Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 3/09/2009 par kiki129
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
JAIMIE 1-1
1- Comment je suis devenue accro au sexe
Première Partie:
Je me rappelle de cette fameuse nuit avec beaucoup de joie, mais aussi beaucoup d'excitation. Je me rappelle que je n'étais qu'une pucelle inexpérimentée de 23 ans qui voulait enfin tirer son coup... Et qui a trouvé l'homme de la situation.
J'avais toujours été une jolie fille, je trouve... J'avais un joli visage (pas trop beau, hein... De toute façon, on dit que ça fait fuir les hommes, de grands yeux noirs, les lèvres bien pleines, un joli teint d´africaine genre café au lait et j´avais un très beau corps. Pour ça, je n´avais pas besoin qu´on me rassure! Je n´étais pas vraiment ce qu´on pouvait appeler mince, mais j´avais des seins magnifiques (de quoi remplir même les mains les plus grandes!), un bon C. J´avais une superbe morphologie de guitare et le clou du spectacle était (eh, oui!) mon cul, bien sur. Un cul à la Beyoncé (un peu plus gros quand même), bien gros, bien rond et lisse, bref... Les fameuses fesses africaines, quoi! Bref,... Peut-être que c´était mon attitude qui faisait fuir tout les hommes. Il y avaient bien quelques uns qui avaient tenté leur chance mais je les avait aussitôt éconduit et aujourd'hui, je me demandais finalement si je n´étais pas passée à cote de quelque chose d´intéressant... Autrefois, pour satisfaire ma libido de plus en plus exigeante, je me masturbais (ou plutôt j´essayais)... Mais je n´arrivais jamais à jouir. Peut-être que je m´y prenais mal ou peut-être que ça ne ma faisais aucun effet parce que je savais justement que ce qui était dans ma chatte c´était juste mon doigt... C´était comme les chatouilles: on pleurait de rire lorsque quelqu'un nous les faisait mais quand on essayait de se chatouiller toute seule, même le papy qui ronfle affalé sur sa chaise longue est plus drôle, quoi... Bref,...
J'avais invité ma meilleur amie, Vanessa, à m'assister tout au long de ma quête (ouais, chuis une trouillarde et alors?) et bien-sûr, elle avait sauté sur l'occaz: quand il y avait de la baise, vous pouviez être sur qu'elle serait de la partie; quoi... Van, c´était une petite blonde sulfureuse avec une coupe courte et sexy façon Victoria Beckam et deux adorables petites pommes fières et haut-placées qui lui servaient de nénés et une croupe de mannequin. Bref,... Elle avait tout de la star du X par excellence!... Pourtant, elle travaillait juste comme coiffeuse et maquilleuse dans son propre salon.
- Non mais, Jay! tu te dépêches ou quoi?! marmonna-t-elle alors que je flemmardais en face d´elle devant mon placard, entièrement nue, dans ma chambre.
- Franchement, je suis plus sure, Van...
Et puis je me mis à pleurer! Une vraie madeleine, quoi: je pleurais tout le temps pour un oui ou pour un non, mais c´est aussi pour ça que Vanessa m'aimait beaucoup. Elle vient se placer derrière moi. A ce moment, je dois préciser que j´étais seulement vierge de toute bite. Vanessa et moi avions eu quelques... expériences torrides que je vous raconterai peut-être une autre fois! Elle vint donc se placer derrière moi, me prit par la taille et l´attira vers elle, mes fesses frottant contre sa ceinture.
-T´as le trac, c´est normal, ce sera la première fois que tu vas draguer, flirter et puis finalement baiser avec un homme, c´est compréhensible. Mais sache que tu es très désirable et dans le bar où je t´emmène, c´est clair que tu vas tirer un bon coup!
Ses mains remontèrent et se posèrent sur mes seins et elle commença a les masser en donnant des petits coups de reins sur mon derrière comme si elle me sodomisait, je commençait à mouiller sérieusement et elle me dit:
- J´envie le veinard qui va te baiser ce soir...
- On a encore le temps, Van, j´ai trop envie de toi...
Je me sentis brûler quand sa main droite quitta mon sein et descendit lentement. Elle atteignit mon sexe fraichement épilé et caressa mon mont Venus sans aller plus loin, Van attisait mon désir, elle jouait avec moi... Mais moi je n´en pouvais plus, je voulais la sentir sur tout mon corps.
- J´ai un nouveau jouet Van, ça te dit de l´essayer ?
- Quel genre de jouet ?
- Un de ces caleçons qui imitent la forme d´une bite... J'ai oublié comment ça s´appelle... Je veux que tu me baises avec...
- C´est un gode-ceinture...
- Ouais...
Son doigt me pénétra alors doucement avec une lenteur exquise...
- Oh, Vaaaaan, c´est........ Tellement booonn,... Oh, oui, oui, OUI!
Bientôt un deuxième doigt rejoignit l´autre à l´intérieur et Van commença à me faire ces va-et-vient exquis qu'elle savait si bien faire...
- Tu aimes ça, Jaimie? c'est bon hein, oui, c´est bon, ahhh....
Van m´écrasait contre le mur et cela décuplait mon plaisir. Elle allait me faire jouir, la salope... Mes mains se posèrent sur celles de Van pour l´accompagner.
- Fais moi jouiiiiir Van, je n´en peux pluuuus!.......
Ma main gauche appuya celle de ma compagne pour qu'elle masse mon sein plus vite et plus fort et l´autre encourageait ses doigts à s´enfoncer toujours plus profondément en moi. Et finalement elle retira ses doigts avant que je ne jouisse et s´écarta de moi.
- Non...
- Non, quoi?
- Je n´utiliserai pas ton nouveau jouet, sauf si... tu me suces les trous...
- Je ferai tout Van, mais laisse moi te déshabiller.
Je la poussais vers le lit et lorsqu'elle eut pris place, je m´agenouillais devant elle et commençait par enlever sa minijupe moulante à souhait. En dessous, se cachait un string bijou couleur or. Je souris et je lui caressais la chatte à travers le string.
"Tu sais ce que j´aime, hein..." Dis-je avant de lui enlever son string et d´enfoncer brutalement deux doigts d'un coup dans la chatte. Elle cria de douleur et de plaisir alors que je la masturbais tout doucement avec une lenteur exquise. La cyprine dégoulinait de ma chatte en feu tandis que j´accélérais les va-et-vient de mon doigt dans son trou.
- Vas-y, Jaaaaaayyyy, fais-moi jouiiiiiiiiirr !!!!!!!!!!!!
C´est ce moment que je choisis pour lui rendre la pareille et à regret, je retirasi mon doigt de sa chatte si tentante.
- Non... Murmurai-je malicieusement.
Elle sourit, voyant que moi aussi je m´amusais avec elle et pour m´exciter encore plus, elle mit un doigt sur sa chatte puis lécha le liquide qui en dégoulinait.
- Huuuuumm, gémit-elle, sans me vouloir me vanter, c´est très bon, Jay, tu ne veux pas gouter ?
- Pas maintenant Van, pas maintenant...
Alors, je lui enlevais sa mini veste et caressais ses seins à travers le doux tissu. Mes doigts appuyaient doucement la chair ferme et mon pouce passait et repassait sur ses tétons qui se raidissaient. Je fut enchantée de la voir se crisper sous l'effet du plaisir puis je lui retirai son caraco de dentelle et mes lèvres se posèrent sur son tétons. Je suçai l'un pendant que je titillais l'autre. Van sentit son téton être aspiré, léché, mordillé et mes mains semblaient être partout à la fois sur elle. Sur ses seins, sur ses reins, entre ses cuisses... Van poussait des gémissements à me rendre folle! Doucement, mes lèvres descendirent sur son nombril, puis se retrouvèrent sur sa chatte dégoulinante de plaisir.
- Oooh, Jay... soupira-t-elle, les yeux fermés, chavirée de plaisir.
Mes lèvres se refermèrent sur son bouton d´amour et le serrèrent doucement. Van se cambra, à deux doigts de jouir. Je me retirais vite et son niveau d'excitation retomba.
- Mais, enfin, Jay, pourquoi tu t'es arrêtée ?! Fais-moi jouir et je te rendrai le pareille avec ton gode-ceinture.
- Je ne veux pas que tu jouisse sans moi... Mais si c'est ce que tu veux alors ça me fait plaisir de le faire pour toi. Laisse-toi faire...
Ma bouche se remit a l´exploration de sa chatte et ma langue commença par sucer le sillon exquis situe entre ses grandes lèvres et ses petites lèvres puis ma langue pénétrèrent dans son vagin et je me mis à faire de petit mouvement de haut en bas avec celle-ci, pendant que mon doigt caressait son clitoris et l´appuyait doucement.
- Ooooooohhh, Jaaaaaaaayyy!! Vas-y, ouii, oouuii, OUI! Hurla-t-elle finalement alors qu'un violent orgasme la secoua. Une petite giclée de cyprine jaillit, atterrissant en partie sur mon visage, en partie sur ma langue. Van me releva alors doucement et me serra contre elle pour m'embrasser. Nos seins s´écrasaient l'un contre l'autre, nos chattes se frôlaient sensuellement, nos langues se cherchaient, s´enroulaient, se torturaient, puis Van abandonnait un instant ma langue pour mordre ma lèvre inférieure avant que sa langue ne recommence son ballet sexuel dans ma bouche. Elle lécha sa cyprine sur mes lèvres, mon front, mon nez puis murmura :
- Je vais te remercier comme il se doit,... Jay apporte ton gode.
Ah, je ne me le fis pas dire deux fois! Je me lançais vers ma penderie et retirais la ceinture coquine au milieu de mes strings pour la lui tendre. Elle l'enfila sans perdre de temps. Je m'allongeais sur le lit, les cuisses très largement écartées. Je savais que mon jus d´amour allait tacher mon lit mais je m'en foutais royalement. Je voulais juste qu'elle me baise et je n'en pouvais plus d´attendre. Van eut un sourire coquin : "Retourne-toi et mets toi à genoux."
"En levrette ? pensait-je, très bien!..."
Et puis je sursautais en sentant quelque chose de froid sur ma rosette.
- Van!...
- Chuut! C´est du gel. Je te prépare.. Je vais te sodomiser...
Pendant quelques secondes, je m´abandonnais au plaisir des doigts qui caressaient ma rosette et qui me pénétraient Puis, je murmuraient avec une pointe de déception:
- Moi, c´est par devant que je le vou...
- Non, m´interrompit Van, je ne veux pas que la première bite qui te pénètre soit une bite artificielle. Je veux que tu connaisses le même plaisir que j´ai connu quand je me suis faite déflorer.
Je soupirais de plaisir tandis qu'un deuxième doigt venait rejoindre le premier dans mes entrailles. Ma main se posa tout naturellement sur ma chatte et je passai un doigt sur mon clitoris, la sensation fut si forte qu'un premier orgasme menaça de m´emporter. Je retirai ma main avant qu'il ne soit trop tard et la posai sagement sur le lit. Les larmes s'échappaient de mes yeux tellement mon émoi était fort. A ce moment, les doigts de Van furent habilement remplacés par le gode. Je n'avais pas choisi le plus petit et je ne réussis pas à retenir un cri lorsque ce pal artificiel me pénétra de toute sa longueur.
- Ooh, putain, il est gros ce machin!
- Eh, ouais, qu'est ce que tu croyais ? Mais ne t'inquiète pas... Ton plaisir... N'en sera que plus grand.
Van, ses mains sur mes hanches commença à me pilonner, d'abord avec douceur puis de plus en plus violemment. Je m´agrippai au chevet du lit pendant que Van me défonçait le cul. J´avais honte de gémir et de gesticuler de la croupe comme une pute mais c'était tellement bon!
- Van, Van, Van, Vaaaaaaannnn, oh, mon Dieu!!
Les mains de celle-ci se posèrent sur mes seins et entamèrent un doux malaxage. Van voulait que je jouisse, ça se sentait à sa façon de me défoncer. Ma main se détacha du chevet quelque seconde pour venir griffer sensuellement mon clitoris et à cette seconde, la jouissance m´emporta sauvagement. Je me cambrai follement, mon corps secoue de spasmes avant de m´effondrer sur le lit. Van se retira de mon cul, enleva le gode-ceinture, le déposa sur ma coiffeuse et vint m´enlacer langoureusement
- T'as été superbe, mon chou, chuchota-t-elle doucement avant de déposer un petit bécot sur mes lèvres.
Elle me laissa m'en remettre pendant quelques minutes puis me tira hors du lit.
- Viens t'habiller, Jaimie, il est déjà 21h10.
- Okay, on va se nettoyer ? Moi, j´ai pas trop envie de sentir l'amour quand le mec va me rencontrer. Je veux avoir un parfum tellement sexy que sa tige va se réveiller tout de suite!
- Moi, j'aime bien sentir l'amour... au moins on saura que je ne suis pas une novice!
Van ramassa son string bijou avant de continuer:
- Allez, file sous la douche! Dit-elle en me donna une petite claque sur les fesses.
- Cochonne! Accusai-je
- Qui s'assume! Rétorqua Van en éclatant de rire.
C´était notre maxime habituelle, notre signature d´amitié, comme deux potes qui se saluent en imitant un pet avec leurs aisselles. La comparaison n´est pas très heureuse mais c´était à peu près ça.
J'entrais dans ma salle d´eau et ouvrais le robinet. L'eau ruisselait sur mes seins, sur mon ventre, se cachait dans mon nombril avant de descendre vers ma chatte. J´écartais les jambes et ma main se posa sur ma chatte. Mon clitoris était rentré dans sa cachette. Je me frottai doucement les grandes lèvres, puis les petites, et enfin le sillon entre les deux. J´arrosais le tout à grande eau puis ma main frotta doucement ma rosette traumatisée par le traitement sensuel de Van. Une fois encore, je remarquais à quel point j´étais indifférente à ces attouchements intimes lorsqu'ils venaient de moi. Je soupirais, attrapais ma serviette et sortis de la douche. Van, déjà rhabillée, était couchée sur mon lit, (dans notre amour!) et feuilletait un manuel de Kama Sutra que j'avais pris avec le gode.
- Ben, dis donc, t'as tout prévu pour cette nuit ou quoi ?
- Tu ne sais même pas à quel point tu as raison. J'ai aussi pris des boules de Geishas. Mais comme elles risquent de me déchirer l'hymen, je préfère les utiliser une autre fois.
- Prête-les moi, pour ce soir.
- Je sais pas... Je ne te connait trop bien, je ne suis pas sûre que tu me les rendra...
- Je te jure sur ma propre tête que je te les rendrai!
- Mouais, c'est ça...
Néanmoins, je retirai les boules de leur cachette. Van les regarda, admirative.
- Ben, dis donc, t'aime les gros trucs, toi! Quoique... Après l´énorme gode-ceinture, ça n'aurait pas du me surprendre !
Je voulut les lui donner mais elle repoussa ma main.
-Garde les dans ton sac. Je sais exactement quand tu vas me les donner et quand on va les mettre...
Ses yeux pétillaient et je sentais qu'elle me préparait un mauvais coup.
- Très bien, murmurai-je, méfiante.
Je les rangeai dans mon sac à main Givenchy (une imitation, bien sur...) et je me plaçais en face de ma penderie. J´avais décidé de m'habiller entièrement en blanc, alors je commençai par choisir un string immaculé avec des arabesques couleur or. Puis je songeais à un soutien-gorge à balconnet, n'étant pas assez audacieuse, je me rabattis sur un Victoria´s Secret transparent et plus petit que ma taille pour que mes seins, même s'ils n'en avaient pas besoin, paraissent plus gros, avant de choisir soigneusement des bas blancs et une guêpière porte-jarretelle.
- Huum, t'es sexy! En plus t'es grande et ça ne gâche rien! Me complimenta Vanessa.
- Merci, très chére!!!
Je rigolais avant de passer une mini-jupe plissée qui moulait au niveau des fesses puis s´évasait et s´arrêtait à mi-cuisse. Je mis un top en soie qui dévoilait très sensuellement ma volumineuse poitrine et je finis par une micro-jaquette ouverte sur le top et des bottes Jimmy Choo (vraie, celles-la! Généreusement offertes par ma grande sur). Vanessa me fit un maquillage genre reine des glaces et natta mes longs cheveux en une tresse qui descendait jusqu'à mes hanches.
- T'es prête, Jaimie...
- Merci, Van. C'est l´heure de se diriger vers l'échafaud!
- Dis pas ça! Ça va être cool, j'en suis sûre
Trouver un taxi fit relativement facile et c´est à ce moment que Van me révéla ses intentions:
- Jay, on va un peu exciter cet honorable monsieur...
Puis, elle dit plus fort, veillant bien à ce que le chauffeur l´entende:
- Donne, moi les boules de Geishas...
Je faillis éclater de rire quand je vis le chauffeur gesticuler sur son siège et jeter un coup d´il furtif à travers le rétroviseur.
J'ouvris mon sac, pris les fameux instruments sexuels et les mit dans la main de Van tout en jetant un coup d'il à l'entrejambe de notre chauffeur: Et bien! On pouvait dire qu'il bandait le cochon!
Je faillis m'étouffer quand Van souleva ses jambes et posa ses pieds sur les dos des sièges. Mr le chauffeur n'avait plus qu'à tourner sa tête pour avoir une vue imprenable sur la chatte de madame!
- Van! m'exclamai-je, t'es folle ou quoi ?
- Mets les boules, Jay, demanda-t-elle en me les rendant.
- Je refuse d'être impliquée la-dedans!
- Allez! Me supplia-t-elle avec un sourire coquin.
Je la regardai un instant, mi-choquée, mi-amusée par son comportement exhibitionniste. Van ne cessait de me surprendre.
- Ecarte-bien les cuisses, soupirai-je, convaincue.
Une à une, je fis rentrer les 7 boules dans sa chatte déjà humidifiée et, à travers le rétroviseur intérieur, Mr le chauffeur ne perdait pas une miette du spectacle. Je le vis porter une main à son entrejambe et se toucher discrètement le paquet. Je me mit a rougir et je sortit ma rengaine habituelle:
- Espèce de cochonne, la t'as vraiment exagéré, le pauvre est tellement excité qu'il va sûrement devoir se garer quelque part pour se soulager.
- L'important c'est que j'assume, non ?!
Ses cuisses se refermèrent et ses pieds retrouvèrent leur position normale. J'eus un sourire indulgent et je me penchais vers elle.
- Je vais le branler, murmurai-je à son oreille.
Et cette fois si, ce fut à son tour d'être surprise. Mais elle se ressaisit très vite et eut un sourire carnassier.
- C'est qui la cochonne maintenant?! Murmura-t-elle abasourdie
- C'est moi, mais attends... j'assume!
En fait, c'était la première fois que j'allais faire quelque chose d'aussi cochon. Faut croire que finalement Van déteignait sur moi!
Doucement, je m'avançais sur mon siège et posais ma main sur sa braguette.
- Je suis absolument DESOLEE pour tout le dérangement, monsieur, susurrai-je d'une voix sensuelle tandis que Van portait la main à la bouche pour étouffer un rire.
Mais, on va arranger ça maintenant...
Le pauvre homme ne savait apparemment pas quoi dire, certainement pas « non » en tout cas car il ouvrit sa braguette, baissa son slip et posa doucement ma main sur son pénis érigé.
Van, se prêtant au jeu, tendis les mains et déboutonna la chemise du chauffeur pour caresser le torse du monsieur. Il avait un pénis d´une taille de maître, long (il devait bien faire 25 cm!)et assez gros, qui était devenu violacé sous l'effet de l'excitation. Je sentis que j'allais pendre mon pied à le masturber. Je décalottais doucement son gland puis ma main enserra la base de son pénis et je commençais une lente et exquise masturbation qui lui arrachait des petits gémissements de plaisir. J'étais stupéfaite qu'il réussisse à garder un peu de son attention sur la route; le petit cochon devait en avoir l'habitude! Ma main allait et venait le long de la volumineuse tige; parfois, mon pouce passait sur le sommet de son gland et pressait dessus puis je descendais vers ses testicules et les pressais doucement comme pour leur faire cracher leur jus. Van pinça doucement ses tétons puis se pencha vers moi et murmura:
- Vide-le! On arrive bientôt!
- Mais... Et... Je fais COMMENT, moi ?
- Ah..., fit-elle en souriant, J'oubliais que tu n'étais qu'une novice. Accélère la cadence puis presse ses couilles comme... Comme tu presserais deux citrons. N'aie pas peur de les appuyer même si ça lui fait mal, ça lui fera énormément de plaisir aussi.
- Okay, ma biche, c´est parti!
Je me remis à ma tâche et appliquais à la lettre toutes les consignes de Van. Et au fur et à mesure que j'augmentais la vitesse, Monsieur le chauffeur gémissait, soulevait son bassin pour que sa bite vienne a la rencontre de ma main et avait de plus en plus de mal à se concentrer sur la conduite. Au milieu de cette scène sexuelle, la réalité vint quand-même me montrer son petit cul et dire « Attention, Jaimie, ne m'oublie pas! Ton chauffeur est tellement excité qu'il va finir par vous envoyer dans un arbre et qu'est ce que ce sera quand il va jouir? Et si un gendarme vous surprenait au détour d´une rue ? »
Je soupirais alors qu'on atteignait notre bar et que la voiture ralentissait. Alors pressée d'en finir et aidée par les mains de Van qui caressaient et pressaient ses tétons, je me penchais du mieux que je pus, et léchais ces 25 cm de chair avant de tirer violemment sur ses couilles. Le pauvre éjacula son foutre en quatre longs jets dont le premier atterrit sur ma main et pendant quelques secondes, il perdit le fil de sa conduite et faillit nous envoyer dans un camion. D'un coup sec sur le volant, je redressais la petite voiture le temps qu'il reprenne ses esprits et gare la voiture devant... le Fex Bar.
Je rigolais franchement en lisant le nom du bar-repère de ma meilleure copine. Sex Bar était trop osé pour eux ou ils avaient juste eu envie d'un mélange entre Fesse et Sexe?
Mais soudain, tandis que notre chauffeur se remettait de ses émotions, je demandais à Van d´une petite voix inquiète:
- Ils font pas d´orgie quand même ?
- Non, du moins pas que à ma connaissance. t'inquiète, je crois même que c'est interdit...
Je sortis du taxi, la main pleine de foutre et Van à ma suite et je me penchais à la fenêtre de notre chauffeur. Je remarquais alors qu'il était plutôt jeune, la trentaine on va dire, avec des cheveux noirs coupés à ras et visage plutôt attrayant. Il avait même une petite cicatrice de pirate au-dessus de la bouche.
Tout en lui révélant outrageusement le contenu de mon décolleté, je portais la main à la bouche et je me mis à sucer tout le sperme qu'il m'avait mis sur les doigts. Van se joignit à moi et tandis qu'on suçait sa semence d'un air gourmand, Van lui demanda:
Combien on vous doit monsieur ?
Je crois que vous m'avez déjà payé, rétorqua-t-il en souriant.
Il attendit bien patiemment qu'on ait fini de nettoyer ma main avant de dire « J´ai été ravi... » et de démarrer en trombe, s'en allant à la recherche de nouveaux clients.
Alors, Van et moi, on se regarda et elle me serra dans ses bras:
- Bonne chance ma belle, j'espère que tu vas trouver celui qui saura te déflorer en douceur.
- Merci, Vanessa. Je compte sur toi pour m'aider, cochonne...
A suivre...
C´est ma première histoire et j´attends vos commentaires!!!
Merci!
Kiki129.