Etape par étape ...

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Proposée le 9/08/2009 par Talis Cat

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Récit non consensuel, c'est juste une histoire et cela doit le rester.

Cela fait maintenant une semaine que ce salopard m'a violée. J'ai n'ai pas eu de ses nouvelles.
Je caresse l'espoir qu'il m'ait oublié, qu'il ait trouvé une autre femme à faire chanter.
Je rougis de honte à l'idée de ce que je viens de penser... Comment puis-je souhaiter que cela arrive à une autre femme ?
Et pourtant... Les larmes me montent à nouveau aux yeux.
On sonne à la porte. Je vais ouvrir. C'est un coursier, un pli urgent parait-il.
Ce doit être pour mon mari. Je suis étonnée de lire mon nom sur l'enveloppe. Joli écriture...
J'ouvre l'enveloppe. Il y a des photos et un mot.
Je regarde les photos... Ce sont celles de mon viol... Je les lâche et cours vomir dans le lavabo.
Le dégoût me noue les boyaux... Non ! Non ! J'espérais tant que tout était fini !
Comment ai-je pu être si naïve ? Je vomit à nouveau. Cela me fait mal au ventre, j'ai la tête qui tourne, les genoux qui tremblent.
Je pleure comme une enfant, geins...
Puis après de longue minute, je me ressaisis enfin.
Je me dirige pantelante au salon.
Les photos sont toujours par terre. Heureusement que mon mari n'est pas rentré entre temps !
Je fouille fiévreusement le sol pour m'assurer qu'aucune n'a glissé sous un meuble.
Puis je les rassemble. Je ne peux m'empêcher d'y jeter un œil. Je veux vomir à nouveau mais mon ventre est vide, seul de la bave sors de ma gorge.
Je m'essuie les lèvres et nettoie le sol avec une serpillière.
Je prends ensuite les photos et me dirige vers la cuisine.
J'allume le gaz et fait bruler les photos. Cela m'apaise.
Une pensée me traverse l'esprit : Et le mot ?
Je me dis que je m'en fiche de ce qu'il peut bien me dire, que cela doit être des insultes.
Puis je réalise tout a coup que cela doit être des instructions pour qu'il ne dévoile pas ces photos à mon mari.
Je panique. Où est ce satané mot ?
Je l'aperçois dans le tas de photos en train de bruler. Je me rue sur lui, me brules les doigts pour le saisir.
Il est déjà en train de flamber. Je souffle dessus en vain.
Puis, désespérée, je ferme ma main sur les flammes. La douleur est vive mais cela les étouffent.
Je soupire de soulagement. Comme cela est futile, je viens de sauver un mot qui va faire de moi une prostituée.
Je vais prendre de la pommade dans l'armoire à pharmacie et réalise un rapide bandage sur ma paume à vif.
Puis je m'assoie et lit le mot.
"- Chère Madame"
Son écriture est vraiment superbe... En plus il est poli... Comme quoi les apparences sont trompeuses.
Une petite voix intérieure me murmure : Comme toi. Qui dirais que tu es une pute en te voyant.
Je pleure à nouveau.
Je me calme un peu, m'essuie les yeux. Je lis la suite :
"- J'ai beaucoup aimé notre dernière rencontre"
Moi pas...
"- Cet échange était très... enrichissant."
Où il a vu un échange lui ? Il m'a violé et c'est tout ...
"- Vous aviez notamment l'air très enthousiasmée par l'une des choses que je vous ai apprise."
Enthousiasmée ? Mon cul... C'est le cas de le dire, j'ai eu mal pendant plusieurs jours... J'ai eu un mal fou à cacher ça à mon mari.
"- Je vous propose donc de nous rencontrer à nouveau au même endroit. Réservez une suite cette fois-ci, cela sera plus commode pour faire plus ample connaissance."
C'est surtout pour qu'on ne m'entende pas hurler de douleur...
"- La même que celle que vous aviez réservée la dernière fois, par exemple."
Quel salaud, cette façon de faire allusion à ses manipulations sans en avoir l'air, quel salaud !
"- J'espère que vous prendrez la bonne décision. Dans notre intérêt commun"
Je ris jaune. 'Notre intérêt commun', la bonne blague.
"- Veuillez croire en l'expression de mes sentiments les meilleurs."
C'est ça... Tiens, il a signé...
"- Michel Dupré"
Sale con. Il utilise tout les moyens pour me rappeler qu'il est le maître et que je ne peux refuser. Il a signé avec le nom de l'ami qui était venu me voir...
J'aurais du faire l'amour avec cet ami d'ailleurs, au moins j'aurais une raison d'en arriver là.
Je m'aperçois alors de l'énormité de ce que je viens de penser... Je deviens une vraie salope, ce moins que rien me manipule à sa guise...
Je réalise alors qu'il n'a pas mis de date ni d'heure. Je retourne le carte.
Il a griffonné quelque chose au dos. Le style est nettement plus brouillon... Il a une double personnalité ou quoi ?
"- Vendredi soir, 20h30. Tu connais la suite, je sais qu'elle est libre. T'as intérêt à la réserver rapidement."
Ca a le mérite d'être clair.
"- Viens avec les mêmes sous vêtements que sur la première série de photo. Mets une jupe courte"
Il veut que je vienne sans culotte ? Avec une jupe courte ? C'est atrocement gênant.
"- Pour le haut mets juste un chemisier léger, tu ne garderas pas longtemps de toute manière. Dégrafes bien les boutons du haut, je veux qu'on vois le haut de tes seins."
Je ne pourrais jamais... C'est trop humiliant.
Il a rajouté une ligne, comme si c'était venu après coup.
"- Mets un long manteau. Tu es MA pute, je suis le seul à décider de qui peut te mater ou pas."
Bizarrement je me sens soulagée. Je sais que je vais me faire violer, mais je n'aurais pas à subir les regard de tout les passants.
Je souris piteusement. Voilà où j'en suis arrivée...
Enfin bon. Je pose la carte, prends une grande inspiration.
Je décroche le téléphone, numérote.
"- Allo ? Je souhaiterais réserver, une suite. Pour Vendredi soir ..."

Je passe la nuit à me retourner dans mon lit. Je ne peux pas me laisser faire ainsi !
Que pourrais-je faire ? Un pensée futile me traverse l'esprit : Je vais mettre une culotte... Oui cela l'enragera, lui montrera que je ne suis pas sa chose...
Non, il me violera encore plus fort...
Je me tourne et me retourne dans mon lit. Je n'arrive pas à dormir.
Je me lève, me sers un whisky. Je ne bois pas d'habitude mais j'ai besoin de quelque chose de corsé... autant essayer.
Je m'affale dans le fauteuil, regarde les glaçons tourner dans le verre.
Je tergiverse toujours.
Enfin une idée me viens.
Oui, il y a ce commissaire qui vient souvent au soirée de mon mari.
Je suis sur qu'il comprendra.
Contente de moi je retourne me coucher et m'endors enfin.

Le lendemain je vais au commissariat de police. J'attends avec impatience.
Je demande à parler au commissaire. On me demande son nom, la raison de ma demande.
Je réalise que je ne connais pas son nom.
J'explique à l'agent que c'est très important, essaie de décrire tant bien que mal le commissaire.
L'agent ne m'écoute que d'une oreille et me dis qu'il ne peut accéder à ma requête.
J'en pleure de rage.
Je m'apprête à partir mais aperçois ledit commissaire au loin.
Je m'écrie :
"- C'est lui ! Monsieur le Commissaire je dois vous parler, c'est très important !"
Tout le monde me dévisage comme une extra-terrestre.
Le Commissaire me reconnais. S'approche.
"- Que puis-je pour vous Madame ?"
"- J'ai une chose très importante à vous dire !"
"- Ah ? Quoi donc ?"
Je rougis, bafouille :
"- Euh, c'est très personnel ..."
"- Bien, suivez moi dans mon bureau"
Je le suis.
J'entends un agent murmurer :
"- J'y crois pas, il va se taper une femme mariée en plein commissariat... Sacré coureur"
Je ne m'en préoccupes pas.
Nous arrivons dans son bureau.
Je lui explique la situation. Je rougis à plusieurs reprise. C'est atrocement gênant...
Mais je ressens une euphorie bizarre, une chaleur dans mon ventre... C'est ça le sentiment de la victoire ? C'est agréable.
Enfin mon récit s'arrête. Il me demande :
"- Et vous n'avez rien gardée ? Les photos ? Le mot ?"
"- Euh, non ..."
"- Je ne peux rien faire dans ce cas... Aucune preuve"
"- Mais..."
"- Ecoutez, je vous propose de faire comme cela : Vous allez à son rendez-vous en suivant scrupuleusement ses instructions."
Je rougis en réalisant ce que cela signifie.
Il continue :
"- Et là on le prendra en flagrant délit."
Je murmure :
"- Il va falloir qu'il me viole encore, alors ?"
Il me regarde, amusé.
"- Non, on l'arrêtera avant."
Je déglutit avec peine.
"- Bien... Alors on fait comme ça. A Vendredi, Monsieur le Commissaire."
"- Oui. A Vendredi, Madame."
Je sens son regard me suivre alors que je quitte la pièce.
Je m'en vais l'esprit léger. Bientôt je serais libre. Oui, très bientôt. J'attendrais ce Vendredi avec impatience.

Vendredi soir. Il est temps de partir.
Je m'habille comme il me l'a demandé, fais attention au moindre détail. Je décide même de mettre du parfum et de me maquiller.
Je fais tout ce que je peux pour qu'il ne se méfie pas.
Le trajet me semble durer des heures. Enfin je suis à l'hôtel.
Je paies le taxi, en sors difficilement afin que le conducteur ne puisse voir que je n'ai pas de culotte.
J'aperçois le commissaire avec quatre hommes... Il a sorti le grand jeu ! Bien fait pour ce salopard...
Je suis étonnée qu'ils soient tous en costume. Suis-je bête... Ils se feraient repérer tout de suite sinon.
Je monte dans la suite et attends.
Je l'entends ouvrir la porte et les lumières s'éteignent...
Je panique. Il allume un abat-jour.
"- C'est plus intime comme ça non ?"
Ca a l'air de l'amuser... Ca ne va pas durer longtemps.
Je lui réponds, aussi aimablement que possible :
"- Oui, c'est mieux."
Je vois alors une femme s'avancer. Une très belle brune.
"- Je te présente Natalya. Je lui ai parlé de tes fantasmes, elle va t'aider à te détendre un peu... Et s'occuper de moi aussi..."
Il donne une petite claque sur les fesses de la fille.
Elle lui adresse un regard de reproche.
Puis elle enlève lentement sa longue robe. Elle sais y faire, même moi je ne peut m'empêcher de ressentir une pointe d'excitation.
Elle porte les mêmes sous-vêtements que moi... C'est à dire pas grand chose.
Sa poitrine est superbe.
"- Et bien, qu'attends-tu pour faire de même ?"
J'hésite... Que fait le Commissaire ?
Mais je me dis que ce sera une preuve de plus.
Je me déshabille.
"- Détends-toi donc. Natalya accompagne là sur le lit, veux-tu ?"
Je me laisse entrainer. Natalya me caresse, m'embrasse.
Cela m'excite malgré moi... Elle est tendre, elle, au moins !
Elle prends ma main et la pose sur sa poitrine. Je ne peux m'empêcher de la caresser.
Elle pose alors ma tête sur ses seins et guide ma bouche vers son téton.
Je le lèche timidement. Commissaire, dépêchez-vous !
Enfin, je préfère échanger des caresses avec cette femme que de me faire violer...
Natalya me place sur le ventre, me masse le dos. Ummm... C'est exquis.
Puis elle caresse mon anus du doigt et je sens qu'il s'approche de nous.
Natalya veut glisser un doigt dans mon cul mais avant que je ne puisse protester je l'entend dire :
"- Natalya ! Je t'ai déjà dit qu'elle aimait ça à sec, non ?"
Elle retire son doigt. Je ne sais si je dois être soulagée ou non.
J'entend le bruit de sa braguette.
Il m'écarte les fesses des mains et je le sens monter sur le lit.
Je hurle :
"- Commissaire, au viol !!!"
Il s'arrête. Il demande :
"- Tu le veux vraiment le Commissaire ?"
Je ne comprends pas sa question :
"- Il va venir et vous arrêter je vous ai piégé ! Il est là dehors avec ses amis !"
"- C'est eux que tu veux voir ?"
Il parait étonnement calme.
"- Tout plutôt que de vous voir !"
Natalya ne parait pas surprise, elle me caresse le visage, un sourire sur le sien.
Il se relève, range péniblement sa bite bandée.
"- Ok, comme tu veux. Moi c'était surtout pour que tu sois un peu préparée pour la suite."
Je suis surprise :
"- Quelle suite ?"
"- La réalisation de ton fantasme."
Je ne comprends plus rien. Je suis tellement déboussolée qu'il pourrait me prendre sans que je proteste.
Il se contente de sortir son portable et d'appeler quelqu'un
"- Quel fantasme ?"
Il me sourit :
"- J'avais oublié que tu en avais beaucoup... Tu verras bien, c'est la surprise."
Il s'éloigne. Je l'entends dire :
"- Oui, c'est bon, elle est prête."
Qu'est-ce que ce sagouin me réserve encore ?
Il reviens. Natalya continue à me caresser. Je me laisse faire.
"- C'est bien tu as l'air détendue... Tu en auras besoin."
J'entends qu'on tape à la porte.
Je me redresse pleine d'espoir, ce doit être le Commissaire !
Je le vois arriver. Je m'effondre sur le lit en poussant un soupir de soulagement.
Je suis tellement heureuse que je ne sais plus ce que je fais. J'embrasse Natalya.
Elle est surprise mais glisse ses doigts en moi.
Je ne me révolte même pas, je suis trop heureuse. Et puis elle est douce et sait y faire...
Je m'apprêtes à aller rejoindre le Commissaire pour savourer mon triomphe. Je ne pense même pas au fait que je soit nue.
J'entend alors leur échange :
"- Bonsoir. Alors elle se sent prête ?"
"- Oui, elle vous a même réclamé."
"- C'est vrai ? Elle a du aimer notre petit jeu au Commissariat..."
"- Il faut croire. Bon je vous la laisse. Natalya restera un peu mais personne ne la touche, OK ?"
"- C'est dommage mais bon, je sens qu'on va déjà beaucoup s'amuser avec Madame."
"- Oui, vous verrez, elle n'en a pas l'air mais c'est une cochonne."
J'ai l'impression d'être dans un mauvais film... Il parle de MOI ?"
Enfin je vois mon agresseur revenir.
"- Bon je te laisse là, chérie. J'ai expliqué ta situation à ces messieurs, ne t'inquiète pas. Tu vas réaliser ton rêve."
Puis il rajoute, comme si c'était un détail.
"- Tu peux refuser mais pense aux conséquences... C'est mauvais de garder ses fantasmes enfouis en soit, surtout avec tes problèmes avec ton mari."
Je sais parfaitement à quel conséquence il fait en fait allusion...
Je suis figée.
"- Natalya, je t'attends dans la suite d'à côté, ne me fais pas attendre !"
Celle-ci continue à me caresser. Je la laisse me fouiller des doigts et m'embrasser la nuque sans réagir.
Ses doigts glisse sur mes seins.
Elle me murmure à l'oreille :
"- Tu es sur que tu ne veux pas que je te caresse un peu l'anus. Je ne dirais rien à ton amant ..."
Je réponds distraitement :
"- Ce n'est pas mon amant."
Elle sourit.
"- Je vois que tu es à fond dans ton rôle... Bien comme tu veux."
Elle continue à me caresser. Le Commissaire s'approche avec ses acolytes.
Ils sont nus. Leur sexe sont dressés.
Je suis perdue. Mais sur quelle planète ai-je atterri ?
Natalya me lèche en présentant son cul à l'assistance.
Je réalise alors... Cinq hommes pour deux femmes... Mon Dieu...
Je caresse le vain espoir que Natalya en occupe trois à elle seule...
Un des hommes lui caresse les fesses.
Le Commissaire prend une photo.
Natalya se lève d'un bond.
"- Hey ! Ca c'est pas prévu ! Déjà, vous n'étiez pas supposés me toucher... Mais bon. Mais alors pour les photos, là non !"
Elle rassemble ses affaires et part.
Je réalise alors que ces cinq hommes n'ont plus que moi pour se soulager... Je panique, commence à pleurer.
Le Commissaire prend une photo :
"- C'est vrai que tu es émotive... Ton ami nous l'avait dit."
Mon ami ? Quel ami ?
"- Il nous a aussi dit pour l'impuissance de ton mari... C'est dommage une belle fille comme toi."
Ma mâchoire se décroche, je n'en reviens pa... Comment a t-il fait pour leur faire gober tout ça ?
"- Et puis il nous expliqué que tu ne mouillais jamais... Saloperie de maladie, je connaissais pas."
Il a vraiment TOUT prévu, je suis piégée, c'est horrible.
"- Mais aussi que tu n'aimais pas le lubrifiant... D'où ton goût pour les pénétrations à sec."
Je voudrais hurler que tout cela est faux. Mais je suis sur qu'il aura prévu une parade pour ça aussi...
"- Et puis aussi que tu avais honte de tromper ton mari. C'est original comme solution de te prostituer... Mais c'est vrai qu'ainsi tu fais ton travail... C'est une façon de voir."
Je n'arrive pas à protester. J'éclate en sanglot.
Il s'assoit à mes côtés. Me caresse les cheveux.
"- Il ne faut pas avoir honte, tu sais. tu as fait beaucoup d'effort pour que ça paraisse crédible... Jusqu'à ce scénario de maitre chanteur qui te forçait à te prostituer. J'ai été impressionné par ta prestation au Commissariat."
Je pleure de plus bel.
"- Allons, allons... Tu sais moi je te trouve très courageuse. Plus d'une femme aurait simplement pris un amant."
Je n'ai plus de larmes... les yeux me piquent.
Il interprète mal la fin de mes pleurs.
"- C'est mieux. Viens on va t'aider à te détendre. Ton ami m'a expliqué ta passion pour la photo. Que dirais-tu d'une petite séance de pose coquine ? Bien sur on te donnera un tirage !"
Je ne réponds pas. Je serres mes genoux contre moi. Pose la tête sur ces derniers.
"- Bien très bien, très excitant. Ta poitrine légèrement écrasé dont on devines le mamelon... Continue..."
Je me laisse alors aller, suivant leur instruction à la lettre... Les poses deviennent de plus en plus cochonnes...
Je me retrouve sur le dos, les jambes collées à mes oreilles en train de leur ouvrir ma chatte pour qu'ils prennent des photos...
Comment en suis-je arrivé là ?
J'entends le Commissaire me dire :
"- Ok, c'était très bien."
J'ai l'impression que sa voix est très lointaine, je suis complètement déconnectée de la réalité. Il repose l'appareil photo.
Je me sens soulagée. C'est fini. Ce n'était pas si terrible.
Je m'aperçois que je suis toujours en train d'écarter ma chatte pour eux.
Je me recroqueville. Tentant de dissimuler mes formes.
Cela les excitent encore plus.
Ils s'approchent de moi, me caressent. Leurs doigts se glissent dans mon vagin.
Je suis sèche. Le frottement de leur doigt me fait mal. L'un d'eux s'allonge contre moi et me pénètre.
J'ai atrocement mal. La friction de son sexe dans le mien est un calvaire.
Je pleure. Oh non, ce n'est pas fini, c'est très loin d'être fini...
"- Regardez comme elle aime ça, elle en pleure d'excitation. Il avait raison de dire qu'elle était aussi sèche en bas qu'humide en haut..."
"- On va voir si sa bouche et aussi humide."
Ils rigolent.
Je sens un sexe violer ma bouche.
J'essaie de le recracher.
L'homme est étonné.
"- Et bien ? Je croyais que tu aimais ça ? C'est ma queue qui te déplait ? Elle n'est pas assez grosse ?"
Je me rappelle alors pourquoi je suis là : je dois sauver mon couple.
"- Si, si, elle est très bien. J'étais juste un peu surprise. J'étais plongée dans la jouissance de cette queue qui bouge en moi."
Je mens tellement bien que je m'étonne moi même. Pour un peu j'y croirait.
"- Oh. Tu es vraiment une salope alors. Je croyais que ton ami exagérait mais tu es vraiment en manque de sexe. Je comprend que ton fantasme soit de te faire prendre par un groupe de mecs."
Mon fantasme ? Ah oui, ça me revient maintenant. L'autre salaud avait parlé de ça aussi. Ca doit faire partie de son plan.
"- Oui, j'adore l'idée d'avoir tellement d'homme autour de moi que je ne peux tous les contenter, me sentir remplie."
Les mots sortent machinalement, mécaniquement.
Je ne réalise même pas ce que signifie les mots qui sortent de ma bouche. Mon cerveau n'arrive plus à penser correctement.
Je suce alors le sexe qui m'est proposé.
Je ne ressens presque plus ma chatte à force de douleur.
J'essaie d'oublier en branlant l'un des autres hommes.
J'entend le bruit du déclencheur.
Ils continuent à prendre des photos.
"- Fais un beau sourire !"
Je m'exécutes alors que je sens la verge aller toujours plus loin dans ma gorge.
L'homme avec l'appareil est au dessus de moi, son sexe près de ma bouche.
"- Allez. Deux sexes maintenant."
Ma bouche est déformée par leurs bites mais je fais de mon mieux.
Ils s'écartent tous de moi. L'un d'eux me tend la main.
Je n'arrive à croire que cela puisse être fini.
"- Agenouilles toi près du pied du lit."
Ce n'est en effet pas fini ..
Il m'attache les bras en l'air sur le montant du baldaquin du lit.
Ils prennent quelque photos.
Puis l'un d'eux se met sous moi et me plante.
Je gémis de douleur.
"- Elle a l'air d'aimer ça ..."
Mais d'où ils sortent ces crétins ? Ils ne voient pas que je souffre ?
"- Oui, elle l'exprime à sa manière, comme il nous l'avait dit."
C'est pas possible d'être aussi facilement manipulable !
Et pourtant... Je suis bien en train de faire semblant d'être une pute. Je ne suis pas mieux qu'eux...
Une verge s'impose à nouveau à ma bouche.
On me détache les mains pour les poser sur les sexes de deux autres hommes.
Le dernier tourne autour de nous, prends des photos.
Puis il s'arrête.
Je suis soulagée que la séance photo soit vraiment fini.
Mais je réalise alors avec horreur ce qu'il va m'arriver.
Il s'approche de moi. Je prie pour m'être trompée.
Le monde explose autour de moi alors qu'il pénètre mon anus.
Les deux sexes dilatent atrocement mes orifices.
Je m'étouffes avec le sexe que j'ai en bouche en voulant crier.
Il accélère le mouvement. Je me sens partir et m'effondre inconsciente.
Cela ne dure que quelques secondes.
J'entends vaguement leurs commentaires. Mes mains sont toujours posées sur les sexes des hommes.
Ils n'ont pas arrêtés leur mouvements de va et viens en moi.
"- C'est la première fois que je vois une femme perdre conscience en aillant un orgasme... Je pensait que c'était un mythe..."
"- Oui, c'est impressionnant à quel point elle aime ça."
"- En tout cas ça valait bien la somme qu'on a payé."
"- Ca c'est sur... Elle reprend conscience !"
L'homme s'empresse de me renfourner sa queue dans la bouche.
Il l'enfonce aussi loin qu'il peut, au risque de m'étouffer.
Je crois qu'il est persuadé que j'adore ça, que je n'attends que ça.
Je n'ai même plus la force de leur donner tort et je le suce comme j'ai rarement sucé.
La douleur de mes orifices atteint son paroxysme.
J'aurai du accepter son offre de me dilater le cul avant... Ou au moins de me faire doigter par Natalya.
Je me surprends à penser comme la catin que je suis devenue.
Je les sens enfin gicler... Dans mon cul, ma chatte, sur mon visage, mon corps.
Je suis remplie, couverte de sperme.
Il me présente leur gland et je les suce tour à tour pour avaler les dernières gouttes.
Je m'effondre enfin en pleurs. Ils sont toujours persuadés que c'est l'excitation qui me fait cet effet.
"- Et si on remettait ça ? Moi je suis prêt à payer !"
"- Moi aussi..."
Les cinq hommes sont d'accord sur ce point.
Je voudrais leur dire d'aller se faire voir, que ce sont de gros pervers attardés.
Je me contente de me rouler en boule par terre.
J'entends la porte s'ouvrir, et un vague :
"- Ciao, Natalya, tu as été parfaite."
Il s'est payé un pute de luxe avec l'argent gagné en me vendant...
Je n'arrive même plus à être révoltée à cette idée.
J'entend les hommes négocier. Mon maitre chanteur refuse leur proposition insistante.
"- Elle a vraiment aimé, je pense qu'elle n'en a pas encore eu assez."
Imbéciles, ce sont tous des imbéciles.
Je suis étonnée d'entendre la voix de mon tortionnaire prendre ma défense.
"- Il faut qu'elle y aille par étape. Vous comprenez, elle n'a pas l'habitude."
Les hommes abandonnent en grommelant.
J'entend un dernier échange :
"- Faites nous parvenir un exemplaire des photos !"
"- Bien sur, je n'y manquerais pas... Vous avez payé pour après tout !"
Enfin nous sommes seuls. Je suis apaisée.
Je le sens me porter dans ses bras, me poser délicatement sur le lit.
Je me laisse aller. Je sens une douce chaleur m'envahir le bas ventre.
Je mouille alors sans vraiment savoir pourquoi.
Il ouvre sa braguette et me prend le cul.
Ma mouille se fait abondante.
"- Et ben voilà ! Je savais que tu apprendrais à apprécier."
Je ne réponds pas. Je suis ailleurs...