Ma femme me trompe

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Proposée le 13/05/2009 par koh-lanta019

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Nous devions faire des travaux, plus exactement le carrelage du salon, et c'est pour cela que j'ai contacté des entrepreneurs. Les devis présentés étaient de beaucoup trop élevés pour notre budget. Un entrepreneur m'avait laissé sous-entendre qu'il pouvait baisser le prix.
Lors de l'entrevue, je m'étais aperçu que ma femme Laure ne le laissait pas indifférent. J'en avais parlé à ma femme qui s'était offusquée que je puisse lui suggérer de s'offrir contre la révision du devis. Mais lentement cette idée l'excita :
- Pourquoi ne pas joindre l'utile à l'agréable, me disait-elle en acceptant de recevoir l'entrepreneur.
Un après-midi, j'ai repris contact avec l'entrepreneur et suite à ma demande, il me fit comprendre que seule ma femme pourrait le faire changer d'avis. D'après lui, elle avait des arguments que
je n'avais pas.
Je m'empressais de téléphoner à Laure pour lui dire que le lendemain elle allait recevoir la visite de l'entrepreneur. Elle accepta de négocier mais à la condition que je ne sois pas très loin au cas ou.
Sa proposition me comblait, j'allais une fois de plus satisfaire mon penchant de voyeur.
Durant toute la matinée, elle s'était montrée très nerveuse et sa chatte coulait abondamment. Elle avait mis un porte-jarretelles, des bas noirs et bien sûr pas de slip. Elle avait passé une robe boutonnée en défaisant deux boutons en haut et trois en bas. Ses seins volumineux donnaient l'impression de vouloir s'échapper de son décolleté. En marchant, elle montrait ses cuisses un peu fortes.

Vers treize heures, on sonna à la porte. Je me précipitais dans ma cachette. Avant d'aller ouvrir, Laure se regarda dans la glace, elle vit qu'en marchant sa chatte était visible.
En ouvrant la porte, elle eut une belle surprise : dans l'encadrement se trouvait, non pas un homme mais deux, deux métis très bien bâtis. Akim le patron prétendait avoir besoin de l'aide d'Ali pour mesurer la pièce.
Laure les fit entrer et leur offrit un café. En revenant elle s'accroupit devant eux pour servir le café, et elle resta dans cette position, les genoux bien écartés. Sa robe était bien ouverte de sorte qu'ils avaient vue sur sa chatte. Akim souriait en s'adressant à ma femme :
- Je vois que vous êtes directe et je le serais aussi ! Je baisse le devis de moitié si Ali et moi nous vous baisons maintenant. Durant le chantier, vous serez à notre disposition : chatte bouche et cul !!!
D'une voix sure Laure répondit :
- Je suis d'accord. Mais pour comme vous dites le cul, je ne suis pas très chaude. Les hommes comme vous ont la réputation d'être montés comme des ânes. Je ne veux pas me montrer bégueule mais ...
- Ton homme ne t'encule jamais ?
- Non mais d'autres si. Mais je n'ai pas trop l'habitude. Et puis qui me dit que je peux vous faire confiance ?
Vous pouvez très bien me baiser et ensuite revenir sur votre proposition.
Akim se leva et lui tendit le devis signé de sa main. Laure avait sa braguette juste à la hauteur de sa bouche. Il sortit sa bite et elle l'emboucha. Mon dieu quelle bite ! Jamais elle n'en avait sucé d'aussi grosse et longue. Ali fit de même, de sorte que Laure passait de l'une à l'autre. Ils lui disaient :
- Allez, suce salope ! Ton mari nous l'avait dit que tu étais une pute !
- Ah tu voulais de la bite ? Eh bien tu vas être servie !
Au bout de dix minutes, ils l'aspergèrent tous les deux de sperme, qu'ils lui firent étaler avec sa main. Puis ils la relevèrent, lui retirèrent sa robe, sortirent ses seins de son soutien-gorge. L'un s'en occupa, l'autre se mit à l'embrasser. Ils jouèrent avec les nichons de Laure. Ils les soulevaient, les pressaient, tiraient les pointes.
Akim promenait son gland encore mou sur le clito afin de se faire rebander. Quand sa grosse bite fut bien dure, il lui ordonna de se mettre en levrette.
- A quatre pattes ! Tourne ton cul vers moi, ouvre que je vois tout !
Soumise et sans plus aucune retenue, Laure prenait appui sur le sol des épaules en lui offrant le spectacle de son cul haut, tendu, de son intimité dévoilée comme elle ne l'avait jamais été à personne.
Il s'était mis derrière elle et frottait sa bite sur sa vulve, poussant plusieurs fois et faisant mine de la prendre enfin. Elle suppliait :
- Oui, oui, prends-moi ! Mets-la moi, mets-la moi !
Ouverte à deux mains, dévoilant toute sa raie, son sexe, elle espérait sa grosse queue.
Les deux hommes échangèrent un regard complice. Akim s'allongea sur le sol et ordonna à Laure de venir s'empaler sur sa bite qu'il tenait dans sa main.
Dès qu'elle fut fourrée, elle devint comme folle, criant des obscénités :
- Salaud ! Fourre-moi bien la chatte ! Prends-moi comme une vieille putain ! Remplis-moi de ta grosse queue ! Secoue-moi ! j'ai faim de ta belle bite !
Elle s'agitait sur cette queue qui la remplissait. Elle avait les mains dans les cheveux, ses nichons se balançaient à chacun de ses mouvements. Akim était fasciné par le spectacle de ces grosses mamelles qui semblaient dotées d'une vie indépendante. Laure se pencha vers lui pour lui enfouir le visage entre ses mamelles. Elle offrait inconsciemment son cul à Ali.
Ali se mit à s'occuper du cul de Laure, d'abord avec sa langue puis après avec son doigt. Il lui enfila sans douceur un doigt dans très profond dans son derrière.
- Aïe ! Qu'est-ce que tu fais ? Je ne veux pas que tu me la mettes là !
Il la tenait d'une main sur ses reins. Laure se tortillait pourtant mais cela devait l'exciter encore plus. En essayant de se dégager, elle le suppliait :
- Non, Ali, s'il te plaît, pas là, pas là !
En lui disant de se tenir tranquille, il lui donna une, puis deux autres claques sur le cul, très fortes. Elle obéissait finalement en continuant à le supplier :
- Je ne veux pas ! Ne me fais pas ça, s'il te plaît Ali ! Je ne veux pas être sodomisée, je t'en prie !
- Mais je ne veux pas te sodomiser ! On ne sodomise pas une femme comme toi !
Soulagée, Laure s'offrit encore plus. Quant elle comprit ce qu'il voulait. Elle cria de peur et de douleur en se crispant pour lui faire barrage, mais elle savait déjà qu'elle ne pourrait éviter l'humiliation de se faire violenter le cul. Quand son gland força son anneau, elle le supplia de nouveau :
- Non ! Non, arrête ! Enlève-la, enlève ta queue de mon cul, je t'en prie ! Je ferais tout ce que tu voudras, mais pas ça ! Prends-moi devant, dans la chatte, j'ai envie. Pas dans le cul, tu me déchires !
Il s'était retiré d'un coup. Elle hurla mais quand il lui ordonna de le sucer, elle n'avait pas trop hésité, trop contente de ne plus être enculée ! Malgré la douleur encore présente, elle s'appliqua à le satisfaire. Ali comprit qu'elle avait abandonné toute fierté et en a profité.
- A quatre pattes ! Montre ton cul, ouvre que je vois tout !
Soumise, malgré les coups de queue d'Akim, elle avait tout fait selon leurs désirs. Akim laissa sa place à Ali dans sa chatte bien baveuse.
Akim lui présenta sa bite pleine de sécrétions à sucer. Laure avait la chatte et la bouche remplie de sperme. Ils lui disaient en rigolant :
- Tiens, salope, surtout garde tout le sperme pour ton mari, ce soir ! En rentrant il va se régaler !

Bien entendu, sa chatte et sa bouche ne leur suffisaient plus. Ce qu'ils voulaient, c'était son petit trou. Quand Ali, le premier, réussit à faire entrer sa grosse bite dans son cul, Laure cria. Ce fut un vrai délire de jouissance ! Il déchargea et Akim prit aussitôt la relève. Son anus était maintenant élargi et bien graissé. Voyant que sa chatte réclamait sa part, Ali la prit par-devant. Ce fut un merveilleux sandwich !
Quand ils la quittèrent, elle était complètement repue. Je la retrouvai toute nue, du foutre s'écoulant partout de ses trous. De la main, elle étala le foutre sur son opulente poitrine, en me demandant de la faire jouir par le petit trou. Avec les doigts elle se préparait la rosette, mélangeant le foutre à sa mouille.
J'eus aussitôt une belle trique et sans pudeur je me branlais, la regardant à son affaire. Laure me présenta son gros cul, s'asseyant sur ma queue dure comme du granit. Je la soulevais en prenant ses fesses, fourrant mon braquemart entre ses deux globes. Il y avait le feu là-dedans. Son petit anneau rosâtre enserrait mon dard. Tel un bouc assoiffé de chèvres, je la sodomisais debout sans faillir, pilonnant, besognant sa petite corolle encore plus sensible que son con baveux. Elle me suppliait d'en finir, tandis qu'elle se pinçait le petit bourgeon.
N'y tenant plus, j'inondais le cul de Laure en six rasades de foutre onctueux. Jouissant à l'unisson, ce fut l'atteinte du septième ciel, sa raie culière dégoulinait de sperme et de cyprine.
J'ai cru devenir fou quand ma femme me proposa de l'accompagner lorsqu'elle allait remettre à Akim le devis que j'allais m'empresser d'accepter.