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Proposée le 24/07/2009 par evasion971
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Arrivée à son domicile, Heather n'aspirait qu'à prendre une douche afin de se relaxer de sa journée harassante. Elle avait enchaîné des réunions qui avaient pour objectif la mise en place de nouvelles stratégies en vue de booster les ventes, la détermination d'un plan d'action orienté vers la publicité sur les lieux de vente (PLV), la préparation d'une nouvelle collection de lingerie. Elle aimait le travail qu'elle accomplissait, c'était juste que, parfois, les réunions étaient longues et ennuyeuses.
Elle se déshabilla tout en se dirigeant vers la salle de bains. Elle régla la température de l'eau à sa convenance et se laissa envahir par le bien-être que lui procurait l'écoulement de l'eau sur sa peau. Accompagnée de son sex-toy waterproof avec ventouse, le plaisir était décuplé. La porte de douche laissée ouverte, elle leva sa jambe gauche qu'elle posa sur un meuble de la salle de bains. Et, elle introduisit lentement le gode black dans son vagin. Elle l'enfonça au maximum et le ressortit. Puis, elle continua de baiser avec, lentement d'abord, puis de plus en plus rapidement. Le gode était maculé de mouille. Elle le fixa à la paroi de la douche, se retourna et inclina le buste vers l'avant. L'engin la labourait. Elle laissa échapper un gémissement et, au bout d'un moment, d'autres suivirent le premier. Elle sentait la jouissance monter, lui envahir le ventre, gronder et s'amplifier en montées brûlantes. Des reflux de plaisir la firent convulser. Elle s'agenouilla et commença une bonne fellation. Elle glissa lentement la queue artificielle entre ses lèvres ourlées. Elle suça le gland, remua vivement la langue puis l'engloutit jusqu'au fond de sa gorge. Elle branla la colonne de plastique noir entre ses seins tout en inclinant la tête vers l'arrière. Le sex-toy se détacha de la paroi et elle le porta à sa bouche pour laper avec fougue ce joli bâton de réglisse. Elle se releva, elle avait fini de prendre sa douche. Demain, elle était en journée RTT. Afin d'en profiter pleinement, elle avait calé un rendez-vous avec Richard.
Heather s'offrit une balade dans le quartier de Montmartre. Elle flâna dans les ruelles pavées de ce quartier historique et fascinant de Paris. Il faisait très beau. Elle profitait des premiers rayons de soleil du printemps. Elle grimpa les marches pour accéder à la butte Montmartre. Arrivée au sommet, elle savoura la vue spectaculaire de Paris. Puis, en continuant, elle arriva à la célèbre place du Tertre. Peuplé par des douzaines d'artistes offrant leurs uvres, c'est un quartier vivant, romantique, avec une ambiance particulière au décor d'avant-guerre. Elle connaissait bien ces lieux pour y être déjà venue à plusieurs reprises. Elle était vêtue d'une jupe courte, noire, en cuir d'agneau assortie à une veste courte ceinturée à la taille et de même matière, avec un corsage blanc à broderie anglaise et chaussée d'escarpins vernis noirs à hauts talons. Pour parfaire son look, elle portait des lunettes de soleil présentant une large monture. Comme la jupe était très courte, elle se relevait sur ses fesses et les hommes ne manquaient pas de lui tourner autour comme des vautours, certains allant même jusqu'à lui faire des propositions ou lui lancer des propos orduriers. Peu lui importait, elle n'était pas gênée! Tant pis pour les mauvaises langues, il y avait toujours des mécontents. Elle continua de déambuler parmi tous ces peintres exposant leurs peintures, toiles, dessins. Elle regarda avec beaucoup d'attention les paysages qui surgissaient sous l'effet des pinceaux et couteaux des artistes. Et c'était une explosion de couleurs, de lumière et de création. Le choix était vaste. On ne savait lequel choisir. Puis son regard se porta sur l'un de ces portraits en noir et blanc, splendide ! Elle fut comme hypnotisée. Après un moment d'hésitation, elle se décida à se faire dessiner le portrait. Elle put voir, à travers les yeux de ce portraitiste, tout le bonheur qu'il transmettait dans sa toile, son regard vif pour capter le moindre détail, son humour pour la mettre à l'aise, sa gentillesse et son sourire pour la rassurer. En quelques coups de crayon, cet artiste lui donna vie sur le papier !
Durant ce temps, Richard l'avait rejointe. Une foule de touristes avait afflué auprès d'eux. Le regard de Richard alla du visage de Heather au dessin tant la ressemblance était époustouflante. Elle lui adressa un petit sourire. Puis, l'artiste posa une protection sur le dessin, l'enroula et le remit à Heather tout en la remerciant.
Richard proposa :
- Viens, je t'invite à boire un verre.
- OK, ça me convient.
Ils s'installèrent à la terrasse d'un café et Richard commanda un Diabolo-citron et une bière.
Richard trinqua :
- À la tienne ! À notre fameuse histoire qui commence !
- Oui, tout à fait.
Pendant qu'ils discutaient, la main droite de Richard se glissa dans l'entrejambe de Heather. Elle écarta plus les cuisses afin de lui faciliter le passage. Heather demanda :
- Fais-moi goûter ton Diabolo, pour voir si c'est du vrai citron. (Heather sirota la boisson.) Ah non, ce n'est pas du vrai citron !
- Eh ben, non ! On peut aller dans un endroit un peu plus discret, non ?
- Oui, un coin plus tranquille.
Ils marchaient côte à côte lorsque Richard lui mit la main sur les fesses le plus naturellement du monde. Ils continuèrent de marcher, il souleva sa jupe. Elle essaya de la rabattre mais il la tenait bien. Elle poussa de petits cris de surprise. Les promeneurs pouvaient voir ses bas noirs, ses jarretelles noires et son string noir coincé dans la raie de ses fesses. Tout en chahutant, ils descendaient par le funiculaire. Ils étaient face à face, à quelques centimètres l'un de l'autre. Richard la tenait par la taille et Heather percevait toute la densité et toute la chaleur de son corps.
Un peu plus loin, se trouvait un taxi en attente à la station. Ils y montèrent. Sitôt installés sur le siège arrière, ils se mirent à s'embrasser. Après avoir emprunté le périphérique en direction de la place du Trocadéro, Richard entreprit de lui caresser les seins. La trouvant réceptive, il déboutonna son corsage, introduisit sa main sous les bonnets du soutien-gorge et découvrit un sein sans s'occuper de la présence du chauffeur.
Elle avait faim de ses attouchements ! Il joua avec la pointe durcie et terriblement sensible. Il inclina la tête, la titilla, la mordilla, la suça goulûment, provoquant en elle de longs frémissements et faisant naître une affreuse impatience. Il retroussa la jupe de Heather, écarta son string, dévoilant sa fente béante. Délicatement, il glissa ses doigts dans sa vulve. Il joua avec ses lèvres, les étala puis frotta son clitoris. Puis, il plongea la tête dans sa motte et agaça son bouton par des coups de langue. Lui aussi était très excité. Le chauffeur suivait tous leurs faits et gestes depuis son rétroviseur intérieur avec un sourire salace. Il humectait ses lèvres, se délectant du spectacle. Arrivés à destination, Richard paya la course et ils descendirent du véhicule. Avant de redémarrer, le chauffeur plaqua la paume de sa main dans son entrejambe. Une érection bien visible tendait son jean. « Ah, c'est malin, ces clients ont fait chauffer mon thermomètre ! »
Le couple se tenait bras dessus, bras dessous devant l'esplanade du Trocadéro avec vue imprenable sur la tour Eiffel. De nombreux touristes étaient présents. Ils poursuivirent leur balade en se dirigeant vers le jardin public. Ils firent une halte et s'assirent sur l'un des bancs. Leurs lèvres se soudèrent et leurs langues se touchèrent. Heather avança sa main vers le pantalon de son partenaire, tâtant sa cuisse musclée à travers le tissu. C'était sa queue qu'elle désirait. Elle formait un renflement dur entre ses jambes. La longue scène dans le taxi l'avait enfiévrée. Elle avait vraiment envie de sa bite, envie de la voir, de la toucher, d'y poser ses lèvres et de la sucer. Elle fit glisser la fermeture Éclair et retira la verge. Elle commença à le masturber. Elle voyait le gland disparaître et réapparaître au fur et à mesure qu'elle s'activait dessus. Puis, elle le lécha comme un gros sucre d'orge, mordilla la hampe qui frémissait. Quant à Richard, il jetait des regards de contrôle tout autour de lui. Il lui maintenait la tête et lui caressait les cheveux.
N'y tenant plus, ils se levèrent et firent quelques pas. Ils empruntèrent un ponton à rambardes en imitation bois où se trouvaient des rochers factices, des arbres. Ils s'arrêtèrent là. Elle retroussa sa jupe. Richard s'accroupit et enfouit son visage à l'intérieur de son intimité. Il lécha avidement son abricot. Elle se pinça la pointe d'un sein. Elle gémissait de plaisir. Elle se retourna et leva une jambe pour la poser sur une rambarde. Ses fesses demeuraient splendides avec leur chair généreusement épanouie et le sillon profond dans lequel s'enfonçait le cordon de string. Il sortit un préservatif de sa poche, déchira son emballage et l'enfila sur sa queue. Elle se pencha en avant, les mains appuyées sur le rocher, de façon à ce que ses reins restent bien cambrés, la croupe tendue vers lui.
Elle lui offrit son sexe. Il écarta le string. La mouille suintait à l'intérieur de ses cuisses jusqu'au revers des bas. Il la saisit aux hanches. Il amena son gland contre ses lèvres et le planta profondément dans son vagin. Sa queue avait glissé comme dans un bain d'huile. Elle sentait son pénis coulisser dans son vagin qui la tenait bien serrée. Elle répondait à ses amples coups de reins. Elle contracta de toutes ses forces les muscles de son vagin. Ça le rendit fou ! Il entama un va-et-vient frénétique, la soulevant presque à chaque coup de butoir. Son cavalier la montait tout en force. Il tenait largement les fesses. Un pet fusa. Ses propres gémissements ne furent pas longs à trahir son plaisir. « Oh oui ! Continue, laboure-moi... »
Mais, elle n'eut pas le temps d'achever : secouée par un orgasme violent, elle gémit. Un peu d'écume blanchâtre coula du con et le corps se raidit. Son visage brillait de transpiration. De par sa position, il lui écartelait les fesses et dévoilait la minuscule étoile plissée de son anus. Il introduisit son nud, le temps que l'anneau du sphincter consentît à s'ouvrir. Et sitôt que la tête fut engagée, le corps suivit sans difficulté. Il s'appliqua à se glisser en elle tout au fond, puis lui donna de gros coups de burin dans le cul, comme s'il voulait la traverser entièrement avec sa bite.
Heather émettait un râle à chaque fois que l'outil de Richard s'enfonçait dans son cul, un râle immédiatement suivi du claquement sonore du ventre contre ses fesses. Il s'amusait à sortir entièrement d'entre ses fesses pour admirer son trou largement ouvert par le passage de son bâton de chair. Puis, il sortit sa queue et ôta le préservatif. Elle s'accroupit et le branla. En quelques secousses vigoureuses du poignet, le sperme gicla sur son visage, ses joues, sa bouche. Son jus était chaud et crémeux. Elle se redressa couverte de sperme. Il rengaina sa queue, elle s'essuya le visage avec des mouchoirs en papiers. Les deux complices quittèrent le site, gaillardement.