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Proposée le 28/07/2009 par aden
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La secrétaire.
Ce jour là mon mari m'avait invité pour un dîner en ville. Il était convenu que je le rejoindrais à son bureau pour nous rendre au restaurant.
Mais voulant lui faire une surprise j'ai légèrement changé nos plans. J'ai donc profité de la matinée pour me préparer. Masque de beauté, bain relaxant, épilation, j'ai fait un maximum pour me détendre. Ensuite j'ai mis un soin particulier pour me faire la plus belle possible ; maquillage, vernis sur les ongles pour finalement me retrouver chez le coiffeur pour un brushing.
De retour à la maison et après maintes réflexions, je me suis finalement décidée sur ma tenue. Comme il faisait très beau ce jour là et voulant être à la fois élégante et désirable, j'ai opté pour mon tailleur italien. La veste à deux boutons largement échancrée enfilée sans chemisier ni soutien-gorge me faisait un très beau décolleté tandis que sa mini jupe portée avec mes escarpins noirs mettait bien en valeur mes longues jambes.
Comme seul sous vêtements, je portais un mini string, un porte-jarretelle et des bas noirs.
En début d'après midi, j'ai téléphoné à mon mari et lui ai annoncé que comme j'étais en ville l'après midi, je le rejoindrais plus tôt que prévu à son bureau. Il me répondit qu'il n'y voyait aucun inconvénient mais que je devrais patienter car il avait un rendez-vous à 17h30. Cela correspondait bien à mon plan et lui dis que dans ces conditions je pourrais lui servir de secrétaire.
Je suis donc arrivée à son bureau vers 16h30. J'ai bavardé quelques minutes avec sa secrétaire. Une femme d'une bonne cinquantaine d'années et qui était au service de mon mari depuis de nombreuses années. Comme il ne restait pas grand chose à faire, je lui ai proposé de rentrer chez elle, lui promettant d'assurer le service après son départ.
Je suis allée saluer mon mari, il m'a trouvée extrêmement ravissante, m'a serré contre lui et m'a embrassé.
J'ai dès lors pris la place de la secrétaire, ai terminé de mettre le courrier sous enveloppe. Les choses se passant conformément au plan que j'avais imaginé je me suis vite rendue aux toilettes pour refaire mon maquillage et ôter mon string.
Mon mari était occupé de terminer la rédaction d'un contrat et par de nombreux coup de téléphone.
Vers 17h 30 le visiteur attendu se présenta. Je l'introduisis dans la salle de réunion adjacente à mon bureau et mon mari le rejoignit rapidement.
Une fois installés, je me suis rendue dans la salle pour leur servir un rafraichissement. Tout les deux souhaitaient du café. En me penchant pour les servir, ma veste se décolla de mon corps et leur offrit une vue imprenable sur ma poitrine nue. La conversation s'arrêta un instant et je sentis deux paires d'yeux fixer mes seins et prenant mon temps pour les servir ils purent pleinement profiter du spectacle qui leur était offert.
Je rentrais immédiatement dans le bureau secrétaire et écoutais les commentaires des deux hommes par l'interphone que j'avais laissé ouvert. Je pu ainsi entendre leur conversation et mesurer l'impression que j'avais laissée. Le visiteur complimentait mon mari pour sa nouvelle secrétaire, qui disait-il, remplaçait avantageusement l'ancienne. Il demandait où mon mari avait pu dénicher cette perle rare, qu'il trouvait belle, élégante, extrêmement désirable. Il interrogeait mon mari sur sa capacité à continuer son travail avec autour de lui une créature aussi sexy et bandante pour employer ses termes avouant même que s'il était dans la situation il ne pourrait s'empêcher de la baiser tous les jours. Mon mari pris au jeu répondit que je n'étais la qu'occasionnellement et bien-sûr ne lui dévoila pas ma vraie identité. Dans bureau de secrétariat, j'imaginais des lors l'excitation qui devait envahir mon mari. Il avait toujours aimé que je m'habille de façon sexy. Cela flattait son orgueil d'être au bras d'une jolie femme. Il aimait que d'autres hommes me remarquent et cela l'excitait de deviner le désir dans leurs regards. Il était cette fois servi, il n'avait plus à deviner, il l'avait entendu de ses oreilles.
Après une demi-heure, je me rendis de nouveau dans la salle et leur offrir un second tour de mon petit manège.
La réunion terminée, je reconduisis le visiteur à la sortie. Dans l'ascenseur il me fit de suite des avances, me proposant des que je serais libre de venir travailler pour lui. Il me complimenta sur ma beauté, me draguant sans complexe et profitant de notre promiscuité pour me mettre la main aux fesses, m'attirer contre lui et tenter de m'embrasser.
Je voulais mettre le feu à mon mari et je n'avais nullement imaginé que j'allumerais à ce point son visiteur. Je le repoussai pour me dégager de son étreinte et pour gentiment mais fermement décliner ses avances.
En remontant je me rendis directement dans le bureau de mon mari en lui demandant d'un air ingénu si j'avais exercé mon rôle selon ses désirs. Il me répondit que j'avais été parfaite. Me rapprochant de lui, je lui annonçais que son visiteur m'avait dragué et fait des propositions d'emploi lorsque je l'avais reconduit. Et j'en profitais pour lui demander quel serait sa proposition pour une secrétaire comme moi. Nous étions l'un près de l'autre, lui assis dans son fauteuil et moi adossée à son bureau. Il déposa sa main sur mon genou, en réfléchissant. Il me répondit que pour une bonne secrétaire il pouvait offrir 3500 euros. Je lui répondis que cela était insuffisant et en le regardant dans les yeux lui dit d'aller plus haut. Il comprit ma suggestion, sa main montant le long de ma cuisse pour s'arrêter sur le haut de mon bas tout en me disant 4000. Continuant à le regarder, je lui répondis immédiatement qu'il n'était sûrement pas au maximum. Sa main repris aussitôt son ascension et il découvrit mon sexe nu que je sentais déjà bien humide. Ses doigts me parcouraient les lèvres et il m'annonça, je pense que maintenant je suis au maximum et t'offre 5000. Sur ce le téléphone retentit, il contrôla l'origine de l'appel, vit que celui-ci provenait de son président et il décrocha.
Je profitais pour retourner à mon poste et reprendre mes esprits.
Un quart d'heure plus tard il me rappela dans son bureau. Il me regarda en souriant et me dit : je pourrais vous offrir un contrat d'emploi en bonne et due forme mais je dois vous informer que pour une bonne secrétaire, j'y mets quatre conditions particulières. Il me vouvoyait, notre petit jeu continuait donc.
J'ai écrit, continua-t-il, ces quatre conditions sur la feuille qui se trouve sur mon bureau. Voudriez-vous les lire et me dire si cela vous convient.
Je pris la feuille et lu :
Pour répondre à l'image de marque de la société la secrétaire doit toujours être très élégante mais également très sexy, le port du soutien gorge étant vivement déconseillé.
La fonction nécessite d'être disponible pour des heures supplémentaires.
La secrétaire doit également pouvoir m'accompagner en voyage d'affaire.
Et finalement la future secrétaire devait accepter le droit cuissage.
Il s'était alors rapproché de moi et se trouvait dans mon dos. Et me demanda ce que je pensais de ses conditions. Je lui répondis que compte tenu de la complicité qui existait habituellement être un patron et sa secrétaire, je ne trouvais rien d'anormal et que je pourrais accepter les quatre conditions s'il me proposait le job.
Collé contre mon dos il me demanda alors si je pouvais commencer de suite.
Aussi impatiente que lui de clore les préliminaires sans attendre je répondis oui bine sur. De sa main droite il écarta ma chevelure et commença à m'embrasser dans le cou. Coincée contre le bureau je sentais déjà son excitation dans le bas de mon dos. Ses mains se posèrent et tandis qu'il continuait à m'embrasser dans le cou ses mains remontèrent lentement pour venir saisir ma poitrine qu'il commença à peloter au travers de ma veste. De ses mains agiles, il dégrafa facilement les deux boutons et ouvrit ma veste. Il me fit alors faire demi-tour pour que nous soyons face à face. Sans perdre un instant, nos bouches se joignirent et nous échangeâmes un baiser fougueux tandis que sa main droite continuait à me pétrir les seins. Il m'enleva ma veste et sa bouche se précipita sur mes seins qu'il commença à sucer. C'était merveilleux, j'étais déjà au septième ciel. Je sentais mes seins grossir et devenir durs. M'appuyant de mes deux mains sur le bureau, je cambrai le buste pour lui offrir ma poitrine bien tendue. Sa bouche et sa langue s'acharnaient sur mes seins puis s'attaquaient à mes tétons qu'il mordillait doucement et que je sentais durcir dans sa bouche.
Pendant qu'il me suçait les seins sa main droite remonta ma jupe pour se plaquer sur mon sexe qu'il commença à caresser. J'étais déjà inondée, je me sentais fi-follement excitée. Le long de ma cuisse gauche je sentais son sexe devenir de plus en plus dur.
Rien ne pouvait plus nous arrêter, nous étions fortement excités et j'étais en train de réaliser un des fantasmes qui avait toujours rêver de faire l'amour sur son bureau avec une secrétaire.
Il dégrafa alors ma jupe qui tomba à mes pieds. J'étais maintenant nue, en porte-jarretelles, bas et escarpins. Je le laissai faire, lui laissant l'initiative et me pliant à ses envies.
Il ouvrit son pantalon et sortit son membre. D'un geste je compris son envie. Je m'agenouillais devant lui et pendant qu'il me caressait les cheveux j'entrepris mon uvre. Son sexe était bien droit et son gland était déjà complètement décalotté. Je commençai d'abord par l'embrasser, puis lentement le lécher de bas en haut. Ma langue jouait avec son gland puis revenais titiller ses testicules. J'utilisais aussi mes longs ongles pour le griffer légèrement, exciter ses testicules et courir le long de sa raie. Doucement je pris son sexe en bouche, laissant ma langue tourner autour de son gland. Petit à petit je descendis jusqu'à le prendre jusque la garde le pompant plus ou moins fort. J'adorai la fellation, cet acte où l'homme se donne entièrement et ou son plaisir dépend du bon vouloir et du savoir faire de sa maitresse. Comme j'aimai mon mari et j'adorai lui procurer du plaisir, lui montrer tout mon amour. Avoir son sexe dans ma bouche, le sentir durcir me plaisait et m'excitait énormément. Je l'entendais gémir de plaisir et continuait à le pomper de plus belle tout en lui massant les lèvres de l'anus. Se sentant au bord de l'éjaculation il se retira, me prit pas dessous les bras, me souleva et m'assit sur le bureau. Il me dit que ma pipe avait été divinement bonne, m'embrassa longuement puis poussant quelques dossiers m'allongea sur le bureau. Son sexe dur vint se coller au mien. J'étais morte de désir en sentant sa verge frotter mes lèvres et mon clitoris. J'ondulais du bassin essayant d'harponner son bâton que ma grotte inondée réclamait d'urgence. Mais il faisait durer le plaisir et prolongeait l'attente qui devenait insoutenable. Allongé sur moi, ses mains continuaient de s'occuper de ma poitrine bien dure dont les seins étaient gonflés de plaisir.
Finalement il se redressa et m'enfonça son énorme queue, L'excitation était énorme, j'étais prête à jouir à tout instant mais retardais cette montée au septième ciel le plus possible. M'appuyant sur les coudes je me suis alors redressée, nouant mes jambes autour de sa taille et m'assurant d'être pénétrée au plus profond. Dans cette position nous purent unir nos bouches et échanger des baisers plein de voracité.
Nous avons retenu notre jouissance encore un moment. Mais mon envie était tellement grande que je ne puis plus me retenir et j'entrepris quelques mouvements de va et vient du bassin en m'empalant au plus profond sur sa bitte. Je jouis comme rarement je l'avais fait. Ma jouissance déclenchât la sienne et il m'inonda de plusieurs jets.
Nous étions rassasiés.
Mon mari était heureux comme jamais. Comme initialement prévu nous avons continué notre soirée au restaurant. Bien que j'aie prévu tenue de rechange, mon mari insistât pour que je ne change rien. Il me disait n'avoir pas eu assez de temps en cette fin d'après midi pour m'admirer et profiter de ma beauté. Je remis donc le même tailleur et ni string ni soutien ne gorge. Je me sentais très provocante pour me rendre dans un lieu public. Mais je cédai à son envie car il me promit de m'emmener dans un endroit calme et discret. Je voulais lui plaire, le séduire et l'allumer à nouveau car j'étais loin d'être rassasier et je voulais à nouveau être à lui. Et je peux avouer aujourd'hui que cette soirée ne faisait que commencer et que la nuit fut courte.
C'est ainsi que mon mari et moi nous nous faisions des surprises nous créant des souvenirs et entretenions notre amour en évitant de tomber dans la routine.