JULIE 17 ANS

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Proposée le 1/06/2009 par Jessey le retour

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JULIE 17 ANS


Ce soir là comme d'habitude nous nous retrouvions mon beau père ma mère et moi sur le grand canapé du salon. C'était l'été 2008, à Cavaillon, et il faisait très chaud.
Ma mère avait épousé il y a de cela 3 ans en seconde noce André, âgé de 53 ans, cheminots à la retraite.
Cette année j'ai fêté mes 17 ans et je devenais une vraie belle jeune fille que les garçons regardaient avec envie ; mon corps avait changé, grande brune au teint mat et aux yeux bleus, je ne passe jamais inaperçue dans les rues de Cavaillon.
Nous aimions regarder le soir après le repas, alors que la maison été aérée de partout une célèbre émission policière hebdomadaire. J'avais revêtu un tee shirt blanc et un short assez large en toile. Ayant chaud, je n'avais mis aucun sous vêtement, ni soutien gorge, ni slip.
André était un homme assez rustre, ordinaire, loin d'être un play boy. Petit, brun, musclé au regard noir, il paraissait beaucoup plus vieux que son âge.
Ma mère avait épousé André après avoir fait sa connaissance sur un site de rencontre également célèbre. Il habitait un petit village près de Cavaillon. Divorcé comme maman, ils se sont plus et un jour ma mère m'annonça qu'ils avaient décidé de faire comme on dit, vie commune !
Je ne l'aimais pas particulièrement, je le trouvais lubrique, toujours en train de me mâter. Je le surprenait parfois en train d'entrer sans frapper dans ma chambre, peut être avec l'espoir de me découvrir nue ou en petite tenue. Certes par ces grandes chaleurs, je dormais toujours nue.
Cet été je n'avais pas de petit copain, je m'étais débarrassé de Julien il y a de cela 3 mois.
Diable qu'il faisait chaud ce soir là. Je m'étais allongée sur le retour du canapé et posé ma tête sur l'accoudoir en tissus. André et maman étaient à l'autre bout du canapé captivés par cette série.
Vers 22 heures je m'étais assoupie et j'avais replié une de mes jambes, plus du tout absorbée par le troisième épisode. C'est ainsi que j'entendis ma mère dire à André qu'elle allait se coucher. Je m'apprêtais à mon tour à me lever, puis entre mes paupières presque fermées je me mis à observer le départ de ma mère. Quelque chose me disait que je ne devais pas bouger.
En partant ma mère referma la grande baie vitrée, embrassa André puis me regardant elle fit remarquer à ce dernier que je m'étais endormie.
-quand tu auras fini, coupes la télé et laisses la sur le canapé.
-bonne nuit chérie à tout à l'heure, répondit André en signe d'acquiescement tout en se servant un nouveau verre de pastis. J'entendis distinctement les glaçons tomber au fond du verre.
-n'oublies pas de refermer la véranda ?
-ne t'inquiètes pas !
Ma mère monta à l'étage rejoindre sa salle de bains et sa chambre. Je restais immobile à observer mon beau père qui depuis que ma mère était partie jetais des coups d'œil dans ma direction
-Tu dors Julie ?
Je ne répondis pas, tout en sachant que dès à présent son regard se portait sur mes cuisses. Je sentis comme une chaleur envahir mon ventre, je m'excitais à cette situation de voyeurisme. D'où il était il ne pouvait pas voir grand-chose. Il semblait rassuré que je dormais. Il se leva pour aller chercher une cigarette et comme par hasard il revint s'asseoir à quelques centimètres de mes pieds. J'avais toujours ma jambe gauche repliée et je compris très vite que dans cette situation mon bas de short était largement échancré. S'il se penchait il pouvait apercevoir ma chatte nue par l'échancrure, tout au moins une partie et l'arrondi de ma fesse gauche.
Cette idée qu'il puisse me découvrir dans un sommeil dissimulé m'émoustillait. Je n'avais pas envie de lui, il ne me plaisait pas, mais cette situation sachant André à l'affût de toutes les occasions de d écouvrir une partie intime de mon anatomie m'excitait au plus haut point. Je mouillais je le sentais, ma chatte étant chaude comme lorsque je regardais sur ma télé des cassettes porno.
André but une gorgée de pastis puis me redemanda
-Tu dors Julie ?
Nouveau silence. Je sentis alors qu'il se levait et qu'il s'agenouillait près de moi. Je sentis sa présence à l'odeur du pastis qui chargeait son haleine.
Qu'allait il oser faire ? Ma jambe gauche n'était pas totalement collée à ma jambe droite. Dans cette position mon short en toile était très ample sur mon ventre et sur mon bassin. En fait André qui avait repéré que mon short baillait se dit qu'il pouvait peut être découvrir quelque chose. C'est un fait qu'en approchant presque tout contre ma jambe repliée il pouvait voir mon pubis épilé et peut être les lèvres de mon sexe. J'entendis comme un grand soupir de sa part, preuve qu'il avait vu mon intimité . j'entendis qu'il allumait son briquet et là je compris que c'était pour mieux éclairer ce qu'il cherchait à voir. Nouveau soupir chargé de pastis. Je sentis mon cœur battre la chamade à l'idée que je me faisais de cet homme en train d'essayer de violer mon intimité de son regard lubrique.
Ma gorge se serrait et je priais pour qu'il ne s'aperçoive pas de mon faux sommeil. Ma chatte continuait à s'humidifier. Un moment de surprise lorsque je sentis qu'il essayait d'écarter un peu plus l'ouverture de mon short, je sentais le tissu glisser sur ma peau bronzée. Il n'était plus qu'à 30 centimètres de mon sexe. Voyait il qu'il était humidifié de ma cyprine ? Je sentais son souffle chaud sur ma cuisse. André m'auscultait de son regard, il avait certainement une vue imprenable à présent sur toute ma chatte.
Qu'elle fut ma surprise lorsque après avoir réallumé son briquet je sentis sa main glisser entre mon short et ma cuisse certainement persuadé que dans mon profond sommeil je ne pouvais pas le sentir.
Devais je faire semblant de me réveiller et de le surprendre dans ses tentatives de caresses ou continuer à faire semblant de dormir ? Je choisis l'option de faire semblant de dormir. Son index arriva contre mon pubis. Je l'entendais qui respirait de plus en plus fort. Il frôla mes poils presque rasés que je conservais façon ticket de métro, puis redescendis vers ma petite fente et buta contre mon clitoris. J'étais hyper excitée maîtrisant ma respiration. En fait je compris que l'angle dans lequel pouvait se trouver sa main dans mon short il ne pouvait pas aller plus loin.
Que faire ? Alors je pris le risque de changer délicatement ma position en soupirant comme on le fait lorsque dans le sommeil on se retourne. Là j'allais lui faire certainement peur et dès qu'il me sentit bouger il retira brusquement sa main. Il devait être certainement déçu et aux aguets prêt à s'éloigner de moi si je me réveillais. Je le devinais certainement à genoux aux pieds du canapé.
Dans mon semi réveil je m'arrangeais pour que ma cuisse gauche s'écarte un peu plus de celle de droite, puis je tournais la tête vers le dossier. Silence, il attendit que je sois certainement repartie dans un sommeil profond. Je n'en pouvais plus et je me dis que jamais de ma toute jeunesse d'ado je n'avais connue une pareille situation érotique. J'avais un homme que je n'aimais pas qui me mâtait la chatte et qui voulait la caresser et cela me conduisait à jouer avec lui. Je me surpris de cette initiative quand je sentis à nouveau la main se faufiler lentement et gestes brusques dans mon short à présent plus écarté encore.
Son doigt vint se reposer sur mon pubis qu'il se mit à caresser doucement puis redescendit vers mon clito que je sentais tout dur. Il allait forcément s'apercevoir que j'étais excitée et que je simulais l'endormissement ! Le bout de son index frotta mon clito déclenchant une coulée de cyprine entre mes lèvres et sans que je puisse me retenir d'échapper un soupir. Il l'entendit et son bout d'index descendit sur mes lèvres gonflées d'excitation et humides. Je sentis son doigt jouer avec mes lèvres puis se glisser entre elle pour s'enfoncer dans mon vagin détrempé.
Je n'en pouvais plus j'avais à présent une immense envie de pénétration de sentir dans ma chatte un membre d'homme dur et remplissant.
-Que fais tu André ? dis je avec un air étonné en me retournant vers lui en simulant de serrer mes cuisses emprisonnant son doigt dans ma chatte et sa main contre le bas de mes fesses
Je vis le regard brillant d'André, surpris dans ses gestes. Un instant je compris sa panique
-Chuuuuttt fit il. Ne dis rien il ne faut pas que ta mère nous entende
-Pourquoi fais tu cela ? C'est dégueulasse ce que tu fais alors que je dors !
J'avais envie de lui dire que j'avais une envie de bite terrible qui me tenaillait à présent le ventre en pulsions incontrôlables. J'étais presque consentante.
Merde me dis je, tu ne vas quand même pas te faire sauter par ce mec ! alors que déjà André saisissant l'élastique de le ceinture de mon short essayait de le faire glisser sur mes jambes.
Que faire ? j'avais 17 ans certes je prenais la pilule je n'avais connu que deux hommes ados dans ma vie... et si j'essayais ? qu'est ce que je risque ?
Sans trop penser aux conséquences, je me surpris à soulever mon bassin afin qu'il puisse mieux baisser mon short.
Il glissa jusqu'à mes pieds, dévoilant ma nudité à cet homme qui aurait pu être mon grand père.
- tu es belle Julie dit il alors que son visage était à présent cramoisi. Puis il prit mes deux genoux dans ses mains et écarta mes cuisses lui livrant une vue imprenable sur mon sexe détrempé d'excitation.
Il me retourna légérement vers lui, je me laissais faire acceptant d'écarter au maximum mes cuisses et me livrer à son regard de fou. Il se jeta littéralement sur mon sexe plaquant sa bouche sur mes lèvres engorgées. Ce contact m'arracha un soupire, j'aimais sentir la bouche d'un homme englober mon sexe et sentir qu'il aspire comme pour boire ma liqueur juvénile. Je mouillais et André me pompait avec délice, puis sa langue fouilla ma chatte et là je me sentis partir comme plaquée au plafond, la jouissance me fit faire des soubresauts incontrôlés de mon bassin et sans hésiter je pris la tête d'André entre mes mains et le pressait contre mon sexe en feu. J'enfonçais ma tête dans les coussins du canapé pour étouffer ma jouissance saccadée de peur que ma mère puisse m'entendre. André le visage détrempé par ma mouille te sa salive me léchait habilement soulevant à présent mes jambes pour laisser glisser sa longue sur ma petite rosette secouée elle aussi de spasmes. Je sentis la pointe de sa langue essayer de me pénétrer mon petit trou. C'était merveilleusement bon. Plus que jamais je voulais qu'il me pénètre pour éteindre le feu qu'il avait allumé en moi. J'étais folle, femelle, envie incontrôlée de devenir ce que les hommes appellent une salope.
Je me surpris de lui dire un mot que je ne prononçais jamais
-Défonces moi !
André se releva me laissant ruisselante sur le canapé les jambes largement écartées, la vulve en feu. Il baissa son short découvrant un sexe de moyenne taille parcouru de veines, nerveux légèrement recourbé. Il le prit en main afin de le décalotter découvrant un gland violacé de désir.
Il est encore temps de refuser cette saillie me dis-je alors que déjà André ressoulevait mes jambes tout en les écartant. Il m'attira sur le bord du canapé et avant que je puisse me refuser son sexe entra en contact avec ma chatte. De sa main il fit glisser son gland le long de ma fente et dans une pression incontrôlée il me pénétra déclenchant un cri de plaisir de ma part. J'aimais sentir dans mes chairs juvéniles, peu expérimentées encore la grosseur d'un membre. Je le sentis glisser en moi et son ventre buter contre mes cuisses. J'haletais à présent à chaque va et vient prenant mon plaisir à chaque poussée.
-Tu mouilles bien ! lacha André en accélérant son rythme comme encouragé de sentir que je prenais du plaisir. Puis il respira plus fort, je sentis ses mains se crisper sur mes jambes et il explosa au fond de moi, avec une puissance que je n'avais pas encore connue, je sentis sa liqueur couler dans mes entrailles, mi chaude mi humide, il se vidait de toutes se bourses. C'était la deuxième fois de ma vie que je sentais ainsi un homme éjaculer en moi, c'était délicieusement bon , avec mes deux petits amis nous mettions des préservatifs. Cette sensation était divine. André restait collé en moi secoué de spasmes expulsant les dernières gouttes de sa semence chaude dans mon petit vagin. Je respirais avec difficulté, jusqu'à ce que je revienne sur terre en sentant en moi le sexe d'André se ramollir puis il se retira entraînant une coulée de sperme sur le coussin du canapé.
-On va nettoyer cela me souffla t'il entre deux sourire d'homme satisfait de sa prestance. Il se dépêcha de remonter son short sur ses jambes grêles et attrapant un kleenex essuya les traces de spermes qui s'écoulaient de mon sexe béant.
J'attrapais un paquet de kleenex, m'essuyais la vulve inondée et visqueuse et sans un mot je remis mon short et sans un mot j'allais dans le jardin fumer une cigarette. Révoltée par ma bêtise de m'être fait sauter par cet homme que je n'aimais pas et calmée dans ma libido en feu, je me dis que c'était une expérience.
André allait il recommencer ? Je ne savais pas si cela pourrait se reproduire...à présent je n'en avais pas envie.

JULIE