Pique-nique à la Cascade aux Ecrevisses

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Proposée le 19/08/2009 par evasion971

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Arrivés sur le site touristique de la Cascade aux Écrevisses, localisé dans la commune de Petit-Bourg, sur la route de la Traversée à Basse-Terre, Heather et son compagnon repérèrent l'entrée du chemin qui les conduirait jusqu'à la chute. C'était un jour ensoleillé parfait pour pique-niquer. Il se gara sur la place de parking. Un établissement de vente de souvenirs était présent sur les lieux. Au centre, se tenait la zone de vente du Café Chaulet, célèbre café de la Côte-Sous-le-Vent avec ses différents cafés moulus ou en grains mais également des accessoires comme des tee-shirts. Sur la droite, il y avait un espace de consommation de boissons non alcoolisées, de tourments d'amour, de sandwiches, sur la gauche, une boutique de vente de bijoux locaux et de calebasses gravées. Ils achetèrent des sandwiches, desserts et boissons à la boutique.

Ils empruntèrent un sentier balisé et, tout le long de ce parcours, purent apercevoir des espèces florales des plus intéressantes. Ce circuit les mena directement au pied de la Cascade aux Écrevisses. À quelques centaines de mètres, avec son débit très élevé et son cadre magnifique, une cascade d'environ 10 mètres de hauteur les accueillit dans une ambiance tropicale. Cette balade se révéla splendide ! Ils se dirigèrent vers la zone de pique-nique. Là, une petite dizaine de carbets, avec bancs et tables, les attendaient dans un espace entretenu et propre. La forêt tropicale et son ambiance sonore plantaient le décor, le doux bruit de la rivière ricochant sur les pierres à fleur d'eau les apaisa. Quelques plants de bananiers autour de cette zone de repas faisaient de cet endroit un lieu magique. Ils s'attablèrent et se délectèrent du repas. Tout en avalant son sandwich, Heather posa un regard malicieux sur Cael. Il la déshabilla du regard. Elle était sublime avec sa jupe en jean courte assorti d'un débardeur blanc très moulant à fines bretelles. En effet, le blanc éclatait sur sa peau bronzée. À cette vision, il eut une belle trique. Le repas ingurgité, ils ne pensèrent qu'au plaisir d'un bon bain frais dans une eau translucide. Elle passa son débardeur par-dessus sa tête et tira sa jupe vers le bas, laissant apparaître un deux-pièces scintillant en maille à effet or. Elle était éclatante de beauté. Un désir brûlant gronda en lui.

Cette fois-ci, il l'agrippa de ses mains puissantes et la plaqua contre lui pour l'embrasser fougueusement. Elle ne pouvait échapper à son emprise. Un frisson creusa ses reins. Elle se détacha de lui, lui sourit et lança en courant : « Attrape-moi, si tu peux ! »

Elle s'engouffra progressivement dans l'eau afin que la température de son corps s'adaptât à la fraîcheur de l'eau et elle se retrouva rapidement au pied de la cascade. En la regardant s'asperger d'eau sur la berge avant de se mettre à l'eau, il chercha à déceler une imperfection dans son physique. C'était impossible. Elle réussissait ce tour de force d'allier une extrême délicatesse des attaches à des formes pleines et même un peu lourdes. C'était une incarnation parfaite de la féminité. Courbes et volumes se mariaient dans une harmonie sans défaut, composant un équilibre parfait entre la finesse des membres et l'ampleur de ses seins et de son derrière. Tout en elle transpirait la sensualité à l'état pur lorsque son corps svelte s'érigea de l'eau, passant ses mains dans ses cheveux, des gouttelettes reluisant au soleil, le teint hâlé, des seins fermes dans un soutien-gorge triangle, une taille fine, une belle cambrure, des petites fesses rebondies et de longues jambes interminables. Il était totalement envoûté par une telle beauté. À son tour, il entra dans l'eau, parcourut quelques longueurs laissant apparaître des muscles saillants. Elle s'approcha de lui, plongea son regard dans le sien, lui caressa les cheveux et lui murmura à l'oreille :
« J'ai envie de toi. »

Ils sortirent de l'eau et mirent une couverture sur le sol. Ils s'allongèrent. Cael se pencha sur elle, et rapprocha ses lèvres de celles de sa partenaire. Leurs lèvres se soudèrent et leurs langues se touchèrent. Il avança une main vers son ventre. Sa motte renflée était couverte d'une toison rasée en forme de cœur qui brillait dans la lumière. Cael parcourut du bout d'un doigt le bourrelet des grandes lèvres. Alors, comme si c'était un signal, elle écarta ses jambes en les repliant sur son buste dans une posture totalement impudique. La vulve s'ouvrit avec un faible chuintement humide, magnifique coquillage au cœur rose dont l'odeur iodé remplit ses narines. Il en a approcha son visage.

Heather tira la peau sur les côtés pour s'ouvrir davantage, ce qui eut pour effet de faire saillir le clitoris. L'orifice du vagin se dilata en laissant apparaître la chair de l'intérieur, nacrée et baignée de jus. Il s'ouvrit et se referma comme une bouche, chacune de ses contractions expulsant une coulée de mouille qui dégoulinait dans la raie des fesses. Elle sentit la verge dure comme du béton entre ses cuisses serrées et le désir soûlant la bouleversa. Il pointa son gland dans le vagin avec aisance par des pénétrations réussies et répétées. Dans ses bras, elle s'abandonna totalement à lui.

Plus elle lui murmurait des mots coquins, plus il lui prodiguait de grands coups vigoureux. L'engin planté dans sa chatte bougeait au rythme des contractions de son ventre. Ce fut alors que Heather fit entendre son premier râle de plaisir et commença à remuer son bassin. Elle s'anima progressivement. Elle se déhanchait de plus en plus brutalement, se tortillait parfois en faisant des bonds, poussait une plainte sourde et continue, secouait sa tête de droite et de gauche. Elle était encore plus belle dans l'agitation de la jouissance. Ses cuisses étaient trempées et sa toison gorgée. Elle voulut assouvir les désirs de son homme, elle s'agenouilla et prit son sexe entre ses lèvres. Maintenant son visage entre ses mains larges, en quelques va-et-vient, il ne tarda pas à jouir ; le visage souillé, Heather s'allongea. Non loin de là, un promeneur caché derrière un arbre avait observé tous leurs ébats. Debout, pantalon baissé, il s'adonna au plaisir solitaire, sa tige s'érigea à la verticale et lui aussi se soulagea. Rassasiés, ils se dirigèrent vers le parking où une dame armée d'une sorbetière vendait des sorbets coco.