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Proposée le 9/06/2009 par Nadie
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Episode précédent : Ute finit bien sa journée.
Erik déposa Ute devant une station de métro. Toujours odieux il lui ordonna méchamment de descendre de la voiture. Elle était toujours vierge, Erik et Véra l'avaient humiliée et elle y avait prit un certain plaisir, comme elle avait pris plaisir à les observer baiser, de près et sans avoir à se cacher pour mater. Mais elle était frustrée qu'Erik ne lui ait pas fait l'amour. Elle se demanda combien de temps encore il jouerait ainsi avec sa patience.
C'était l'heure de pointe, le métro qu'elle devait prendre jusqu'à la gare était bondé. Ute était debout accrochée à une main courante. Les gens étaient serrés les uns contre les autres. A travers la toile fine de sa robe, contre ses fesses, elle sentait une présence, d'abord elle s'en sentit incommodée, puis très vite elle sentit un léger mouvement de va et vient qui semblait s'accorder au roulis de la rame de métro, elle sentit aussi que ce qui était ainsi à son petit cul était le sexe durci d'un homme. Elle pouvait voir son visage en reflet dans une vitre du wagon. L'homme la regardait fixement, sans honte et sans le moindre scrupule. La tête encore pleine de son après midi chez Vera, du sexe long et gros d'Erik, Ute sentit monter en elle une chaleur qui n'avait rien à voir avec l'agglutinement des passagers, elle sentit qu'elle mouillait à nouveau, elle se prêta au jeu avec l'étranger, soutenant son regard et l'accompagnant dans ses mouvements de va et vient, poussant sa croupe contre le bas ventre de cet homme physiquement quelconque et qui avait l'âge d'être son père. Il lui semblait que le visage de l'homme devenait de plus en plus rouge. Le métro arriva à la station où Ute descendait. Elle quitta le wagon très excitée et sans un regard pour l'étranger, avec l'idée de remettre cela à la première occasion. Ute avançait vite dans sa découverte des choses du sexe.
Bien qu'elle fut incapable de mettre un nom sur les pratiques elle semblait avoir de bonnes dispositions pour le voyeurisme et le frotteurisme. Erik ne se doutait pas à quel point cette jeune fille qui l'avait contraint à faire son éducation sexuelle était une élève douée. Mais Ute pour sa part ignorait pour sa part a quel point Erik s'était mis en tête de faire d'elle une vraie salope, une chienne en chaleur.
Ute n'attendit pas longtemps son train de banlieue qui devait la ramener vers sa petite ville de province. A la façon dont elle croyait voir les garçons et les hommes la regarder Ute pensa que ces pensées vicieuses devaient se lire sur son visage et cela accrut encore son excitation.
Dans le train à moitié vide elle choisit de s'asseoir juste en face d'un homme d'une cinquantaine d'années, alors que toutes les autres banquettes étaient vides. Elle le dévisagea, elle le sentit mal à l'aise, elle remonta un peu sa jupe, écarta un peu les jambes de manière à laisser entrevoir à l'homme sa petite culotte. Le visage de l'homme s'empourprait, elle se leva s'appuyant sur les cuisses de l'homme, elle lui fit signe de la suivre. L'homme hésita une seconde et se leva à son tour. Ute entra dans les toilettes du train et laissa la porte entrouverte.
L'homme la suivit après s'être assuré que personne ne le voyait. Il referma la porte et la verrouilla. Ute lui dit : « Lèche moi ! ». Puis elle rabattit le couvercle de la toilette et monta dessus de manière à ce que l'homme puisse la besogner sans avoir à s'agenouiller sur le sol pas très net, elle ôta sa culotte et releva sa jupe. L'homme s'approcha et enfouit sa tête entre les jambes de Ute, qu'elle tenait bien écartées. Elle lui dit encore : « Branle-toi, je veux voir ta bite ! », l'homme ouvrit sa braguette et sortit un membre de moins gros calibre que celui d'Erik mais que Ute prit plaisir à voir aller et venir dans la paume de l'homme tandis que le bout de sa langue titillait son clitoris, de sa main libre il écartait les fesses de la jeune fille et caressait son petit trou de cul. Ute prit son plaisir alors que le train arrivait à sa gare de destination, elle sauta de la cuvette et même sans enfiler sa culotte sortit du wagon, laissant l'homme se finir tout seul.
Ute se languit
Dans les jours qui suivirent Erik resta sourd aux appels de Ute. Elle n'en pouvait plus. Chaque nuit elle revivait dans les moindres détails les ébats d'Erik et Véra, se donnant du plaisir plusieurs fois d'affilée. Elle se levait, allait écouter à la porte de la chambre de ses parents, mais, de ce côté-là, rien ne se passait.
Ute était obsédée par l'envie de se faire baiser, et devant l'indifférence que lui témoignait Erik, elle envisageait même de tenter de séduire l'adipeux Hans Schlösser, son professeur qu'elle avait allumé quelques jours auparavant. Mais elle décida de patienter jusqu'à la prochaine visite d'Erik au magasin de sa mère, elle s'arrangerait alors pour lui parler, il ne pourrait pas la fuir. En attendant et à défaut de mieux, elle continua à se doigter assidûment.
Le mercredi après-midi arriva enfin. Erik débarqua dans le magasin à l'heure habituelle, impeccable dans son rôle de représentant de commerce, avec sa petite mallette contenant des échantillons de produits d'entretien et son carnet de commande. Il n'accorda pas Ute le moindre intérêt, comme si la pipe qu'elle lui avait fait dans sa voiture quinze jours auparavant n'avait jamais existé, comme s'il avait toujours devant lui la jeune fille sage qu'elle s'efforçait de paraître aux yeux de tous. Cette attitude attrista et fâcha Ute.
Sa mère alla vérifier son stock dans un des rayons. Ute était restée derrière le comptoir près d'Erik. Celui-ci passa discrètement sa main sous sa jupe et égara ses doigts sous le slip de celle-ci, il lui dit dans un souffle : « Ouvre bien tes yeux, petite pute, je vais t'en mettre plein la vue aujourd'hui ». Comme la mère revenait, il retira prestement la main de sous la jupe de Ute.
La mère de Ute dit à Erik : « Vous m'accompagnez dans la réserve, voir ce qui manque. ».
« Bien volontiers, Madame Steicher. » répondit le jeune homme.
« Tu gardes le magasin, ma chérie ? » dit madame Steicher à sa fille.
Celle-ci répondit par l'affirmative et regarda sa mère et son amant s'éloigner vers le fond du couloir où était située la réserve. Ute attendit une trentaine de secondes avant de prendre le même chemin à pas de loup. Elle poussa légèrement la porte que sa mère laissait toujours entrouverte quand elle recevait son amant. Erik s'était arrangé pour que Madame Steicher tourne le dos à la porte afin que Ute puisse mater sans être vue. Le jeune homme embrassait fougueusement sa maîtresse tout en déboutonnant sa robe. La robe glissa par terre, dessous la mère de Ute ne portait rien. Elle caressait le membre turgescent d'Erik à travers le tissu du pantalon. Erik lui dit autoritairement : « A genoux, salope, suce ma queue ». Madame Steicher obéit, elle se mit à genoux et commença à défaire la ceinture du pantalon de son amant.
Erik se défit de son pantalon et ôta sa chemise offrant ainsi son corps splendide à la vue de Ute. Sa mère engloutit l'énorme bite dans sa bouche. Ute commença à enleva sa petite culotte releva sa robe et commença à caresser son clitoris. Pendant que Madame Steicher le suçait, Erik regardait Ute se masturber. Erik releva sa maitresse, lui intima de s'appuyer sur un congélateur coffre situé au milieu de la pièce, toujours dos à la porte, puis s'accroupissant derrière elle, il commença à lui lécher le trou du cul en lui enfonçant trois doigts dans sa chatte abondamment irriguée, il enfonça un pouce dans l'anus de Madame Steicher, le fit aller et venir quelques fois pour le dilater puis il s'enduit la bite de salive et commença à la lui enfoncer dans le cul.
« Tu aimes ça cochonne, hein », lui disait Erik
Madame Steicher d'une voix rauque répondit « Oui, enfonce-toi plus loin »
« Tu mérites la fessée pour ton langage » dit Erik
Le va et vient d'Erik dans le cul de sa mère, ses couilles qui ballottaient au gré de ses coups de reins, le claquement des paumes d'Erik sur les fesses des sa maîtresse, tout ça décuplait l'excitation de Ute qui aurait bien voulu être à la place de sa mère.
Ute eut un orgasme bien avant qu'Erik ne prenne son pied. Mais elle resta là à observer sans perdre une miette du spectacle, emmagasinant de l'expérience avant même d'avoir perdu sa virginité. Quand Erik fut prit d'un spasme et qu'elle entendit sa mère pousser un cri de plaisir, Ute comprit qu'il était temps pour elle de regagner la boutique. Elle tenait sa culotte à la main, sa tenue était débraillée, elle avait le feu aux joues et c'est dans cet état que quittant le couloir pour rentrer dans la boutique qu'elle se retrouva nez à nez avec Kaspar, le beau-frère de sa mère. Habituellement, pour assister au spectacle de sa mère se faisant baiser par Erik, Ute poussait le verrou de la porte du magasin et retournait le petit panneau où il était écrit « Fermé pour cinq minutes ». Cette fois là elle avait oublié
Le regard que Kaspar jeta à Ute en disait long sur ses pensées.
Kaspar, un homme d'une cinquantaine d'années à la dégaine de biker, demanda à Ute : « Tu es seule ? ».
Ute embarrassée répondit que oui, tout en tentant maladroitement de dissimuler sa culotte.
Kaspar se dirigea vers la porte , et lorsqu'il s'apprêtait à pousser le verrou, Madame Steicher et Erik firent leur apparition dans la pièce comme si de rien était, finalisant les détails de la commande.
En voyant son beau-frère, Madame Steicher s'exclama : « Kaspar, quelle bonne surprise », mais sa voix semblait dire le contraire.
Kaspar s'approcha de sa belle-sur, l'embrassa, et lui tendit une enveloppe.
« C'est les documents dont Renate t'avait parlé, je suis pressé, j'y vais.»
Puis il embrassa Ute et lui fit un clin d'il qu'elle interpréta comme : « Tu ne perds rien pour attendre ! ».
Kaspar quitta le magasin, enfourcha sa moto et disparut dans un vrombissement.
Erik le suivit de près en saluant poliment Ute et sa mère.
Il avait intentionnellement oublié son carnet de commande.
La mère de Ute s'en aperçu et demanda à celle-ci de courir après Erik pour le lui rendre.
Ute n'en demandait pas tant.