mon frère baise ma femme dans mon lit

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Proposée le 26/06/2009 par fabien92

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Cela faisait bien 2 mois que je n'avais pas touché ma femme, manquant totalement de libido au point d'être même incapable de bander. Cela m'arrive fréquemment, depuis toujours. Pourtant j'ai tout juste dépassé la trentaine, et ma femme, Hélène, a 28 ans, elle est mignonne, elle a surtout des seins fabuleux (un gros 100 bonnet D !), des hanches rondes, la taille fine, et de très TRES gros besoins sexuels. Notre relation n'a jamais reposé sur le sexe (forcément ...), mais plutôt sur le fait qu'on s'entend bien et que j'ai un très bon boulot, mais là quand même elle faisait vraiment la gueule, même si on n'abordait pas le sujet. Je sais qu'elle couche avec des types mieux membrés que moi et surtout qui arrivent à bander sans problème et à être endurant au lit, et elle a déjà couché avec certains de mes copains et avec d'autres mecs qu'elle connaît.
Moi j'ai toujours accepté tout ça sans rien dire, vu que je ne peux m'en prendre qu'à moi-même et que je pense qu'il y a, dans la vie, d'un côté les gros queutards sans scrupules, et de l'autre les lopettes, et que ça ne sert à rien de lutter contre ça, chacun sa nature et chacun ses possibilités, moi je suis du côté des lopettes, et les autres mecs en profitent avec ma femme, c'est la vie ...

Dans les périodes où je n'arrive vraiment à rien, Hélène est rapidement en chaleur ; elle l'est déjà d'habitude, alors là... Je la voyais se toucher les seins le soir au moment où on se couche, je l'avais surprise une fois en train de se caresser la chatte sur le lit, et je suis à peu près sûr que son jeune collègue Benjamin en avait profité pour la tringler au boulot, comme d'habitude, vu qu'un soir où je l'appelais pour lui demander pourquoi elle était en retard, c'est lui qui avait décroché et il m'avait dit qu'elle était occupée, et j'avais entendu à sa voix qu'il se marrait en me disant ça. Déjà que d'habitude il me regarde toujours d'un air narquois quand je le rencontre ... Mais bon, on restait dans le cadre habituel, ma femme est aime la queue, ses gros nibards allument tous les mecs, et moi je n'assure pas au lit et je suis donc bien obligé d'accepter d'être le cocu de service dont la femme fait le bonheur des autres mecs.

Tout ça a pris un tour vraiment gênant quand mon frère, Bastien, est venu passer 3 mois chez nous pour une mission pour son boulot. Il est consultant informatique, et sa venue à la maison était prévue depuis un moment, je n'ai pas vu de problème. Dans la famille, les mecs sont des vrais queutards, sauf moi ; Bastien a 3 ans de plus que moi, et mon autre frère, Richard, a 18 mois de plus que moi. Bastien et Richard sont vraiment des mecs qui pensent avec leur queue, Richard est marié mais Bastien est toujours célibataire et il passe son temps à coucher avec toutes les filles qui passent. Ils font du sport tous les deux, ça leur sculpte le torse et les épaules, alors que moi je n'en fait pas du tout. Je savais bien que tous les deux mataient les seins et les cuisses d'Hélène à chaque repas de famille, et qu'Hélène n'était pas insensible, mais ils ont toujours été super corrects, à la différence de mon groupe d'amis. Ils avaient entendu un jour un de mes amis, Christophe, me traiter en rigolant de « cocu de service », mais ils avaient fait semblant de croire mes explications (j'avais expliqué que c'était juste une vanne entre potes). Cela dit, ils se moquent tout de même de moi depuis l'adolescence à propos du fait que j'ai eu peu de copines et qu'elles me quittaient toujours très vite pour un autre, alors qu'eux en avaient parfois plusieurs en même temps, et ils ont été assez surpris que j'épouse une bombe avec des seins de rêve.

Quand Bastien est arrivé, j'étais super content d'accueillir mon grand frère ; je l'admire depuis toujours, et on s'entend vraiment bien. Je n'avais pas trop fait attention au fait qu'Hélène portait une mini-jupe vraiment très courte, vu qu'elle s'habille toujours plus ou moins comme ça ; son chemisier blanc était normal, donc tout allait bien. J'ai informé Bastien qu'il dormirait sur le lit pliant, dans notre chambre, puis on a commencé à dîner. Pendant le dîner je me suis quand même rendu compte que Bastien louchait carrément sur les seins d'Hélène ; ça m'a surpris, car d'ordinaire je le vois faire ça plutôt en douce, mais j'ai compris quand j'ai vu qu'Hélène avait dégrafé deux boutons de son chemisier : la vue était plongeante sur son superbe décolleté, on voyait très bien presque toute la moitié supérieure de ses deux gros seins !! A la vue de ces deux gros nibards, mon queutard de frère oubliait complètement les convenances et ma présence, et son regard ne quittait plus les seins de ma femme ! Hélène arborait un petit sourire coquin, elle semblait fière de se sentir désirée par un mec. La conversation s'est un peu éteinte, et Bastien et Hélène ont échangé un long regard, regard interrogateur du côté de Bastien et regard « allumeur » d'Hélène, tout ça sans un mot, sans que je puisse me plaindre de quoi que ce soit d'objectif.

Quand on s'est levé, Bastien arborait à travers son jean une énorme érection (mais vraiment énorme !); des trois frères, c'est lui qui a de loin la plus grosse queue, je n'ai jamais compris, mais ça l'a toujours fait rigoler, il a toujours parlé de « son gros zob » avec beaucoup de fierté devant Richard et moi, dans nos conversations entre frangins. Hélène a évidemment caressé sa braguette des yeux, je l'ai vu et lui aussi, on avait l'impression que la queue remontait jusque sous la chemise !! Il avait un peu l'air gêné, mais il faisait semblant de rien, et ça s'est calmé petit à petit. On a pris un café sur le canapé, puis, comme il se faisait tard, j'ai proposé qu'on aille se coucher. L'ambiance était bizarre, je faisais la gueule mais sans oser dire pourquoi je la faisais, vu qu'il ne s'était rien passé de grave. J'ai donc dit "je vais me coucher, Hélène a dit qu'elle me rejoignait, mais j'ai insisté en lui rappelant qu'elle devait bosser le lendemain, et que pour Bastien c'était le premier jour de sa mission chez son nouveau client. Je pense qu'elle a compris que je la soupçonnais de vouloir allumer mon propre frère sous mon toit, pour pouvoir enfin se faire sauter, et donc elle n'a pas insisté ; Bastien n'a rien dit, il nous a suivi en faisant comme s'il ne se rendait pas compte que l'atmosphère devenait lourde entre Hélène et moi.
J'ai toujours laissé Hélène se faire baiser par d'autres gars (pas par plaisir, mais parce que je pense que je n'ai pas les moyens de lutter contre eux), mais là, avec mon frère, c'était trop, je ne suis quand même pas un paillasson. Dans mon groupe de copains, il se refilent le numéro de portable d'Hélène et se vantent devant moi qu'elle est bonne et pas farouche et que c'est génial d'avoir un copain comme moi, et elle a même été la meuf « officielle » de mon ami Vincent pendant une période de deux mois où il n'avait pas de copine (alors qu'Hélène et moi étions mariés depuis 2 ans). Alors à un moment, il faut quand même savoir poser des limites.

Bastien s'est mis en caleçon, Hélène est allée dans la salle de bains pour se changer, pendant ce temps Bastien m'a juste demandé, d'un air ironique : « ça va ? », j'ai répondu « oui » d'une voix un peu chevrotante, et Hélène et revenue dans la chambre : elle portait un tee-shirt très court et un string !! J'ai levé les yeux au ciel et je me suis couché, en pyjama, en faisant clairement la gueule, pour lui faire comprendre que je la trouvais ridicule et qu'elle dépassait les bornes. Bastien, torse nu et en caleçon, avait les yeux écarquillés et il essayait visiblement de se contenir. Moi je pensais déjà à l'engueulade que j'allais passer à Hélène le lendemain pendant que mon frère prendrait sa douche. Hélène s'est couchée à côté de moi, dans notre super lit « king size » et mon frère s'est couché dans le lit pliant, et Hélène a éteint la lumière. Cinq minutes plus tard, Bastien a dit tout haut : « putain il est super dur, ce lit ! » et j'ai répondu d'un ton sec « c'est tout ce qu'on a ». Un silence, puis il a repris : « déjà que je vais voir un kiné, parce que je me suis fait mal au dos en faisant du sport, ça va pas s'arranger avec ce lit ... ». J'ai répondu « ben oui mais je ne peux pas t'inviter à dormir dans notre lit, même s'il est grand, vu qu'Hélène est en string, ça craint ». Hélène, se sentant attaquée, a répondu, d'une voix amusée « tu es ridicule Fabien, ... » et Bastien a ajouté « t'exagère, je suis ton frère, Hélène c'est ma belle-sœur, je vous adore tous les deux, vas pas te faire des idées ». Je devenais apparemment ridicule ...

J'ai donc cédé en disant : « bon, ok, c'est vrai je me comporte comme un con ». Bastien s'est levé et il nous a rejoins dans le lit. Comme j'étais couché du côté du mur, comme toutes les nuits, il est entré dans le lit du côté d'Hélène, et elle s'est retrouvée entre Bastien et moi. Je ne voulais pas avoir l'air du mari jaloux (ça aurait bien été la première fois), mais je voulais quand même veiller au grain. J'ai donc décidé de ne pas m'endormir, au cas où ... Je n'ai pas fait semblant de ronfler, je suis resté immobile, l'oreille en éveil. Eux sont restés très sages, et au bout d'un moment j'ai entendu leurs respirations, régulières, m'indiquant qu'ils étaient tous les deux endormis. Je me suis donc laissé aller moi aussi, et je me suis endormi, rassuré.

En général j'ai le sommeil très lourd, mais là je devais être un peu inquiet tout de même, car j'ai été réveillé peu après par un bruit léger, à la fois un bruit de frôlements et de chuchotements. La première chose que j'ai entendue, c'est mon frère qui murmurait « et là, ça te fais du bien ? » et Hélène qui chuchotait « oui, j'aime bien sur le ventre ... t'as la main chaude ... ». Apparemment, Bastien lui caressait doucement le ventre, sous son tee-shirt ; j'ai légèrement entre-ouvert les paupières, et dans la pénombre j'ai vu qu'il était relevé sur un coude, penché vers elle. Puis sa main est remontée, et il a murmuré « et là ... ? » et Hélène, après un silence, a répondu tout bas « c'est mes seins ... t'exagères ... mais j'adore ... » et Bastien lui a dit « ils sont énormes ... putain, vraiment énormes ... j'ai la gaule ! ». Mon frère paluchait les gros nibards de ma femme, nus sous son tee-shirt, à côté de moi ! Je croyais avoir tout subi, mais là c'était une première. Il avait l'air d'adorer ça, car ils ne parlaient plus et sa main restait sur ses seins, en passant de l'un à l'autre. 100 D, il y a de quoi se régaler, pour un mec. Soudain j'ai vu, à travers mes paupières toujours mi-closes, mon frère pencher sa tête vers Hélène, et il a commencé à l'embrasser dans le cou, de façon très langoureuse, avec des bruits de langue, même. Puis ses lèvres sont remontées sur les lèvres d'Hélène, et il a commencé à lui rouler une pelle qui m'a semblé durer un temps infini ; en même temps qu'il l'embrassait, il s'est déplacé pour s'installer sur elle, entre ses cuisses, en position du missionnaire, pendant qu'Hélène remontait doucement ses cuisses autour des hanches de mon frère. A ce moment, elle a murmuré « et Fabien ... ? » et Bastien a répondu « il dort, ça va ... et tu vas pas me faire croire que je suis le premier mec à te sauter dans votre lit ! » ; Hélène a répondu par un petit rire ; il lui a alors dit d'enlever son tee-shirt, ce qu'elle a fait immédiatement, libérant ses gros seins pour qu'il en profite pleinement. Ce salaud ne s'est pas gêné et il s'est carrément jeté sur ses seins, il s'est mis à les lécher consciencieusement, à les bouffer, sans faire trop de bruit mais en s'appliquant bien !! En même temps, je sentais qu'il faisait des mouvements de bassin, sans doute pour faire sentir à Hélène à quel point sa queue devenait grosse et raide, en se frottant contre elle. Ca a duré un long moment, elle lui caressait les cheveux, les épaules, et je sentais bien qu'ils commençaient tous les deux à même oublier que j'étais sensé dormir à 20 centimètres d'eux. La langue et les lèvres de mon frère ont continué à parcourir soigneusement les deux seins de ma femme, les tétons et toute leur surface, pendant que je me mordais les lèvres pour ne pas hurler de douleur et de jalousie.

Pour un queutard comme Bastien, la suite était évidente ; il a commencé à baisser le string d'Hélène, elle a relevé les cuisses pour qu'il puisse le lui enlever complètement, et il a glissé ses doigts sur les lèvres du vagin d'Hélène ; elle s'est mise à gémir doucement, et Bastien a dit, presque à voix haute : « mhhh en plus tu t'es épilée la chatte ... ohhh t'es toute mouillée, salope ... » puis il s'est replacé sur elle pour lui rouler une pelle de nouveau, et les mains de ma femme ont fait descendre le caleçon de mon frère, j'ai senti qu'il se plaçait bien entre ses cuisses de nouveau, et il a commencé à la pénétrer, à faire entrer sa grosse bite dans la chatte de ma femme, comme si c'était tout naturel. Apparemment ça n'était pas si facile, car J'ai senti que Bastien arrêtait son mouvement, avec une partie de sa queue seulement enfoncée dans la chatte d'Hélène, et il lui a demandé « ça va ? je te fais pas mal ? » et Hélène a répondu « non, c'est délicieux, mais je ne sais pas si tu pourras l'enfoncer plus, elle est tellement énorme ... ». Bastien a donné quelques petits coups de reins, tout doucement, en lui chuchotant « détends toi, écartes ... » et apparemment il a pu continuer à la pénétrer encore plus, sa queue rentrait mieux finalement (je me suis souvenu à ce moment d'une douche que j'avais prise avec lui, il y a longtemps, et j'avais trouvé sa bite énorme, même au repos, un vrai monstre, et se couilles aussi m'avaient semblé deux fois plus grosses que les miennes ; la nature est injuste). Là, Bastien a arrêté de nouveau son mouvement, et il a dit à Hélène, sur un ton un peu étonné : « quand même ... tu te rends compte ? » et Hélène a répondu « oui, je sais ... baise moi, j'ai trop envie ... » pendant qu'elle s'accrochait à ses épaules musclées. Mon sort était scellé.

Ils ont fait l'amour un long moment ; en regardant le réveil matin qui était sur la table de nuit, j'ai pu calculer que Bastien a limé ma femme pendant plus de 35 minutes, toujours en position du missionnaire. Je pense que pour son premier coup avec elle, il voulait lui montrer qu'il est endurant. A certains moments, le plaisir d'Hélène était si intense qu'elle poussait des cris, en oubliant totalement de faire attention à moi. Dans ces moments-là, je sentais que Bastien se mettait à la pistonner encore plus vite et encore plus fort. Je sentais chacun de leurs mouvements qui faisait bouger le matelas, cela me faisait bouger aussi, j'avais l'impression d'être sur un bateau qui tangue, parfois. A plusieurs reprises, j'ai été heurté par le coude de Bastien, ou par son pied, et je continuais à faire semblant de dormir. Après avoir ramoné la chatte de ma femme 35 minutes environ donc, et lui avoir donné deux orgasmes d'après ce que j'ai supposé des cris qu'elle a poussé, Bastien a éjaculé, très longuement et très fort, en poussant un énorme râle de plaisir. Moi j'étais dans un état second, j'avais presque physiquement l'impression de ne plus exister, d'être juste un fantôme à côté de ce couple d'amants passionnés, en tout cas d'avoir une existence moins réelle que la leur.

Bastien a retiré sa queue de la chatte d'Hélène, après quelques instants de repos, et Hélène s'est levée, tout doucement, comme si, après avoir baisé comme des fous à côté de moi, il était encore temps de prendre des précautions ! Elle est sortie du lit et est allée vers la salle de bains. Bastien l'a laissée s'éloigner, puis il a dit « alors frangin, tu vas continuer à faire semblant de dormir pendant que je m'envoi ta femme ? ». Je suis resté silencieux puis, me rendant compte que c'était ridicule, j'ai répondu, tout bas « qu'est-ce que tu veux que je fasse d'autre ? » et Bastien a dit « ben rien, t'as raison, là y'a plus rien à faire pour toi, j'ai honte pour toi, mon pauvre ! Tu te rends compte ? J'arrive même pas à y croire, t'es trop naze. ». J'ai murmuré « tu vas pas te plaindre, en plus ... » et il a répondu « non, ça c'est sûr, quand un mec est nul comme toi et que sa femme est une bombasse en chaleur, moi je suis un vrai mec, alors j'en profite, et tant pis pour ta gueule si t'es trop nul et que tu me laisse la baiser dans ton lit ! purée j'y crois pas, quel pied ... je vais la tirer sans arrêt, cette salope, elle aime trop ça, et savoir qu'en plus c'est ma belle-sœur, là rien que de le dire, ça me fous la trique à nouveau ... je vais la démonter toute la nuit !! tu vas chialer, frangin, t'as pas fini de m'entendre l'enfiler !! si t'aimes l'entendre gémir, ouvre les oreilles, je vais lui mettre tout ce que j'ai !! ».

Sans rien répondre, je me suis levé et je suis allé me coucher sur le lit pliant, dans le coin de la chambre. Bastien a murmuré « quel nul ... j'y crois pas ... » et Hélène est revenue de la salle de bains quelques secondes après, toujours totalement nue. Elle a vu immédiatement que j'avais changé de lit, elle s'est assise à côté de Bastien, en regardant dans ma direction dans la pénombre, Bastien a posé une main sur un des seins de ma femme, et il l'a attirée vers lui, elle s'est rallongée et Bastien lui a dit « on va être plus à l'aise, j'ai super envie de te faire l'amour toute la nuit ! ». Il a ajouté « Tu vas voir, je vais te sauter au moins 7 ou 8 fois cette nuit » et Hélène a rit en disant « vous êtes très différents, dans la famille ! ». Bastien lui a demandé « Alors tu veux te la prendre encore ? » et elle a répondu « Oui, j'ai envie de te sentir en moi ... viens ! ».

fabien.complaisant@laposte.net