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Proposée le 15/05/2009 par loups
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Une de mes premières histoires purement sexuelles, qui m'a ouvert la port à bien d'autres...
J'étais jeune alors, 17 ans à peine. Un cul de reine, des seins jeunes et fermes et une silhouette ma foi admirable. Je respirais la fraîcheur et la joie de vivre. J'avais découvert les joies du sexe quelques mois à peine auparavant, et trouvais ça tellement à mon goût que ma libido dépassait souvent celle de mes amoureux. Par un concours de circonstances ineptes propres à l'adolescence, je me retrouvais pendant deux mois sans partenaire, et mon corps curieux me réclamait à grand cri de nouvelles expériences érotiques. C'est d'ailleurs à cette époque que j'ai découvert ce site, c'est dire si la chose m'intriguait...
J'allais au lycée bien-sûr à l'époque. Mon imagination surchauffée me permettait d'ailleurs de faire passer les heures plus vite... Un de mes fantasmes favoris était un ami à moi, plus camarade de classe qu'ami d'ailleurs. Nous nous entendions bien et il me faisait beaucoup rire, mais nous n'étions pas vraiment proches. C'était un arabe, au corps fin et nerveux. Son ossature laissait deviner qu'il serait un homme « baraqué » comme nous disions à l'époque, mais pour l'instant, il dégageait une espèce de fragilité qui ravissait le peu de romantisme qui avait réussi à péricliter en moi. Son visage avait quelque chose de noble, avec sa bouche ourlée sur un sourire parfait, son nez un peu fort mais qui lui conférait une certaine prestance. J'imaginais fort bien ce nez dans le creux de mon cou, respirant mon odeur avec passion tandis que ses dent parfaites s'attaqueraient à ma peau... Mais ce qui m'attirait sans doute le plus chez lui était son regard, qui pouvait être doux ou incroyablement hautain derrière ses lunettes. J'ai toujours été séduite par les airs supérieurs, peut être un certain penchant pour la soumission. Je creuserais par là pour mes prochaines expériences.
En tout cas ce garçon, pourtant plutôt banal en apparence, dégageait quelque chose qui appelait mes envies. Selon moi, des rêveries sans conséquences et irréalistes. Et pourtant...
Ce jour là était un jeudi. Je m'en souviens encore car c'était le jeudi soir que je participais à un atelier du lycée, de 17h30 à 19h30. Mes cours finissant deux heures avant, je passais généralement ces dernières au CDI avec ma meilleure amie qui partageait cet emploi du temps. Ce jour là, elle était malade. Il était venu au CDI pour photocopier quelques documents, et me voyant seule, avait décidé de me tenir compagnie, puisque lui-même n'avait rien de prévu. Je travaillais alors sur un devoir que nous devions rendre le lendemain, qu'il n'avait pas fait non plus et qui nécessitait un ordinateur. Nous nous sommes donc naturellement dirigés tout les deux vers la salle informatique, en retrait du CDI. Cette dernière possédait une atmosphère particulière : vide à cette heure, elle était extrêmement silencieuse, et la lumière grise de cette fin d'après midi la rendait intimidante, un peu le même genre d'impression que lorsque l'on entre dans une église. Les orgues en moins bien-sur.
Alors que nous étions arrivés en riant, notre ton changea inconsciemment, et c'est avec des voix presque feutrées que nous décidions de partager un ordinateur.
Nous sommes restés sérieux quelques minutes, nos chaises collées. Tandis que nous discutions essentiellement du travail en cours, mon esprit me rappelais perfidement les pensées que ce fringuant jeune homme m'avait inspiré le jour même, et je souris intérieurement. Collant - innocemment, cela va de soi - mon corps au sien, comme pour me rapprocher de l'ordinateur, je finis par me plaindre de cette longue et harassante journée, pour finir ma tête posée sur son épaule.
Je profite de cette pause du récit, durant laquelle je me contente de fermer les yeux et de respirer son odeur, tout en laissant mon esprit vagabonder autour du thème : « ma langue sur sa queue » , pour souligner que me technique de drague de l'époque n'était pas encore tout à fait au point, et que j'ai fait quelques progrès depuis. Cependant, pour cette fois ci, cela suffit.
Après ce premier rapprochement, qui ne le fit pas broncher, je me saisis de sa main et me mis à jouer avec ses doigts, comme une enfant. On n'aura pas besoin de préciser que les images que ces doigts m'inspiraient ne se trouvent pas dans la tête d'une enfant, mais passons.
Nous parlions un peu de tout et de rien, et pendant ce temps mes mains cessèrent de jouer la comédie et devinrent franchement câline. Je frôlais ses doigts, sa paume, son poignet, remontais le long du bras puis revenait à sa main, ma tête toujours posée sur son épaule. Il ne mentionna pas ce comportement un peu déplacé, mais se leva brusquement, me tirant de ma torpeur. J'eus peur de l'avoir effrayé, rougie d'avance, prête à recevoir ses moqueries ou reproches.
C'est à ce moment là que ce cher garçon se révéla digne de mes fantasmes, et même au delà. Il ne me regardait pas, mais se dirigeait vers la porte de la salle informatique, qu'il ferma doucement. Ensuite il revint vivement vers moi, restée comme une idiote sur ma chaise à gober les mouche, me saisit par les épaules et me releva. Son mouvement finit de placer mon corps contre le sien, ses bras m'emprisonnant au niveau de la taille. Je relevais un peu la tête, interloquée et ravie, et il m'embrassa, violemment. Je sentis ses dents heurter mes lèvres, sa langue se donnant le droit de forcer ma bouche, et j'aimais cette colère, cet empressement qui me rendait totalement à sa merci. Je m'accrochais à son cou, poursuivant ce baiser, y mettant un touche de sensualité pour diluer un peu cette envie brute. Je l'agaçais de ma langue, mordillais ses lèvres avec légèreté. Puis je me dégageais et relevais un peu le tête, afin de lui offrir mon cou. Il ne se fit pas prier et voilà le nez noble dans mes cheveux, et la bouche sensuelle qui caressait, léchait, mordait la peau de mon cou, très érogène. Je perdais un peu l'équilibre, nous nous sommes donc reculés jusqu'à une table, où je pus m'appuyer.
Maintenant que ces bras n'étaient plus nécessaires pour me maintenir bien collée à son corps élancé, ses mains se permettaient quelques escapades. L'une d'elle vint se positionner sur ma hanche, ses doigts, tout en me caressant, se frayaient un chemin entre mon jean et haut (je portais ce jour là un simple débardeur noir et un pull léger). Il écarta un peu nos deux corps pour se libérer l'espace de promener le bout de ses doigts le long de mon ventre, provoquant de nombreux frissons et réveillant mon intimité, qui ne dormait pas si profondément.
Son autre main avait trouvé mes fesses, et les malaxait avec une certaine violence par dessus le jean.
La partie encore lucide de mon esprit remarqua deux choses :
d'abord, que ce jeune homme se permettait bien des libertés, ensuite qu'il savait exactement comment me faire plaisir. Elle prit alors conscience que mes mains, de leur propre initiatives, étaient allées malaxer son adorable petit cul, et que monsieur ne faisait que répondre à l'invitation.
En tout cas, cette prise en main eut un effet remarquable sur mon intimité, déjà bien attentive depuis que ses doigts jouaient avec mon nombril.
Nos lèvres s'étaient retrouvées, et nos respirations de plus en plus haletantes ne nous permettaient ni à l'un ni à l'autre de cacher la situation : nous mourions tout deux d'envie de faire l'amour. Cette certitude fut renforcée lorsque d'autorité, sa main quittant mon ventre, vint sur mes fesses et me plaqua contre lui. Je sentis contre mon bas ventre ce que j'analysai comme une érection raisonnable, qui me mit dans un état d'excitation raisonnable également.
Il m'aida à enlever mon pull, et tandis qu'il se débarrassait de son t-shirt je m'attaquais à son jean. Habilement, je défis sa ceinture, son bouton, sa braguette, et fis glisser le vêtement jusqu'aux genoux de mon futur amant. Ses jambes étaient fines mais masculine, fermes et poilues juste ce qu'il faut. J'eus tout le loisir de remarquer ces détails puisque je me trouvais agenouillée devant lui, et c'est en le regardant dans les yeux que je glissais son caleçon à la suite de son jean. Devant mon visage apparut alors une jolie verge.
Je n'est pas l'habitude d'employer cet adjectif pour décrire cette partie de l'anatomie masculine, mais ici je ne trouvais pas d'autre mot : elle se tenait bien droite, plutôt fine et longue, presque élégante. Le concept d'une bite élégante peut paraître étrange mais c'est ce que je ressentis quand je saisis délicatement cette merveille dans ma main, la caressant doucement, comme pour faire connaissance avant de se permettre une plus grande familiarité.
Mais ma bouche pris très vite ses aises, léchant et embrassant , suçant et caressant. De sa main sur ma nuque, il me suggérait son rythme, sans s'imposer. Je le suivit et gagnait en échange des râles étouffés de plaisir. Malgré mon activité, je réussi à sourire, et enhardie par ce succès, je décidais de tenter une petite nouveauté : tandis qu'une de mes mains soutenaient toujours sa hampe, l'autre se saisit d'une de ses fesses et la caressa, accentuant la pression progressivement.
Ce mouvement entraîna mes doigts vers son étoile, que je contournais doucement, m'en rapprochant toujours plus. Voyant qu'il ne protestait pas, et surtout que sa queue semblait durcir au fur et à mesure de ce contact, je libérai ma bouche quelques instants pour humecter mon doigt. Je ne sais où je trouvais le culot de relever les yeux à cet instant, mais je pense que me voir ainsi, le regard provocateur, un doigt dans ma bouche et à genoux face à son sexe lui plut. Il me fixa avec comme du défi dans les yeux, tandis qu'il se mordait les lèvres. Je retournait alors à ma tache, et mon doigt se fit plus investigateur, titillant son anus pour qu'on le laisse entrer. Je m'appliquais en même temps à ne pas négliger le travail de ma bouche, tâche plutôt ardue. Finalement, je le sentis assez détendu et enfonçais lentement mon doigt, pour m'arrêter à la deuxième phalange. Tout en embrassant son sexe, j'imprimais à mon doigts des mouvements que je savais irrésistibles. En effet, après quelques secondes de ce régime, la voix sourde, il me demanda d'arrêter.
Je me relevais, sourire victorieux aux lèvres. Il prit mon visage entre ses main et m'embrassa tout doucement, jouant a frôler seulement mes lèvres jusqu'à ce que je retienne moi même sa bouche avec mes dents. Ce petit jeu lui donna le temps de se calmer un peu. Il enfuit son visage dans mon cas et susurra :
« je ne veux pas jouir avant de t'avoir fait plaisir. »
cette attention me toucha et m'excita à la foi, mais avant que j'ai le temps de répondre, un bruit attira notre attention : quelqu'un ouvrait la porte de la salle informatique !
très vite, il remit caleçon et pantalon, mais il n'eut pas le temps de récupérer son t-shirt et du s'accroupir pour se camoufler derrière les tables. Fort heureusement, le disposition de tables était telle que si l'intrus restait près de la porte, mon amant ne serait pas découvert. Pour ma part, j'avais eu le temps d'aplatir un peu mes cheveux et de m'asseoir face à l'ordinateur .
La responsable du CDI entra, avec en main une dizaine de feuille, qu'elle comptait visiblement photocopier. La photocopieuse étant à coter de la porte, je respirais un peu et osait même jeter un regard complice à mon homme assit par terre à coter de moi. Celui-ci sourit, me lança un clin d'il et disparut sous ma table. Ainsi camouflé par la cloison du bureau d'ordinateur, il se glissa entre mes jambes et entreprit de défaire mon jean, tandis que je tentais de garder un air serein face à la documentaliste qui m'adressa un sourire avant de me tourner le dos. J'en profitais pour soulever mes fesses et lui permettre ainsi de faire glisser mon pantalon. Très lentement, pour ne pas faire de bruit, il fit glisser mon jean le long de mes jambes pour l'enlever totalement. Cette lenteur, ainsi que ses main parcourant mes jambes me mirent au supplice, et je camouflai un gémissement irrépressible par une quinte de toux qui attira vers moi le regard de l'intruse. Je fis mine de me concentrer sur l'écran de l'ordinateur alors qu'en réalité, je ne pouvais détacher mon esprit des mains qui caressaient mes cuisses dénudées. Il me tira un peu vers lui et je me laissais glisser sur la chaise, ce qui me donnait un air un peu avachi mais lui permit de glisser ses doigts sous la bande légère de tissus protégeant ma fente.
Ses doigts qui me fouillaient faillirent m'arracher un nouveau cri, mais je fis un effort incroyable pour me contenir et la documentaliste retourna à sa photocopieuse. Aussitôt, je soulevais mes fesses et retirai moi même mon string. Il saisit ma main au passage, y déposa un baiser silencieux et fini de glisser le sous vêtement le long de mes jambes, pour le retirer complètement.
De moi même, je posais mes fesses aux rebord de la chaise et écartais les cuisses au maximum. Même ainsi, je pouvais sentir combien j'étais mouillée, tant mon désir était fort.
Sans préambule, il plongea sa langue au creux de mes lèvres, tandis que ses bras enserraient mes cuisses pour les maintenir écartées. L'effet de surprise m'arracha presque un cri, que je réussi in extrémis à transformer en un petit rire lorsque l'autre me regarda, comme si quelque chose sur l'ordinateur m'avait amusée. Cette situation était très excitante, mais usante, et j'avais hâte qu'elle s'en aille pour me lâcher un peu. Croyez moi, subir un cunnilingus d'artiste et garder un air neutre requiert beaucoup d'énergie !
Fort heureusement, elle finissait ses dernières photocopies et ne faisait plus attention à moi. La langue qui s'amusait à me torturer se faisait à présent aider par les lèvres et les dents, et ce petit jeune homme semblait avoir été bien informé sur le rôle du clitoris, sa place et comment le stimuler. Je ne pouvais empêcher des frissons qui s'approchaient du spasme de traverser mon corps, et je devais mordre la paume de ma main pour ne pas gémir comme une chienne en chaleur. Il me donna le cou de grâce en me pénétrant avec sa langue, mimant les mouvement de va et vient d'un pénis, avant de lécher ma chatte de haut en bas, puis de recommencer, si bien qu'a la sensation de sa langue s'ajoutait celle de sa salive qui refroidissait sur la peau brûlante. Je crois que j'ai joui, en silence, le visage congestionné et le corps tendu dans un effort de discrétion relative. Lorsque je rouvris les yeux, je croisai le regard étonné de la documentaliste. Je désignai ma tête en grimaçant, comme pour indiquer une forte douleur et elle quitta enfin la salle en fermant la porte derrière elle.
Mon amant clandestin sorti de sa cachette et m'adressa un sourire satisfait. Pour ma part, j'avais les jambes coupées et restais effondrée sur ma chaise, attendant de recouvrer un semblant de respiration. Pendant ce temps, il s'ingénia à pousser une table contre la porte, afin de prévenir tout risque dune autre intrusion. Le voir travailler ainsi, torse nu et la bite visiblement dressée dans son caleçon qui dépassait de son jean non refermé me remis d'aplomb.
Je retirai mes ballerines, mon débardeur et mon soutien-gorge et me glissais vers lui pour me coller à son dos pendant qu'il finissait de caler la table. Il se retourna et resta un instant éberlué devant ma nouvelle nudité. Puis je vis son regard se teinter d'admiration face à mes formes, sa respiration se fit plus bruyante lorsque je vins me coller a lui, frottant les pointes de mes seins sur son torse nu. Mes mains glissèrent vers sa queue incroyablement tendue et la libérèrent, la caressant doucement. Il me souleva par les fesses et m'assit sur la table qui bloquait la porte, je refermais mes jambes autour de ses hanches fines et osseuses.
Ses mains se saisirent de mes seins, les pétrissant, les caressant puis les frôlant, je senti mes pointes durcies rouler sous ses doigts puissants. Je m'arquais de plaisir, m'appuyant sur mes bras tendus derrière moi. Lorsqu'il me saisit un téton entre le dent, sans appuyer, juste pour me faire sentir la texture de l'émail, je faillis hurler, et mes doigts se dirigèrent vers ma chatte que je caressais doucement. J'étais trempée, et je mourrais d'envie d'avoir son membre magnifique en moi. Je lui demandais si il avais un préservatif.
Ma voix était rauque, c'était ma voix d'amour, quand j'ai la gorge sèche d'avoir trop haleté. Il accorda un dernier regard plein d'envie a mon corps totalement offert sur la table et parti à la recherche du petit protecteur dans sa poche de jean. Je ris doucement :
« tu en a toujours à portée de main ? »
Il sourit, m'embrassa et déclara que c'est la première fois qu'il est aussi heureux de cette manie. « J'aurais pas supporté de pas pouvoir te prendre là, comme ça. »
Flattée, j'ouvris de nouveau mes jambes pour l'inviter à revenir prés de moi et jouais de ma bouche avec le lobe de son oreille pendant qu'il officiait. En quelques instants, il était près et me le fit savoir en posant un main sur mes rein et en me faisant glisser plus encore vers lui, jusqu'à ce que je ne puisse plus tenir sur la table sans son appui. Je remontais mes jambes au dessus de ses reins et il guida sa verge vers mon vagin mourant d'impatience.
Une petite pause à l'entrée, puis il me pénétra, violemment, droit au fond. Cette première attaque inattendue me coupa le souffle, et mon corps fut parcouru de délicieux frissons de sentir cette bite tant attendue en moi. Il se retira, plus doucement, et recommença, avec lenteur d'abord puis de plus en plus vite, laissant monter nos plaisirs.
Il était totalement maître de nos deux corps, je n'était plus qu'une naufragée qui s'accrochait à ses épaules solides pour ne pas se noyer dans notre désir. Pour m'empêcher de faire du bruit il colla sa main sur ma bouche, tandis que lui même enfouissait son visage dans mon épaule. Nous en étions arrivés à un point tel que chaque pénétration était un nouveau cou de butoir, le plaisir transperçait mon corps à chaque secousse. Je me faisais proprement défoncer la chatte, et j'adorais ça.
Il ne se laissa partir que lorsqu'il m'entendit jouir, et si je n'avais pas été aussi vidée, cette force de contrôle très mâle m'aurait fortement excitée. Il se retira et relâcha mon corps, qu'il déposa doucement sur la table. J'étais totalement épuisée, abandonnée nue sur la table, je sentais un peu de mes flux s'écouler de mon vagin. J'étais si bien, comblée comme je ne l'avis pas été depuis des mois. Il s'était rhabillé et m'avait ramené mes affaires, que j'enfilai dans un état second. Je ne pouvais empêcher un grand sourire de s'étaler sur mon visage, et c'est lui qui remis de l'ordre dans mes cheveux, m'embrassant encore et encore.
Soudain, il devint plus sérieux, me regarda dans les yeux :
« Ma belle, tu es incroyable mais je ne sais pas trop si on peut avoir une histoire... Je t'apprécie mais... »
je posais mes lèvres sur les siennes pour le faire taire, et entrepris de le rassurer :
« Je ne m'imagine rien ne t'en fais pas. Peut être qu'on pourrait juste se contenter de... remettre ça de temps en temps. Et que ça reste entre nous. »
Il sourit et répondis « Je pourrais te faire l'amour autant de fois que tu veux. T'es vraiment sexy ! »
Sur ces mots, la sonneries retentit. Notre aventure n'avait duré que deux petites heures ! Il remit la table à sa place et nous sommes sorti naturellement, comme deux amis proches. En passant, je remarquais le regard plein de doutes de la documentaliste et détournais vite le regard.
Notre relation ne dépassa jamais le stade de l'amitié. Une amitié tendre, souvent torride, mais sans réelle ambiguïté. Les études et la vie nous séparèrent progressivement. Je ne le revit jamais mais lui doit ma liberté sexuelle d'aujourd'hui .