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Proposée le 4/06/2009 par Safran
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J'avais 15 ans et ce que j'ai vu ce soir là dans la cave de mon immeuble est resté gravé dans ma mémoire.
A l'époque, je passais mon temps à traîner avec Nabil et Florent, mes deux meilleurs amis d'enfance. Nous n'étions pas bien méchant mais nous avions tendance à faire les quatre cent coups dans la cité. Nous passions tellement de temps dehors que nous avions même aménagé dans la cave de notre immeuble une petite cachette discrète et secrète où nous passions la plupart de nos soirées. Non seulement nous étions à l'abri des regards indiscrets, mais de plus nous pouvions espionner sans être inquiété par des petits trous dans le mur, le « repère des grands. ». Ce repère était en faîte une vaste pièce aménagée par les grands du quartier. Ils y avaient entreposé une télé, un petit frigo des chaises et un canapé. Ils y stockaient également le shit qu'ils revendaient dans la cité.
Nous avons été à plusieurs reprises témoins de leurs magouilles. De notre petite cachette nous les avions espionné pendant des heures sans qu'ils ne l'aient jamais su !
Ce soir là, nous fumions tranquillement en parlant des filles de notre classe avec qui nous aurions aimé sortir quand soudain des bruits de voix nous arrivèrent du repère des grands. Je fis signe à mes amis de se taire. Nabil se précipita vers l'un des petits trous pour voir qui étaient là. Il se retourna vers nous et dit :
- « Il y a Abdel, Malik et Fofana. »
Autant dire les trois plus grands caïds de la cité. Agés d'une trentaine d'années, leurs séjours successifs en prison avaient fait d'eux une légende chez nous. Ils étaient à la fois dangeureux et violent. Mais ce que Nabil rajouta nous coupa le souffle :
- « Putain les mecs, il y a deux meufs avec eux. ».
Suivi par Florent, je me précipitai vers un orifice afin d'espionner nos aînés et surtout pour voir les deux filles.
Et ce que je vis me tétanisa !
L'une d'entre elle n'était autre que ma propre sur Safya. Je n'en croyais pas mes yeux !
Florent se tourna vers moi et me demanda :
- « Putain, elle fout quoi ta sur avec eux !? »
Je ne savais pas trop quoi lui répondre et je tremblais de peur et de honte car nous ne connaissions que trop bien la réputation de ces trois lascars.
Ma sur Safya avait 22 ans et elle était une fille très sérieuse ! Etudiante en droit, elle rêvait de devenir avocate. Je m'entendais très bien avec elle et je n'avais jamais rien entendu sur son compte qui aurait pu me laisser penser que c'était une fille facile ! Au contraire, elle ne sortait jamais et passait tout ses temps libres à étudier dans sa chambre. Elle était jolie, 1,70 mètres, mince, la peau mate, des yeux noirs et une magnifique chevelure noire qui lui arrivait en bas du dos. J'avais déjà surpris plusieurs mecs du quartier la mater mais connaissant ma sur je ne m'étais jamais inquiété.
La nana qui accompagnait Safya, était sa meilleur copine et la fille d'une amie à ma mère : Meriem.
Je fantasmais sur elle et elle représentait ma principale pensée quand je me masturbais en cachette dans mon lit. Elle était de la même taille que ma sur, mais elle avait la peau blanche et les cheveux châtains. Ce qui me plaisait chez elle c'était ses énormes seins qui me faisaient rêver. Comme elle était très mince, ils ressortaient naturellement et faisaient bander tout le quartier même les pères de familles qui n'arrêtaient pas de la reluquer quand elle marchait dans la rue ! Elle avait 23 ans et travaillait dans une boutique de parfumerie.
Je me demandais ce qu'elles pouvaient bien faire avec ces trois types. Je voulais m'enfuir mais une curiosité malsaine m'en empêchait. Elles s'assirent sur le canapé tout en regardant la pièce vétuste où elles se trouvaient. Apparemment elles n'y étaient jamais venues. Abdel sortit des bières du frigo, en donna à ses deux comparses et en proposa à Meriem et à ma sur qui refusèrent. En revanche, elles acceptèrent le joint de Fofana et pour la première fois je vis ma grande sur fumer (du shit qui plus est !) Je tombai des nues !
Pendant dix minutes, ils discutaient de tout et de rien : des études, de travail, de leurs séjours en prison, de la vie dans le quartier... Mais à la façon dont les types les reluquaient, j'ai vite compris qu'ils ne les avaient pas fait descendre dans leur cave seulement pour discuter. Il faut dire qu'elles étaient non seulement deux magnifiques maghrébines mais la façon dont elles étaient habillées en auraient excités plus d'un ! Meriem portait un jean très serré qui lui moulait parfaitement son cul, elle portait des chaussures à talons et surtout un t-shirt moulant qui faisait ressortir ses deux énormes obus (sans doute du 90 C) ! A la vue de Meriem, je ne pouvais contrôler un début d'érection.
Quand à ma sur, elle portait des baskets blanches et un superbe jean qui mettait en valeur ses longues jambes et ses fesses. Je ne l'avais jamais vu avec ce jean et je dois vous avouer que j'étais choqué de voir Safya habillée comme cela ! Son jean était tellement serré qu'on voyait presque son string entre les fesses ! Elle avait une chemise blanche qui donnait du relief à sa belle poitrine.
Après qu'ils aient terminé leur bière, les choses sérieuses ont commencé à mon grand regret ! Abdel a pris par la main Meriem, s'est assis sur une chaise et l'a faite s'asseoir sur ses cuisses. Pour être exact, ses fesses se sont posés sur le sexe d'Abdel qui je l'imagines devait être tout dur à l'intérieur de son caleçon. Il se mit à la peloter sans ménagement : une main sur son t-shirt au niveau de sa poitrine, l'autre sur son entrejambe. Je bandais !
Je savais que mes amis bandaient eux aussi mais pour d'autres raisons. En effet, sur le canapé Fofana et malik s'occupaient de ma sur. Ils passaient leurs mains partout sur son corps et à tour de rôle l'embrassaient sur la bouche sans aucune délicatesse. Elle prenait du plaisir à se faire caresser par ces types, sans doute elle fantasmait de se faire prendre par des bads boys.
Fofana se leva, ouvrit sa braguette et sortit un énorme sexe qui devait bien faire dans les 25 cm.
Il dit à l'attention de ma sur :
- « J'ai jamais baisé une beurette, viens me sucer pour commencer. »
Safia avec un sourire se mit à genoux devant le grand black, lui prit sa bite, la souleva un petit peu et avec sa langue se mit à lui lécher les couilles. Malik ôta également son pantalon et offrit à ma sur sa verge plus petite que celle de son ami. Ils étaient tout les deux très excités à la vue de ma sur qui leur léchait les couilles et les suçait lentement. Malik se montrait quelque peu violent avec elle, il lui tirait les cheveux et la traitaient de salope. Il rajouta même :
- « Au lycée, j'étais avec ta grande sur, je voulais trop me la taper mais j'ai pas pu ! Aujourd'hui je vais me faire sa petite sur, le pied !
Ma sur prenait un plaisir évident à leur faire une fellation et à se faire insulter de tous les noms. Je n'y croyais pas.
A l'autre bout de la pièce, Abdel fumait un pétard tranquillement assis sur sa chaise pendant que Meriem lui suçait la bite. A l'inverse de ma sur qui était silencieuse, Meriem parlait en même temps qu'elle suçait.
« Tu aimes te faire sucer par une chienne ? »
Abdel ne répondait pas, il savourait son joint et la fellation. Meriem continuait :
« Depuis le temps que j'attends que tu me démontes, Abdel, vas-y je suis à toi, je suis ta pute. »
J'avais honte ! Mes meilleurs potes qui voyaient trois crapules se taper ma grande sur et sa copine ! Pourtant j'étais fasciné de voir la bite poilue d'Abdel entrer et sortir de la bouche pulpeuse de Meriem.
Un râle me fit détourner le regard, Malik était carrément en train de baiser la bouche de ma sur. Et il n'y allait pas de main morte. Florent, à côté de moi, ne pu s'empêcher de dire
« Oh putain, le salaud qu'est ce qui lui met à ta sur. »
Malik ne pu se retenir plus longtemps et en maintenant son sexe dans la bouche de Safya, il éjacula en poussant des gémissements. Voyant le visage de ma sur couvert de sperme, Fofana banda encore plus fort et lui dit :
« Vas-y enlève ton pantalon, princesse, je vais m'occuper de ta chatte. »
Ma sur, enleva avec délicatesse son pantalon, elle était en string et avait un super cul. Elle lui dit :
« Prends moi par derrière, je suis encore vierge. »
Cela l'excita encore plus et lui répondit :
« Oh je vais bien m'occuper de toi princesse, vas-y mets toi à quatre pattes. »
Au moment où ma sur se mit en position pour se faire sodomiser par Fofana, un type fit irruption dans la cave en criant :
« Les flics sont dans la cité, ils vous cherchent »
A cette alerte, Fofana et malik se rhabillèrent en une fraction de seconde mais pas Abdel. Il accéléra le va et vient de son sexe dans la bouche de Meriem et finit dans un énorme râle à éjaculer sur le visage de cette jolie beurette. Une fois vidé, il remit son pantalon et se précipita vers la sortie sur les traces de ses compagnons. Juste avant de sortir, il se retourna vers les filles et dit :
« Demain je veux vous voir ici à 21 heures, on va vous faire votre fête. »
Une fois partis, ma sur remis son pantalon, s'essuya son visage couvert de la semence de Malik et rejoignit Meriem à la porte. J'entendis ma sur dire dans le couloir « dommage, ils m'ont trop excité, vivement demain ! »
Resté seul avec mes potes, j'essayais d'analyser ce que j'avais vu ! Nous bandions tous les trois et je savais que ce soir ils allaient se branler en pensant à Safya en train de se faire prendre comme une chienne. Il se faisait tard et nous nous quittâmes sans un mot. Le lendemain je viendrai me cacher encore pour voir la su