Soirée mondaine

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Proposée le 6/08/2009 par Talis Cat

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Je t'ai tout de suite repéré ... Tu es collée à ton mari mais de nombreux regard se posent sur toi, se détournant dés que ce dernier regarde vers eux.
Tu as l'air fière de la situation. Salope, va, tu en profites. Il a le droit de te baiser en échange de sa protection, t'es une pute quoi ...
Je t'ai déjà eu à l'œil lors de précédente soirée et j'ai maintenant un plan ... Oui, attends un peu et tu seras mienne ...
Bon première étape, t'éloigner du mari ...
Parfait il est en grande discussion avec un partenaire de sa société, c'est le moment.
Je me dirige vers toi et fais tomber mon plateau, ta robe eet toute éclaboussée. Rien de grave heureusement.
Je bafouille :
"- Je ... je suis désolé le plateau m'a échappé ... Cela devrait partir facilement si vous allez le nettoyer tout de suite ..."
Ton mari hurle :
"- VIRER MOI CE CRETIN !!! IMMEDIATEMENT"
"- Mais Monsieur ..."
"- TAISEZ VOUS, je ne pais pas votre hôtel pour avoir des abrutis pareils au service"
"- Bien monsieur ..."
Le chef de service me fait signe de le suivre.
J'entends ta voix alors que je m'éloigne
"- Je dois aller aux toilettes pour essuyer tout ça"
Ton mari réponds :
"- Désolé je ne peux vraiment pas t'accompagner ... C'est une importante discussion tu comprends"
Vous vous embrassez ... profites en tu seras bientôt cocu, gros porc ... si ce n'est pas déjà le cas ...
"- Pas de problème mon chéri, je reviens vite"
Le chef du personnel s'avance et vous dis :
"- Madame, nous avons une petite pièce où vous serez plus à l'aise que dans les toilettes. C'est normalement réservé au personnel mais vu les circonstances ..."
Tu ne te doutes de rien
"- Bien, c'est très gentil"
Tu le suis alors dans un petit réduit avec lavabo et miroir.
"- Merci, vous pouvez me laisser maintenant"

Ca y est tu es dans mes griffes ... On va enfin pouvoir jouer selon mes règles ...
Je rejoins la petite salle que le responsable du personnel t'as montré.
Heureusement qu'il me devait une faveur ...
Enfin sauf s'il apprend que les preuves que j'avais amassé sur la tromperie de sa copine était juste un moyen de la sauter ... Bah, il n'en saura jamais rien.
Mais concentrons nous sur notre proie du moment ... Elle risque d'être difficile. Mais ce n'en est que meilleur.
J'ouvre la porte du réduit.
Tu sursautes.
"- Ah, c'est vous ! Que voulez-vous ?"
"- Juste m'excuser. Je suis vraiment désolé."
"- Mon œil vous voulez sauver votre job, surtout"
"- Pas faux. Remarquez moi au moins je me prostitue pas pour sauver mon couple."
"- HEIN ? Je ne vous permets pas !"
"- Ah tu as raison, tu ne l'a pas encore fait, c'est pour ça que tu es étonnée"
"- Allez vous-en, vous serez virée sans indemnité dans la soirée. Au mieux ..."
"- D'accord, d'accord ..."
Je m'apprêtes à refermer la porte.
"- Ah, au fait, ça vous gênes si je montre ça à votre mari ?"
J'étale des photos où l'on voit ton entrejambe en tenue de soirée. Tu ne portes pas de culotte et l'on voit clairement ta chatte.
Tu blêmis.
"- Pas mal ces mini-caméras ... Mais j'ai eu du mal à les avoir celle-ci. Vous êtes sage, vous l'avez fait qu'une fois. Enfin, sage, plus pour longtemps."
"- Qu'est-ce que vous voulez ?"
"- Vous sautez bien sur"
"- Vous me prenez pour une pute ?"
"- Oui. D'ailleurs après tout c'est surtout le pognon de ton mari qui t'intéresse. Tu le laisses bien te sauter."
Tu murmures
"- Tout ça à cause d'un stupide pari avec une amie ..."
"- C'était ça ? J'espérais un truc plus croustillant. Bah, ce n'est pas grave. Il est joli votre minou."
Tu te ressaisis
"- Je refuse, maintenant laissé moi partir."
"- Je m'y attendais ... Au fait c'est qui ce ..."
Je sors un papier
"- Ah oui, Michel Dupré. Quel nom à la con"
"- C'est juste un ami, je vois pas le rapport."
"- Moi si, vous avez réservée une suite ce jour là ..."
Je regardes à nouveau
"- C'est ça : le 15 Juillet, l'année dernière."
"- On a même pas dormi dans cette suite ! C'était juste pour se retrouver sans avoir mon mari dans les pattes, il est si jaloux ..."
"- C'est bête que le détail de vos activités ait disparu du registre, il ne reste que le fait que vous ayez réservée une suite pour une nuit. Une seule nuit, c'est un mauvais amant ... Vous perdez pas au change."
"- CE N'EST PAS MON AMANT !"
"- Chut, pas si fort, on pourrait vous entendre. Alors vous décidez quoi ?"
Tu hésites ...
Puis d'un coup, tu exploses :
"- ESPECE DE SALOPARD !!! VOUS NE GAGNEREZ PAS ! NON ! JAMAIS !"
Tu sais pourtant que j'ai déjà gagné. Tu tambourines sur mon torse avec tes poings.
Cela m'amuse.
"- Voyons faut pas vous énerver, c'est juste un bon moment à passer"
Je rigole de mon jeu de mot foireux.
Tu n'en peux plus, ta main se lève ...
Je réagis plus vite que toi et te gifle violemment.
Tu cries.
Je te gifle à nouveau et, avant que tu ais eu le temps de hurler je te saisis à la gorge.
Ma voix se fait menaçante
"- Maintenant tu vas te calmer petite pute."
Tu essaies de respirer je sers plus fort.
Cela m'excite. Je dézippe mon pantalon et sors ma queue. Elle n'est pas encore totalement dur.
"- Et puis tu vas commencer par me sucer"
Tu tentes de faire non de la tête.
Je te projette en arrière, te gifle et t'étrangle à nouveau.
"- J'ai pas compris ..."
Tu es terrorisée, tu hoches la tête vigoureusement..
"- C'est bien"
Je te relâche, tu fais mine de t'agenouiller mais sautes alors vers la porte.
Je la claque à ton nez et te jette au sol.
Tu es sur le ventre.
Je saisis tes mains et soulève ta jupe.
Je me bats avec les agrafes de ton porte jarretelle puis fini par les arracher afin de pouvoir ôter ta culotte.
Tu te débats, tu veux crier mais je place une main sur ta bouche.
Mes doigts se glissent dans ta chatte. Je glisse aussi mon pouce dans ton anus.
"- T'as du bol, j'aurais été suffisamment dur je t'aurais défoncé le cul direct pour t'apprendre à vouloir faire la maligne."
Je ressors mes doigts, les mets dans ta bouche.
"- Mais bon je vais être bon prince et t'accorder une nouvelle chance. Pas de cris, pas de fuite, cappice ?"
Tu hoches la tête.
"- Ah si. T'as le droit de crier de plaisir quand je te prendrais, je suis pas un monstre quand même. Je t'accorde même le droit au cris de douleur."
Tu ne réponds pas.
Tu t'agenouilles.
"- Allez suces moi bien, pour te faire pardonner"
Tu prends mon gland en bouche sans conviction. Mon sexe se durcit malgré tout
"- C'est une fellation, ça ? Il doit s'emmerder ton mari au lit, je me demande pourquoi il te garde ..."
Je saisis ta nuque et enfonce ma verge. Tu étouffes. Je m'en fous complètement et garde ta tête contre mon pelvis.
"- Ah, CA c'est une fellation ..."
Je baise ta bouche avec ma queue.
Tes gémissements étouffés, tes larmes, les filets de bave qui sortent des commissures de tes lèvres, la raideur de ta nuque qui tente de résister à mon bras, tout contribue à mon excitation.
Ta honte et ta révolte, que je lis dans tes yeux quand tu parviens à les entrouvrir entre deux coups de rein, cela aussi m'excite.
J'accélère mon mouvement. Tu n'arrives plus à respirer, tentes de hurler.
Enfin je sors ma verge et tu t'effondres à mes pieds. Tu tousses et de la bave coule de ta bouche.
Tu sanglotes. Je la tiens ma revanche ... Mais je n'en ai pas fini avec toi.
"- Bon je vais te prendre le cul maintenant"
Tu gémis piteusement :
"- Non, s'il vous plait ... Je n'ai jamais fait ça, je n'ai pas envie ... Prenez moi, mais pas par le cul, s'il vous plait"
"- Une vierge du cul ? Il est impuissant ou quoi ton mari ? Il te paie juste pour te regarder pendant qu'il se branle ? J'ai bien fait de m'occuper de ton cas, c'est vraiment trop du gâchis ... Un cul pareil, ça doit être limé régulièrement"
Tu m'implores à genoux :
"- Non, par pitié, je ferais ce que vous voudrez mais pas ça. Je vous laisserais me faire l'amour à nouveau quand vous voudrez ... Mais pas ça"
"- 'Te faire l'amour' ? T'as perdu l'esprit, je veux juste te sauter moi. Et puis c'était prévu depuis le début que ce serait pas la seule fois, tu es ma petite pute maintenant, souviens-t-en. Et une petite pute ça tends son cul sans rien dire quand on lui demande"
Tu t'effondres à nouveau, et geins comme une gamine :
"- Non, pas ça, pas ça ..."
Je commence à m'impatienter
"- Bon c'est en assez, tu vas me faire débander avec tes conneries. Tends ton cul ou je te prends à sec."
Tu es interloquée
"- A sec ? Comment ça à sec ?"
"- T'es vraiment encore plus naïve que ce que je croyais ... C'est touchant ... et foutrement excitant ! D'ailleurs du coup je vais te montrer ce que c'est que d'être prise à sec"
Tu réalises trop tard ton erreur, tu t'imagines bien que quoi que ce soit, ça va être douloureux.
"- Non, non attendez !"
Je ne t'écoute plus, je te plaque au sol, les mains dans le dos et m'allonge sur toi. Mon sexe dressé caresse tes fesses.
"- Non, par pitié, stop !"
J'écarte tes fesses de ma main libre et mon gland se pose sur ta rondelle.
Tu éclates en sanglots.
"- Je ne veux pas, non !!!"
Je sens mon gland se glisser en toi et, une fois bien placé je me laisse tomber de tout mon poids sur toi, forçant le passage de ton anus.
Tu hurles de douleur.
Je te saisis par les cheveux et murmure à ton oreille :
"- C'est ça de se faire prendre à sec. Tu aimes n'est-ce pas ?"
Je fais de légers mouvements pour aller encore plus loin en toi.
Tu tentes de faire non de la tête mais tu n'en a pas la force.
Tu hurles à nouveau.
"- Tu peux te laisser aller, ma salope, personne entendra de toute façon."
Tu chiales comme une madeleine. Tu hurles à nouveau.
Je te pilonne le fion avec ardeur. Le son du claquement de mon aine sur tes fesses me fait bander encore plus.
"- Quelle paire de fesses tu as ... Et cet anus ... Umm, trop bon, j'en ai niqué des culs pourtant. Mais le tien ... Peut-être parce qu'il est vierge ... J'ai bien fait de te prendre à sec ... Tu regrettes pas ?"
Je tiens toujours tes poignets d'une main et tes cheveux de l'autre.
Tu fais non de la tête, parviens à articuler :
"- Arr... Arrêtez ... J'ai mal ... S'il v..."
Ta phrase est coupée par un nouveau hurlement de douleur.
"- Oui ... Vas-y excites moi. Cries fort, sale chienne ..."
Je continue à te labourer l'anus, savourant tes gémissements et tes pleurs.
Enfin je me redresse.
Tu n'oses bouger. Tu n'as même pas décroisé tes poignets tellement tu as peur que tes mouvements soient mal interprétés et que je te viole encore plus fort.
"- Ben alors, qu'est-ce que tu attends pour te redresser et me remercier"
Tu n'oses y croire. Tu t'agenouilles face à moi, nettoies tes yeux et ton nez qui coulent.
Puis doucement tu te relèves, tes genoux tremblent. Tu baisses les yeux. Tu vois alors mon sexe toujours dressé et détournes les yeux.
Tu murmures :
"- Merci d'avoir arrêté ... Cela faisait vraiment atrocement mal ... Vous auriez du me dire de vous faire l'amour normalement, j'aurais été gentille vous sav...."
Je te gifle et tu tombes à nouveau à terre.
Tu portes la main à ta joue tu es éberluée, terrifiée. Tu ne comprends plus rien.
"- Mais ... Mais ... Je vous ai remercié, je ne compr..."
"- Ta gueule, salope ! Je t'ai déjà dit que je voulais juste te sauter, t'es bouchée ou quoi ! Et puis tu dois me remercier pour autre chose ..."
"- Je ... Je ne vois pas ... Je"
Autre gifle.
"- Je viens de te faire découvrir les joies de la sodomie à sec et TU NE VOIS PAS ? Tu veux peut-être le ressentir à nouveau ? Cela ne t'as pas suffit ?"
La terreur t'envahit à l'idée d'être à nouveau violée de la sorte.
"- Oui, oui, je vois ... Oui, en effet, je vous remercie beaucoup. C'était une expérience très intéressante. Très ..."
Le mot te répugne
"- Très ?"
"- Très ... Plaisante ..."
"- C'est bien, je savais que tu aimerais. Ca m'arrange ça m'évitera d'avoir à te préparer le cul les prochaines fois, vu que tu aimes ça."
Tu es complètement déboussolée, prise au piège. Cela m'excite terriblement, je n'ai pas débandé une seule seconde pendant notre discussion.
"- Non ... Mais ... Je .. Enfin ... C'est à dire"
"- Bon allez, on a plus beaucoup de temps. Suces moi et je te prendrais la chatte, j'ai envie d'éjaculer en toi. Je t'aurais bien couvert la face mais tu risques d'avoir du mal à te laver à temps pour que ton mari ne se doute de rien ... Déjà qu'il va falloir que tu te remaquilles ..."
"- Je ... Non ... Je ne prends pas la pilule"
"- Ton mari est vraiment impuissant ?!?"
"- NON ! Mais non voulons un enfant ..."
"- Ben alors pas de soucis. T'es quand même pas une salope au point qu'il vérifie que c'est bien lui le père ?"
"- Non, s'il vous plait ..."
"- Bon je vais être gentil ... Si tu me suces bien"
Tu soupires mais t'agenouilles malgré tout. Ma bite pues l'odeur de tes sécrétions, tu hésites.
"- Allez, suce, tu prendras un menthol après."
Tu avales ma bite, le goût te donne envie de vomir. Je sens tes hésitations, ta révulsion.
"- Tu sais ce qui t'attends si tu me suces pas bien ?"
Tu paniques, tentes de faire de ton mieux malgré le dégout.
"- C'est mieux, bien mieux"
Je caresse tes cheveux. Je ne prends même pas la peine de tenter de t'étouffer. Te voir me sucer de ton plein gré me suffit.
Enfin je sens la jouissance monter. Je sors ma verge de ta bouche.
"- Bien le finish maintenant ... Penches-toi en arrière"
Tu ne comprends pas mais fais ce que je te dis.
Je me places entre tes jambes et me prépare à te pénétrer.
Tu hurles :
"- NON ! Vous m'aviez dit que vous seriez gentil !"
"- Mais je suis gentil, ça va te faire beaucoup de bien"
Tu pleures. De rage ? De colère ? De frustration ? Je m'en fiche ça m'excite.
Je me glisse en toi, commence mes va et viens.
Je te murmures à l'oreille :
"- Je vais tenir ma promesse ... Ne t'inquiètes pas"
Je portes ma main à ma poche. Tu es soulagée
"- Un préservatif ... Mer..."
Tu t'arrêtes en milieu de phrase. Mes mouvements ne s'arrêtent pas, eux.
J'ai une plaquette de médicaments dans les mains.
"- C'est des pilules du lendemain. Ca marche. Enfin la plupart du temps. Je les mets à côté de ton sac."
Tu pleures à nouveau et pousses un long hurlement :
"- NOOOOOOOONNNNNN !!!"
Je jouis en toi. Donne de derniers coups de rein puis reste ainsi un moment.
Tu es effondrée, sanglotante.
Je me relèves, range mon sexe, pose la plaquette près de ton sac et te fais signe de la main
"- On s'appelle ! Bye"
Tu restes ainsi un instant puis reprends tes esprits, essaies tant bien que mal de rajuster ta rober, les agrafes arrachées de ton porte jarretelle. Tu t'essuies la figure, te remaquille.
Tu regardes la plaquette de médicament et en prends un avant de jeter le reste à la poubelle.
Tu rejoins ton mari, te blottit contre lui.
Il te sens tremblante.
"- Ca ne va pas, Chérie ? On dirait que tu as pleurée ... Ce n'est qu'une robe, je te rachèterais la même si on n'arrive pas à la nettoyer ..."
Tu te sens rassuré, près de lui ... Puis tu penses au signe de la main que j'ai fait. Au fait que tu vas devoir le tromper encore ... souvent ... Tu pleures à nouveau.
"- Voyons Chérie ..."
Il s'excuse auprès de ses convives et vous rentrez chez vous.
"- Chérie, que t'arrives t-il ? C'est cet incident ? Cela t'affectes tant ?"
Si il savait ...
"- Non, Chéri, non ... C'est juste un coup de déprime, la pression de ces soirées, tu comprends ..."
"- Je suis désolé de t'imposer ça ... Mais tu es quand même très émotive ... Tu ne serais pas enceinte quand même ?"
Tu as un haut le cœur en entendant ça ... Si seulement il savait ... Si tu pouvais lui dire ...