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Proposée le 8/08/2009 par Maeva jean Claude
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Nous étions revenus enchantés de notre toute première expérience de Marseille. Nous en reparlions souvent au lit avec Maeva. Il est vrai, qu'au sauna nous avions eu des moments très agréables. Même si l'endroit paraissait plutôt sordide et glauque. L'excitation avait été au rendez-vous. Mais, nous ne voulions plus retourner dans cet endroit.
Avant de vouloir retrouver ce couple d'amis, nous voulions avec Maeva attendre un peu. Ils nous téléphonaient de temps en temps pour nous inviter à passer une après-midi ou une journée chez eux a Aix-en Provence, voir un week-end. Maeva ne voulait pas le refaire aussi vite avec eux, que cela devienne une habitude.
Nous avons recherché dans des magazines de rencontres de l'époque. Nous voulions un homme d'un certain âge sérieux, propre, n'ayant pas des fantasmes trop violents. Je crois que cela a été le plus dur, de trouver la personne correspondant. Des dizaines de lettres, et deux rendez-vous dans des lieux publics proches de Toulon ne se sont pas concrétisés. Les types ne correspondaient pas à ce que nous recherchions. Le troisième, semblait mieux correspondre. Maeva lui plaisait beaucoup. Et elle, n'était pas indifférente à ce genre d'homme. Il était grand, les cheveux poivres et sels, d'un âge respectable, et d'une tenue exemplaire. De plus il était courtois, et gentil.
Nous devions nous rendre obligatoirement ce samedi à une soirée donnée dans une enceinte militaire d'Hyères. Je pouvais avoir des invités, et je décidais de le faire passer pour un proche parent. Avec Maeva et son accord bien sur, nous devions passer la soirée à Hyères, et revenir chez nous où il passerait la nuit. Nous voulions avoir du temps devant nous. Le faire dans des conditions optimales de sécurité et de confort.
Comme convenu, il est venu chez nous une petite demi-heure avant que l'on doive partir pour Hyères. Il était comme prévu, habillé de façon plutôt élégante d'un costume impeccable et d'une cravate assortie. Je portais ma tenue de cérémonie et Maeva était en robe fourreau en soie noire. Elle était resplendissante et vraiment jolie, les cheveux retenus dans une composition dont elle seule a le secret.
Bien-sur nous étions tous trois un petit peu anxieux. Mais la soirée serait longue. Et, nous avions le temps de nous habituer les uns aux autres. Nous avons pris sa voiture qui était plus spacieuse et confortable. A Hyères, je retrouvais mes collègues et amis de mon travail. Certains étaient des amis très proches, et connaissaient très bien Maeva. Je présentais mon invité comme étant un des frères de mon père. Tous étaient en tenue de soirée. Il y avait beaucoup de très jolies jeunes filles et de très jolies jeunes femmes. La soirée se déroulait parfaitement. A notre table, l'ambiance était excellente, les jeunes femmes dansaient avec chacun d'entre nous. Notre invité participait comme si il faisait parti de notre cercle depuis des années. Il était parfaitement accepté et faisait danser chaque jeune femme de la table, Maeva aussi bien-sur.
Je me suis retrouvé avec lui seul à table, des collègues, trop loin de nous pour surprendre notre conversation, bavardaient sans faire attention à nous. Il m'avoua qu'il trouvait Maeva très jolie, très désirable. Me faisant remarquer qu'elle était parmi les plus jolies jeunes femmes de la soirée, la plus jolie de la table toujours. Nous la regardions danser en parlant d'elle. Elle était effectivement très jolie. Elle avait su choisir parfaitement sa robe qui était magnifique. Elle avait les bras et les épaules nus, un dos nu mais sans provocation. La robe lui allait parfaitement, beaucoup d'hommes et de femmes la regardaient. Le noir, allait à sa couleur de peau, ses cheveux noirs, à ses formes presque parfaites. Il lui manquait un petit peu de poitrine à mon goût. De l'entendre me dire qu'elle avait un beau corps, et de jolies petites fesses m'excitait. J'avoue, que nous avons aussi parlé d'autres jolies jeunes femmes qui évoluaient sur la piste. Mais Maeva, son corps, son allure revenaient le plus souvent dans notre conversation. N'ayant pas senti sur sa taille le haut des collants lors d'une danse. Il se doutait qu'elle devait portée ce soir la, des bas plutôt que des collants. Mais il voulait savoir beaucoup de secrets intimes sur elle. Si bien sur elle s'épilait plus ou moins, ses fantasmes et pratiques sexuelles.
La soirée se déroulait normalement. Je ne pouvais pas m'empêcher de penser a notre retour. Lui aussi certainement, il me demandait si j'avais envie de rentrer. Bien-sur, comme lui j'aurais aimé rentrer de suite. Mais, nous ne pouvions partir les premiers. Maeva, elle, s'amusait vraiment, et semblait avoir oubliée le reste de la nuit à venir. Elle voulait rester. J'ai eu un petit moment de doute. Je dansais avec elle pour lui demander si elle voulait toujours le faire. Oui, elle voulait toujours le faire, mais pas maintenant. Je ne sais pas lequel des deux était le plus impatient de partir, lui ou moi. Il était une heure passé et certaines personnes commençaient à partir. C'est ce moment qu'il choisit pour parler à Maeva. Lui disant certainement qu'il aimerait rentrer. Elle me regarda, et me dit tout simplement que mon « oncle » était fatigué et qu'il serait temps pour nous de partir. Je me levais et m'excusais auprès de mes amis. Mon « oncle » et sa nièce par alliance aussi de leur coté s'excusaient et s'apprêtaient à rentrer.
Dans la voiture, le trajet de retour c'est passé dans un silence gênant. Aucun de nous trois ne voulant rompre ce moment. Pour venir a la voiture, il avait pris la main de Maeva. Elle lui avait donné sa main tout le long. Il y avait, comme une complicité secrète entre eux deux. Il n'avait pas trouvé de place près de chez nous. Et nous avons du faire quelques pas dans la rue. La encore il lui prit la main comme si c'était un geste naturel. La rue était vide, silencieuse, nos pas résonnaient étrangement. Il s'inquiétait tout bas, lui demandait si elle avait froid. Il lui murmurait quelque chose à l'oreille. J'en étais presque jaloux. J'ouvrais la porte de l'immeuble. Il lui tenait toujours la main. J'ai su par elle le lendemain, que de temps en temps il lui serrait un peu plus la main. Et qu'il lui avait murmuré des compliments, lui disant aussi qu'il la désirait. L'ascenseur, il la regardait. Elle rougissait et ne savait pas où porter son regard. Elle était belle.
Dans notre appartement, Maeva est allée directement a la salle de bain ce rafraichir un peu. Nous avions tout préparé bien avant de partir. J'allumais les trois bougies dans le salon. Je branchais en sourdine la musique préalablement choisie par elle. J'allais chercher la bouteille de champagne qui attendait au frais. Dans la chambre, j'allumais une seule bougie dans un vase rose. Cela donnait à la pièce une atmosphère étrange de boite de nuit. Sur la table de nuit, une petite assiette avec des préservatifs sortis de leurs étuis, ainsi qu'un petit tube de gel lubrifiant attendaient. J'avais aussi préparé une petite serviette propre.
Elle nous a rejoint dans le salon. Elle avait gardé comme prévu sa robe et ses cheveux en chignon. Il servait le champagne. Elle était assise entre nous deux. L'ambiance était pour le moins étrange. Il l'a complimenté pour sa beauté. Il lui parlait à voix basse. Il l'invitait à danser, ici dans le salon. Ce n'était que des slows très lents qui passaient en sourdines. Ils ont dansé un moment lentement devant la table. Elle avait ses deux mains sur ses épaules. Lui avait une main sur une hanche et l'autre sur son épaule. Ils dansaient tout doucement, faisant presque du sur place. Il lui parlait a voix basse. Il la serrait un peu plus contre lui. Il posait ses lèvres à coté des siennes. Elle ne se dérobait pas. Au contraire, il me semblait qu'elle le serait contre son corps. Elle posait sa tête sur son épaule. Lui, respirait son odeur, son parfum dans le cou.
Il la serrait, il collait son corps au sien. Ses mains descendaient dans son dos. Il devait sentir sous sa robe de soie les contours de sa petite culotte. Elle fermait les yeux, ce laissait faire. Puis leurs bouches ce cherchaient, leurs lèvres ce trouvèrent. Les regarder, les entendre la voir elle, était quelque chose de très érotique. Elle respirait plus vite et plus fort. Il l'embrassait dans le cou, elle levait la tête fermait les yeux. Elle m'excitait beaucoup. Je me levais pour me joindre à eux. Je me collais dans son dos, la tenant par les épaules. Elle tournait son visage vers moi, les yeux clos, la bouche entrouverte, je prenais ses lèvres. Elle était douce, chaude, elle avait envie de faire l'amour. Je la tenais par les hanches, mes mains rencontraient celles de notre invité. Contre moi, je sentais les courbes, les formes de ses fesses. Ses bras nus étaient de la soie, elle sentait bon.
Nous ne sommes pas allés de suite dans la chambre. Nous l'avons ramené sur le canapé. Ce soir au cours de la soirée, nous avions très peu bu. Je voulais que Maeva soit légèrement ivre. Je la voulais moins stressée, plus provocante. Qu'elle se laisse aller, qu'elle vive pleinement les moments présents. Je lui demandais de finir son verre et la resservais. Lui aussi prenait de l'assurance. Il avait posé sa main sur son sein et le pressait doucement. Il devait en sentir la douce chaleur et en touchait la pointe sous le tissu soyeux de la robe. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Avec Maeva nous aimons beaucoup fantasmer. La visite chez le médecin, le viol simulé faisaient partis de nos fantasmes préférés. Sans que nous en ayons parlé, et malgré la situation qui était déjà très chaude elle jouait encore. Je reposais son verre sur la table et lui demandais a voix basses de nous suivre dans la chambre. Elle murmurait tout bas, qu'elle ne voulait pas. Elle nous suppliait de la laisser, de ne pas lui faire de mal. Je l'aidais à ce lever. Elle ne venait pas d'elle même, mais je devais la maintenir, la forcer un peu. Lui était aussi contre elle et lui tenait le bras. Il l'encourageait à voix basses, lui disant que nous serions très gentils avec elle. Que nous ne lui ferions aucun mal, qu'elle aimerait beaucoup. Elle disait et répétait qu'elle ne voulait pas, qu'elle avait peur. Elle venait, en opposant une légère résistance. C'était un jeu sexuel, et si cela n'avait pas été le cas, l'opposition aurait été plus beaucoup plus forte et plus sérieuse. Maeva n'étant pas une femme à se laissée faire, croyez-moi. Et bien sur, je n'aurais pas permis que l'on aille plus loin. C'était un jeu, un jeu sexuel librement consentit et comprit de nous trois.
Dans la chambre qui était uniquement éclairée par la bougie dans le vase de couleur, elle résistait un peu plus. De nouveau elle nous suppliait à voix basses de la laisser. Il l'a pris dans ses bras et cherchait ses lèvres qu'elle lui refusait un moment avent de les lui donner. Je refermais la porte. Je m'approchais d'elle dans son dos. Il cessa de l'embrasser, et de nouveau elle nous murmurait qu'elle ne voulait pas, que nous allions lui faire mal. Il lui tenait les mains, et cherchait de nouveau ses lèvres, pour la faire taire. Je la tenais par les hanches. Elle était chaude et douce, son parfum me rendait fou. Je cherchais dans son cou, les petits crochets de la robe que je dégrafais. Elle retenait devant elle le haut de sa robe qui glisserait et tomberait sur le sol sans cela. J'attendais un peu, je respirais son odeur, le parfum de son corps, je lui caressais le dos nu. Lui, l'embrassait sur les lèvres, en la tenant par les avents bras.
Je posais mes lèvres dans son cou. Je passais mes mains sur sa taille, et remontais sur les cotés. Je les passais sous les pans de la robe qui s'écartait. Sa peau était douce et chaude, je contournais son corps sous ses bras, de chaque coté, et touchais sa petite poitrine. Je posais mes mains sous ses seins pour les soupeser. J'en ressentais l'élasticité, la douce chaleur, je les pressais doucement, je cherchais du bout des doigts les pointes plus dures. Je les lui pinçais tout doucement, je la mordais doucement dans le cou. J'avais envie d'elle. J'avais envie de la voir nue avec ce type qui aurait pu être son père. J'avais envie de l'entendre gémir, de la voir faire l'amour avec un autre. Je la tirais doucement vers le lit. Elle résistait mollement, nous suppliant de nouveau à voix basses. Elle s'asseyait néanmoins sur le lit et s'allongeait. Elle retenait toujours le haut de sa robe sur sa poitrine en ce couchant. Lui s'allongeait sur sa gauche et cherchait de nouveau ses lèvres. Je venais m'allongé contre elle sur sa droite. La chambre était dans la pénombre, mais elle était belle et désirable à regarder. Elle retenait toujours sa robe sur sa poitrine.
Je la regardais, elle était vraiment belle. Je prenais son bras droit et le posais sous mon bras gauche. Elle ne pouvait plus s'en servir. Elle retenait toujours sa robe avec sa main libre. Lui ou il l'embrassait, ou il la regardait. De sa main il lui caressait le corps allant des épaules aux genoux. Lorsqu'il ne l'embrassait pas, elle murmurait qu'elle ne voulait pas. Disant et répétant sans cesse, à voix presque inaudible qu'elle ne voulait pas faire l'amour, que nous allions lui faire mal, nous suppliant de la laisser. Lui, lui caressait doucement les hanches, le ventre. Il remontait sur sa poitrine. Elle résistait un tout petit peu alors qu'il prenait le haut de la robe et découvrait sa poitrine. Il se levait sur elle pour la regarder. Il regardait ses deux petits seins. Elle a les bouts des seins très légèrement plus foncés, et les petits bouts son plus dur, mais si sensibles. Il aurait pu deviner les petites veines bleues sous la peau si fragile, sous les seins si la lumière avait été plus forte. Maeva a une couleur de peau ambre clair. Elle est parfaitement bronzée depuis toujours. Et la, dans l'ombre de la bougie elle paraissait encore plus foncée, plus mystérieuse. Il posait sa main sur un sein, doucement, et le palpait avec beaucoup de douceur. Elle avait fermé les yeux et gémissait toujours a voix basse.
L'odeur de son corps, de sa poitrine nue était enivrante et délicieuse. Je ne pouvais pas m'empêcher de caresser son corps. Je touchais son ventre, ses hanches, je descendais jusqu'aux cuisses, aux genoux. Nos mains se croisaient sur son corps. Je ressentais sous sa robe ses bas, sa petite culotte. Je laissais un moment ma main sur son ventre, et descendais lentement. Pas longtemps, juste le plaisir de ressentir sous ma paume le haut de sa petite culotte, et plus bas la jointure de ses cuisses. C'était délicieux. Lui, avait posé ses lèvres ouvertes sur la pointe d'un de ses seins qu'il suçait avec beaucoup de douceur. Sa main ne restait pas immobile sur elle. Lui aussi, la caressait sur la robe. De temps en temps, sa main ce posait juste à la jointure des cuisses et bougeait doucement. Je voulais que cela soit lui qui lui enlève la robe, qui la déshabille. Doucement il baissait la robe. Il faisait glisser la robe, découvrant son ventre plat, son nombril. Je me levais et lui enlevais ses chaussures qu'elle avait toujours sur elle. Lui s'était relevé pour lui enlever complètement la robe. Elle restait allongée les bras légèrement écartés, elle se laissait faire en nous murmurant toujours de ne pas le faire. La robe descendait le long de son ventre dévoilant sa petite culotte en voile noir. Les bords de la culotte étaient ornés d'une très fine dentelle noire. L'ombre de son pubis se voyait parfaitement sous le voile. Une fleur en dentelles noires ornait les deux cotés presque sur les hanches. Avec de la lumière, il aurait presque pu voir chaque poil de son pubis noir. Elle s'épile régulièrement les aines, et ne laisse qu'un magnifique petit triangle de soie, très peu fourni. La robe découvrait maintenant ses cuisses voilées elles aussi de soie noire des bas auto-fixants. Il se levait et posait la robe sur le fauteuil. Il a commencé à se déshabiller.
Je me penchais sur elle et l'embrassais à pleine bouche. Je la caressais, elle remontait les genoux sur moi. Je lui disais plusieurs fois que je l'aimais, qu'elle était belle. Elle aussi répondait à mes baisers, mes caresses. Notre invité était maintenant en slip. Il s'allongeait contre elle, contre son corps. Il l'a prise dans ses bras. Elle gémissait doucement, répétant doucement...
- Non, non je ne veux pas... Laissez moi... J'ai peur.
Je m'écartais d'elle et me déshabillais à mon tour en les regardant. Il cherchait ses lèvres. Elle se refusait en bougeant la tête de droite à gauche. Elle le tenait par les épaules, mais ne le repoussait pas vraiment. Il lui demandait de se laisser faire, qu'elle n'aurait pas mal, au contraire. Elle finit par abandonner ses lèvres en gémissant.
Je me recouchais à mon tour contre eux deux. Il l'embrassait sur la bouche. Sa main était sur son ventre. Elle avait un genou relevé, et le tenait dans ses bras. Je prenais ses bras pour les lui maintenir au dessus de sa tête. De se sentir ainsi maintenue par un homme, et qu'un autre la caresse, accentuait son fantasme. Elle a commencé à essayer de ce dégager de mon emprise. Lorsqu'elle avait la bouche libre, elle gémissait et nous implorait nous répétant qu'elle ne voulait pas. Il a placé une jambe entre les siennes. Sa main est descendue sur son pubis, et plus bas entre ses cuisses. Elle se débâtait en silence, respirant plus vite et plus fort. Je la maintenais vraiment. Je voyais la main posée entre les cuisses de Maeva. Doucement il faisait bouger son doigt de bas en haut. La petite culotte ne la protégeait pas. Il devait ressentir les lèvres de son sexe devenir moites. Elle, devait ressentir ce doigt qui bougeait entre ses petites lèvres intimes. Je pressais ses seins. Elle bougeait mollement maintenant, mais en silence, seule sa respiration la trahissait. Lui continuait. Il la regardait. Il la caressait toujours en murmurant...
- Laisse toi faire... Tu verras comme c'est bon... Tu vas beaucoup aimer...
J'étais très excité. Je la maintenais toujours. Elle bougeait moins. Il a arêté sa caresse, sa bouche est venue sur un sein. Doucement, sa bouche est descendue sur son ventre, son nombril. La pointe de ses seins, ses seins brillaient de sa salive. Je la maintenais toujours un peu. Mais elle ne bougeait plus autant. Elle gémissait a voix basses et de nouveau disait et répétait qu'elle ne voulait pas. Il a passé ses lèvres sur le bord supérieur de la culotte. Puis, il embrassait son pubis, il le mordait doucement. Il la tenait par les hanches. Elle bougeait un peu alors qu'il mordillait sa peau, ses lèvres à travers le voile de la petite culotte. Les mains sont venues sur la ceinture de la culotte et l'ont tirée vers le bas. Il posait de suite sa bouche sur les lèvres qui étaient devant ses yeux. La couleur de ses petites lèvres est plus prononcée. Par contre les muqueuses de son vagin sont plus roses. Son clitoris ce cache sous une fine corole, il n'est pas plus gros qu'un petit pois, et extrêmement sensible. Elle bougeait, gémissait, murmurant, qu'elle ne voulait pas, qu'elle avait mal. Il continuait de faire descendre la culotte le long des cuisses, des jambes. La bouche était toujours collée au sexe de Maeva. Il enlevait complètement la petite culotte, qu'il posait sur le lit. Dans son état, elle aurait fait le bonheur de bien des fétichistes.
Je pressais ses seins. Lui, faisait aller venir le bout de sa langue contre son clitoris. Elle avait la bouche entrouverte. Elle respirait plus rapidement. De temps en temps, une petite plainte sortait de sa gorge. Lorsqu'il pénétrait son vagin de la langue, elle reprenait son souffle et respirait plus calmement. Il lui tenait les jambes écartées, les cuisses relevées. Sa tête, son visage étaient plaqués entre ses cuisses, sur son pubis. De temps en temps, il relevait son visage et je voyais le bout de sa langue bouger rapidement contre elle. Ou il lui maintenait écartées les lèvres intimes, afin d'en libérer le clitoris. Ou il la tenait par les hanches, par les cuisses. Il caressait alors ses cuisses toujours voilées de noir, puis, ses mains venaient sous les fesses qu'il écartait de ses pouces. Je l'avais lâché. Je la regardais, je l'embrassais, je pressais sa poitrine, je caressais son ventre. Elle gémissait toujours. Elle me demandait de la tenir. Elle aimait avoir la sensation de se sentir maintenue, de pouvoir se débattre inutilement. Elle me regardait de ses grands yeux en amandes. Elle était belle. De temps en temps son visage semblait exprimer de la souffrance. Je lisais dans ses yeux, sur son visage la montée progressive de son plaisir. Elle tremblait. Sa bouche s'est ouverte, elle semblait manquer d'air. Elle c'est tendue en arrière. Je la maintenais. Elle a essayé de ce dégager avec plus de force. Elle a presque crié à voix basses... Non... Non... Je ne veux pas...
- Je ne veux pas...
- Vous me faites mal...
- Non...
- J'ai mal...
- Non...
- Non....
C'était sublime de la voir, de l'entendre jouir. Il a arrêté de la lécher. Il est venu sur elle en enlevant son slip. Il bandait. Son sexe était fin et long, le bout violacé était humide. Il a pris un des préservatifs qu'il a mis de suite. Il était inutile d'utiliser de lubrifiant. Les parois vaginales de Maeva étaient brillantes de son désir. Il regardait son visage. Il a écarté ses jambes. Il a pris son sexe dans sa main et l'a guidé entre les cuisses ouvertes. Elle me demandait de la maintenir encore. Sa bouche à lui avait l'odeur intime de Maeva. Il cherchait ses lèvres. Au moment où il venait en elle, de nouveau elle essaya de se dégager, mais mollement, en gémissant qu'elle ne voulait pas. Lui, regardait son visage en venant dans son ventre. Il cherchait à la prendre, à la pénétrer profondément. Il appuyait avec une certaine force. Il lui répétait à voix basse,...
- Laisse toi faire...
- Ne bouge plus....
Il lui faisait l'amour doucement, il lui disait,...
- Plus tu bouges, plus tu m'excites...
Moi aussi je lui murmurais...
- Ne bouge pas...
- Laisse toi aller...
- C'est bientôt fini...
A chaque fois qu'il venait dans son ventre, ses seins bougeaient, une plainte sortait de sa bouche entrouverte. J'avais envie d'elle, de la prendre. Je prenais aussi un préservatif pour ne pas avoir plus de droit sur elle ce soir uniquement. Il me laissait la place, et se couchais contre elle. Je la pénétrais. Elle n'opposait pas vraiment de résistance. J'avais l'impression que son ventre était plus chaud, plus accueillant que les autres fois. C'est lui qui maintenant lui maintenait les bras en la réconfortant. Elle était chaude, elle gémissait toujours, essayait de se dégager avec moins de convictions. Je bougeais en elle à un rythme soutenu, j'aimais voir ses petits seins bouger a chaque fois que je venais dans son ventre. Entendre ses petites plaintes, ses petits gémissements. Je ne voulais pas jouir maintenant. J'allais le plus loin possible avent le point de non retour. Je la laissais, et demandais à notre ami de reprendre sa place dans son ventre.
Nous avons changé de place et je reprenais les bras de Maeva. Il revenait entre ses cuisses ouvertes et de nouveau la pénétrait. Lui aussi voulait faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Il voulait retarder son propre plaisir. Elle ce laissait faire l'amour, n'opposant plus guère de résistance. Mais je savais que lorsqu'elle ressentirait les prémices de l'orgasme elle ce débattrait avec beaucoup plus de force. Elle gémissait toujours doucement. Elle murmurait, nous demandant d'arrêter, disant qu'elle avait mal, qu'elle ne voulait pas, que nous étions des salops. Nous lui répondions de se détendre, de se laisser faire, qu'elle ne sentirait rien, que c'était bientôt fini, qu'elle était belle. Je sentais à ses mouvements, à son visage qu'elle venait doucement à l'orgasme.
Elle s'est mise à murmurer plus fort, à se débattre a vouloir se dégager avec plus de convictions. Je devais la maintenir plus fermement. Plus elle bougeait, plus cela nous excitait. Plus il venait dans son ventre avec force, plus elle se débattait, et plus je devais la maintenir sur le lit. Je savais qu'elle était sur le point d'avoir un nouvel orgasme. Elle implorait, suppliait, voulait qu'on la laisse, elle disait qu'elle ne voulait pas mourir. C'était sublime. Il n'a pas réussi à se retenir plus longtemps. Ils ont jouis ensemble dans un concert de râles, de gémissement. Il a pris ses lèvres pour un très long baiser. Je les laissais reprendre doucement leur souffle. Il se déplaçait et me laissait la place dans ce corps chaud, brulant. Elle n'eut pas à attendre trop longtemps avent de ressentir de nouveau l'orgasme monter dans son ventre. Je lui faisais l'amour avec plus de vigueur, de force. Il cherchait à l'embrasser, il lui serrait les seins, il la maintenait sur le lit. De nouveau elle se débattait, semblait vouloir réellement se dégager. C'était excitant de voir son joli visage exprimer presque de la douleur dans le plaisir. C'était trop excitant pour pouvoir ce retenir plus longtemps...
Elle dormait entre nous deux. Elle était nue, nous lui avions enlevé chacun un bas alors qu'elle commençait à s'endormir. Nous avons passé la nuit contre son corps. Nos mains ce rencontraient souvent sur ses seins, son ventre ou entre ses cuisses. Puis nous aussi nous nous sommes endormis contre elle. Je me suis réveillé très tard. Elle dormait entre nous deux sur le ventre. Lui était en parti contre elle la main posée sur ses épaules. Je me levais, je ne voulais pas les réveiller. Mais, il ne dormait plus depuis un moment déjà. Je lui demandais tout bas de rester avec elle, que j'allais préparer le petit déjeuner. Je refermais la porte de la chambre sans un bruit. J'allais prendre ma douche et préparer le petit déjeuné. Conscient qu'il pouvait en ce moment profiter de la situation. J'imaginais sa main entre ses fesses... Aucun bruit ne venait de leur chambre. Au bout d'un long moment c'est lui qui sortait le premier en slip, il se dirigeait vers la salle de bain en me disant qu'elle était réveillée.
Je la rejoignais, elle était allongée nue sur le dos avec juste le drap sur le corps. Elle était plus ou moins encore dans les vapes. Ses cheveux étaient défais et recouvraient ses épaules. Je l'embrassais. A ses yeux, son visage j'étais sur qu'elle venait d'avoir un orgasme. Son corps était chaud. Elle était heureuse, me souriait timidement. Son corps sentait bon, il sentait la femme qu'elle était, il sentait l'amour qu'elle venait de faire. Elle murmurait que c'était lui qui l'avait réveillée... Avec sa langue. Je n'avais pas besoin de lui demander si elle avait aimé. Cela se voyait sur son visage, dans ses yeux. Je lui demandais de se lever, que nous avions rendez-vous à midi trente dans un des meilleurs restaurants de Bandol où il nous invitait.
Il était sorti de la salle de bain et elle traversait l'appartement le corps enveloppé d'un drap de lit. Il était enchanté de sa soirée et de sa nuit. D'avoir fait la connaissance d'un couple comme nous...,.... Il était maintenant presque midi. Nous devions partir pour Bandol. Nous étions prêts. Il sortit de sa poche un petit paquet cadeau qu'il offrit à Maeva. C'était assez lourd, mais peu volumineux. Elle découvrait deux magnifiques boules de geisha en aciers reliées l'une a l'autre par un petit cordon. Chacune d'elles contenaient une boule plus petite en acier elles aussi et remplies en partie de mercure. Il avait acheté ces boules lors d'un voyage en Asie. Il nous dit qu'elles étaient différentes de celles que l'on trouve habituellement en métropole, plus lourdes et ayant la deuxième remplies de mercure. Elles étaient en principe plus efficaces.
Nous en avions entendu parler. Mais nous n'en possédions pas. Maeva était surprise et semblait enchantée. Elle l'était un tout petit peu moins lorsqu'il lui demandait et proposait de les porter pour aller au restaurant. Elle ne pouvait guère refuser, même quand il lui proposait de les lui installer lui même. Il est allé chercher le tube de gel lubrifiant resté dans la chambre. Maeva était embarrassée, elle s'allongeait sur le canapé comme il lui demandait. Elle avait mis une robe imprimée de couleurs claires. Il s'asseyait à ses cotes et soulevait la robe sur son ventre. Elle portait une jolie petite culotte blanche en dentelle. Il la descendait le long de ses cuisses, de ses jambes. Nous étions en retard, et nous n'avions plus vraiment le temps de nous amuser. Maeva était rouge de confusions, elle n'osait croiser nos regards. Elle avait les petites lèvres jointes et sèches. Il débouchait le tube de gel et en posais un peu sur son doigt. Maeva sursautait doucement, c'était froid. Il ouvrait ses petites lèvres et les lui lubrifiées. Puis il déposait une noix de gel sur la première boule qu'il présentait contre ses lèvres intime. La boule était froide, elle me tenait la main et me serrait. Il appuyait doucement et elle disparue dans son vagin qui l'accueillit sans aucunes difficultés. Il déposait une nouvelle noix de gel sur la deuxième et la poussait doucement dans le fourreau intime. Il prit soin avec un mouchoir de papier d'essuyer ses lèvres du lubrifiant qu'il rester avent de lui remettre la petite culotte.
Maeva s'est levée avec un peu d'appréhension. Cela ne lui faisait pas mal. Petit à petit, elle en ressentait l'effet. Cela ne venait pas de suite. Nous sommes allés à Bandol avec chacun notre voiture. Il devait, et nous a quitté à la fin du repas. Maeva ressentait une légère excitation vaginale continuelle. A chaque mouvement, ses muqueuses étaient sollicitées par le travail des boules remplies de mercure. Elle avait peur de les perdre. Lorsque nous sommes retournés chez nous, j'enlevais sa petite culotte moite de désirs. Je tirais doucement sur le petit cordon et faisais ressortir les boules une a une. Elle était prête à m'accueillir, son vagin était chaud, brulant, un véritable délice. De cette expérience, il nous reste des souvenirs brulants, les boules de geishas qu'elle a utilisé de temps en temps. Je l'aime encore plus qu'avant, le temps a passé mais je la trouve toujours aussi belle, aussi désirable. Et je ne dois pas être le seul. Car beaucoup d'hommes encore ce retournent sur elle.
Voilà vous raconter cela m'a donné beaucoup, beaucoup de plaisir. Je souhaite vraiment que vous aussi, vous en preniez autant sinon plus a me lire.
A bientôt pour de nouvelles encore plus... érotiques.
Maeva Jean Claude.