Voir dans la noirceur

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Proposée le 22/06/2009 par bestknight

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Pourquoi c'est arrivé ? Je ne le sais pas mais mon dieu que c'était bon.

C'était un bar où l'on peut danser comme il en existe des centaines. J'étais seul et j'avais envie de me défouler. Sans copine depuis un moment je me disais que peut-être bien... Le temps se consume peu à peu et je sens que je rentrai bredouille encore une fois. Alors allons danser pour se défouler et là la plus bizarre des expérience m'est arrivé. J'étais descendu à la toilette, après avoir bu quelques bières c'est immanquable. Et là vers la fin des escaliers il y a eu une panne de courant.

Il y avait bien au loin une faible lumière de sortie mais il faisait assez noir pour devoir avancer à pas de loup. Alors, en faisant de petits pas je fait un face à face avec une inconnue. On voyait rien mais nos corps se sont présentés. J'ai senti sa poitrine s'écraser contre mon torse, s'était délicieux. Elle s'est excusé et j'ai répondu en farceur qu'elle devait pas, j'ai adoré. Elle répond timidement qu'elle aussi. Je lui caresse les cheveux d'une main cherchant ses hanches de l'autre. Je la sens toute frémissante alors je veux lui demander si ça l'a dérange mais comme ma bouche s'ouvre pour lui parler, la sienne vient m'embrasser. Je la sens toute collée contre moi. Un doux mélange de parfum m'enivre alors que nos lèvres et nos langues dansent la passion du moment. Mes mains, la parcourent, la découvrent, l'explorent et m'allument. Les siennes ne sont pas en reste et nous dansons presque dans la nuit, dans ce noir qui nous oblige de voir de nos mains, de nos corps. Tout d'un coup nous sommes contre le mur. Là il y a des ombres de nos corps s'enlaçant mais c'est très flou et on ne peut se reconnaître, se connaître.

Mes mains n'en peuvent plus et décident de pénétrer à l'intérieur de sa blouse. Je sens sa peau si douce et elle s'amuse à me caresser le dos descendant vers mes fesses. Ma queue n'en peut plus de durcir de désir et il est impossible qu'elle ne la sente pas tout contre son ventre. J'oublie totalement le temps qui peut à tout moment nous ramener l'électricité. J'oublie aussi que c'est une inconnue et que je ne sais même pas le nom mais mon corps s'en fout et hurle de profiter du moment présent. Les caresses nous emportent tels des vagues successives vers le large de la mer de la luxure.

Ma main sous ses vêtement s'amuse à l'exciter et là je sens la sienne cherchant à libérer la bête. J'en suis ravi et excité. Une fois sortie, elle se penche et me donne une fellation divine où ses lèvres me déguste tel un sucre d'orge. On aurait dit que mon corps entier se faisait dévorer. Elle savait varier la profondeur et les vitesses et moi qui ne jouit quasi jamais de cette pratique du me retenir. Ses mains me savouraient les fesses, les cuisses et mes couilles qu'elle n'oubliât pas de savourer de sa bouche également. Je lui caressais ses longs cheveux alors que j'avais l'impression de flotter de plaisir tellement s'était bon. Je ne voyais rien mais devinais tout.

Elle se releva et je la tournais contre le mur. Ses fesses contre moi. Je lui ai relevé sa jupe et d'un geste sauvage, je lui ai arraché son string. Ma queue s'avança en elle petit à petit. Je sens son désir se transformer en plaisir à mesure que je la pénètre. Nos corps ondulent à l'unisson, nos souffles ne faisant plus qu'un. Je sens ses fesses qui s'écrasent contre moi et j'en raffole. Mes mains défont le soutient gorge et je caresse ses seins si merveilleusement petits et parfaits. Ses mamelons semblent sensibles alors que je les fais rouler doucement entre mes doigts. Elle râle de plaisirs et ma main descend sur ses cuisses où je caresse l'intérieur si doux et sensible. Nous partons dans le plaisir et atteignons le sommet presque en même temps et lorsque je l'attends crier sa jouissance je n'en peut plus et je jouis à mon tour en l'embrassant dans le cou.

On se rhabille et on se quitte après un dernier long et doux baiser. Elle me quitte et je sens qu'elle se dirige vers les escaliers alors je décide d'aller vers les toilettes et comme j'entre les lumières se rallument. Je n'ose aller voir et quand je suis de retour sur la piste de danse, je cherche La femme d'un coup de chance.

Quand je vais chercher mon manteau vers 2h15 je sens une main sur ma fesse. Une femme les yeux fermés me caresse. Elle ouvre un œil et me regarde en disant oui c'est toi, tu es le 4e que j'essaie, je savais que j'oublierais jamais cette caresse et je suis désolé de t'avoir laisser partir comme ça. C'était si bon, je ne veux pas te laisser partir. Ne dis rien svp mais prend ceci et elle me donne un papier qu'elle mets dans ma poche de jeans. Je lui souris et je l'embrasse avec passion avant de quitter et juste en refermant la porte je lui dit en souriant : « Moi c'est Éric et je t'appelle en me réveillant. »