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Proposée le 10/08/2009 par Kevin
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C'était une journée de chaleur forte. J'étais dans mon bureau. Ma chef de service, Françoise, arriva et me proposa d'aller pique-niquer dans le parc. Elle avait fait une salade pour deux. Nous étions en août, nous étions les seuls dans le service. Je ne pouvais pas me désister. Il me restait une seule solution accepter.
Il faut dire que ma chef de service n'est pas vraiment engageante. Elle mesure un mètre soixante quinze et pèse au moins 100 kilos. Certes, elle a tout juste quarante ans et le surplus de graisse rend son visage rond et exempt de ride mais son physique ne me la rendait pas attrayante.
Nous partîmes donc ensemble dans le parc avec chacun un livre et pour ma part l'espoir secret de faire une sieste. Nous trouvâmes rapidement l'endroit, qu'elle avait choisi, pour pique-niquer. Nous étions au bord du lac et sous la frondaison des arbres. Nous nous assîmes sur l'herbe sèche.
Françoise : Tu vas voir on va être très bien. En plus, on est à l'ombre.
J'acquiesçais simplement.
Elle me servit sa salade niçoise et un verre de rosé. Elle était franchement délicieuse.
Au bout de quelques instants, les jambes me grattaient puis le dos et les cheveux. Je me levais.
Moi : Oh quel idiot ! Je me suis assis sur une fourmilière. C'est horrible ça me pique partout.
Françoise : Oh quel con, tu ne pouvais pas faire attention. Bon, j'ai la voiture à deux pas. Je t'emmène chez moi. Tu pourras prendre une douche et te mettre un produit apaisant sur tes piqures.
Nous voilà partis. Elle habitait aussi à deux pas mais vu son surpoids et une tendinite à la cheville, elle limitait les marches. Elle ne risquait pas de maigrir. Son appartement était vraiment mignon et pour tout dire assez design. Elle m'indiqua la salle de bain.
Je m'enlevais rapidement mes habits et je fonçais sous la douche. Cette douche était immense avec des jets multiples. Un vrai bonheur.
Pendant ce temps, Françoise rentra dans la salle de bains et pris dans l'armoire à pharmacie un antiseptique. Elle n'avait pas vu un corps d'homme depuis une éternité. Elle se masturbait le soir grâce à des godemichés acheté sur internet. Elle se dévergonda et attendit que je sorte de la douche.
Je me retrouvais face à Françoise nu comme un ver mouillé. Elle m'enveloppa de grandes serviettes éponges. Elle m'essuya avec une douceur incroyable. Cette douceur sur l'ensemble de mon corps et sur mes organes génitaux provoqua une belle érection. Elle caressa mon sexe avec la serviette puis pris dans sa paume mon gland. La douceur de sa peau était totalement aphrodisiaque. Des frissons de plaisir me parcouraient dans tout le corps. Je lui défis son chemisier. Elle me regardait avec des yeux immenses. Je lui proposais de rejoindre sa chambre.
Je me couchais sur le lit. Elle enleva son pantalon son soutient gorge et son string. Elle me rejoignit et se coucha sur le dos.
Ses seins énormes se dressaient vers le ciel. Je les pris dans mes mains avec douceur.
Ils étaient magnifiques, ronds et blancs. Je pouvais lécher et sucer toute cette surface sans me lasser.
J'embrassais son corps, il dégageait une merveilleuse odeur de chocolat blanc. Son ventre et l'intérieur de ses cuisses étaient particulièrement doux. Je pouvais frotter mon visage avec délice.
Poser des baisers sur son sexe était une sensation merveilleusement agréable. Je léchais son clitoris et ses lèvres intimes. Elle réagissait chaque fois que je posais mes lèvres sur son corps. Elle écarta ses cuisses et m'engagea à manger sa chatte avec plus de vigueur. Je prenais l'ensemble de ses lèvres dans ma bouche et je lui mordillais son clitoris. Elle poussa des cris de jouissance. Je me relevais pour introduire mon sexe dans le sien. Elle était merveilleusement humide et chaude mais extrêmement serrée. Je faisais des mouvements doux d'avant en arrière dans son vagin. Elle m'accompagnait et fermait les yeux. Son vagin se dilata légèrement. Elle prit mes fesses à pleine main et m'encouragea à m'enfoncer totalement. En même temps, elle me mordilla le téton droit. Les deux actions conjointes m'amenèrent à un summum de bonheur et j'éjaculais. Nous jouîmes de façon simultanée. Ce moment de bonheur intense dura de longues minutes. Les caresses continuèrent longtemps après l'orgasme et firent continuer le plaisir. Nous nous endormîmes enlacés.
Depuis cette journée, nous vivons ensemble avec Françoise. A la douceur de nos débuts a succédé d'autres moments plus vigoureux. Son ample corps m'a toujours permis mes nombreux fantasmes. Je ne voudrais pour aucune raison faire l'amour avec une personne plus mince.