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Proposée le 1/06/2009 par aldolaclasse
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Chapitres un
La loi venait à changer, ce que nous redoutions était arrivé, les femmes venaient de prendre le pouvoir. Un pouvoir sans partage ou l'homme n'était plus que sous-homme.
Très rapidement, des instituts furent construits afin d'y mettre les hommes désobéissants... à petite queue.
Ces instituts étaient tous bâtis sur le même modèle avec une grande entrée où l'on pouvait voir ce qui se passait à l'intérieur. En face se trouvaient des baies vitrées et un comptoir où se tenait une réceptionniste, sur le côté droit, plusieurs portes donnaient accès à des cabines de déshabillage.
Le grand couloir menait au dortoir, sur chaque porte, le nom du dortoir très explicite, très petite queue, petite queue, moyenne queue, et grosse queue. Suivant l'importance de la ville ou du village il y avait plus ou moins de dortoir. Des dortoirs très sombres où s'entassaient des lits alignés serrés 2 x 2 afin de gagner de la place.
Une loi avait été votée par les femmes bien sûr, afin de remettre de l'ordre dans les couples. Il est vrai, que pendant des années les hommes avaient eu la part belle.
Une loi qui permettait à toutes les épouses de punir leur mari sous de nombreux prétextes. Tromperie, coucheries, voyeurisme, mais également un simple regard sur une femme, permettait à l'épouse de punir son mari. Pour cela, il lui suffisait d'amener le soir venu, son mari à l'institut le plus proche. Celui-ci ne pouvait refuser car en cas de refus, il suffisait à son épouse d'appeler un numéro, et de prévenir le service pour son refus d'obéissance, le mari était alors immédiatement incarcéré.
Très rapidement, chaque soir des dizaines, voir des centaines d'hommes, étaient amenés tels de vulgaires animaux à l'institut.
Les maris connaissaient la loi, il savaient ce qu'il risquaient lorsque leur épouse décidait une visite à institut.
C'est ainsi, que je fus amené par mon épouse, une femme délicieuse.
Le prétexte, où l'accusation, elle m'avait surpris en train de me branler. Sa décision fut immédiate.
- Ce soir, c'est l'institut.
Je ne dis rien car je savais qu'elle avait tous les droits.
Le soir venu, mon épouse me dit simplement, c'est l'heure.
Mon épouse rentra la première dans l'institut, se dirigea vers le comptoir, une charmante hôtesse accueillie.
- Madame quel est votre motif ?
Mon épouse répondit, sans la moindre gêne,
- Ce petit con se branle.
- Attendez une seconde, vous l'avez surpris.
- Oui.
- C'est un flagrant délit, cela mérite une semaine.
Une semaine de punition répondit mon n'épouse.
- Oui sept jours.
Cette charmante hôtesse qui jusqu'à présent avait gardé un superbe sourire en s'adressant à mon épouse, s'adressa à moi d'un ton très sévère. Elle me tendit un sac plastique et d'un geste autoritaire m'indiqua la première porte et me dit.
- Tu te déshabilles entièrement et tu reviens avec tous les habits dans le sac.
Sans un mot, je pris le sac, je regardais mon épouse la suppliant des yeux d'intervenir, celle-ci m'ignora complètement, elle eut même un petit sourire de satisfaction devant l'ordre que venait de me donner la réceptionniste, et d'un geste me dit : "Allez dépêche-toi c'est ici que tu commences à obéir.". Je savais que dorénavant, mon corps, mon âme ne m'appartenaient plus. J'allais être une chose un objet pour ces femmes.
Une minute plus tard, je sortais de la cabine, entièrement nu, sous le regard amusé de la réceptionniste et de mon épouse.
J'avais mis le sac plastique devant mon sexe.
Donnez-moi le sac dit la réceptionniste.
Il faut à présent que je mesure le sexe de votre mari, visiblement il est petit, voir très petit, il va certainement falloir le mettre dans un des deux dortoirs.
"Quelle est la différence ?" demanda mon épouse. Dans le dortoir des petites queues, ils doivent se branler trois fois par nuit. Alors que dans le dortoir des très petites queues, ce n'est que de fois, mais par contre, ils doivent faire des fellations et se faire régulièrement enculer.
C'est vous qui choisissez Mme dit la réceptionniste.
Je pense que le dortoir des très petites queues sera profitable à mon mari. De cette façon, je pense qu'il sera beaucoup plus obéissant lorsque je le ferais prendre par des hommes à grosse queue.
Un excellent choix Mme.
Je n'en croyais pas mes oreilles, ma propre épouse, me destinait à devenir un véritable PD. Il est vrai, que plusieurs fois, lors de nos rapports sexuels, j'avais fantasmé sur les queues des hommes mais là, on passait aux choses sérieuses.
Je n'étais pas au bout de mes sur prises, la réceptionniste informa mon épouse que la première fois où une femme amène son mari à l'institut, celui-ci devait passer dans le bureau de la directrice, afin qu'elle puisse mesurer véritablement le sexe.
Je devrais assister demanda mon épouse.
Bien-sûr et c'est même obligatoire.
La réceptionniste fit le tour de la banque, me prit par le bras, et invita mon épouse à la suivre jusqu'au bureau de la directrice.
- Bonjour madame, dit la réceptionniste
- Bonjour Adeline.
- Je vous amène un nouveau puni.
- Je vois et qu'a t il fait ?
- Il se branle, il a été surpris par son épouse hier soir devant la télé.
- Très bien cela mérite une bonne punition.
Elle invita mon épouse s'asseoir, prit place à côté d'elle me demanda d'approcher, me prit par la main et d'un geste ferme m'obligea à venir se coucher sur ses genoux.
Je dois fesser votre mari, c'est la seule façon de pouvoir le mesure car vous allez voir, ils bandent très fort. Mon épouse n'était pas surprise, elle le savait car elle m'avait déjà fessé.
- Je vais lui administrer une très grosse fessée, cela devrait le rendre bien ferme, je vous laisserai ensuite le soin de le mesurer.
Mon épouse était ravie et trouva cela terriblement excitant.
Pendant que les claques pleuvaient sur mes fesses, la directrice interrogeait mon épouse.
- S'il se branle, cela veut dire qu'il ne vous baise pas.
- C'est exact, et quand il me baise, avec la petite queue qu'il a, cela ne me fait pas grand-chose.
- Je comprends, j'avais le même problème avec mon mari.
- Vous ne le savez peut-être pas, mais nous proposons des prestations très intéressantes pour les épouses qui amènent leur mari à l'institut.
- Ah oui, de quoi s'agit-il ?
- Nous avons un catalogue où nous proposons de très beaux mâles.
- Vous voulez dire que je peux choisir sur votre catalogue des hommes avec de beaux sexes ?
- C'est cela.
La directrice continuait à taper mon cul consciencieusement. Il était devenu tout rouge, à présent, des larmes commençaient à sortir de mes yeux. C'était vraiment dur de se faire fesser ainsi.
- Regardez sur mon bureau, vous avez un catalogue.
Mon épouse attrapa le catalogue et l'ouvrit. Que ne fut son émerveillement de voir ces mâles à grosse queue s'exhiber pour son plus grand plaisir.
La directrice, habituée par l'émerveillement des épouses eut un large sourire,
- alors elles vous plaisent ?
- oui, oui beaucoup, elles sont superbes, je n'aurais jamais cru que des hommes pouvaient avoir d'aussi belles queues.
- Bien-sûr que si, il y en a beaucoup et surtout des jeunes très performants, ils adorent baiser les épouses de votre âge. Ils disent que vous êtes beaucoup plus intentionnées que les jeunes femmes. D'ailleurs, il est de tradition que dès le premier soir, vous repartiez chez vous avec un de nos modèles.
Non seulement, mon cul me brûlait, j'allais passer la nuit dans le dortoir des petites queues à me branler, à sucer, et peut-être même à me faire enculer, mais la directrice proposait à mon épouse de ramener un bel étalon chez nous pendant mon absence. C'était le comble, le comble de l'horreur, ma vie venait de basculer, je devais accepter, ce que quelques mois auparavant, était une aberration.
- Il ne vous reste plus qu'à choisir.
Mon épouse hésitait, tourner les pages, puis revenait en arrière, il faut dire qu'ils étaient tous superbement membrés.
- Je comprends, vous avez du mal choisir, mais il le faut pourtant.
- J'hésite entre celui-ci et celui-la.
- N'hésitez plus, vous allez repartir avec les deux.
- Avec les deux dit mon épouse ?
- Oui avec les deux, cela vous fera un merveilleux souvenir pour le première fois.
- Vous avez déjà été prise par deux hommes ?
- Non jamais.
- Et vous n'avez jamais été tentée ?
- C'est un fantasme de mon mari.
- Eh bien parfait, nous allons réaliser son fantasme. De toutes façons, il ne pourra jamais vous baiser aussi bien. Vous savez, moi aussi j'ai longtemps hésité avant de me faire prendre par deux hommes en même temps et je le regrette bien, que de temps perdu. Si vous saviez ce que c'est bon de se faire sodomiser et prendre en même temps, on a l'impression de ne plus s'appartenir, d'être une chose, un objet pour ces hommes, de voler littéralement.
Sentir une énorme queue dans votre petit cul et en même temps une énorme queue dans votre vagin c'est tout simplement sublime.
La directrice avait choisi pour mon épouse un superbe Brun doté d'une queue de 20 cm au minimum et d'un châtain clair doté d'une queue un peu moins longue mais beaucoup plus large.
La directrice me releva énergiquement, et demanda à mon épouse de mesurer ma petite bite.
Le verdict tomba, 13 cm.
Entre 10 et 13 dit la directrice c'est le dortoir de la petite queue.
Mon épouse intervint et dit : je préférerais que vous le mettre dans les très petites queues, de cette façon, il aura droit à une meilleure préparation.
Bien-sûr, dit la directrice, il sera d'autant plus obéissant.
La directrice se leva, me prit par le bras et me ramena jusqu'à l'accueil où elle me confia à la réceptionniste.
Dortoir des très petites queue, sept jours de punition, et plus vite que ça.
À son tour, la réceptionniste me prit par le bras, et m'amena jusqu'au dortoir.
Voilà tu es arrivé, elle ouvrit la porte, devant moi un grand dortoir, au moins 30 lits, sur lesquels étaient allongés des hommes entièrement nus comme moi. La réceptionniste s'adressa à la responsable du dortoir. C'est un nouveau, il a pris sept jours pour commencer. Que voulait dire pour commencer ?
La responsable du dortoir s'appelait Nina. Nina me prit par le bras à son tour, décidément cette façon de nous prendre par le bras, comme des enfants, laissait présager que nous allions devoir obéir à tous les ordres qu'elle donnerait.
Nina parlait d'une voix douce, elle me demanda de m'allonger sur un lit vacant
tu attends, le dortoir n'est pas complet, les punitions doivent commencer lorsque celui-ci est entièrement rempli.
J'observais tous ces hommes qui n'avaient pas l'air surpris de me voir, je restais là, les jambes écartées, les mains le long du corps.