Comment j'ai pensé à mon amant en faisant l'amour avec mon mari

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Proposée le 16/05/2009 par ImaTerriElle

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Mon cher amant,

Je vais te raconter comment j'ai fait l'amour ce weekend avec mon homme et comment j'ai pensé à toi pendant ces moments là, comme tu me l'avais demandé.

(Nous avions projeté mon mari et moi un weekend en amoureux au bord de la mer, sans les enfants).

Avant de quitter la maison, je m'étais préparée de façon à plaire à mon homme : j'avais passé une guêpière noire avec des bas noirs, puis une robe ample m'arrivant bien au dessus du genou et entièrement boutonnée devant. Nous avons pris la route. Au cours du trajet, nous avons fait une halte pour dîner. Dans la rue et au restaurant, la sensation de l'air circulant sur mes cuisses et mes fesses fût très agréable, mais il me semblait que ma tenue intime était visible de n'importe qui. Cela m'inquiétait et m'excitait à la fois.

Nous sommes arrivés vers 23h30 à l'hôtel. La chambre comportait un balcon donnant sur le port. Nous avons ouvert la fenêtre, laissant les lumières de la ville éclairer l'intérieur. En passant ses mains sur mes cuisses, P. a découvert que je portais des bas. Il en a été ravi. Nous nous sommes longuement embrassés tandis que ses caresses redoublaient d'ardeur sous le tissu de la robe. J'ai défait son pantalon, je voulais son sexe gonflé dans ma main. Je l'ai caressé avec volupté, il était chaud et dur. Mes seins se sont tendus sous ma robe. P. a défait les boutons un par un, ma robe s'est alors entièrement ouverte sur mon corps emprisonné dans son fourreau noir, puis j'ai ôté ma culotte, jouissant du regard de P. sur le spectacle que je lui offrais. Il m'a indiqué une chaise posée près de la porte-fenêtre, m'a fait assoir dessus face au dossier, puis a tiré mes fesses vers l'arrière de façon à ce que mon sexe soit bien accessible. J'étais dans une position totalement impudique et jouissive, dos à lui, les mains accrochées au dossier de la chaise, les jambes écartées, le dos cambré, le cul écartelé, le sexe complètement offert.

Il a enduit ses doigts de salive et a d'abord lentement caressé les lèvres de mon sexe déjà humide, c'était absolument délicieux. Mes seins réclamaient leur part, je les ai sorti de leur enveloppe de tissu - j'aimais les voir gros et ronds nichés sur les corbeilles de la guêpière, en attente, tendus vers des bouches ou mains imaginaires et expertes - et je les ai pressé, tiraillé, maltraité sans réussir toutefois à calmer leur désir. P. passait ses doigts de plus en plus fermement dans tous les plis de ma vulve, nos gémissements commençaient à dépasser le seuil sonore autorisé, j'appelais silencieusement à plus, je sentais mon trou intime ouvert, réclamant d'être pris enfin violemment, je poussais mon cul en arrière et me cambrais désespérément, quand soudain, obéissant enfin à mes invitations, il a enfoncé d'un seul coup ses doigts dans mon vagin, m'empalant, poussant à fond sans ménagement, m'accordant enfin un peu de satisfaction.

C'est alors que je t'ai vu face à moi, j'ai vu ton sexe splendide sorti de ton pantalon, tu le tenais tendu vers moi et te masturbais lentement en me regardant de tes yeux impénétrables. Spectacle magnifique. J'ai supplié "oui, viens, viens dans ma bouche", tu t'es approché jusqu'à ce que ton gland vienne s'appuyer contre mes lèvres en attente, j'ai respiré ses effluves avec bonheur, mais tu ne m'as pas laissé l'engloutir, non, tu l'as utilisé calmement pour m'enduire le visage de ton liquide séminal, glissant sur mes joues, mon menton, autour de mes lèvres entrouvertes et pleines d'espoir, répartissant bien le liquide gluant sur tout mon visage, me faisant vibrer de volupté et de désir. Puis, n'y tenant plus ?, tu as brusquement poussé ton gland entre mes lèvres jusqu'à enfoncer tout ton membre dans ma bouche, dans ma gorge. J'ai mesuré mentalement une fois de plus la taille de ton sexe, son volume, la suavité de sa peau, son impérieuse pression, tout ce par quoi tu me fais chavirer. Les doigts de P. coulissaient dans mon vagin avec force, mon intimité clapotait dans un rythme accéléré, c'était fort, trop ? Je ne sais quelles mains s'occupaient de mes seins mais elles en pinçaient fortement les pointes, tiraient dessus, pressaient dans l'épaisseur, me rendant folle de plaisir. Ton sexe emplissait ma bouche, j'étais heureuse, puis tu l'as légèrement sorti afin que je puisse lui prodiguer tout mon amour, le lécher, l'enrober avec ma langue, le téter... Je me sentais écartelée, prise deux fois, absolument dépendante de vous, mes deux amours, offerte à jamais à vos désirs.

Alors, P. m'a arraché à ta queue, m'a tournée vers lui et m'a mangé la bouche d'un long baiser carnivore. Quand nous nous sommes détachés, je l'ai déshabillé et à mon tour l'ai fait assoir sur la chaise face à moi. J'ai écarté ses jambes afin de me mettre à genoux devant lui, j'ai pris sa bite brûlante et l'ai prise dans ma bouche pour la sucer longuement, avec délectation et application, guidée par ses gémissements et par sa main sur ma tête. Tout à coup il m'a repoussée car il était trop tôt pour jouir. Il m'a demandé de m'assoir sur le lit face à lui et de bien ouvrir les jambes, puis le regard fixé sur mon sexe complètement exposé, a laissé sa main masturber son propre sexe avec une science toute ancestrale.

Cette vision méritait mieux de ma part, ne trouves-tu pas ? J'ai donc mis deux doigts dans ma bouche afin de les enduire de salive et les ai plongé dans mon vagin chaud et accueillant. Mes doigts ont fait quelques allers et venues dans cet antre, baignant dans une sorte de crème. Gourmande, je les ai portés à ma bouche afin d'aspirer ce jus - c'était bon ! - et je les ai sucé voluptueusement sous les yeux survoltés et attentifs de P. qui n'avait pas lâché son sexe et l'astiquait toujours avec précision. Puis j'ai remis mes doigts au chaud bien au fond de mon ventre, leur ai fait explorer les cavités tout au bout du tunnel, me délectant de ces parois chaudes et humides, serrées mais souples. Puis j'ai sorti encore mes doigts pour passer ma langue dessus et avaler ma mouille, pour les faire entrer et sortir de ma bouche entre mes lèvres serrées, pour sucer avec frénésie en m'imaginant une grosse queue à la place, bien gonflée et brûlante, avec à l'autre bout un homme, n'importe lequel, surexcité, au bord de l'explosion, pour que mon homme à moi voit combien sa femme en train de sucer est belle et bandante. Mes doigts sont retournés dans mon sexe afin de caresser délicatement la vulve, passer sur le clitoris, et, dans la chaude humidité, aller de celui-ci à l'entrée du vagin puis de cette entrée au clitoris, parcourant ainsi plusieurs fois le chemin le plus sensible de mon extérieur, rendant de plus en plus urgent le besoin d'être pénétrée pour de bon. C'est alors qu'enfin mes doigts réunis par trois se sont engouffrés dans le précipice et en ont pris possession, accélérant le rythme, allant plus profond, devant calmer cette excitation, voulant défoncer ce ventre.

Tout à coup, P. s'est levé, a saisi mes poignets et les a tenus fermement en hauteur, tirant sur mes bras, avalant mes doigts au passage comme un glouton, puis il a brandi son sexe sous mon nez en avançant le bassin et m'a crié : "avale !" Et j'ai avalé, toute sa queue jusqu'à la racine, jusqu'à sentir les poils des couilles sous ma peau. J'ai ouvert la bouche le plus grand possible et j'ai laissé mon homme me baiser par la bouche. Il me tenait presque suspendue par les bras, et il s'offrait un coït de première qualité, laissant ses cris percer dans le silence de la nuit, lançant des coups de reins terribles comme dans n'importe quelle chatte. Je ne respirais presque plus et mes cris heureusement se trouvaient étouffés par cette invasion charnelle.

C'est là que tu es réapparu. Tu lui as fait signe de se calmer et il s'est retiré. Tu t'es penché vers moi et tu m'as embrassée délicatement comme pour calmer le feu de ma bouche. Tu as pris mon visage entre tes mains et tu l'as couvert de baisers. Et puis tu es allé m'embrasser plus bas dans le cou. Je me calmais peu à peu. Tu es arrivé sur mes seins. Tu en as pris un dans ta bouche et tu t'es mis à le téter doucement. Tu as vu que j'aimais ça. Tu m'as demandé s'il fallait me téter encore, si je voulais que tu prennes mon lait. J'ai dit "Oui, oui, tète-moi, tète bien, ça déborde là, c'est plein, aspire fort, vas-y n'aie pas peur". Alors tu m'as attirée vers toi pendant que tu t'allongeais, me mettant à quatre pattes au-dessus toi, de façon que mes seins pendent comme des mamelles. Tu en as pris un dans ta bouche et tu as commencé à l'aspirer, à téter, à tirer ton lait de ma mamelle comme un affamé, à mordre le téton pour qu'il y en ait plus encore. Tu fermais les yeux, j'entendais le bruit de succion. Jamais rien n'avait été plus doux, plus bouleversant. J'étais en extase. J'en voulais encore plus, encore plus fort. De l'autre main tu me pétrissais le deuxième sein qui pendait aussi, tu t'es mis à le faire tressauter en donnant des petits coups dessus, à lui donner avec la main un mouvement de balancier, à en frotter le bout, je gémissais, puis tu l'as pris dans ta bouche pour avaler mon lait là aussi.

Pendant ce temps, P. s'occupait de mon cul (évidemment, il devait faire envie comme ça, ce cul frétillant de désir quémandant sa part. J'en rêvais, il fallait que l'on me remplisse...) P. me léchait comme un chien avec de grands coups de langue réguliers. C'était parfait. J'imaginais un clébard derrière moi attiré par l'odeur de ma chatte, et se régalant de la femelle avant de la prendre. C'était très excitant, l'un qui me tétait comme un bébé et l'autre qui me léchait comme un chien. Il manquait juste quelque chose dans ma bouche. Je vis sur la commode un objet qui pouvait faire l'affaire, un tube de crème long et de bonne taille. Je le saisis d'une main et le mis dans ma bouche, et fermant les yeux lui fis une belle sucette d'amour en pensant aux deux belles bites que j'aimais tant...