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Mon histoire avec françoise

Proposée le 7/06/2009 par Colibri32

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L'histoire que je vais vous raconter est totalement vraie, comme les prénoms.
Celle-ci s'est passée il y a 2 mois.

J'avais organisé une surprise pour l'anniversaire de ma femme à l'occasion de ses 30 ans.
Étaient donc invitéx les inévitables piliers des 2 familles et de nombreux amis dans une très belle salle de notre région.

Le secret fut véritablement bien gardé et mon épouse n'en sut mot!

Mais avant d'aller plus loin, je me dois de nous présenter un minimum.
Tout d'abord (restons courtois), mon épouse, Isabelle, 30 ans, 1m76 pour 63kg. Cheveux châtains foncés mi-longs.
Le corps un peu charnu sans être grosse, elle possède un bon fessier mais malheureusement de la cellulite vient gâcher un peu le tout.
Pour ma part, je mesure 1m95 pour 95kg. Assez bien baraqué, j'ai néanmoins un tout petit peu de ventre mais pas encore le gros bide!

Pour maintenir l'intrigue auprès d'Isa, je lui avais simplement dis que nous allions au resto pour la fêter.
Elle s'habilla très classe : longue robe noire, cheveux ramené en chignon dévoilant la nudité de sa nuque. Côté pile, un joli décolleté égayé par un superbe collier ras de cou noir aussi.
Pour ma part, j'étais vêtu d'un costume noir classique.
Je ne vous parle pas de sous-vêtement allez-vous me dire! En effet. moi, je n'en porte que rarement. Pour Isa, je savais que ce devait être un strict minimum.
Au vu de ses escarpins découvrant ses pieds, j'imaginais très bien les bas dim-up. A voir le léger sillon au bas du dos, le g-string. pour le dessus... mystère!

Nous voici donc au départ. Je lui ouvre la porte de la voiture et, en s'asseyant, elle me permet d'avoir la confirmation et pour les bas et pour le g-string noir n'arrivant pas à cacher sa vulve glabre.
Mon service 3 pièces en fut bouleversé!
Dans la voiture, en guise de remerciement avant le resto, elle se permit, à mon grand plaisir, de venir ouvrir la tirette de mon pantalon et de me caresser lentement mon sexe.
Malheureusement, nous arrivâmes un peu trop vite à mon gout à la salle.

Elle fut totalement surprise, étant super heureuse de mon idée, elle m'embrassa et sortit de la voiture sous les applaudissements des invités.
Je sortis aussi de l'auto... sans avoir pensé à ranger mon "matériel".
Ce ne fut pas grave car j'étais caché derrière la portière, mais malencontreusement, des invités en retard arrivaient derrière moi.
C'était la sœur de la meilleure amie de ma femme et son copain.
Celui-ci ne vit pas le problème mais son adorable compagne ne rata pas une seconde le spectacle tendu qui lui était offert.
Elle se permit même, tout en me faisant la bise, de me faire un petit clin d'œil de confirmation.
J'étais en même temps gêné et flatté par cette superbe jeune femme de 22 ans qui ne cria pas au scandale en voyant mon accoutrement.
Je me dois également de vous la présenter.
Celle-ci s'appelle Françoise. Les cheveux coupe carré mi-châtains, mi-auburn, des yeux d'un vert palpitant, des petites lunettes lui rendant un air mutin.
Pour une fois (c'est très rare chez elle) en robe dans les tons rosés et courte de surcroit. Pourquoi rare? Parce que son copain est un très très grand jaloux. Mais un très bon type et bien foutu en plus!

Une fois les émotions passées, nous trinquons avec nos invités avant de passer à table.
Tout était parfait, j'en étais très heureux. Les yeux de ma femmes brillaient et j'en étais fière.
Je ne sais pas si c'est le taux d'alcool qui fut la cause, mais Isa me glissa à l'oreille, alors que la plupart des convives dansaient, de la rejoindre dans les toilettes.
Je ne me fis, bien entendu, pas prier.
J'y entrai et une main sorti d'une porte pour me faire signe d'approcher.
Lorsque j'arrivai face à celle-ci, Isa m'attendait sans sa robe, juste son string, ses bas et ses escarpins. Une beauté!

Ni une ni deux, elle m'empoigna et nous fîmes l'amour comme des enragés.
Je crois que faute de l'alcool ingurgité, je fus très long, trop peut-être. Isa avait déjà joui mais moi... Rien, toujours en forme.
Elle me dit : pas grave, je me rattraperai ce soir.
J'en étais ravi à l'avance.

De retour en salle, pas grand monde n'avait remarqué notre absence, sauf Françoise...
Je me rassis tandis que ma femme était déjà repartie enflammer la piste de danse.
Françoise vint alors, à ma grande surprise s'assoir à mes côtés.
On parla de tout et de rien et je fut étonné aussi de ne pas voir son homme. Elle m'expliqua qu'il avait été rappelé par son boulot et qu'il lui avait dis qu'elle pourrait rentrer sans problème avec sa sœur.
La discussion était animée et en rien portée sur le sexe. On rigolait, déconnait, tout se passait à merveille.
Un slow vint à passer et ma femme m'invita.
Elle m'avait vu discuter et, pour me taquiner, me prit pour l'accompagner.
Elle me glissa à l'oreille les délicieuses choses qu'elle voulait me faire ce soir dans notre petit nid. Cela eut pour effet de m'embraser mais elle ne voulu rien recommencer ici.
A la fin du slow, son père me la vola et, en me retournant, je tomba nez à nez avec Françoise.
Elle me demanda bien gentiment de lui accorder cette danse.
Demandé aussi joliment et avec de si jolis yeux, comment refuser ?!
La position était normal pour des amis, juste de quoi mettre une main entre nos 2 corps quand nous fûmes bousculés par un autre couple.
Ce qui eut pour effet de nous rapprocher, non, nous accoler tout les deux.
Sur le coup, j'en fus stupéfait car, Isa m'ayant bien échauffé, mon sexe était encore tendu et Françoise ne pouvait pas ne pas s'en apercevoir.
Elle ne fit aucune remarque mais elle me garda serrer contre elle. je n'allais surement pas m'en plaindre!
On continua donc à danser et de mon côté, je ne faisais surtout rien pour empêcher de prolonger cet attouchement délicieux.
Elle vint poser sa tête sur mon épaule en me disant que c'est bien agréable d'avoir un homme plus grand que soi.
J'en étais fière. Cette femme douce, fine, gracieuse se frottant sur mon sexe et se lovant contre moi... Le pied.
Elle continua à faire la conversation, mais cette fois, plus rien à voir avec nos moqueries ou déconnades diverses.
Ici, c'était bien plus léger. Elle me dit qu'elle s'était pomponnée pour son homme mais que lui n'aime pas beaucoup ça. Sans en dire plus à ce sujet.
Faites ce que vous voulez, mais moi, en tant qu'homme, ça me donne envie de savoir ce qu'elle veut dire par là!!
Donc, je la questionne et j'apprends que son homme n'aime pas les strings, encore moins porte-jarretelles et bas.
Je lui dis que moi, j'en raffole et je trouve ça d'une troublante et séduisante féminité.
Elle répond juste : "Je sais!"
Je la regarde encore une fois stupéfait.
Elle me regarde en souriant et me dit : "j'avais déjà constaté à de nombreuses reprises que tu regardais la naissance de mes fesses quand je m'abaissais exagérèrent avec mon pantalon taille basse.
J'en eu les joues empourprées mais bon, c'était pas bien méchant de regarder de jolies choses.
Elle ajoute qu'elle m'a menti. Qu'aujourd'hui soir, elle ne s'est pas habillée pour son homme mais bien pour moi!
Là, moment de trouble et de confusion totale. je ne sais quoi dire ni penser.
Elle me regarde droit dans les yeux en continuant à me sourire.
Elle revint poser sa tête sur mon épaule et me glisse à l'oreille qu'elle a envie de me décrire sa tenue plus... en profondeur.
- Je commence par le haut?
- Oui, pourquoi pas dis-je, un peu perdu!
- J'ai un petit soutien push up blanc en dentelle, ensuite, mon petit anneau au nombril, un tout petit string transparent, un porte-jarretelles et des bas blancs pour compléter le tout.
Je la regarde surpris et je luis dis : Tu as mis un porte-jarretelle là ?
Elle me répond simplement, le yeux plongés dans les miens : Vérifie par toi-même!
Comment faire, au milieu des gens ? Laisser glisser une main le long de ses merveilleuses cuisses... Un tout petit peu voyant tout de même.
Elle se retourne et se faisant, entraine ma main sur ses fesses. Elle continue à faire son tour complet sur elle-même. De part se mouvement gracieux de danse, mes doigts entrent en contact direct avec une jarretelle!
Mon érection reprend mais là, beaucoup plus intensément.
Elle le remarque et me dit : je suis heureuse, je vois que je te plais.
Comment aurait-ce pu en être autrement lui dis-je!
La série de slow se termine et je suis happé par un ami pour me retrouver au bar... Bien à regret.

Durant le reste de la soirée, je la croise sans rien d'autre entre nous qu'un regard brulant d'envie.

En fin de soirée, vers les 4h du mat, ma femme avait un bon gros verre dans le nez et sombrait le nez vers la table!
Je vis toujours Françoise et sa sœur présentent. Les deux femmes étaient avec ma femme et n'avaient pas l'air dans un meilleur état qu'elle.
Encore heureux que j'étais resté sobre!
Je leur proposa alors de les ramener à la maison car on avait assez de chambres pour les abriter de la nuit.
Elles acceptèrent de suite.

J'aide ma femme à rentrer dans la voiture, non sans peine et je me dirige vers la sœur de Françoise. Celle-ci est déjà installée grâce à son aide.
Donc, en homme galant, j'ouvre la porte arrière côté chauffeur à Françoise pour elle s'y assoir.
Là, je compris très vite qu'elle n'étais pas aussi éméchée qu'elle ne voulait le faire croire. car, en s'installant dans la voiture, elle remonta sa robe courte.
Ce geste aurait pu être fait de manière involontaire, mais là, ce fut le contraire!
Les cuisses s'écartèrent, les bas et jarretelles se dévoilèrent remontant jusqu'au...string...qui avait disparu!!!
Laissant place à un superbe petit sexe lisse de tout poils et qui semblait briller dans la pénombre.
J'en fut estomaqué. Elle me prit la main pour l'aider à s'assoir et dans celle-ci, je senti le froissement d'une étoffe. Elle m'y déposait son string!
Là encore, petit clin d'œil et elle tira sur la portière.

Sur le chemin du retour, j'étais, comment dire, très émoustillé par ce que je venais de voir!
Ma femme et sa meilleure amie étaient vraiment dans le cirage.
Avec beaucoup de difficultés, je mis ma femme au lit et aida Françoise à mettre sa sœur dans le sien!
Une fois fait, je lui dis que j'allais prendre ma douche, en espérant secrètement qu'elle vienne m'y rejoindre.
Je bandais vraiment fort tout en me savonnant, mais, pas de visite impromptue...
Je finis donc ma toilette et je redescendis au salon.
Elle partit se laver également et je n'en fis pas plus qu'elle car, je me disais qu'elle voulait peut-être seulement m'échauffer mais sans plus.
J'entendis l'eau se couper, elle tarda un très long moment avant de redescendre. Je m'étais même dis qu'elle s'était couchée.
Ce n'est que lorsque j'entendis ses talons dans les escaliers que je compris que j'avais tout faux.
D'où j'étais, dans le salon, je ne voyais pas le début de l'escalier. Je l'entendis marcher en ma direction et elle me dit à ce moment là :
- Je suis désolée, je n'ai pas trouvée de peignoir et je ne pouvais me permettre de remettre ma robe...
Je me retournais pour la voir et là, je crois, non, j'en suis certain, j'eus la plus magnifique vision de toute ma vie.
Elle était là, juchée sur ses talons avec son porte-jarretelles, ses bas et... ses lunettes. Rien d'autre que cela.
Là voir comme ça fit faire un bon à mon sexe dans mon boxer.
Elle fit le tour de la table basse et vint me rejoindre dans le canapé en cuir.
Sensation désagréable dont seul les propriétaires de canapé en cuir acquiesceront, elle me dit qu'il était beaucoup trop froid et vient directement s'assoir sur mes jambes.
Imaginez la scène, moi, avec mon boxer et le sexe près à jaillir. Elle nue avec juste cette magnifique parure!
Je n'en pouvais plus. Je la pris dans mes bras et je l'embrassa langoureusement. Sa langue et ses lèvres étaient si douces. Elle avait un gout prodigieux que je ne saurais expliqué. Je me sentais comme au paradis avec un ange sur mes jambes.
Mes mains partirent à la découverte de ses sublimes seins qui pointaient déjà très fort. Elle fut parcourue d'un profond frisson lorsque je me mis à faire rouler ses pointes entre mes doigts.
Sur ce, elle descendit ses mains, retira mon t-shirt et s'empressa de caresser la bosse se trouvant dans mon boxer.
Je bouillais d'envie d'elle lorsque un bruit venant de l'étage nous fit sursauter.
C'était ma femme qui descendait pour venir prendre un médoc pour son mal de crâne. (quand on sait pas boire....)
D'un bond, Françoise partit se réfugier dans le wc. Moi, je me couvris de la couverture à proximité du divan pour cache mon émoi!
Elle prit en même temps un petit somnifère pour aller se recoucher. Je m'en réjouissais car, je savais que cela allait vite la faire dormir.
Elle remonta. Françoise sortit des toilettes et me dit qu'il vaudrait mieux qu'on s'arrête là de peur de ce qui pourrait se produire si ma femme nous surprenait!

Déception totale mais, je ne protestais pas. je ne voulais pas aller contre son envie.
Je la regarda s'éloigner et monter les escaliers dans cette tenue à faire bander un mort!
Je monta aussi et me coucha auprès de mon épouse... calmement.

Ma nuit fut agitée de rêves érotiques ou pas. Je vacillais entre le bonheur et la peur d'être surpris par mon épouse adorée.
Le lendemain matin, je fus réveiller par le téléphone. Ma femme répondit et c'était ma belle-mère qui s'était fracturée la main en chutant chez elle.
Isa me dit qu'elle partait vite voir sa maman et me demanda si je pourrais bien m'occuper de nos hôtes ce matin. je répondis par l'affirmative.
Elle me gratifia d'un bisou torride et s'enfuit se préparer pour partir en trombe.

Je me leva paisiblement et sans faire de bruit. je pris une bonne douche ravigotante et descendis préparer le petit déj.
J'entendis de l'eau couler et ensuite mes invitées vinrent me rejoindre en cuisine.
Le spectacle n'était pas mal. Moi, en boxer t-shirt et les deux femmes en tenues de soirée (puisqu'elle n'avait pas prévu dormir ici).
Sa sœur était plus en chair qu'elle mais...Françoise, mon dieu qu'elle est belle...et je savais bien aussi ce qu'il y avait sous sa robe et surtout ce qu'il y manquait.
D'ailleurs, en passant derrière moi pour aller chercher quelque chose dans le frigo, elle me glissa à l'oreille qu'il faudrait que je lui rende son bien!
Je lui fis signe que non. "Donné c'est donné, reprendre c'est volé!" ne dit-on pas?

Elle fit une petite mine renfrognée mais n'en parla plus.
Lorsque sa sœur quitta la table et qu'elle partit au wc, elle me dit que j'étais gonflé de pas lui rendre et que je risquais gros avec Isa.
Je lui dis que je prenais le risque et que si elle voulait la récupérer, il fallait qu'on se revoit en tête à tête quelque part!

Elle me répondit que non! D'un ton militaire. Je fus surpris et n'en dit plus rien...
J'étais fortement triste, je pensais qu'elle se serait prise au jeu. Peut-être hier était-ce juste que les vapeurs d'alcool qui auraient joué?

Vers les 11h, je les ramenais à leur voiture. Sa sœur m'embrassa et vint le tour de Françoise. Son baiser fut, volontairement, bien trop près de mes lèvres.
Elle planta son regard dans le mien et me dit un de ses au revoir...sur un ton d'une douceur...plus doux que de la soie.
Mais à quel jeu joue-t-elle?

On se sépara et j'avais plein d'idée en tête. Mais ne savais que penser!
Je rejoignis Isa, on passa un moment près de sa mère, on revint... et là, on fit l'amour. Ce fut pas mal mais, j'avais une autre demoiselle en tête.

Pendant une semaine, pas de nouvelles d'elle. De mon côté, je n'osais lui téléphoner de peur de tomber sur son copain horriblement jaloux.
Ce n'est que le vendredi d'après que ma femme me prévint, alors que j'étais en congé à la maison, qu'elle organisait un petit soupé avec sa copine, sa sœur Françoise et son copain. Je lui dis ok, pas de soucis.
J'étais bien trop heureux de pouvoir la revoir et en même temps j'avais une petite appréhension.
Je me mis donc à préparer la table, une partie du repas.
Lorsque ma femme rentra, elle m'annonçait que Françoise ne venait pas car son copain était encore reparti pour son travail.
J'étais vachement déçu mais je ne devais rien montrer.
Mais, Isa devait repartir chercher le reste des courses pour le repas et donc, j'ai sauté sur l'occasion.
Dès qu'elle fut partie, je pris le téléphone et sonna à Françoise.
Je tomba immédiatement sur elle.
Je lui demandais comment elle allait, on discuta un peu de tout et de rien. Puis, je me lançais.
Je lui demandais pourquoi elle ne viendrai pas avec sa sœur au lieu de rester seule.
Elle me répondit : "je suis un peu fatiguée de ma semaine de boulot!"
Je lui dit : "Oui mais si tu viens, je te rends ton string..."
Elle laissa un petit moment de silence avant de répondre puis, elle dit juste : "ok, à tantôt!"

J'étais heureux comme tout. j'allais pouvoir enfin la retrouver. Même si on ne serait pas seul, je l'aurais en face de moi.
Je ne peux vous cacher que depuis notre petite aventure, je me masturbais très souvent en pensant à elle, tout en tenant son petit string.
J'appris la nouvelle à Isa qui ajusta ses achats en fonction du nombre et elle fut enchantée de savoir qu'elle serait présente.

Isa rentra, on prépara le reste du repas et ensuite on alla se laver.
Malgré que je pensais bien ne pas avoir une seule occasion d'être seul à seul avec Françoise, je fis un entretien complet à mon service trois pièce. Je lui offris un rasage intégral (ma femme aime ça aussi).
Je me sentais super bien et pour vraiment être à l'aise, je ne mis pas de boxer sous mon jean.

L'heure approchait et je sentais malgré tout une boule d'angoisse au niveau de l'estomac.
Elles arrivèrent à la maison vers 19h. Je leur donna la bise comme à la coutumée. Rien d'anormal jusque là.
Sauf une chose : la tenue de Françoise!
Elle portait un tailleur minijupe noir avec des bottes à talons aiguilles noir aussi
Je ne voyais pas de chemisier, j'ai donc pensé à un top.
Elle était super sexy comme ça encore. Sa silhouette était magnifiquement mise en avant dans cette superbe tenue.
On ne peut pas dire qu'elle a de gros seins non plus, à mon avis un petit 85B mais, ils étaient très ferme comme j'avais déjà pu les apprécier!

On bu l'apéro dans le salon, tout se passait super bien mais aucun regard pressant de Françoise.
On passa à table dans la salle à manger, les discussions allaient bon train. On riait beaucoup.
Il faut dire que je ne regardais pas trop à la quantité de vin... petit espoir dirons-nous!
Une partie de la discussion partait sur un domaine qui n'intéressait qu'Isa et son amie.
Françoise me dit qu'elle avait acheté un nouveau modem mais qu'elle n'arrivait pas à le configurer. Elle savait que j'avais le même. Donc, je commençais à me lancer dans des explications d'installation et elle me dit en riant qu'elle ne suivait rien du tout et que ce serait mieux si je lui montrais directement sur le mien.
Du coup, on partit dans le bureau.
Pour lui montrer les branchements, je devais passer sous le bureau. Je reculais donc la chaise et m'accroupis sous celui-ci.
Je l'appelais pour qu'elle regarde mais elle ne répondait pas.
Je me retourne pour la voir et là, comble du bonheur, elle est assise sur la chaise, les cuisses écartées et mon montre son petit minou lisse.
Je me cogne la tête de surprise sous le bureau.
On rit tout les deux et elle me dit : "bon, je suis venue sans aujourd'hui mais tu dois me le rendre maintenant!"
Le ton était gentil mais très ferme. Je la regardais droit dans les yeux et je compris que ce n'était pas vraiment pour rire.
Je lui dis : "ok mais à une condition, qu'on puisse se revoir seul à seul !"
Elle répondit par l'affirmative, je lui tendis le string, elle l'enfila et partit!
Je restais là, prostré, me disant que j'avais vraiment raté une belle occasion.
En même temps, comment pouvoir faire quelque chose ici avec ma femme dans la maison...

Tout se termina normalement sans un regard appuyé ou tendancieux de sa part.
On se dit au revoir.
J'étais déçu, terriblement déçu.
On alla se coucher et je n'eus pas envie de faire l'amour à Isa.

Une dizaine de jours passèrent et je reçus un sms un mardi soir vers les 21h de Françoise.
Elle nous invitait à venir voir un spectacle de danse qu'elle faisait.
En effet, elle adorait la dans orientale et je me réjouissais malgré tout à l'avance de pouvoir l'admirer!

Je jour fatidique arriva enfin.
C'était une petite salle, on était une petite centaine de personnes.
On s'installa sur des bancs alignés le long des tables pour admirer le spectacle.
Je ne l'avais pas encore vue de la soirée.
Elles firent leur entrée et là, un choc. Elle était (mais vous le savez déjà, je le dis tout le temps) sublime!
Sa tenue faite de voiles était de couleur or et un dégradé de mauve.
Son magnifique ventre plat était complètement découvert et son piercing au nombril virevoltait au rythme de ses mouvements gracieux.
j'étais comme hypnotisé. Je dis d'ailleurs à ma femme qu'elle devrait en suivre aussi, elle qui danse si bien.
Mais elle déteste se dévêtir autant pour se donner en spectacle... enfin, il en sera ainsi!

Quand le spectacle se termina, elle vint s'assoir à notre table.
Elle se mit entre son homme et moi. J'étais au paradis ;)
Celui-ci se fit un plaisir de nous offrir le premier verre, prit la commande et partit chercher les rafraichissements.
Il n'avait pas encore tourné les talons que Françoise prit ma main qui était sous la table, la fit passé sous ses voiles et me la déposa directement sur son sexe nu!
J'en devins rouge tomate et mon sexe qui était libre de toute contrainte se mit à vouloir prendre l'air hors du jean, heureusement bien fermé!
Dans le brouhaha des conversations, elle me dit qu'elle voulait que je sache qu'elle avait dansé nue pour moi et qu'elle était toute trempée.
Elle mit sa main sur la bosse de mon sexe et me dit : "j'apprécie ta marque d'attention, va aux toilettes, je t'y rejoins dans quelques minutes, tu ne seras pas déçu!"
Ni une, ni deux, je me leva en disant à ma femme discrètement où j'allais et alla me glisser dans ses fameuses toilettes.
Elle était très grande car prévue pour personne à mobilité réduite. Vraiment très bien ça! Beaucoup de place, même des barres et une petite table accrochée au mur! Mon esprit partait à 100 à l'heure en imaginant plein de choses!

On frappa à la porte, et entra aussi rapidement!
Elle était là, devant moi avec ses yeux à damner un sait et son corps brulant!
Je ne pus faire autrement que de l'embrasser fougueusement et elle répondit de la même manière à ce baiser.
L'atmosphère entre nous était de feu. On savait elle comme moi que nous n'avions pas tout le temps voulu. Il ne fallait pas se faire surprendre ou éveiller les soupçons de nos conjoints respectifs.
Elle glissa ma main une nouvelle fois sous ses voiles et je me mis à genoux, dessous pour pouvoir la contempler.
Elle était une pure déesse, je posais ma langue sur son clito déjà très gonflé et elle me plaqua la tête sur son sexe.
Elle mouillait vraiment abondamment! Je me désaltérais de ce précieux nectar coulant de son abricot si mure!
Ma langue virevoltait de son clito à son sexe dans lequel celle-ci plongeait le plus profondément possible et là, ce fut trop rapide, elle jouit puissamment.
Elle eut de long spasme, sa liqueur coulait dans ma bouche, j'étais aux anges!
Elle me releva après qu'elle eut repris ses esprits et vit mon sexe comprimé dans mon jean.
Elle entreprit de le sortir, il bondit dehors de son carcan et elle le goba sans plus attendre.
Un délice, sa bouche si douce, ses mains qui me caressaient les couilles, j'étais limite de jouir aussi lorsque qqn entre et m'appela.
C'était son mec et me demandait si j'avais vu Françoise, je lui répondis qu'ici, j'aurais bien du mal.
Il ria et repartis aussi vite.
Elle me tenait tjs dans sa bouche mais plus pour longtemps car elle vit que l'entrée de son homme m'avait un peu coupé dans mon élans.
Elle se releva, m'embrassa encore une fois à pleine bouche et me dit : "Maintenant, c'est moi qui te suis redevable, appelle-moi et je serais à toi!"
Elle sortit du wc et avant de repartir dans la salle, elle se retourna et me dit : "à savoir que j'ai définitivement banni le string ou tout autre objet de lingerie, j'avais envie que tu le saches!"
Je restais pantois mais j'adorais ça.

On se retrouva quelques instants après à la table et Isa était en train de danser avec son amie sur la piste, elle n'avait rien remarqué.
je descendis quelques verres avec le mec de Françoise et la soirée pris fin de cette manière car, le lendemain, je travaillais très tôt.


Ceci conclut la première partie de ma fabuleuse aventure extra conjugale avec Françoise.
Si vous voulez connaitre la suite, dites-le moi.

Laurent