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Proposée le 28/06/2009 par maximilien
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Cela fait bientôt un an que je suis marié avec Christelle, une jolie brune d'origine italienne. Elle a de grands yeux brillants allant si bien avec son sourire malicieux d'un charme toujours époustouflant, des cheveux noirs mi-longs embellissant son visage féminin, son corps, quant à lui, a toujours su éveiller ma libido, bien que d'une taille inférieure à celle de mes fantasmes, j'adore ses seins bien ronds tout juste de la taille d'une prise de mains, une taille fine faisant contraste avec des cuisses plutôt bien marquées mais sans excès, enfin il y a son intimité magnifique sur laquelle je laisse un certain mystère pour le moment. Mis à part son physique elle a un caractère très malicieux mais très affectueux à la fois : elle passe très facilement du fou rire à la tendresse. Du reste elle m'aime aussi tendrement que je l'aime...
Un soir, après une longue et fatigante journée de travail, je n'avais qu'une seule idée en tête : retrouver ma belle Christelle et terminer la soirée nu auprès d'elle. En arrivant j'ouvre sans faire de bruit la porte de notre grand appartement. L'entrée donne sur la grande pièce principale de l'appartement contenant à la fois un coin cuisine et le coin salon, tout parait calme et vide mais je ne m'inquiète pas, quand ma femme n'est ni en train de regarder la télé dans notre grand canapé, ni dans la cuisine en train de préparer les délicieux plats dont elle a le secret, elle se trouve généralement sous la douche ou quand je rentre tard comme aujourd'hui au lit en train de dormir. L'idée m'excite, car dans les deux cas je retrouverai ce soir ma femme nue.
Avant d'arriver chez moi j'étais déjà excité, mais cette idée fait monter encore plus la tension dans ma libido qui rêve de prendre le contrôle de cette soirée. Silencieusement, je défais ma cravate, puis ma chemise, me retrouvant au bout de quelques minutes complètement nu en plein milieu de mon salon. J'avance à pas feutrés en direction de notre chambre imaginant avec délice le moment où je me glisserai à ses côtés en glissant mon torse contre la peau douce de son dos. A l'idée de voir ma femme se réveiller à mon contact avec un sourire de bienvenue, mon pénis est déjà en érection au moment où j'arrive devant la porte de la chambre.
Avec un sourire de satisfaction je pousse la porte tombant nez à nez avec un spectacle que je n'aurais jamais pu imaginer :
Ma femme est en effet là mais pas seule : ceinturant par derrière une jeune femme, elle est en train de caresser énergiquement une magnifique paire d'énormes seins tout en embrassant la jeune femme avec un désir que je croyais réservé pour moi seul. Bouche bée j'observe le spectacle : ne m'ayant pas remarqué les deux jeunes femmes continuaient à s'embrasser avec désir, positionnées sur le lit, face à moi emboitées l'une contre l'autre les jambes écartées, les seins de ma femme enfoncés dans le dos de la jeune femme. Ma femme est nue, complètement, l'autre porte pour seul vêtement une culotte noire, ses gros seins nus s'agitant au rythme des caresses de Christelle.
Je ne sais que dire, je reste là abasourdi devant le spectacle. C'est à ce moment là que Christelle me voit : elle sursaute, en moins d'une seconde elle a abandonné sa maîtresse pour se ruer vers moi en criant :
- Chéri, je suis désolée, pardonne moi je t'en prie je peux tout expliquer!
Je reste encore quelques secondes abasourdi le temps que mon cerveau refasse de l'ordre dans ce qu'il vient de se passer. Pendant ce temps là Christelle continue à s'excuser tout en m'embrassant un peu partout sur le visage comme pour rattraper ce qui vient de se passer.
- Laisse moi ! criai-je en la poussant avec une violence que j'ai tout de suite profondément regretté.
Sous la force du mouvement Christelle tombe par terre, les genoux écartés en pleurant sous le choc. Je m'en veux terriblement de l'avoir poussée et j'ai envie de m'excuser, mais je ne veux pas qu'elle pense que je l'ai pardonnée pour ce qu'elle vient de me faire, c'est pourquoi je durcit mon regard dans sa direction, elle cache ses yeux tandis qu'au dessus de sa minette couverte d'une fine couche de poils son ventre se gonflait au rythme de ses sanglots.
L'autre femme qui jusque là était restée calme et immobile se lève et s'agenouille près de la tête de Christelle se penchant vers elle pour la consoler. Malgré ma colère je ne peux m'empêcher d'être attendri en voyant ma femme en train de pleurer. Je ne peux pas non plus m'empêcher de remarquer que les seins de la jeune femme penchent généreusement vers le sol tandis qu'elle tente de calmer Christelle.
Je ne sais pas pourquoi mais cette fille me fait penser au nom Rebecca. Peut-être que Christelle me l'avait déjà présenté mais je n'en ai aucun souvenir. Elle est brune elle aussi, mais ses cheveux ne sont pas noirs comme ceux de Christelle, ils sont d'un très joli marron : ils sont attachés en arrière à l'exception de deux longues mèches qui mettent en valeur ses pommettes. Si je devais la décrire en un mot, je dirait après longue analyse qu'elle est très légèrement ronde. Mais ce n'est pas du tout l'impression qu'elle donne, c'est plutôt sa petite taille donne cette idée en fait, je dirait plutôt qu'elle a de formes très généreuses là où il faut. Ses seins font exactement la taille de ceux mes fantasmes, des cuises à la fois généreuses et harmonieuses surmontées d'une magnifique paire de fesses rondes mais pas du tout dodues. Lorsqu'elle se penche son ventre laisse apparaitre quelques formes très féminines qui ressemblent à celles d'une femme mince qui a pris un peu de poids, mais qui disparaissent lorsqu'elle se redresse. Malgré sa quasi-nudité et ma présence son attitude et calme et impassible, depuis le début et même lorsqu'elle s'est levée pour consoler ma femme, elle n'a fait aucun geste pour cacher son corps pourtant très dévoilé.
Après quelques minutes, Christelle arrête de pleurer et se redirige vers moi en me demandant encore une fois de la pardonner. Elle semble avoir oublié que je l'ai bousculé ce qui me rassure en partie :
- Pardon de t'avoir poussé je ne voulais pas lui dis-je.
- C'est pas grave c'est déjà oublié me répondit elle visiblement soulagée que je ne parle pas tout de suite de sa trahison.
En un éclair je me suis demandé si je l'aime encore, la réponse est évidemment oui :
- Il faut qu'on parle tous les deux lui dis-je.
- Rebecca, tu veux bien nous laisser s'il te plait.
La magnifique maîtresse s'appelait donc bien Rebecca, et je ne me souviens pas plus que tout à l'heure comment j'ai deviné ce prénom. Sans se presser elle ramasse ses vêtements et se dirige vers le salon en marchant tranquillement, toujours uniquement vêtue de sa culotte noir, je remarque avec envie que ses seins bougent légèrement au rythme de ses pas, avant de sortir elle jette un léger coup d'oeil en direction de mon bas ventre. C'est là que je me souviens que je suis complètement nu.
- A bientôt dit Rebeccaavec une voix très douce et calme avant de disparaitre derrière la porte.
Je sens alors une soudaine pulsion : j'ai envie d'elle. Je fais cependant l'effort de ne rien laisser paraître, me retenant de la suivre du regard je me force à regarder Christelle avec insistance essayant d'adopter un regard de victime. Visiblement c'est réussi car quelques instants après que Rebecca soit partie Christelle ouvre la discussion :
- Je sais que je t'ai fait énormément de mal, et toutes les explications que je pourrai de donner ne suffiront pas à effacer ce que j'ai fait... Je voudrais quand même te dire que je t'aime encore.
- C'est qui elle ?
- Une collègue du boulot, on est très proches et un jour elle m'a dit qu'elle m'aime.
- Et toi tu l'aimes ?
- Je pensais pas que je pouvais tomber amoureuse d'une femme, mais c'est ce qui s'est passé.
- Et moi ?
- Toi ? Bien sûr que je t'aime, mon aventure avec elle n'a rien changé à ça, je t'aime comme au premier jour.
- ça fait longtemps que vous faites... ça ?
- C'est la première fois, je te jure que j'allais te le dire, tu me connais non ? Tu sais que je te dis tout ?
- C'est pas parce que tu me le dis que ça te fera pardonner !
- Je sais, si tu ne veux plus de moi je comprendrai même si ça me rendrai très triste. Je sais combien tu est jaloux mais donne moi ma chance, tu sais bien que moi je te le pardonnerai si tu...
- Comment tu peux savoir ça ? Je ne t'ai jamais trahi et je ne l'aurai jamais fait.
- Je sais, dit elle en se blottissant contre moi.
Je suis toujours fâché contre elle mais je n'ai jamais su résister au contact de sa douce poitrine contre mon torse, ça me donne toujours une douce sueur froide dans le dos et comme d'habitude, mon pénis se levait doucement pour se retrouver coincé dans son ascension entre les jambes de Christelle qui savait les écarter légèrement tout en se mettant sur la pointe des pieds pour placer mon organe dans cette position que j'adore. Nous avons alors retrouvé nos réflexes d'amoureux, je caressais sa taille et elle enlaçait le bas de mon dos juste à l'endroit que j'aime. Là nous nous sommes embrassés tendrement oubliant le temps d'un baiser les évènements de cette soirée. Nos lèvres se caressaient dans une douceur exquise, nos langues se rencontrèrent dans une danse nuptiale comme pour se redire je t'aime, sous la pression de mon érection grandissante, je sentais la minette de ma femme s'entrouvrir puis laisser couler un doux liquide sur mon pénis juste derrière mon gland. J'avais envie d'elle, sexuellement, et à en juger par ses caresses ainsi qu'à la chaleur de sa minette elle avait la même envie. Ses lèvres qui jusque là glissaient sur les miennes se mirent à me faire de tendres baisers sur les lèvres d'abord, pour glisser ensuite sur mes joues, mon cou, mon torse, mon ventre,... renouvelant un scénario qui s'était tant répété mais que j'aime comme si c'était la première fois.
Une fois arrivée nez à nez devant mon pénis, elle met ses cheveux en arrière d'un geste de main, prend mon pénis de la main droite, mes boules de la main gauche, approche son visage de l'organe, puis soudain elle demande :
- Dis moi, tu la trouves comment Rebecca ?