Quand Ute rencontre Erik (Ute chapitre 4 )

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Proposée le 27/04/2009 par Nadie

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Cette nuit là, le sommeil de Ute fut hanté par le membre d'Erik. Cette bite que tant de fois elle avait vu pénétrer les parties les plus intimes de sa mère, cette bite qu'elle avait elle-même pompé hier sans qu'Erik ne lui laisse vraiment le choix. Plusieurs fois elle se masturba en pensant au sexe gros et long du jeune amant de sa mère, et malgré le peu de ménagements avec lesquels Erik l'avait traitée la veille, l'adolescente se leva avec l'obsession de retrouver au plus tôt l'odeur et le goût de la bite d'Erik.
Sa première action de la journée fut d'envoyer un texto à Erik car elle n'osa pas l'appeler.
Elle écrit : « Quand ». Ute.
Puis elle rejoignit sa mère dans la cuisine pour prendre son petit déjeuner avant de partir à l'école.
Elle se lavait les dents quand son portable annonça l'arrivée d'un message.
Celui-ci disait : « Ce soir après l'école. Ou et a quelle heure ? »
Ute retourna dans sa chambre, enleva son vieux jeans et enfila une jupe courte, elle enleva sa culotte petit bateau et la remplaça par un string noir qu'elle n'avait jamais mis.
Sa mère la questionna sur ce brusque changement de tenue mais Ute répondit qu'on annonçait du beau temps et fila sans plus attendre. Dans le bus, elle envoya à Erik un nouveau message fixant précisément le rendez-vous.
Toute la journée, Ute fut excitée par la perspective de ce rendez-vous, par la possibilité que ce sexe qu'elle avait tant vu aller et venir dans la chatte ou le cul de sa mère soit enfin à elle.
Son jeune sexe en était tout dégoulinant. N'y tenant plus, au cours de science, elle s'assit seule à un pupitre à l'arrière de la classe et caressa discrètement et longuement son clitoris.
Il lui sembla que, bien que ses jambes étaient masquées par le pupitre et qu'elle tentait de ne rien laisser paraître, que Monsieur Schlösser, l'adipeux professeur de sciences avait remarqué son manège. Il lui sembla que la bosse dans son pantalon était plus grande que de coutume et qu'il la fixait beaucoup plus que d'habitude et d'une autre manière. C'était peut-être le fruit de son imagination mais cela eut l'effet d'accroître encore son excitation. Elle ferma les yeux et s'imagina chevauchant le dard du gros Hans Schlösser.
A la fin du cours, elle se dépêcha de sortir ayant peur d'une confrontation avec le prof. Dans le couloir une de ses amies lui demanda si elle se sentait bien, car elle était toute rouge.
Quand l'école se termina, Ute se hâta de rejoindre l'endroit prévu. Erik l'attendait déjà, elle monta dans le break. Erik la regarda à peine et lui dit : « Ca te manque déjà, salope ? ».
Elle ne s'attendait pas vraiment à ce qu'Erik se montre aimable après le chantage qu'elle avait tenté d'exercer sur lui, mais elle aurait aimé qu'il lui dise quelque chose d'agréable, sur sa tenue par exemple.
Comme elle n'avait pas répondu Erik réitéra sa question. Elle répondit doucement « Oui », Erik lui demanda de répondre plus fort car il n'entendait rien. Elle s'exécuta.
Erik lui demanda si elle mouillait pour lui comme une salope qu'elle était. Elle répondit l'affirmative. Il posa sa main sur ses jambes nues et lui intima l'ordre de les écarter, il y glissa sa main, puis la ramena vers son visage, flaira ses doigts et lécha ses doigts. Puis en connaisseur dit « Ca sent bon et c'est bon, et tu as mis un string. J'apprécie ». C'était les premières paroles aimables qu'elle n'eut jamais entendues dans la bouche d'Erik. Il ajouta aussitôt : « Caresse ma queue, petite pute ». Ute ne se fit pas prier, elle en mourrait d'envie.
Il lui dit : « Puisque tu aimes mater, je t'emmène chez ma marraine, et si tu te comportes bien tu auras peut-être ta part ». Ute accentua la pression de sa main sur la bite d'Erik à travers la toile du pantalon, s'il fallait mériter sa récompense autant s'y atteler tout de suite. (À suivre)