses doigts saisissent doucement mon menton, m'obligeant à relever la tête. Son visage se penche sur le mien, j'aperçois ses lèvres s'entrouvrir, juste avant qu'elles ne touchent les miennes et que nous entreprenions un long baiser où nos langues, frénétiquement, échangent leurs envies de plaisir. Une de ses mains maintient ma nuque, tandis que la deuxième part à la rencontre de mes fesses. Au bout d'un moment, la pression de sa main sur ma nuque se fait plus légère et je décide de prendre l'initiative. Je mets fin à notre baiser, le repousse en arrière jusqu'à ce qu'il soit obligé de s'assoir dans le canapé, et, satisfaite de sa coopération, je m'agenouille entre ses cuisses, saisie son sexe à deux mains, et plante un baiser très mouillé, sur son gland cramoisi. Levant les yeux afin de capter son regard, je me penche, lèvres entrouvertes, sur l'objet de mon désir. Ne le quittant pas des yeux, j'engloutis son membre avec délectation, et me mets à le sucer avec ravissement. Son odeur est agréable, sa rigidité parfaite, sa taille plus qu'honorable et sa douceur semblable à une peau de bébé. Il doit se raser souvent, car sa toison est peu fournie et peu de poils mesurent plus d'un centimètre. Lui non plus ne cherche pas à séparer ses yeux des miens et tandis que je le suce avec avidité et je dois l'avouer avec une belle dextérité, il me prodigue ses félicitations et ses impressions.
Un mouvement à côté de nous, et je vois Sylvie prendre place à côté de son mari. Elle relève ses jambes, ses mains passées sous les genoux écartent à fond le compas de ses cuisses. Luc, que j'aperçois du coin de l'œil, s'accroupit entre elles et commence à lui lécher la lune dans un grand bruit de succion. Presque aussitôt mon amie commence à gémir et à se tortiller sur le canapé, prouvant par là, soit qu'elle avait très envie, soit que Luc est un véritable expert, soit.... les deux !!!
Kevin grogne sous mes coups de langues et mes savantes aspirations, pourtant je retire ma bouche et langoureusement, ma langue, distribuant énormément de salive commence à descendre le long de sa hampe. Je gobe ses bourses l'une après l'autre, les faisant tourner dans ma bouche, les mordillant, les recrachant. Puis, au bout d'un moment, je remonte, happe à nouveau son gland turgescent et reprend ma succion effrénée. Lorsque je repars vers le bas, je passe mes mains sous le pli de ses genoux et l'oblige à remonter les jambes. Alors, abandonnant ses couilles gonflées je vais me perdre entre ses fesses, où, du bout de la langue, je titille son petit trou, faisant sembler de forcer le passage. Revenant encore une fois vers le haut, je reprends ma fellation pour le plus grand bonheur du mari de mon amie.
Alors que je le sens commencer à frémir, il pose ses mains sur mes épaules et m'oblige à abandonner l'objet de toute mon attention, ce que je fais avec regret. Il se redresse, me relève, nous fait pivoter et m'installe à sa place. Je me retrouve bientôt à moitié couchée, les genoux touchant presque mes épaules, et le sexe et les fesses offertes à toutes les vues et à toutes les attentions. Celles-ci ne tardent d'ailleurs pas, car Kevin plonge littéralement, bouche en avant sur mon sexe dégoulinant de mouille. Ses bruits de langue me font presque honte, tant le bruit de clapotis est important. Mon sexe est tout ouvert sous la poussée de sa langue experte et insidieuse. Mon clitoris attire aussi sa curiosité et quelques coups de langues lui prouvent qu'il vient de trouver la plus grosse clé de mon plaisir. Je suis transportée de plaisir et je ne tiens pas trois minutes sous cette torture délicieuse avant d'inonder son visage et de partir dans une jouissance fantastique, ne pouvant pas m'empêcher de hurler de bonheur. Malgré mes récriminations, il laisse sa bouche sur mon sexe, jusqu'à ce que cessent les vagues qui secouent mon corps. Je récupère à peine lorsqu'il se relève. Je suis prête à le recevoir et même plus, je l'attends ardemment. Au lieu de ça, il tape sur l'épaule de Luc, qui lui aussi, vient de faire jouir Sylvie d'une façon extraordinaire, et lui fait signe de lui laisser la place. Ce dernier s'exécute et se prépare immédiatement à combler le vide laissé par son ami. Ayant toujours les jambes remontées très haut, il pose ses mains en appui sur l'arrière de mes cuisses, présente son gland devant la porte de mon intimité et pousse doucement. Malgré sa taille plus qu'impressionnante, la préparation de Kevin facilite l'ingestion par mon puits d'amour du monstre qui en force le passage. J'engloutis bientôt les trois quarts de sa longue hampe, ayant l'impression qu'un énorme boa est en train de rentrer en moi. Pourtant, malgré la taille, je n'éprouve aucune douleur et l'appréhension du début c'est transformée en ravissement. Je n'ai de cesse que d'être complètement remplie par cet étalon. Une fois bien calé au fond de moi, il commence un long va et vient, sortant presque entièrement et revenant en moi jusqu'à ce que je sente ses bourses entrer en contact avec mes fesses. La sensation est telle qu'au bout d'à peine dix mouvements je jouis une seconde fois. Il se plante bien en moi et attend la fin de la tempête qui me submerge, mais à peine ais-je récupérée un petit peu, qu'il me fait s'accrocher à son cou, me saisit sous les fesses de ses bras puissants, qu'il me relève, me portant à bout de bras et là, tandis que je suis accrochée à lui, ses mains me font aller et venir sur son chibre immense. Lorsque j'arrive en bas j'ai l'impression qu'il m'a perforé le ventre, mais ce n'est absolument pas une sensation douloureuse. Je jouis une nouvelle fois au bout de trois ou quatre minutes. Une fois remise, il me redépose sur le canapé. Pensant qu'il est fatigué, je suis obligé de m'apercevoir une nouvelle fois de mon erreur. A peine reposais-je sur le canapé, qu'il se retire, tape sur l'épaule de Kevin, et une nouvelle fois, ils échangent de place. Kevin me fais mettre à genoux, la poitrine contre le dossier du canapé et je m'aperçois qu'à mes côtés Luc installe Sylvie de même. A peine avons-nous le temps de nous sourire, que les deux hommes nous reprennent une nouvelle fois. Je sens la différence entre les deux sexes. Celui de Luc est très long, mais Kevin lui, s'il est plus court est beaucoup plus trapu et les premiers va et vient me donnent l'impression qu'il va me déchirer. Mais la sensation passe vite et l'élasticité de mon sexe ne cesse de m'étonner. Tandis que je sens ce gros membre bouger en moi, je sens la main de mon amie glisser sur mon ventre, puis sur mon sexe écartelé et me caresser doucement. Elle trouve instinctivement mon petit bouton et ce plaisir s'ajoute immédiatement au précédent. Je tourne ma tête vers elle et approche comme je peux de ses lèvres qu'elle ouvre afin de laisser passer ma langue. Notre baiser et intense et je décide simultanément de lui rendre la pareille. Nous jouissons ensemble pour la troisième ou quatrième fois, et l'orgasme qui nous emporte est si fort que nous sommes obligées de cesser notre baiser. Les hommes, cette fois ci n'attendent pas la fin de nos spasmes et échangent rapidement de partenaires. Luc se retrouve à nouveau en moi, mais cette fois, il n'y a plus de retenue, et il me pilonne très fort, empêchant l'arrêt de ma jouissance, et me privant de tout contrôle sur moi et surtout sur mes cris qui déchirent mes oreilles. Il ne lui faut pas plus d'une minute avant de se déverser en moi en de grands jets brûlants qui inondent ma grotte déjà complètement trempée. Je sens sa semence s'échapper de mon sexe à vif et couler le long de mes cuisses. Bizarrement je pense à la chance que le canapé soit en cuir, car ainsi il se nettoiera plus facilement. Ce n'est pas mon époux qui me contredira quand je lui dis que le cerveau des femmes réagit de façon étrange !!!
A peine est il ressorti, que je me retourne et que, saisissant son sexe d'une main, je me mets à le lécher pour le nettoyer des traces de notre joute endiablée. Je suis comblée et lorsque je me laisse aller dans le canapé, j'ai beaucoup de mal à reprendre mes esprits. Nos amis aussi ont terminé et Sylvie est, elle aussi, en train de faire la toilette de son petit (enfin c'est une façon de parler !!) mari. Nous nous remettons tous de nos émotions en finissant la bouteille qui a échappée comme par miracle à notre agitation.
- « Alors ma chérie - commence Sylvie - comment te sens tu ? »
- « Je suis cassée ! J'ai cru que j'allais mourir. Comment peux-tu supporter autant de plaisir ? C'était démentiel ! »
- « J'étais sûre que tu aimerais. Et encore, ce n'était qu'un début ! »
- « Je ne suis pas sûre que mon ccœur va tenir le coup ! »
- « Bien-sûr que si, c'est seulement une question d'habitude, tu verras, et puis tu peux toujours demander une pause si c'est trop fort. Pour la suite du programme, je vais te laisser te débrouiller avec les garçons et me régaler du spectacle. Ca te va ? »
- « Tu es folle ou quoi ! Un après l'autre c'était déjà hard, mais les deux.... »
- « C'est deux fois mieux !!! » termine-t-elle.
Je regarde les deux hommes qui ont l'air d'avoir bien récupéré, et je réponds à leurs sourires enjôleurs. Ils sont à première vue tout à fait dans la forme adéquate pour poursuivre le combat. Sylvie se lève, sort de la pièce et en revient un instant après avec une fiole que je reconnais comme étant du lubrifiant. Je vois tout à coup fort bien se dessiner la suite des évènements.
Fièrement, je rejoins mes deux complices et entoure leurs hanches de mes deux bras. Kevin me place face à lui et m'embrasse, tandis que Luc se colle contre mon dos, me déposant des baisers sur le dos et les épaules. Quittant les lèvres du premier, je tourne la tête et pose mes lèvres sur celles de Luc qui me rend mon baiser. Je sens leurs deux membres gonflés de désir battre contre mon sexe et mes fesses. J'ai les jambes molles en pensant à eux, bougeant simultanément en moi. Décidant de prendre l'initiative, j'abandonne leurs lèvres et m'accroupis face à eux, saisissant leurs sexes dans chacune de mes mains. Je ne peux dire par lequel j'attaque mes caresses, mais ma première fellation sur deux hommes en même temps est tellement irréelle que je sens mon sexe couler littéralement tellement je suis excitée. Je les suce ainsi pendant beaucoup plus d'un quart d'heure, alternant entre les deux sexes dressés. Si je m'arrête c'est que j'ai mal à la mâchoire et au cou.
Kevin prend l'initiative en se couchant au sol. Me tendant la main, il me guide afin que je m'asseye sur lui. Dans cette position, mes jambes étant bien écartées, son sexe, bien que large, se fraye facilement un passage dans mon puit déjà bien entraîné. Une fois complètement planté en moi, il m'attire contre lui, et sans bouger, il m'embrasse longuement. C'est Sylvie qui se place derrière moi et qui écartant mes fesses, commence à préparer mon anus à recevoir Luc. Elle commence par lécher la vallée séparant mes deux globes, avant de s'attarder plus particulièrement sur mon petit trou. L'ayant bien humecté, elle commence, du bout de sa langue dardée, à pénétrer l'étroit conduit. Je me détends le plus possible afin de lui faciliter la tâche. Au bout d'une à deux minutes elle cesse sa caresse buccale, ouvre le tube de lubrifiant et en verse directement sur mon œillet déjà habilement travaillé. Le gel est froid mais la chaleur de la situation à vite raison de ce désagrément. Elle masse mon petit trou afin de répartir le gel, puis commence à introduire un, puis deux puis trois doigts dans mon fondement. Effectuant quelques allers et retours elle se retire satisfaite. Le tube toujours dans la main, elle en badigeonne la bite de Luc avant de l'étaler elle-même en un lent mouvement masturbatoire.
Le moment de vérité est arrivé. Luc se met à genoux derrière moi et présente son sexe à l'entrée de mon petit trou si intime. La préparation, mais surtout l'excitation, ont raisons de mes dernières réticences et c'est d'un petit coup de rein vers l'arrière, que je vais moi-même m'empaler sur son gland. Je n'ai, bizarrement aucune impression de déchirement. Je jette une main derrière mon dos, saisit son chibre, et l'encourage à poursuivre plus avant sa progression, gardant, grâce à ma main, le contrôle des opérations. Il progresse doucement, avançant de trois centimètres, reculant de deux, puis avançant de nouveau. L'incroyable se produit, sans vraiment une seule véritable douleur, je sens ses couilles battre contre mon fessier. Il est entré entièrement en moi, et pourtant je suis toujours vivante !!! Je lui demande de s'arrêter de bouger afin que les muscles de mon conduit s'habituent à sa taille, et aussi pour profiter de cette sensation fantastique d'être entièrement comblée. Je reste ainsi près d'une minute avant de les inviter à commencer, d'abord doucement, leurs mouvements de va et vient.
Sylvie à tiré le fauteuil face à moi, et assise bien profondément dessus, les cuisses posées sur les accoudoirs, le sexe entièrement ouvert, elle se branle furieusement d'une main, tandis que l'autre malaxe ses seins avec une dose de brutalité. Elle encourage ses deux hommes de la voix, les guidant comme elle le fait d'habitude pour elle. La chevauchée va durer plus de vingt minutes, les hommes vont changer plus de deux fois d'orifices, je vais jouir près d'une dizaine de fois avant qu'ils n'inondent mes entrailles de litres de liqueur masculine et intime. Je suis complètement fourbue et je sais que pour moi ce soir, la fête est finie.
Je suis heureuse et je sais que ma vie vient de changer radicalement. J'ai hâte de connaître encore plus mes nouveaux amis, et surtout de les préparer à l'idée de la venue d'un nouveau partenaire : Mon mari.