Devenir pute

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Proposée le 11/08/2009 par Talis Cat

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Texte très hard : prostitution, bondage... C'est une histoire, pas un encouragement à la prostitutions ou à toute autre pratique de ce genre, nous les réprouvons d'ailleurs totalement, merci de prendre ce récit comme tel.

A peine rentrée chez moi, je vais directement me coucher. Je suis courbaturée de douleur, exténuée.
Je m'assoupis.
Mon mari rentre tard, il doit être Minuit.
Je l'entends s'approcher doucement.
Il me caresse doucement me demande :
"- Tu vas bien, ma chérie ?"
Je suis lasse. Je réponds machinalement :
"- Je suis fatiguée. Je viens de baiser avec un groupe d'homme."
Sa main s'arrête. Je réalise avec effroi ce que je viens de dire.
Je n'ai plus du tout sommeil, je me redresse, bafouille :
"- Non, attends... Je... Ce n'est pas..."
Je vois son bras se dresser comme au ralenti. J'attends la gifle que j'ai méritée.
Elle n'arrive jamais. Son bras retombe.
Il pleure. Il me pointe la porte et dis :
"- Vas t-en. Je ne veux plus jamais te voir. Je te ferais parvenir les papiers du divorce par l'intermédiaire de mon avocat."
J'ai envie de hurler : NON !!! PAS CA !!! J'ai enduré tout ça pour toi, pour nous ! NON !!!
Mais je ne dis rien. Je me lève, descend les escaliers, me dirige vers l'entrée.
J'entends sa voix murmurer :
"- Alors tu étais vraiment une salope... Je ne l'aurais jamais cru."
Je m'arrête et commence à protester :
"- Je peux t'expliquer pour les photos... Tu vas comprendre. Ecoutes..."
Il me coupe la parole :
"- Les photos ?!? Tu veux dire que ce n'était pas des montages ? Dire que j'ai obstinément refusé d'y croire... Tu étais si pure à mes yeux..."
Je ne comprends pas... A quoi faisait-il allusion en me traitant de salope ?
"- Et maintenant tu dors presque nue, m'annonces que tu t'es faite tirée comme une chienne pendant la journée et tu t'apprêtes à sortir comme ça ?"
Je réalise alors avec horreur que je m'étais couchée en porte jarretelle et bas... sans culotte... Ni soutien gorge.
Et que je m'apprêtai à sortir dehors ainsi. Les bras m'en tombent.
Il me jette ma belle robe de soirée.
"- Voilà la robe que tu aimes tant ! Celle que tu as souillée afin d'avoir un prétexte pour te faire sauter par le serveur !"
Je pleure de désespoir. J'ai fait tout ça pour lui... Mais si je n'avais pas douté de son amour, jamais je n'aurai eu à accepter ce chantage immonde...
Et maintenant je me comporte vraiment comme la dernière des catins.
Je prends la robe sous mon bras enfile un manteau long et m'enfuis sans même m'habiller.

Je suis dehors. Je remarque une voiture plutôt pourrie garée non loin de la maison.
Je suis intriguée, c'est un quartier huppé ici. Je m'approche en fermant mon manteau.
Je ne suis même pas étonnée de le voir endormi sur le siège avant.
Il avait tout prévu.
Je toque à la fenêtre. Il se réveille, baisse la vitre.
"- On ne sais plus où aller, ma belle ?"
"- Non, emmène moi chez toi."
Il est surpris par mon aplomb.
"- D'accord."
Je m'assoie à côté de lui. Il démarre.
"- Alors ton mari a apprécié les photos ?"
"- Il n'y a pas accordé crédit. Depuis le début."
"- Oui. Moi aussi ça m'a étonné. Ca a bien failli mettre mes plans à l'eau. Heureusement que tu es naïve."
Silence gêné. J'appuie ma tête sur la vitre. Regarde distraitement la route défiler.
"- Mais je ne comprends pas pourquoi tu es ici alors..."
"- Je lui ai dit que j'avais baisé avec des hommes ce soir."
Il est estomaqué :
"- Tu lui a dit ça ? Pourquoi ?"
"- Je ne sais pas, c'est venu comme ça..."
Nouveau silence.
Et ta robe ? Tu prends que ça comme vêtements de rechange ?
"- Ce n'est pas un habit de rechange."
"- Tu veux dire que..."
Je ne réponds pas, jette la robe à l'arrière ouvre mon manteau puis mes cuisses et me doigte.
Il siffle d'admiration.
"- Quand-même... Je n'aurais pas cru."
Je le regarde :
"- Tu veux bien me prendre s'il te plait ?"
Il fait une embardée.
"- Là, maintenant ?"
J'allonge le siège avant. Jette mon manteau avec ma robe. Caresse mes formes.
Il se gare à la va vite, ouvre sa braguette et me prend.
Je jouis immédiatement. Il ne tarde pas à suivre.
Nous restons un moment comme ça.
Puis il se relève, referme sa braguette et démarre.
Je mets le manteau sur moi.
"- Tu as froid ?"
"- Non."
"- Pourquoi mets-tu ton manteau ?"
"- Tu ne te rappelles pas ? Je suis TA pute. Toi seul décide qui peut me mater."
"- C'est vrai."
Il reste silencieux.
"- Mais là j'ai très envie de te voir nue. Peu importe si d'autres te voient."
Il n'y avait pas grand monde sur la route mais plusieurs chauffeurs se sont rincés l'œil au feu rouge...

Nous arrivons devant chez lui.
Je veux prendre mon manteau mais il me devance.
"- Pas besoin. Ici, ils me connaissent."
"- Ah ? Comme tu veux."
Nous montons plusieurs étages. Je suis étonnée qu'il y ai autant de monde à cette heure.
Un groupe d'ados dans l'entrée. Quelques filles mais surtout des garçons.
J'entend leur commentaire :
"- CA c'est une salope. Tu devrais en prendre de la graine, ma puce."
J'entend le bruit d'une gifle et le claquement de chaussures à talon...
Nous croisons un vieil homme.
"- Vous êtes très belle Madame. Comme quoi même les putes peuvent avoir l'air digne."
"- Merci Monsieur."
"- C'est moi qui vous remercie... Ah si j'étais plus jeune..."
Mon compagnon lui demande :
"- Vous voulez toucher ? Aujourd'hui c'est gratuit pour vous."
L'homme me regarde.
"- C'est vrai je peux Madame ?"
Je réponds sans hésiter :
"- Bien sur !"
Je m'approche de lui, saisis sa main, la pose sur ma poitrine. Je sens ses mains noueuses sur mes tétons. Ils se durcissent.
Je fais descendre sa main sur mon ventre, entre mes cuisses.
Je le laisse me masturber.
Je mouille.
Je pousse un soupir de contentement.
"- Vous voyez il n'y a pas d'âge pour donner du plaisir aux femmes !"
Le vieillard à l'air heureux, cela me réjouit. Il regarde ses doigts humides avec admiration alors qu'il descend l'escalier.
"- Tu as été parfaite, chérie."
"- Tu as aimé aussi ? J'espère que tu as très envie de me baiser alors !"
"- Encore ? Tu es insatiable..."
Nous continuons à monter.
Nous nous arrêtons à un étage.
"- C'est chez toi ?"
"- Non, un habitué de mes services"
"- C'est quoi ton job ?"
"- Je rabats des femmes dans ton genre pour les faire se prostituer."
Il sonne.
Un homme ouvre. Très élégant.
"- Je te présente ma dernière acquisition."
Il me scrute.
"- Où as-tu trouvée ça ? C'est du haut standing."
"- Ex-femme de PDG. Elle va habiter avec moi. Je pense même que je pourrais gagner assez pour déménager avec elle."
"- C'est sur."
J'assiste à leur conversation comme si elle ne me concernait pas.
L'homme soupèse mes seins, caresse mon visage, ma toison.
"- Le double du tarif habituel."
"- C'est que je comptais la baiser ce soir."
"- Tu peux bien attendre un peu... Deux fois et demie."
"- Bon, OK, mais c'est parce que tu es un pote. Attends deux secondes."
Il m'emmène à l'écart et chuchote :
"- Bon il est un peu spécial. D'abord il ne faut pas que tu cries."
"- Oh tu sais les sodomies ne me font plus mal maintenant."
Il sourit :
"- Il risque pas de te sodomiser: il n'arrive même pas à bander. Mais tu auras mal quand même. Très mal."
Je ne comprends pas ce qu'il veut dire.
"- Bien je ne crierais pas de douleur alors."
"- De jouissance non plus."
Je comprends de moins en moins.
"- OK. Autre chose ?"
"- Oui, essaies de rentrer dans l'ambiance. Ca t'aidera à jouir. Il faut absolument que tu lui fasses bonne impression."
"- Bien, je tacherai de mouiller et d'avoir quelque orgasme... Silencieux"
"- Ne simule surtout pas, il le sent venir à des kilomètres, soit naturelle."
"- Bien je tacherai de prendre mon pied comme une bonne chienne."
"- Exactement ! C'est ça l'idée !"
Il se tourne alors vers son ami.
"- Elle est à toi, essaie de ne pas trop l'abimer..."
"- Ne t'inquiètes pas. Rien de définitif."
Il me fait un clin d'œil.
"- Bon courage !"
Puis il s'en va.
L'homme me regarde encore quelques instants.
Il m'invite à l'intérieur :
"- On va voir si tu vaux l'argent que je viens de mettre..."

Il me guide vers le salon.
Ce dernier est seulement éclairé par des bougies. On ne vois pas grand chose mais ça à l'air cosy.
"- Enlève ça, ça va nous gêner."
J'ôte mes bas et mon porte jarretelle.
"- Allonge toi sur le ventre."
Je m'exécute et il commence à m'entourer de liens.
Je sens que ce des derniers entourent mes seins, les écrasent.
Je sens aussi la corde rentrer dans ma chatte, caresser mon anus.
Enfin il s'arrête, je suis déjà très humide.
Il dit d'un ton amusé :
"- Gardes-en pour plus tard."
"- Ne vous inquiétez pas, j'en aurais toujours pour vous."
"- Brave petite."
Puis il attache mes poignets à mes chevilles dans mon dos.
La position est inconfortable mais je ne dis mots.
"- Ca va ?"
"- Oui, oui. Continuez."
Je sens un crochet métallique entre mes poignets et mes chevilles. Puis un grincement.
Je vois alors une corde pendre non loin de mon visage... Je vois qu'il s'apprête à tirer dessus.
Je me demande bien ce qui va se passer.
Je ne tarde pas à le savoir alors que mon corps décolle du sol.
J'ai atrocement mal. J'ai l'impression que mes os vont se déboiter.
Je sens aussi les cordes mordre encore plus sur mon corps, me labourer la chatte et enserrer mes seins.
Je sais cependant que je ne dois pas crier et me contente de pleurer en silence.
Je sens son doigt glisser sur ma colonne vertébrale.
Il pose sa main au creux de mon dos et appuie.
La douleur est insupportable. J'arrive pourtant à ne pas crier.
Il a l'air satisfait, j'ai passé son test.
Je l'entend s'activer et il revient ensuite vers moi.
Je sens des gouttes chaudes me tomber sur le dos.
Nouvelle vague de douleur. Je sens la flamme de la bougie s'approcher de moi alors qu'il me recouvre de cire brulante.
Puis il s'approche de ma bouche. Sors son sexe.
"- Tu me fais très envie tu sais."
Je sais ce qu'il veux. J'essaie tant bien que mal de redresser la tête. Les liens et ma position rendent la tâche très ardue.
Il ne fait de plus aucun effort pour approcher sa bite de moi. Il pourrait au moins me tenir par les cheveux, ça m'aiderait...
Elle est molle, je suis obligée de la soulever avec la langue pour essayer de l'avaler.
Je m'y reprend à plusieurs fois. Il attend patiemment.
J'y arrive enfin et je le suce avidement, attendant vainement la récompense de sa queue dure me pénétrant la gorge.
Je me rappelle alors qu'il est impuissant... Pourquoi fais-t-il ça ?
Il me caresse les cheveux.
"- C'est bien ma petite, je sens que ça viens."
Je suis heureuse. Je le suce du mieux que je peux.
Il pisse dans ma gorge.
"- Ah... C'est bon... Avale bien tout."
Il n'avait même pas besoin de me le dire, je suis déjà en train d'avaler son urine à grande gorgée.
Il sors sa verge de ma bouche, ne laissant que le gland.
"- Essuie moi maintenant."
Je m'applique à le nettoyer, glissant ma langue autour de l'extrémité de sa bite.
Je me focalise alors sur le trou de sa verge pour avaler les dernières gouttes.
Il me tire par les cheveux force ma tête en arrière. Ma nuque est douloureuse.
"- Montre moi ta bouche."
Je l'ouvre grande, tire la langue.
Il l'inspecte méthodiquement l'intérieur à la lueur de la bougie. Quelques goutes de cires me tombent sur le visage, sur la langue.
"- Bien, tu es une brave fille."
Je lui souris. Mon maquillage a coulé à cause des mes larmes mais je suis fière de moi. Et tellement excitée.
Il me redescend sur le sol. Détache mes poignets et mes chevilles. Déjà fini ? Je suis déçue.
Il me tourne sur le dos et rattache mes poignets à me chevilles devant moi.
Je ressens une grande joie. Je mouille abondamment.
Il s'en aperçoit.
"- Tu aimes ?"
"- Oui, j'en veux plus !"
"- Brave petite."
Il raccroche le crochet et me soulève. Mon dos est plié en deux, ça fait mal.
Il me bande alors les yeux et je le sens tourner autour de moi.
Il m'enfonce quelque chose dans la chatte. Ce doit être un gode... Mais le bout n'est pas effilé.
Je comprend vite lorsque je sens la chaleur sur mes cuisses.
Les premières gouttes de cire qui tombent dans mon intimité et sur mon ventre confirment mes soupçons.
Je sens alors un mince tube s'enfoncer dans mon cul.
Puis un liquide s'en écoule, me remplissant l'anus.
Le tube se retire.
"- Allez, pousse ma belle."
Je fais ce qu'il dit et un jet de liquide ne tarde pas à jaillir de mes fesses.
Il me masse l'anus.
"- C'est bien. Encore."
Il enfonce à nouveau le tube et répète ainsi l'expérience, trois fois, quatre fois... Je ne sais pas, je ne sais plus.
Je me sens défaillir. Une goutte de cire me tombe sur le clitoris et je ne peut retenir l'arrivée de mon orgasme.
Mes jambes tremblent alors que je me couvre de mouille.
"- Tu aimes ?"
Ma voix est étranglée, faible :
"- Oui, oh oui... C'est bon."
"- Tu vas aimer ça alors..."
Il plonge une main gantée profondément dans mon anus.
La douleur et très vive. Je me retiens difficilement de crier.
Il triture l'intérieur de mon corps.
Je serre les dents, pleure, mouille, me pisse dessus aussi.
Il sors alors sa main et je sens un gros gode entrer en moi. La surface en est râpeuse, comme du papier de verre.
Il fait des mouvements de va et viens et je sens mon anus saigner.
Je ne peux plus me retenir et je hurle de douleur et de plaisir.
Il le retire d'un coup sec.
Je serre les dents mais hurle à nouveau.
Sa voix parait contrariée :
"- Je pensais que tu avais été mieux briefée que ça, tu me déçois."
Je parviens à me contrôler.
"- Je suis désolée. Punissez moi, je l'ai mérité."
"- C'est vrai, tu l'as mérité."
Je sens alors la morsure d'un cravache sur moi.
Je me retiens mais pousse quelques gémissements malgré moi.
"- Bien, tu n'as pas l'air d'avoir compris..."
Il prend alors un fouet et se défoule sur mon corps.
Je n'y tiens plus. Je hurle de douleur, de plaisir... Et perds conscience.

Quand je me réveille je suis allongée par terre, libre. Il m'a remis mon porte jarretelle et mes bas.
Il a aussi nettoyé mes plaies et appliqué de la pommade sur ces dernières.
Je sens quelque chose glissé dans mon porte jarretelle, au creux de mes reins, on dirait des morceaux de papier à cigarette, en un peu plus épais.
Je veux regarder ce que c'est mais je le vois enfin, calmement assis sur un fauteuil.
Son regard, sa posture ne laisse pas deviner ce qu'il vient de me faire.
Sa voix non plus :
"- Tu as été très bien."
"- Je suis désolée... J'ai criée et j'ai perdue conscience."
"- Ne t'inquiètes pas, c'était prévu. Tu as supportée bien plus que la plupart des autres filles que l'on m'amène."
"- Merci."
"- D'ailleurs j'ai mis le triple du tarif habituel finalement, tu les vaux bien."
Il rajoute, amusé :
"- Tu pourras t'acheter des habits convenables comme ça."
Puis il me raccompagne à l'entrée. M'ouvre la porte.
"- Ton propriétaire t'attends. Trois étages plus haut, porte de gauche. Tu lui diras que j'ai été très content."

Je monte les escaliers, perdue dans mes pensées.
J'entend un homme monter derrière moi, sens son regard sur moi, il s'arrête.
J'entend sa braguette s'ouvrir et il dit :
"- Dis donc, t'aimes bien te montrer ! Regarde, moi aussi."
Je regarde son sexe. Il n'est pas encore dur mais déjà très gros.
"- Vous avez un fort joli engin, Monsieur."
Avant qu'il n'ait pu réagir je suis agenouillée, sa verge en main.
Il parait déstabilisé :
"- Euh, merci. Vous êtes bien foutu vous aussi."
Je réponds distraitement :
"- J'ai très envie de vous sentir en moi."
Puis j'avale sa queue.
Il pousse un râle de plaisir.
Je la sens grossir dans ma bouche et j'essaie de ne pas reculer pour qu'elle entre petit à petit dans ma gorge.
Elle est vraiment très grosse.
"- Ah oui, t'es bonne... Continue."
Je sens qu'il est très dur maintenant, prêt pour moi.
Je me relève et m'appuie sur le mur. Je pose une jambe sur la rambarde de l'escalier et écarte ma chatte déjà humide de la main.
Il remarque alors les billets dans mon porte jarretelle, les marques sur mon dos et mes fesses.
"- T'as été voir le vieux pervers ?"
"- Umm ? Oui."
"- T'as aimé ?"
"- Umm, umm."
Il ne répond pas et commence à me pilonner la chatte.
Je me cambre pour mieux l'accueillir, je gémis de plaisir.
Puis je murmure :
"- Au tour de mon petit cul..."
Je le vois qui s'apprête à s'agenouiller, sans doute pour me lécher les orifices.
Je lui dis :
"- Pas la peine, je suis déjà prête."
"- Tu es sure ? Il est gros, ça risque de te faire mal."
"- Pas grave. Ca t'ennuie si je hurle un peu ?"
Il est interloqué. Et très excité.
"- Non. Au contraire."
Il me plante alors par derrière. La douleur est vraiment intense. J'ai l'impression d'avoir deux queues dans le cul.
Et cela réouvre les plaies de mon anus.
Je hurle de douleur.
"- Ca va ?"
Je hoche la tête.
Il pose sa main sur ma chatte et s'aperçoit que je suis trempée.
"- C'est vrai que tu as l'air de vraiment aimer."
Nouveau hochement de tête. Nouveau hurlement, de jouissance celui-ci... Enfin en grande partie.
Je sens qu'il va jouir.
Je dis dans un halètement :
"- Attend, attend..."
"- Tu as trop mal ?"
"- Non. Enfin si, mais j'adore. C'est juste que je veux sentir ton sperme sur mon visage."
"- Avec plaisir."
Il se retire. Je m'agenouille face à lui alors qu'il se masturbe.
Je ne tarde pas à recevoir ce que je désirai. Je laisse quelques giclées atterrir sur mon nez, mes yeux, mes joues puis prends son sexe en bouche.
Il continue à juter dans ma bouche.
Je suce son gland.
Puis je déglutit.
"- Tu as bien tout avalé ?"
J'ouvre grand la bouche, tire la langue.
"- C'est bien."
Je suces à nouveau son gland qui se ramollit. Il pousse un petit râle de plaisir et une dernière giclée sors de sa queue.
Enfin il range sa verge.
"- Tu veux pas venir avec moi ce soir ?"
"- Désolé, mon propriétaire m'attends."
"- Ton proprio ? Il va pas être fâché que tu ai fait ça à l'œil ?"
Je n'y avais pas réfléchi.
"- Non je ne pense pas."
Il me tends un mouchoir.
"- Comme ça il saura rien."
"- Non, j'aime bien sentir la chaleur de ta semence sur ma figure."
"- Comme tu veux."
Nous continuons à monter en silence.
Il s'arrête sur le palier d'un appartement, ouvre la porte.
"- T'es sur ?"
"- Désolée, une autre fois j'espère."
"- C'est quand tu veux, ma belle."
Il referme la porte.

Je continue à monter. Je dois être arrivée.
Je sonne à la porte de droite.
Une adolescente m'ouvre. Elle est étonnée de me voir ainsi vêtue, ou plutôt, dévêtue, devant sa porte.
"- Euh, bonsoir, vous voulez quoi ?"
"- Il n'est pas ici ?"
"- Qui donc ?"
Je ne connais pas son nom...
"- Euh..."
"- Je crois que ça doit être la porte d'en face."
Ah oui, suis-je bête... Porte de gauche...
"- Merci."
"- Euh, Madame ?"
"- Oui ?"
"- Vous aimez les femmes ?"
"- Je ne sais pas..."
Je repense à Natalya.
"- Mais je pense que j'aimerai ça, oui."
Elle parait gênée, c'est mignon.
"- Euh, vous feriez ça avec moi et mes amies ?"
"- Bien sur. Je suis sur que ta petite chatte est délicieuse."
Elle rougit.
"- Merci..."
Je rajoute après quelques instants :
"- Parle de moi à tes amis masculins aussi !"
"- Vous aimez les tournantes ?"
"- Je ne connais pas. Ca à l'air amusant."
Elle a l'air réjouie.
"- Alors à plus tard Madame, bonne soirée !"
"- Bonne soirée, ma puce."
La porte se referme.

Enfin m'y voici. Je veux sonner mais essaie d'abord d'ouvrir la porte. Elle n'est pas verrouillée.
Je rentre. Je le trouve endormi sur un fauteuil.
Sa queue sort de son pantalon, il a du se masturber.
Il bande... Il doit être en train de rêver... De moi ?
Je m'assied sur lui, fais glisser sa queue en moi.
Je serre son visage sur ma poitrine.
Il se réveille. Dis d'un voix pâteuse :
"- Il a été content ?"
"- Oui, très. Il a payé le triple du prix habituel."
"- Vraiment ? Bon boulot."
Il éjacule en moi.
Enfin il lève la tête. Je le regarde tendrement. Ses sourcils se froncent.
"- Pourquoi tu as du sperme sur le visage ?"
"- Ah ça ? J'ai croisé un homme avec une grosse queue en revenant. Je lui ai fait une gâterie, entre autre."
"- Il t'a payé au moins ?"
"- Non, je suis désolé, j'ai oublié de lui demander. Mais je pense qu'il paiera sans broncher la fois suivantes, il a beaucoup aimé."
Il grommelle :
"- Tout de même..."
Puis il me saisit par la taille. Me dépose sur ses genoux, range sa queue.
"- Tu sais je crois que je vais pas te vendre finalement."
"- Ecoutes, je suis désolé, j'avais juste envie de son sexe."
"- Ce n'est pas ça le problème. Je veux que tu sois à moi, rien qu'à moi."
"- Mais je suis déjà à toi !"
"- Non, je veux dire... Enfin je ne veux pas que d'autres hommes te baisent."
Je suis abasourdie :
"- Mais l'argent..."
"- Je travaillerais... Et puis je trouverais d'autre filles."
"- Mais je rapporte le triple !!! Peut-être même plus !"
"- Ce n'est pas ça le problème."
Je ne sais que dire. Enfin j'explose :
"- Mais je veux qu'ils paient pour me prendre ! Je veux sentir leur queue en moi ! Je veux être leur objet, qu'ils fassent se qu'ils veulent de moi !"
Il me regarde, attristé. Je m'enfuis en courant.
Je viens de perdre les deux hommes de ma vie en une soirée.

Je m'arrête une fois hors de l'appartement. Il n'a même pas essayé de me rattraper. Il doit savoir que c'est inutile.
Je ne sais où aller. Je pense alors à l'homme au sexe énorme et à sa proposition.
Je descends chez lui, sonne.
Il m'ouvre la porte. Ma présence le surprend.
"- Désolé, j'ai bien envie de te baiser, mais là j'ai pas de thune."
Je lui tends les billets qui sont restés dans mon dos.
"- Ca devrait suffire."
Il est très étonné.
"- Et ton mac ?"
"- Il ne veut plus me prostituer."
"- Oh, je vois. Et toi tu en as envie... Je peux t'aider si tu veux."
Un lueur d'espoir grandit en moi.
"- C'est vrai ?"
"- Oui, moi aussi j'ai des contacts. Entre."
J'entre, m'assois par terre, écartes les jambes et fouille ma chatte des doigts.
"- Tu fais quoi ?"
"- C'est un acompte pour ta commission."
"- Ah ok."
Il se place entre me jambes.
Je lui murmure :
"- Voyons sois sérieux."
Il me regarde, son regard est plein d'incompréhension.
"- Ce n'est pas ce que tu veux ?"
"- Non, je veux que tu me prenne le cul. Ma chatte c'était juste pour te faire bander bien dur."
"- Ah ok."
Il remonte mes jambes sur mon torse et me viole le cul.
Nos halètements et nos râles de plaisirs se mêlent.
"- Tu ne tomberas pas amoureux de moi, toi, hein ?"
"- Peut-être que si. Mais ça ne m'empêchera pas de continuer à te vendre."
"- Merci."
Il éjacule. Les coups secs de ses hanches rythment chaque giclée.
Je répète d'une voix lointaine :
"- Merci..."
Puis je m'endors.