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Proposée le 4/09/2009 par Nymphe
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"Joyeux anniversaire", tous ces visages souriants autour de moi m'enchantaient. Tout le monde était réuni dans cette grande salle des fêtes pour l'occasion. Vieux, jeunes, amis, parents, tous étaient là pour moi.
Je m'en souviens encore, c'était il y a à peine une semaine. Le vin coulait à flot, mes joues s'empourpraient de plus en plus et mes pupilles mordorées scintillaient un peu trop. A force de rire et de me mordre les lèvres, elles étaient devenues rouges comme un fruit, je me sentait belle et désirable dans ma micro robe caramel qui faisait ressortir mon bronzage (intégral bien-sûr, j'affectionne les plages nudistes). J'aimais séduire, mais cela s'arrêtait là.. En effet ma vie sexuelle avait débuté très tôt mais ne m'avais jamais offert ce dont j'entendais parler depuis des lustres... L'orgasme, le point culminant... L'apogée... Je l'attendais encore et ne retirais aucune satisfaction particulière de la pénétration de mes divers partenaires.
Ce soir là pourtant, Lionel m'avait mis le feu rien qu'en me faisant la bise. La chaleur bien connue du désir s'était répandue dans mon bas ventre. Il me dévorait de ses yeux verts et promenait ses mains partout sur moi en dansant. Devant mes parents !! Ce qui m'excitait beaucoup. J'aimais sentir le regard un peu outré et aviné de ma famille se poser sur ces mains d'hommes caressant mes courbes délicates. Son torse frôlait mes seins, qui ne demandaient qu'a sortir de cette prison de dentelle qu'était mon soutien-gorge. Mes tétons étaient durs, je le sentait, ils me faisaient presque mal. C'était la partie que je maîtrisais, la séduction pure. La chasse, le jeu. J'entrepris alors de descendre en ondulant des fesses, me tenant à ses hanches, ma tête se trouvant à hauteur de son sexe que je devinais extrêmement tendu. Une nouvelle bouffée de chaleur s'empara de moi, forte, intense, faisant doucement ruisseler ma cyprine sur mes cuisses. Avec ma mini robe, la situation devenait périlleuse.
Mon désir était énorme. J'avais pour la première fois, envie qu'on me pénètre au plus profond de moi-même. Intimement convaincue qu'il saurait y faire. Je commençais, sans m'en rendre compte à lui donner des coups de reins insistants, pressant ainsi mon sexe contre le sien. Il m'attira alors par la main et sous prétexte de m'offrir mon cadeau en privé, m'attira dans le hangar. Là, il me souleva du sol et me déposa sur une pile de tapis de gym, j'écartai les cuisses instinctivement et il y plongea immédiatement sa bouche. Jamais on ne m'avait fait ça, cette caresse si intime. Je sentais sa langue aller et venir de bas en haut, mordillant, léchant, suçant mon clitoris qui n'en pouvait plus de plaisir. Je commençais à gémir, fort. Je voulu alors lui rendre la pareille mais il m'arrêta :
« C'est mon cadeau, ce soir c'est tout pour toi. »
En disant cela il avait tiré ma robe vers le bas, dévoilant mes seins déjà à moitié sortis de leur prison et qui étaient humides de ma transpiration. Il les prit à pleine bouche, suçant l'un en triturant l'autre de ses doigts habiles. Comme c'était bon... Oh.. Comme c'était bon. Ma mouille formait une flaque sous mes fesses. Je pris alors ses doigts et les introduisis dans mon sexe détrempé en bouillant. Il poussa un gémissement qui me fit frémir. Il aimait ça, moi aussi. Jamais... Jamais je n'avais connu quelqu'un d'aussi habile avec ses doigts, ils tournaient, grattaient, caressaient en un balais infernal que mon plaisir n'arrivait plus à suivre. Mes gémissements étaient de plus en plus espacés, mon souffle coupé, ma respiration courte et haletante. Mes cheveux défaits me tombaient sur les seins et mon bassin en sueur remuait au rythme de ses doigts. Je m'allongeais alors sur le dos et le priait de monter sur moi. Se faisant, il nous déshabilla tous les deux, mon dos collait au tapis. Je sentis alors son sexe contre ma jambe et sentis comme une explosion dans mon bas ventre. Oh comme je le voulais. Je voulais qu'il me prenne, sans ménagement et me fasse hurler dans ce gymnase, comme une chienne. Je le lui fit savoir. Se produisit alors ce que j'attendais depuis des années. Quand je sentit sa verge glisser en moi c'est comme si tous les pores de ma peau explosaient en même temps. Il eut à peine le temps de faire quelques allez retours violents que ma tête bascula en arrière, ouvrant ma bouche sous le même coup, de laquelle s'échappa un long râle rauque. Je tremblais, ma chatte sembla s'ouvrir encore plus, tout mon corps devint bouillant et mes mains agrippèrent convulsivement ses fesses.
Il jouît quelques secondes après... allait se rhabiller mais.. c'était sans compter ma faim désormais insatiable. J'en voulais encore, oh oui. Bien plus. Je voulais encore ressentir cette chose incroyable. C'est alors qu'une envie irrépressible s'empara de moi et que je lui soufflais : « Fais de moi ce que tu veux... Tout. ». Son regard qui n'était jusqu'à la que tendresse changea soudain... Mais ça c'est une autre histoire.