Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 15/08/2009 par bilibertin
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
SANDRINE, RONDE & CHAUDE!!!
Sandrine je l'ai rencontré dans un petit café dans lequel j'allais assez souvent, elle était cliente elle aussi, c'était une fille un peu ronde, mignonne de visage, ça n'était pas le canon mais elle ne me laissait pas indifférent, je lui ai fait comprendre, et la ça a été expéditif, le jour même où je l'emballais, elle voulut aller chez moi, c'était rapide mais ça me plaisait assez car là je savais d'entrée de jeu que c'était une nana qui ne devait pas avoir froid aux yeux.
Je l'emmenais donc chez moi, de suite on est parti dans la chambre, j'ai commencé par l'embrasser en lui enlevant ses vêtements, je la fis allonger sur le lit et posant chacune de mes mains sur ses genoux, je lui écartais lentement les jambes approchant ma bouche de sa petite chatte afin d'y passer un coup de langue (elle était déjà trempée d'excitation), dés ce premier assaut, elle poussa un gémissement de bonheur, ce moment allait être exquis, c'était sur et certain.
Je m'affairais sur son clitoris, j'adorais entendre le son de sa voix qui murmurait des petits « humm! » chaque fois que je la léchais, c'était une fille assez expressive qui n'essayait pas d'étouffer ses soupirs de plaisirs, elle aimait ça et elle l'assumait.
S. « Tu veux que je te suce ! » me lança-t-elle
B. « Si tu aimes ça, oui bien-sûr que je veux ! » lui répondis-je
Sandrine me fit relever pour m'allonger à mon tour sur le lit, elle ôta elle même mes vêtements avec une facilité qui me confirma qu'elle était bel et bien habituée à ces situations, j'avais tiré le bon numéro me disais-je, j'étais sur de prendre mon pied, c'était clair dans ma tête.
J'attendais les premiers coups de langues de Sandrine, ma queue était raide, prête à être taquinée par cette bouche coquine.
Après m'avoir fait languir, comme pour me faire comprendre qu'a son tour elle me dominais, Sandrine prit entièrement mon sexe dans la bouche, le gardant comme cela pendant plusieurs secondes, c'était une sensation divine, j'avais confirmation la encore que je n'était pas le premier a mettre ma queue dans cette bouche experte, je plaçais alors mes mains sur l'arrière de la tête de Sandrine afin de lui donner la cadence qui me donnais le maximum de plaisir, elle se laissait faire sans broncher, comme si elle voulait me dire qu'elle appréciais le partage de la soumission domination, ses énormes seins tapaient contre mes testicules à chaque fois qu'elle effectuait ses va et viens, ça m'excitais d'autant plus.
Après avoir bien apprécié cette petite pipe, je fis mettre Sandrine à genoux en position levrette, la aussi ça n'était pas innocent de ma part, je voulais voir son joli cul bien offert, le contempler, le caresser, j'en profitais également pour passer mes doigts sur sa petite chatte, elle était inondée, je titillais son petit trou, histoire de jauger en même temps si mademoiselle était retentissante à la sodomie, mais quelle joie, pas un mot, pas un geste afin d'éviter la pénétration de mon index.
J'approchai ma queue, je collais bien mon gland afin qu'elle constate à quel point la dureté de celui-ci lui prouvait bien qu'elle m'excitait.
B. « Tu as l'air d'aimer ça dis donc »
S. « J'adore ça oui, je suis assez cochonne en sexe et j'aime tout »
Il n'en fallait pas plus pour me décider à la pénétrer, elle cria littéralement, c'était la première fois que j'entendais une nana qui se laissait aller à ce point, j'aimais ça, ça me donnait un sentiment de domination extrême, j'agrippais ses hanches et je m'enfonçais d'un coup encore plus sec, moi qui ai l'habitude suis plutôt doux lors de l'acte, je me lâchais moi aussi, faisant claquer le plus fort possible mon corps contre le sien, essayant de m'enfoncer au delà de la longueur même de ma queue et plus je m'enfonçais brutalement, plus Sandrine criait de plaisir,
S. « Ca te plait que je sois ta petite salope ! »
J'étais abasourdit par ce que je venais d'entendre, jamais une fille ne m'avait parlé comme ça, mais le temps de réaliser et je lui rétorquais :
B. « Que tu sois Ma salope, oui ça me plait ! »
Je la retournais afin de pouvoir la prendre par devant, je ne changeais pas ma façon de faire et m'enfonçais encore assez sauvagement, voir son visage, ses joues rouges qui me prouvaient bien qu'elle ne simulait pas, ses yeux qui s'ouvraient et se fermaient à chacun de mes va et viens.
J'attrapais ses deux gros seins, fermes, je les massais, m'amusais avec ses tétons, je sentais son corps moite, brulant de désir, de plaisir, nous étions en parfaite harmonie, c'était le top, c'est alors qu'à son tour, elle m'agrippa pour me faire rouler et sans que j'eus le temps de dire ouf, elle était déjà grimpée sur moi, prenant mon sexe pour le mettre a nouveau en elle, cela tournait vraiment en jeu, le jeu que tout le monde aimerait connaître, le parfait équilibre entre les rôles de chacun, c'était à son tour de me prendre, elle faisait des mouvement précis, brefs, rapides, elle savait alterner afin de me donner un maximum de plaisir, je prenais mon pied et elle aussi, je ne m'étais pas trompé, c'était une chaude, un bon coup comme on dit.
B. « Humm!! tu vas me faire jouir, je ne tiens plus!! »
S. « Retiens toi encore, quand j'aurais jouis, je te finirais avec ma bouche, tu vas adorer !!! »
Je faisais donc un effort, je me retenais (avec difficultés je l'avoue), je ne voulais pas laisser passer l'occasion d'apprécier ce qu'elle comptait encore me faire, pour me dominer encore une fois et en quelque sorte remporter notre petit jeu.
J'essayais de l'amener a l'orgasme, je lui caressais encore et encore les seins, jouais avec ses tétons, les tiraient, pinçaient doucement, je lui lancés aussi quelques mots cochons afin de l'exciter encore, et enfin je la vis pencher la tête vers l'arrière en gémissant puis elle poussa un cri de bonheur, elle jouissait comme une folle, se lâchait littéralement tout en me lançant :
S. « Humm!! oui vas y baise moi bien, c'est bon, encore, encore!!!! »
Lorsqu'enfin elle eu son orgasme, elle se retira pour se diriger aussitôt vers ma queue comme elle l'avait dit, elle la prit d'abord dans sa main afin de me branler rapidement, mettant au passage quelques coups de langues,
S. « Des que ça vient tu me le dis! »
B. « Ça vient!! oui, ça vient ne t'arrête pas !!!! »
Sur ces mots, sa bouche se joignit a ses mains, puis au moment ou elle sentit que ma queue se durcissait un peu plus encore, elle la prit entièrement dans sa bouche effectuant des petites aspirations provocant mon éjaculation, je la remplissais de ma semence dans une jouissance et un cris de plaisir, Sandrine, elle gardait ma queue bien au fond de sa gorge et ne perdait pas une miette des giclées de spermes qui jaillissaient de mon sexe, les avalant au fur et a mesure.
Lorsque la dernière goutte fut expulsée, elle continua a me sucer quelques instants, très doucement, sans forcer, jusqu'à ce qu'il ne reste rien a absorber, ce fut l'une de nos nombreuses parties de jambes en l'air mais de loin la plus excitante et je souhaite a tout les hommes de tomber un jour sur une Sandrine.......