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Proposée le 11/06/2009 par aldolaclasse
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L'histoire se passe en 1979, à cette époque je vivais à Paris dans un petit appartement deux pièces. Je sortais d'une histoire amoureuse où j'avais laissé une belle femme jeune de 20 ans. Ce soir-là, après avoir effectué un entraînement quotidien dans une salle de musculation, je décidais de rendre visite à ma propriétaire pour lui porter son loyer. Denise, une amie à ma soeur, me louait un petit appartement square d'Anvers. Cela faisait deux mois que j'habitais la. Je sonne, Denise vint m'ouvrir en m'accueillant d'un large sourire.
- Bonjour, mais c'est mon petit locataire.
- Bonjour madame, un peu intimidé par cette femme d'un certain âge mais d'une classe folle.
- Appelle moi Denise, je ne suis pas une inconnue quand-même.
- Oui, c'est vrai. Enfin je ne connaissais pas beaucoup ma propriétaire mais puisqu'elle me proposait de l'appeler par son prénom.
- Veux-tu boire un verre me dit-elle.
- Oui volontiers, je sort de mon entraînement et j'ai soif. Assieds-toi là, me dit-elle, je reviens.
Elle revint avec un plateau, deux verres et une grande bouteille de jus d'orange.
- Tu as l'air fatigué me dit-elle,
- Oui un peu, je crois que j'ai trop forcé à juger mes muscles endoloris.
- Il te faudrait un bon massage me dit-elle en souriant.
- Ouais c'est une peut-être la solution. Posant son verre sur la table, elle vint se placé derrière moi, posa ses mains sur mes épaules et le plus naturellement du monde commença un massage léger. Je me laissais faire sans dire un mot, trop surpris de cette initiative.
Au bout de deux ou trois minutes, elle s'arrêta et me dit
- Je crois que j'ai mieux pour toi, viens, suis moi, je posais à mon tour le verre sur la table et la suivit. Nous sortîmes de la salle à manger puis dans un couloir un peu sombre. Denise entra dans la salle de bains se dirigea immédiatement vers la baignoire, et en ouvrit les robinets. Sans se retourner et comme si c'était déjà décidé, elle me dit d'une voix douce mais ferme. Déshabille-toi pendant que je fais couler le bain. Sans oser protester, je me mis à me déshabiller. Aujourd'hui encore, je n'arrive pas à m'expliquer comment dans un délai aussi bref, j'ai pu accepter de me mettre à poil devant une femme qui aurait pu être ma mère voire ma grand-mère. La surprise, la différence d'age ou simplement le plaisir de m'exhiber dans mon plus simple appareil, je pense qu'il y avait un peu de tout.
Denise se retourna et me vit en slip.
- Tu comptes le garder pour prendre le bain le dit-elle un petit sourire narquois.
J'étais rouge de confusion et je n'osais rien dire, très vite je baissais mon slip devant elle. Il est vrai que cette femme d'une soixantaine d'années aurait pu être ma mère et je n'osais donc rien dire. Je me trouvais là, nu devant elle et j'attendais que le bain se remplisse. Approche dit-elle et lorsque je fus suffisamment près, d'un geste naturel passa une main sous mon petit sexe. C'est ça que tu voulais me caché dit-elle d'une voix légèrement moqueuse. C'est vrai que la nature ne m'avait pas vraiment gâté de ce côté là et qu'au repos, mon sexe n'était guère plus gros que celui d'un garçonnet.
Tu sais à mon age, j'en ai vu et des bien plus imposant que ton petit zizi.
Tout en disant cela, elle avait soulevé mon bourgeon afin d'examiner mes couilles.
- Elles ne sont pas bien grosses non plus dit-elle.
Et comme pour vérifier son verdict visuel, elle palpa de son autre main mes petites bourses. J'étais tétanisé, à vingt et un an, je me retrouvais dans la peau d'un ado à qui on fait un examen médical. Je n'aurais jamais du accepter cette situation, refuser de me déshabiller, la traiter de folle, de vicieuse et qu'un garçon de vingt ans ne se fout pas à poil devant une femme de son âge, mais non, à vrai dire même si je ne comprenais pas du tout les raisons de Denise, je les acceptais.
Par contre, tu es vraiment poilu dit elle avec une petite moue. Ca ne va pas vraiment ensemble. Sur le coup, je ne compris pas du tout ce qu'elle voulait dire.
Lâchant mon sexe qui retomba comme elle l'avait trouvé, elle se retourna pour fermer les robinets.
- C'est prêt, entre et mets toi à genoux.
Visiblement Denise n'avait pas prévu de me laisser prendre mon bain seul.
- Je vais te frotter le dos dit-elle comme si je n'était pas capable de le faire, elle se pencha passant sa poitrine devant mon visage et me frôla la joue de son téton, attrapa une savonnette parfumée, et se releva en me frôlant à nouveau avec sa poitrine.
- Oh pardon je ne t'ai pas fait mal me dit-elle d'un air qui n'avait rien d'une excuse mais plutôt d'un provocation.
- Non, pas du tout.
J'étais ravi d'avoir pendant une seconde été mis en contact avec le corps de ma baigneuse.
Elle se mit a me frotter le dos comme une maman l'aurait fait pour son garçon, descendant de plus en plus jusque dans l'eau, me massant également les épaules. Je poussais un soupir de bien-être. Comme pour justifier le fait de m'avoir fait prendre un bain dans sa baignoire, Denise dit :
- Tu vois, le massage est quand-même beaucoup plus efficace dans un bon bain.
Bien sur, il pouvait l'être. D'une main, elle appuya sur le haut de mes épaules pour me faire pencher en avant et de l'autre elle descendit dans l'eau frottant doucement mes fesses, un nouveau soupir de bien-être encouragea Denise à poursuivre dans ses investigations.
- Il faut toujours être bien propre de ce coté là me dit-elle, comme si à 21 ans je ne le savais pas. Et joignant le geste à la parole, elle passa un doigt entre mes fesses, frottant ce que nous avons de plus sensible, mon petit trou du cul. Je restais figé, Denise été en train de me caresser l'anus, ma surprise la fit carrément rire.
- Mais ce n'est pas quand même la première fois que l'on te touche là et ce disant, elle en profita pour appuyer sur ma corolle.
- Non, bien-sur dis-je pour donner le change. En réalité, et vous vous en doutez, jamais personne m'avait mit ses doigts sur mon cul, mais que c'était bon.
Devant mon « non, bien sûr » Denise continua sa caresse et progressivement enfonça son doigt dans mon petit cul de puceau. En quelque seconde je senti mon sexe se raidir. Je suppose que Denise savait parfaitement ce qu'elle faisait, tout en gardant son doigt bien planté dans mon cul, elle me fit me redresser et constata le changement.
- Je vois que tu aimes ça me dit-elle sur un ton à la limite du reproche, comme pour me faire culpabiliser de bander très fort sur la simple introduction de son petit doigt dans mon anus. Je pense qu'à cet instant là, Denise a compris, à qui elle avait à faire.
A suivre...