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Proposée le 29/06/2009 par Serpent DEs Sables
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Histoire très violente, si vous n'êtes pas adepte de bondage, d'appartenance et d'humiliation, merci de ne pas lire
Tout commença un après midi d'hiver lorsque j'étais au volant de ma voiture, il pleuvait et le temps était tout bonnement abominable, il faisait sombre et malgré la lumière allumée sur mon véhicule, on n'y voyait pas plus loin que le bout de son nez. Je sortais de la ville pour me rendre à mon bureau ayant oublier des dossiers importants. Je travaillais à cette époque pour une grande entreprise qui vend encore actuellement des vêtements de marque. Mon salaire était très confortable, et grâce à cet argent j'ai pu m'offrir un beau pavillon perdu en pleine campagne, car je n'aime pas la ville, et je suis encore loin d'être une fleur de béton. Les hommes ne m'avaient jamais réellement attirés, ni les femmes d'ailleurs. Trop concentrée sur mon boulot je pensais pas ou peu aux relations amoureuses que j'aurais pu entretenir. Les prétendants, et même quelques prétendantes, ne manquaient pourtant pas sur mon lieu de travail. Mon mètre soixante, et mes dix années passées de danse classique n'y sont sûrement pas pour rien.
J'ai un physique agréable, de belles jambes galbées, un petit cul bien rebondit et ferme, et une poitrine assez petite mais tonique. Mes yeux sont verts et en amandes et j'ai les cheveux exactement comme ces filles asiatiques, longs, raides, d'un noir très sombre.Ma peau quand à elle rappelle la couleur du lait, blanche. Autant dire que à part la haute taille qui me manque, j'aurai pu porter les vêtements fièrement exhibés par toutes ces filles anorexiques qui défilent sur les plateaux.
Pour en revenir à ce qui c'est passée cette nuit là, il faut que je choisisse bien mes mots car ce fut le tournant de ma vie. Le téléphone portable sonna, et j'étais sur la route qui sort de la ville, trop occupée à répondre je ne vis pas cette petite fille qui traversa de part en part sans crier gare. Le choc fut violent, et elle fut projetée sur une dizaine de mètre. Catastrophée par ce qui venait d'arriver, je pris mon téléphone et appela les pompiers. Ils arrivèrent assez rapidement à mon grand soulagement car nous avons la chance d'avoir la seule caserne de proximité dans notre petite ville. En état de panique, je ne savais que faire, je restais blottie, assise le long du trottoir à regarder les secours se débattre avec le corps de cette gamine. Les pompiers avaient trouver sur elle un téléphone portable allumé, et par chance dans le répertoire figurait le numéro du père. La gamine fut emmenée à l'hôpital et je fus emmenée au commissariat pour toutes les démarches. Le commissaire me renvoya chez moi en attente du procès qui aurait lieu dans les prochains mois. Je risquais très gros mais je m'en fichais, car le diagnostic était tombé un peu plus tard, la gamine était désormais tétraplégique. Je fus réellement abattue, il n'y a pas de mots pour décrire ce que j'ai ressenti, je venais de prendre littéralement une vie, celle d'une petite fille de 14 ans, Rachelle. Si j'écopais d'une peine de prison cela ne serait que justice. Trop déstabilisée psychologiquement pour reprendre le travail, je démissionnais le lendemain même de l'accident, mes économies suffiraient amplement à combler mes besoins personnels pendant de nombreuses années.
Plusieurs jours étaient passés depuis l'accident, j'étais chez moi, dans mon sofa à regarder la télévision quand le téléphone sonna. Au bout du fil, le père de Rachelle, il voulait me parler en face à face. Je savais que je prenais un risque inconsidéré, mais je m'en moquais, car pour moi, j'étais responsable et toutes les peines et châtiments du monde ne pourraient réparer ce que j'avais fais. Le rendez-vous fut prit chez moi, dans mon pavillon isolé de tout. Le monsieur arriva en début d'après midi, il était petit, bedonnant d'un cinquantaine d'années, les yeux marrons foncés, le crâne dégarni. C'était quelqu'un à l'apparence modeste, ces vêtements n'étaient plus de toute première jeunesse, et son visage buriné laissait entendre qu'il avait dut effectuer une profession éprouvante. Il se présenta d'une voie très grave, presque caverneuse. Je l'invitai à entrer. Il prit place dans mon salon, et je lui proposais un verre de cognac ou un autre alcool fort, il opta pour un whisky, un Lagavelin écossais. La discussion dura peu de temps, car bien entendu, cet homme aurait préféré me voir entre quatre planches que de voir sa fille dans un fauteuil le restant de ces jours. Il m'apprit cependant qu'il était veuf, que son épouse et donc la mère de Rachelle était décédée il y a trois ans d'une leucémie. Je me suis excusé pour tout, et de tout mon coeur, même si je savais que cela ne servait à rien. Et à ce moment, la conversation prit un autre tour, il se mit à pleurer et à pleurer, il ne pouvait plus s'arrêter. Désemparée par le malheur de cet homme, je ne savais que faire. Je lui demandais donc ce que je pouvais faire pour lui. Sa réponse fut longue à arriver, et fut courte et violente. Il répondit simplement :
- "Soyez mon esclave jusqu'à ma mort, et peut être Dieu aura pitié de votre âme."
Cette phrase me toucha en plein cur, simplement parce que je n'arrivais pas à éponger ma souffrance, et surtout parce que je suis catholique fervente. Un silence suivit, et il reprit :
- "Je vous laisse vingt quatre heures pour me répondre, si vous accepter, j'abandonnerai les poursuites contre vous, et vous deviendrez ma chose. Vous n'aurez plus de personnalité, de liberté, de vie sociale, je vous réduirais à l'état de simple objet et ceux jusqu'à ma mort."
Sur ces mots il se leva, prit la porte et repartit dans son break.
Durant la soirée je méditait sur les paroles de cet homme fou de douleur et de haine contre moi. Mes yeux dans le vide, mes mains sur le ventre, assise ou plutôt prostrée sur le sofa, je me posais milles questions. Mais cela n'avait plus aucune importance, car mon cur avait déjà répondu à ma tête. J'accepterai ma nouvelle condition. Pourquoi me direz vous ? Et bien, je pense en réalité qu'étant seule, avec une famille éclatée par des rancurs de toutes sortes, je n'avais déjà pas grand chose à part mon travail. Le fait de prendre une vie avait finit de me tuer intérieurement. J'étais ivre de douleur et de rage contre moi, et je savais que même un psychologue compétent ne pourrait rien pour me soulager. Ma raison était dévorée part cette douleur, et le seul moyen de l'apaiser était pour moi de devenir l'objet du père de la fillette que j'avais détruite.
Le lendemain le rendez vous fut reprit par téléphone et le monsieur arriva en soirée vers vingt heure. Nous étions dans mon salon, et il s'exprima de façon concise en un mot :
- "Alors ?"
Je pris alors une grande respiration, comme une dernière bouffée de liberté et prononça un seul mot :
- "J'accepte."
Le monsieur se leva et me tendit un billet, il prit son veston, se rhabilla, sortit et prit la route toujours dans son break vieillot.
Le soir, après avoir prit ma douche, je me couchais dans mon lit et prit le billet avec moi. La lumière de ma table de nuit éclairait faiblement la pièce, mais malgré tout je pouvais lire très lisiblement ce qui était écrit sur le papier. L'écriture était très belle, j'en fus surprise car cet homme aux premiers abords ne semblait en aucun cas cultivé. L'écriture était très fluide, inscrite au stylo à plume noir, le style était simple et clair. Il était écrit :
" A partir de ce jour, tu ne disposes plus de liberté, de personnalité, ni de vie sociale, et tu es moins qu'un objet à mes yeux. L'intégralité de tes possessions matérielles me reviennent, et je vais venir emménager chez toi (qui sera dans peu de temps chez moi) avec le peu d'affaire dont je dispose. Rachelle grâce à toi en a pour des mois d'hôpital, donc tu payeras l'intégralité des frais. Tes premiers devoirs en temps que sac à foutre sont les suivants :
- Tu doit transférer l'intégralité de toutes tes économies, sur mon compte bancaire.
- Tu doit aller voir un notaire et me mettre légalement propriétaire sur ta maison.
- Tu dois me donner tous tes chéquiers (avec l'intégralité des chèques signés), cartes bancaires avec les codes, ainsi que tous tes papiers d'identités, permis de conduire, carte dé sécurité sociale, etc.
- Je t'interdis désormais tous les moyens de communication, portables, téléphones, internet, et je te refuse le droit de parler à qui que ce soit.
- Tu ne m'adresseras jamais la parole, les seuls sons que je tolérerai de toi seront les cris et les hurlements.
- Tu subira nombres de tortures, car tel est mon désir pour ta faute, certaines seront loins de la légalité. Tu t'engages donc à ne jamais aller voir les autorités pour ce que je te ferait subir.
- Ce contrat sera valable jusqu'à ma mort.
Si tu acceptes l'intégralité de ce qui est écrit alors notre contrat sera scellé. Signes en dessous, et renvoies-le moi grâce à l'adresse qu'il y a au dos, ou détruis-le. Dans tout les cas si je n'ai pas de réponse sous trois jours, je considérerai cela comme un refus de ta part, et nous nous reverrons alors au procès.
M.S ".
Deux heures étaient passées et je restais assise avec la lumière allumée, je retournais chaque phrases dans ma tête, et pris la mesure de ce que cela représentait. Je venais de détruire une vie, ou plutôt deux, car le père était lui aussi très affecté. Ma famille n'existait quasiment plus pour moi, je n'avais plus de travail, et mes collègues se souciaient plus de mes fesses que de mon bien-être. En dehors du travail, je n'avais pas d'amis, et surtout ce qui fit pencher la balance c'était que pour moi, un procès ne réglerait jamais ma douleur, ni celle du père de Rachelle. Quelque part je cherchais mon expiation et sûrement celle de ce monsieur détruit par ma faute. Son sadisme envers moi, réduirait peut être sa douleur ? Et les souffrances qu'il m'infligerait me donneraient un sentiment de libération, comme la purge d'une peine. Une forme de masochisme libérateur, une salve de souffrance contre mon passeport pour le paradis ? Qui sait ? dans tout les cas, moi je le croyais, et ce fut cette conclusion qui fit que je signais le contrat, devenant désormais un objet au service de M.S. Sitôt signé, sitôt envoyé par la poste. Il ne me restait plus qu'à attendre. Pendant cette attente, je fit mes adieux à ma vie passée, et imaginait la nouvelle, couchant dans une cage et étant nourrie de déchets, subissant nombre de sévices que mon petit corps bien fait pourrait inspirer à mon bourreau.
Au bout de deux jours, en pleine nuit, j'entendis quelqu'un frapper à la porte, il s'agissait de M.S. J'ouvris, le laissa entrer et lui dit bonjour. Je n'eus pas le temps de réagir, qu'il me gifla avec une force incroyable que je fus projeter par terre. Sur un ton violent il me rappela :
- "Tu ne m'adressera jamais la parole."
Je n'oublierais plus c'est promis. Il me fit aller dans ma chambre, mais d'une façon bien à lui. Il exigea que je sois nue, à genoux. Une fois que cela fut fait, ce qui fut très humiliant pour moi qui ne me déshabillais jamais devant un homme, il exigea que je ne bougea plus. Mes mains furent attachées avec une paire de menotte dans mon dos, et il les serra très fort, pour me faire souffrir. Il prit ensuite mes cheveux, passa devant moi, et en fit une tresse rapide en les tournant dans ces mains. Une fois la tresse réalisée, il commença à tirer avec force, en m'attirant vers le bas, ce qui me traînait au sol, tout en me faisant avancer. La douleur au crâne était insoutenable, je criais de douleur, mais mon bourreau aimait ça, car il s'arrêtait, pour tirer l'instant d'après plus fort, ce qui donnait des à-coup très douloureux. De plus mes genoux traînaient sur le sol, ce qui les brûlaient. Mon parquet était ancien, et pas réellement cirer, il agissait donc comme un abrasif. Atteindre la chambre fut déjà en soit un vrai supplice, humiliée d'être nue, ma tête me donnait l'impression qu'elle allait exploser, et mes genoux étaient rouges vif, car ma peau tendre n'avait pas résisté à un tel traitement. Une fois dans la chambre je fus jeter sur le lit à plat ventre sans ménagement, M.S ferma la porte à clef derrière nous, il avait apporté de la corde avec lui. Mes mains furent liées entre elles, et ensuite attachées à la tête de lit, ce qui me fit tendre les deux bras devant moi au maximum. Mes pieds subirent le même sort, attachés entre eux et liés au pied du lit. J'étais donc nue, sur le ventre, pieds et poings liés, tendu comme un "i" à sa merci. Il me bâillonna avec un foulard trouver dans mon armoire. Je l'entendis me dire :
- Je vais te corriger petite catin, tu vas me payer ce que tu as fait.
Un moment de silence. Puis la première claque tomba sur mon cul, violente, sèche, et très douloureuse. M.S possède des mains très calleuses, des mains de maçon pour être précise. Je ne sais pas combien de temps cela dura, une éternité selon moi, il c'est acharné sur mon cul, jusqu'à le bleuir. Chaque claque était immédiatement suivit d'une autre, et d'une autre, et d'une autre, toutes plus violentes les unes que les autres. Quand mon cul était enfin de la couleur qu'il souhait, et que j'étais noyée dans mes larmes, cela ne fut pas fini. Il prit mon cul à pleines mains et le pétrit avec force, une poigne féroce et sadique, afin de me martyriser et accentuer ma douleur. Puis il enfonça d'un coup d'un seul, son énorme pouce dans mon petit trou. Moi qui était vierge de ce coté là, je poussai un hurlement que le bâillon rudimentaire ne put retenir. C'était volontaire, il voulait me voir hurler. Il fit tourner son doigt dans mon cul, le fit entrer et ressortir sans aucune lubrification, cela dura dix bonnes minutes. En même temps il m'insultait :
- Espèce de salope, petite pute, tu le sent bien mon doigt dans ton cul hein ? Et attend ce n'est qu'un début tu vas voir !.
Il me tritura le cul pendant un long moment avec des gestes volontairement offensants, il mettait son pouce droit et son pouce gauche dans mon trou et écartait pour bien l'ouvrir.
J'étais morte de honte, humiliée et bafouée, mais curieusement cela me soulageait, comme si sa haine, et la souffrance de mon corps apaisaient la douleur de mon esprit. Une fois qu'il s'était bien amusé, il sortit ces doigts, enleva mon bâillon, et les présenta devant ma bouche :
- Nettoie, suce et lèche, espèce de pute.
J'ai essayé de tourner la tête, mais je n'aurais pas du. Quand il vit mon refus sa voix tonna :
- Ah c'est comme ça ! Attends tu vas voir !
Il prit mes cheveux à leurs bases et tira fort en arrière, j'étais allongé droite comme un bout de bois, attachée aux pieds et aux mains, et ma tête renversée.
Il me gifla le visage pendant dix minutes, chaque claque était parfaitement ciblée, tout le plat de sa main sur mes joues. Je pleurnichais comme une gamine, et il fit rougir mon visage comme un fer chauffé à vif. Je le suppliais d'arrêter, mais chaque paroles que je prononçais étaient un encouragement à sa colère. Quand il eut finit, il me détacha, mais je ne fut pas quitte pour autant, il représenta ces doigts devant ma bouche, et plutôt que de subir à nouveau les claques à la figure, je les lui suça goulûment. Je devenais docile, très docile, malgré moi...
Quand j'eus finis de nettoyer proprement les doigts de M.S, il me fit lever, et m'emmena à la cave de mon pavillon. C'est un endroit poussiéreux, pleins d'araignées, ou je ne met jamais les pieds. C'est bien pour cela qu'elle est vide, je n'y stocke rien pour ne pas avoir à y descendre. Cette pièce est simplement éclairée au plafond par une ampoule toute simple, ce qui donne à la pièce une sorte de pénombre malsaine. M.S me poussa fermement à l'intérieur, et ferma la porte à clef derrière nous, puis il se déshabilla intégralement. Son physique était un peu près celui auquel je m'attendais, bedonnant, les cinquante ans bien sonnés, il avait l'allure de la plupart des hommes de cet âge. Il se présenta devant moi :
- Baisse tes yeux espèce de chienne.
Ce que je fis, car je ne voulais plus subir les gifles. Il appuya sur mes épaules et me fit mettre à genoux puis d'une voie sans appel :
- Suce moi bien espèce de dépravée, vu comment tu est foutue, tu as dû en sucer des pines !.
Je fis signe de la tête que non, et bien entendu cela était vrai. Mais en petite esclave docile j'ouvris la bouche et M.S y fourra son gland, et en me maintenant la tête fermement, d'un coup de rein, il enfonça son vit dans ma bouche jusqu'à la garde. Cela me donna purement et simplement envie de vomir, mais je pouvais à peine respirer, car M.S tenait d'un poigne de fer ma tête, et imposait le rythme qu'il voulait avec son bassin. Je me débattais, mais ma faible force de femme ne m'était d'aucune utilité. Je sentais sur ma langue son goût âcre et salé, et quand son sperme visqueux et immonde inonda ma gorge il m'ordonna :
- Avale moi ça ! salope !.
Ayant peur d'une nouvelle raclée, je dus déglutir plusieurs fois pour avaler intégralement le foutre de monsieur. Je m'attendais à ce que ça soit finit, mais il n'en était rien, car à mon grand étonnement M.S bandait encore très dur. Il me gifla deux fois au visage, juste pour le plaisir, et se jeta sur moi. Je me suis retrouvée allongée sur le dos, M.S sur moi, avec un sol en béton brut dégueulasse en guise de matelas douillet. Il saisit mes poignets et les plaquas au sol brutalement, et me fit écarter les cuisses aisément avec la même douceur. Il ne prit aucun soin de vérifier si j'étais mouillée ou non, sa queue pénétra dans ma chatte sans aucune préparation. Malheureusement pour moi j'étais sèche comme le Sahara. Cela lui plaisait car si j'avais mouillé, je n'aurais pas poussé ses gémissements de douleur qu'il aimait tant. Il me viola littéralement, ne cherchant que son plaisir, c'était une brute épaisse, et ses coups de boutoir ravageait ma peau sur le sol. A un moment il me fit retourner en levrette, et me défonça avec la même vigueur, sa queue pilonnant littéralement ma chatte brûlée par ce rapport sans lubrification. Je souffrais tout les maux, mais la suprême humiliation fut quand M.S sentit sa jouissance arrivée. Il se retira de ma chatte, et s'enfonça sans ménagement dans mon cul, sa queue gonflé de haine et de plaisir sadique distendait mon anus de façon abominable, et après quelques vas et viens primitifs, il enfonça sa queue tout au fond de mon cul pour y larguer sa semence putride. Il avait prit soin auparavant d'attraper mes poignets et de me les maintenir dans le dos, j'avais donc les bras paralysés et la tête contre le béton. Quand le râle de soulagement fut passée, il me retourna, et j'eus encore le droit à une série de gifle ainsi qu'un à un crachat en plein visage, il me regarda et d'un air méprisant :
- Je reviens demain matin avec mes affaires.
Il partit ouvrir la porte de la cave avec les clefs. Je fus ensuite prise de panique car il referma la porte derrière lui, m'enfermant à clef à l'intérieur avant d'éteindre la lumière. Je l'entendit partir, et mes supplications n'y changèrent rien, il me parquait comme un vulgaire objet dont il n'avait plus besoin pour le moment. Je me retrouvais nue, le corps torturé, dans une pièce noire, fermée à clef, au sous sol de ma propre maison. De plus, je sentais le foutre me couler du cul, et j'avais encore en bouche le goût très corsé du sperme de M.S. Des sanglots incontrôlables m'envahirent et je palpais en même temps mon corps meurtri qui me hurlait sa douleur. Le béton froid et dur me rappela M.S lorsque je me suis allongée, la nuit allait être longue, humiliante et douloureuse...
A suivre....