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Proposée le 9/03/2007 par Bilitis
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La vaste pièce envahie de lourds meubles anciens est plongée dans la pénombre. Les épaisses tentures sont tirées, ne laissant passer qu'un rai de la lumière du jour. Contre le mur du fond, un immense lit bas, à l'ancienne, sans montants, mais flanqué de colonnettes aux quatre coins.
Étendue sur le dos, je suis attachée par des cordons de soie, les mains par-dessus la tête, les yeux bandés, entièrement nue. Ce n'est pas de froid que je frissonne, mais d'appréhension. À mille petits bruits furtifs, je devine des présences affairées autour de moi : chuchotements, bruits de vêtements. Le matelas s'enfonce, le sommier grince, un corps lourd écrase mon bassin, deux mains s'emparent brusquement de mes seins et les malaxent sans ménagement. D'autres mains me parcourent, féminines et masculines. Des ongles de femme courent sur mon ventre, mes cuisses. Un doigt, puis deux investissent ma vulve pendant qu'une petite langue pointue vient titiller mon clitoris tout gonflé. Une large langue s'est mise à me lécher les seins fermement emprisonnés dans des mains viriles. Une langue est venue se glisser dans ma bouche et s'y agite avec vigueur. Une grosse queue bien lourde vient soudain se loger dans ma main gauche tandis qu'une autre s'installe dans ma main droite. L'invitation est claire : je me mets à branler vigoureusement les deux membres en proie à une belle érection. La langue dans ma bouche se retire pour faire place à une troisième queue bien dure que je me mets aussitôt à pomper. Au même moment, des doigts agiles humectent mon trou de cul avant d'y glisser un objet un peu froid, un gode, qui se fraie bien vite un chemin dans mes entrailles. Une grosse queue s'est mise à coulisser entre mes seins que des mains impatientes maintiennent fermement. Et, pour faire bonne mesure, un cinquième phallus s'enfourne sans ménagements dans mon vagin. Je défaille sous ces assauts multiples, je suis parcourue de frissons, puis de spasmes, je me sens bouillir, l'orgasme accourt à grande vitesse. Je sens que la queue dans ma main droite va libérer sa semence, mon cul est totalement investi. Je geins, je couine, je coule. Je sens brusquement un jet chaud et épais se répandre sur mes épaules, le phallus entre mes seins se raidit soudain, de longs jets brûlants cinglent ma poitrine, et à gauche, on s'est lâché aussi. Le sperme gluant se répand partout, je suis toute maculée. Je manque d'air, je vais hurler : ça explose dans mon ventre, je sens poindre la jouissance, forte et drue dans mes entrailles. Je jouis comme une démente, des milliers d'étoiles fendent l'espace embrasé, je sombre dans un Maelström de plaisir.
Dieu merci, ceci n'est qu'un fantasme, je crois que je n'y survivrais pas !