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Proposée le 24/04/2009 par franvel
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Attention, présence d'inceste
Jeanne et Albert sont un couple reconstruit, elle a quarante ans, grande, mince et brune, la poitrine menue mais une bonne paire de fesses. Elle est toujours une belle femme malgré les années, son teint mat et ses cheveux noirs font retourner plus d'un homme dans la rue. Jeanne est fonctionnaire dans une petite ville du sud ouest de la France. Divorcée trois après son mariage et deux après la naissance de son fils Bernard, elle donne tout à son fils qui a maintenant seize ans. D'un tempérament fort et personnalisé, elle n'a jamais eu d'aventure avec un homme depuis sa séparation. Bernard poursuit ses études au lycée, garçon très brillant et très discret, il n'aime qu'une chose : sa mère, on lui connaît aucune aventure, aucun flirt, à la sortie du lycée, il file directement chez lui.
Albert est veuf, sa femme a été tuée dans un accident de la route qui a laissé Albert et sa fille Sylvie dans un désarroi complet. Brun, de taille moyenne, quarante trois ans, il est cadre dans une banque, autoritaire au travail mais doux comme un agneau à la maison. Ce pauvre homme ne sait jamais comment faire pour rendre sa fille la plus heureuse. Sylvie a seize ans mais en parait trois de moins, brune comme son père, légèrement boulotte, ce qui la complexe un peu, pensant que les autres élèves du lycée sont beaucoup mieux. Albert consacre toute sa vie pour le bonheur de sa fille.
Jeanne a avec son fils une relation d'une grande complicité que peu de gens peuvent comprendre. Cela a commencé un peu plus de deux ans après son divorce, il s'est installé le plus naturellement du monde une relation de plaisir partagé sans fausse pudeur.
Jeanne a gardé contact avec son cercle d'amis mais repousse de plus en plus les chances de les voir.
Cette vie a évolué sans ressentir la moindre honte ou gène, en grandissant, Bernard se transforme et mûri, ce qui ne modifie pas les habitudes prises au cours des années. Les parties de chatouilles et de câlins sont toujours constantes le soir sur le canapé devant la télé.
Bernard n'a pas de petite amie, il trouve sa mère beaucoup plus intéressante que ses copines du lycée et surtout beaucoup plus belle !
Ces changements dans la vie intime de chacun d'eux se manifestent progressivement à la maison. Jeanne prend un plaisir trouble à porter des jupes plus courtes, à négliger de fermer totalement ses robes pour laisser voir comme par accident un bout de chair ou de dentelle de ses dessous. Bernard lui, traîne le plus souvent à la maison dans des bermudas amples qu'il porte sans slip. Il aime rester torse nu ou en débardeur.
Jeanne ne dit pas grand-chose quand son fils passe sa main entre ses cuisses en chahutant, elle le repousse gentiment, mais il faut dire... De plus en plus mollement
- Maman...tu sais je te trouve si belle...si belle.
Et en disant cela il saisit sa sensuelle Maman par les hanches en la repoussant au fond du canapé. Beaucoup plus troublée qu'elle ne voudrait se l'avouer, Jeanne se laisse aller, incapable de résister.
Se rapprochant l'un de l'autre sur le canapé, Jeanne et Bernard s'embrassent d'abord timidement, puis avec de plus en plus de passion, se titillant la langue. Les mains ne restent pas inactives, rapidement, la jupe de plus en plus remontée, les quatre mains partent à la conquête de terrains de jeux interdits mais délicieux.
Lorsque Bernard vient se frotter contre sa mère, celle-ci sent le sexe qui durcit, elle savoure au contraire l'hommage de son fils devenu homme.
C'est Jeanne qui un soir osa le premier geste. Elle fut prise d'une pulsion plus forte que d'habitude, elle porta sa main sur la tige raide et chaude à travers le caleçon.
Le regard embué de reconnaissance que lui adresse son fils l'amène à caresser son front puis le parsemer de petits baisers en lui disant des mots tendres.
A chaque soirée ils vont un peu plus loin dans les gestes, un soir la main de Jeanne passe sous le vêtement pour s'emparer directement de la verge bandée. Elle touche la tige de chair durcie par ses caresses en glissant doucement sous les testicules pour aller entre les fesses s'attarder sur l'anus, puis ressaisir la verge qu'elle masturbe lentement, Jeanne demande alors :
- Tu es heureux mon petit homme ?
Bernard lui chuchote à l'oreille comme si quelqu'un écoutait :
- Tu ne peux savoir combien je suis heureux, je t'aime très fort.
Elle voudrait lui dire que ce n'est pas courant, que ce n'est pas normal avec sa mère, mais elle n'ose pas elle fixe sa main qui doucement branle le jeune sexe en érection.
Une douce chaleur part de son ventre et parcoure tout son corps, elle prend Bernard par l'épaule, qui laisse sa tête aller contre la douceur maternelle et ferme les yeux. Entre les cuisses ouvertes, la main de Jeanne va plus vite le long de la hampe, elle ne prête pas attention a la tête de son fils qui glisse pour se poser sur son sein, elle fixe du regard les mouvements répétés et de plus en plus précis de la main, elle admire le gland qui se découvre.
De sa main elle enserre plus fermement l'épaule de son fils dont la tête appuie fermement sur son sein. Déjà ses genoux battent l'air, ses muscles se tendent. Elle sent le souffle de son fils qui s'arrête, sa main glisse doucement vers l'arrière et reviens comme au ralenti, alors Bernard grogne un spasme qui le déchire, son sperme gicle et macule la cuisse de sa maman, un autre spasme propulse un autre jet dans le vide, puis un troisième vient sur son autre cuisse.
C'est venu tout naturellement sans honte, Jeanne étend pensivement le sperme sur elle en s'octroyant une petite caresse. Ils ont la tête qui tourne un peu, elle a peur d'avoir fait une folie mais le sentiment de plaisir l'emporte. Ils vont rapidement se coucher ensuite Jeanne, dans sa chambre exécute sa masturbation quotidienne, elle a un orgasme d'une intensité qu'elle n'a pas connue depuis longtemps.
Bernard vient de connaître sa première éjaculation, une vraie jouissance d'amour, c'est autre chose des baisouillages que font à la sauvette ses camarades du bahut.
Les jours qui suivent augmentent les tentations partagées, ils vont de plus en plus loin machinalement. Jeanne ne résiste plus, sa bouche s'ouvre pour accueillir la tige. Bernard se cambre, s'offrant totalement à la bouche qui l'engloutit pour son plus grand plaisir. Elle va et vient avec beaucoup de savoir faire et de tendresse le long de la verge, elle la goutte, la déguste son autre main à la base s'amuse avec les testicules. Bernard ne peut s'empêcher de geindre et de donner de petits coups de reins. Jeanne se délecte de ce membre vivant dans sa bouche, avec son fils son plaisir atteint des sommets les plus vertigineux. Elle a envie de porter sa main entre ses cuisses mais n'ose pas, pas encore. Il se raidit, gros, tendu mais elle est prête et le jet lui frappe le palais. Elle déglutit amoureusement savourant les saveurs délicieuses de son tendre rejeton.
C'est depuis ce jour que leurs relations prirent un nouveau tournant dans le secret de leur intimité. Jeanne est devenue l'initiatrice de son fils, lui faisant découvrir les milles chemins du plaisir dans un épanouissement réciproque.
La tête posée sur l'épaule de sa Bernard, elle colle passionnément sa bouche sur celle de son fils, puis elle pousse affectueusement son visage vers son ventre en lui disant doucement :
- Embrasse ta maman ici avec ta langue, suce-la bien mon bébé.
Pour la première fois Bernard découvre la vraie femme.
L'accès à la longue fente ruisselante est ouvert, terriblement ému, le désir augmente à très grande vitesse. Les murmures incompréhensibles font comprendre à Bernard de continuer, il avance sa bouche vers l'entrée mystérieuse, le visage s'incruste entre les cuisses charnues. Plongé dans les chairs écarlates, Bernard enfonce sa langue dans la cavité léchant avec gourmandise les parois gorgées de suc. Immédiatement Jeanne se cambre sur le canapé en agitant son bassin. Les cuisses refermées autour du visage, Bernard broute maladroitement la chatte, Jeanne s'abandonne sans pudeur au cunnilingus.
Jeanne lui a bien appris à frôler la crête finement ourlée de sa chatte, de se servir de ses doigts et de sa bouche avec adresse et délicatesse, ci bien que Bernard masturbe sa mère aussi bien qu'elle ne pourrait le faire elle même. Elle lui a bien enseigné à administrer une feuille de rose d'une infime douceur, attaquer de la langue le clitoris bandé au cur de sa bouche baignant de salive. Elle lui a bien expliqué comment faire vibrer son corps sans interruption jusqu'à la délivrance de l'orgasme.
Albert a avec Sylvie une relation que tous les deux veulent garder dans le secret. Le départ de la mère de Sylvie a été très brutal, elle a beucoup de mal à se remettre dans la vie normale, comme les filles de son age. Albert consacre beaucoup de temps et de tendresse pour lui maintenir le moral. En reconnaissance, Sylvie accorde une grande importance à son père, surtout depuis qu'elle est réglée.
Aussi Albert n'est plus insensible à sa fille, son regard s'attarde sur ses cuisses, sa poitrine quand Sylvie lui dit bonne nuit en sortant de la salle de bain dans sa petite chemise de nuit.
Sylvie aime bien les compliments que lui fait son père quand elle traîne dans le salon, ou quand elle s'assoit dans le canapé à ses cotés. Bien souvent elle est triste et inconsolable invoquant la disparition de sa maman. Albert aussi peiné que sa fille la prend dans ses bras pour la réconforter en lui caressant les cheveux et lui donnant de petits baisers.
C'est ainsi que Sylvie s'apaise contre le torse chaud de son père. Ils se sentent bien tous les deux dans ces moments éprouvants, Sylvie adore passer sa main dans la douce toison de la poitrine de son papa, les petits bisous de plus en plus appuyés de son père la rassure énormément. Albert aime la dorloter, lui dire qu'elle est belle, qu'elle aura un jour un beau prince charmant. Il la traite de plus en plus comme une petite femme et plus les jours défilent et plus les caresses deviennent précises, comme si l'un et l'autre recherchaient ce qui leur manque en émotion.
Les cuisses nues de Sylvie contre celle de son père activent les sensations charnelles de part et d'autre, une érection gonfle rapidement le slip d'Albert, Sylvie sent bien cette bosse dure et chaude contre sa cuisse, à chaque fois elle se retrouve malgré elle avec sa culotte mouillée. Les petits bisous deviennent plus assidus quand leurs lèvres se rejoignent dans un baiser timide et langoureux pour finir dans un soupir de reconnaissance.
Les choses avancent lentement mais sûrement, leurs vêtements deviennent de plus en plus légers jusqu'au jour où ils se retrouvent nus tous les deux. Les caresses évoluent vers des étreintes très chaudes pour aboutir aux milles chemins du plaisir. Curieusement, chez les filles, les choses viennent naturellement,
- Tu es encore tout excité mon petit papa...
Elle laissa sa phrase en suspens et frotta effrontément sa jeune poitrine sur les épaules paternelles. Albert a du mal à avaler sa salive. Mais en fait, Sylvie ne semble pas perturbée à cette découverte. Elle parait même amusée par la situation. La jeune fille continue ses suppositions.
- J'aimerais bien savoir ce qu'aurait fait maman si elle était là avec toi.
Il le sait cette situation est un aphrodisiaque parfais, les caresses des seins de sa fille contre son corps n'arrangent rien. Sylvie insiste en se moquant un peu :
- Et depuis que maman est partie, je dois la remplacer dans ses tâches, toutes ses tâches...
Elle chatouilla gentiment l'épaule de son père puis elle posa sa main sur sa cuisse, puis remonte doucement vers le haut de la cuisse. Les muscles de la cuisse d'Albert frémissent sous la tendre caresse.
La main de la jeune fille continue à monter sur sa cuisse et parvint sur l'érection frémissante. Doucement, Albert tente d'enlever la main tremblante de sa fille, puis, il laisse poursuivre.
Les doigts remontèrent sur la cuisse et s'arrêtèrent à proximité du membre tendu pointant son gland humide.
Il s'abandonne dans le canapé, l'esprit vaincu, incapable de résister à l'appel de ses sens. Les mains de sa fille le palpent doucement. Elle coiffe la tête frémissante de la verge. Albert sursaute et tout son corps se met à frémir. De l'autre main elle lui presse doucement les couilles puis remonta sur toute la longueur de la tige paternelle en s'amusant à dessiner les contours vibrants de l'engin.
Sylvie prend toujours beaucoup de plaisir à promener ses mains sur le corps de son papa. Il se laisse faire, chacun des ses muscles se lâche, les mains fragiles glissent sur les chairs puis s'en emplit. Albert se contracte puis se tend au plaisir que lui donne sa fille. Enfin les lèvres prennent la relève, aspirent la chair tendre dans les poils serrés qui décorent le bas ventre. La respiration se fait plus rapide, un frisson parcourt Albert qui lance un cri rauque en vibrant de tous ses membres. Sylvie se jette sur son père, heureuse du bonheur qu'elle lui a donné.
***
Un jour Jeanne a eu besoin d'un petit crédit pour acheter une automobile, c'est lors de cette démarche qu'elle a rencontré Albert. Seuls tous les deux avec leur progéniture, ils ont appris à se connaître. Leur amitié se transforme en une sorte d'amour qui grandi chaque jour. Ils ne se font pas de confidences sur la façon dont ils élèvent leurs enfants, seulement quelques phrases très équivoques. Malgré cette petite pointe de fourberie, ils découvrent ce qu'il se passe chez l'autre.
Ils se voient une ou deux heures chaque soir après le travail, systématiquement la conversation est dirigée vers les enfants.
Ils n'ont jamais fait l'amour ensemble, même pas des caresses poussées, c'est seulement leur vie de famille qui semble se calquée et qui permet d'entretenir cet amour rare et virtuel.
Sylvie et Bernard sont dans le même lycée, donc ils se connaissent sans plus, ils savent que leurs parents ont une relation, mais ils ignorent de qui il s'agit.
Le jour des présentations aux enfants est enfin venu. Nous sommes un après midi d'un dimanche très ensoleillé du mois de juin. Lorsque la sonnerie de la porte retentit chez Jeanne, elle dit simplement :
- Ah je crois que les voilà.
- C'est la surprise répond Bernard.
- Oui mon bébé, enfin j'espère que tout se passera bien.
- Ne t'en fait pas maman je suis là et je t'aime.
Jeanne a revêtue une jolie robe légère qui descend juste au dessus des genoux, très décolletée sur sa petite poitrine nue, mettant en évidence sa chute de reins.
Elle ouvre la porte, Albert est là avec Sylvie qu'il tient par le cou.
- Bonjour ma chérie, dit Albert en tendant son bouquet de roses.
- Entrez dit Jeanne en embrassant Albert et Sylvie, ne restez pas là.
Albert n'a pas non plus trouvé utile de s'habiller avec recherche, il a mis un short ample et une chemisette blanche largement ouverte. Sylvie est vêtue d'une jupette assez courte et un débardeur qui la moule admirablement en mettant bien en évidence ses tétons durcis. Elle a accentué son air de petite fille par deux couettes attachées par des rubans décorés de figurines.
En arrivant dans le salon ou Bernard attend les nouvelles connaissances.
- Voilà, je vous présente Bernard mon grand bébé.
- Ho salut Sylvie ! Puis s'adressant à Albert : Euh bonjour monsieur.
Bernard en bermuda fait une bise à Sylvie comme à une camarade et sert la main de son père.
- Pas de chi chi entre nous, appelle moi Albert.
- Alors bonjour Albert, puis il s'adresse à Sylvie : Drôle de surprise pas vrai ?
- Je trouve que c'est génial. Répond Sylvie.
Albert prend place dans le canapé, Sylvie à ses cotés. On aurait pu croire à les voir, à un papa affectueux qui raconte des histoires à sa fille.
Les compliments pleuvent, les liens se resserrent. Les parents ne tarissent pas de louanges pour leur progéniture, chacun veut démontrer à l'autre que tout ce qu'il a dit au cours des mois est vrai. Pendant ce temps, les enfants s'extasient sur l'abondance des compliments ainsi que les confidences plus ou moins intimes à leurs égards. Plus les parents débitent leurs commentaires et plus Sylvie et Bernard apprennent à se connaître, c'est comme si ils étaient frère et sur, l'abondance des mots de leurs parents les met en confiance et leur font découvrir beaucoup de petits secrets communs.
Albert est assit à coté de sa fille dans le canapé, il lui fait des petits baisers dans le cou. Jeanne est en face dans le fauteuil, la robe largement relevée sur les cuisses et les jambes légèrement écartées. Bernard est assis sur l'accoudoir le bras reposant sur l'épaule de sa maman.
Les heures s'écoulent sans s'en rendre compte, il fait chaud, l'atmosphère devient très détendue et brûlante.
Albert a posé négligeament son pied nu sur la table basse qui les sépare.
Jeanne a placé également un pied, sur le bord de son fauteuil, le talon en butée sur sa fesse. C'est ainsi que les deux invités peuvent contempler la culotte blanche d'où sortent quelques poils noirs. La réaction est immédiate, Sylvie imite Jeanne en repliant sa jambe sur le canapé, le pied droit sous la cuisse gauche, sa petite culotte est tendue sur son abricot, elle pose sa main sur la cuisse de son père, heureuse de montrer que c'est son tendre et cher. Albert écarte les jambes pour laisser de l'aisance à son sexe qui commence à prendre de l'ampleur.
Bernard est ravi de voir ainsi sa camarade si câline avec son père, elle qui paraissait si pudique au lycée, il respire l'odeur de sa maman qu'il aime tant. Sa main descend lentement dans l'échancrure de la robe, la chaleur, l'odeur de sa maman et la vision de Sylvie avec son papa. Il bande comme un vrai homme.
Jeanne complimente :
- Comme ça fait plaisir de voir un père et sa fille s'entendre aussi bien !
- Ben vous savez Jeanne, c'est normal, papa est tellement gentil.
- Oh ça je sais bien que ton papa est gentil ma puce, mais s'il te plait, cesses de me dire vous !
- Vous êtes très beaux comme ça tous les deux dit Albert.
- Vous aussi vous êtes très beaux... Comme c'est bien de vous voir aussi unis que nous et aussi près de nous.
Sylvie pour toute réponse se serra un peu plus contre son papa comme pour approuver les dires de Jeanne. Elle fait passer sa petite main par la jambière du short de son père. La queue d'Albert semble énorme, elle tend le tissu mais cela n'empêche pas le cheminement de la mutine.
Déjà les uns et les autres laissent échapper des soupirs de satisfaction, se souriant, les yeux brillants du plaisir qu'ils ressentent à être ensemble dans ce cocon douillet. Tous les quatre ont enfin la possibilité de dévoiler leurs petits secrets à ces nouveaux et discrets amis très particuliers.
Bernard tourne son visage vers sa mère et vient gentiment lui mordiller les lèvres. Puis leurs bouches s'unissent dans un baiser des plus langoureux, pendant que sa main caresse tendrement le sein de sa maman sous la robe. Nullement surpris Albert et Sylvie observent cette scène si tendre, qu'ils s'étreignent fortement comme par contamination. Albert, à son tour picore le visage de sa fille, ses doigts s'infiltrent à l'intérieur des cuisses moites de Sylvie, il joue avec la légère toison brune. Sylvie écarte les cuisses pour appeler d'autres caresses plus osées et surtout pour montrer à ses complices à quel point elle est liée avec son papa.
Jeanne souffle à son fils :
- Caresse Maman... Là... Doucement comme je t'ai appris mon chéri...
Bernard descend sa main lentement à l'intérieur des cuisses de sa mère en fixant Sylvie, il adore sentir sous sa paume la chair veloutée qui frémi juste avant le contact avec les poils pubiens. Sous la caresse aguichante, Jeanne se laisse aller dans le fauteuil en s'ouvrant d'avantage.
En face d'eux, Sylvie et son papa les considèrent, à la recherche d'un signe, d'une expression. Ils ne parlent pas, tous les deux excités par ce spectacle. Dans un geste sensuel, Sylvie ouvre la braguette du short pour soulager la verge qui se tend. Elle entame une masturbation en fixant les deux autres amoureux.
Albert suit la main de Bernard qui caresse la chatte de sa mère, la robe remontée jusque sur la poitrine. Les doigts minces du jeune garçon se faufilent sous la culotte entre les poils drus pour enfin disparaître entre les lèvres humides et charnues de sa maman.
Sylvie caresse son papa de plus belle, pendant qu'il flatte la jeune poitrine en jouant avec les tétons sous le débardeur. Sylvie est très émue ci bien qu'une tache d'humidité sur sa petite culotte dénonce son trouble. Jeanne a sorti les bretelles de sa robe pour permettre à Bernard de s'occuper de ses seins. Habitué aux désirs maternels, c'est avec la bouche et la langue que son fils s'exécute. Jeanne lui empoigne les cheveux et pousse sur sa tête pour le diriger au grès de ses envies.
- Oh ! Mon chéri... Montre à Albert et à Sylvie comme tu aimes ta maman... Va plus bas mon bébé... Embrasse ta Maman en bas...
Bernard se glisse sur le tapis entre les jambes de sa maman et se laisse guider là ou elle attend son bonheur. Bernard pousse un gémissement d'aise en sentant les effluves acres de sa mère qui lui montent aux narines. Déjà sa bouche se perd dans l'abondante toison brune et luisante de moiteur.
Albert et Sylvie paraissent subjugués par cette scène si forte. Blottie dans les bras de son papa elle le caresse avec beaucoup de grâce malgré l'émotion qui semble la gagner et lui assécher la gorge. Son père se laisse aller au plaisir en passant sa main tendrement dans les cheveux de sa fille. Albert se rend compte soudain que Jeanne est une belle femme attirante, que son corps est appétissant, ses seins menus sont gracieux, son cul de femme épanouie et sa toison bien fournie.
L'hommage que lui rend son jeune fils affectueux est très excitant. Il est de plus en plus raide par les câlineries de sa fille. Cette vision l'excite comme jamais, Sylvie sent bien la chaleur montée dans le corps de son père, elle le couvre de baisers, elle ouvre la chemisette pour frotter son visage dans la douce toison qui garni le torse.
- Papa c'est bien qu'on soit là avec Bernard et Jeanne !
- Oui ma chérie. Oui, on est bien là... Toi et moi...
Sylvie sait comment fonctionne son père, elle s'est mise en devoir de montrer qu'elle a bien apprise les leçons prodiguées par son papa. Elle masse les couilles, la verge, puis la bouche de l'amoureuse arrive très vite sur le gland baveux.
Tous les quatre sont pris dans une tourmente où les deux adultes prennent un plaisir gigantesque fourni par leur enfant ainsi que la scène produite en face d'eux. Les gémissements propagent une atmosphère de douce perversion qui fait battre les curs à cent à l'heure. Jeanne et Albert se regardent intensément, il est prêt de cracher sa semence dans la bouche si délicieuse de sa fille et par cette maman qu'il trouve si belle, qui se trémousse sous la bouche de son garçon.
Albert se retient du mieux qu'il peut, il dégage sa petite Sylvie, la prend dans ses bras pour l'embrasser fougueusement et finissant de se débarrasser de son short ainsi que les trois vêtements de Sylvie. Ils sont maintenant nus tous les deux, enlacés, s'embrassant à pleine bouche.
Jeanne frétille dans son fauteuil sous les coups de langue de Bernard, ses complices la stimulent au maximum, elle ne sait si elle doit continuer à se laisser aller au bonheur complet. Pour couper court elle se manifeste :
- Albert, comme c'est beau de vous voir tous les deux à vous aimer. Comme vous vous aimez et comme vous m'excitez.
- Vous aussi vous êtes beaux comme ça .... Jeanne, tu es très belle.... Viens... Viens avec Bernard....Vient près de nous !
Elle ne souhaite que ça, elle pousse gentiment son fils en lui disant :
- Mon chéri, vient, on va dans le canapé, on sera mieux.
La mère et le fils rejoignent Albert et Sylvie, en chemin la robe de Jeanne tombe à terre la laissant avec sa petite culotte, elle s'assoit à coté d'Albert, ils se précipitent dans les bras l'un de l'autre, leurs bouches se soudent dans un long baiser sous les yeux de leurs enfants enchantés. Albert en profite pour sortir l'ultime sous vêtement de Jeanne aidée par Sylvie qui l'envoie sur le fauteuil. Aussitôt Sylvie s'installe à genoux sur le tapis entre les jambes de son papa pour reprendre sa caresse sur le membre. Bernard comme un robot se place de la même façon à coté de Sylvie et replonge entre les cuisses de sa maman. Les deux ados sont branchés sur leurs parents toujours bouche à bouche.
Après quelques instants, Bernard dégage son visage pour voir et maintenir la température, il regarde sa copine sucer ce sexe qui lui parait énorme. La salive coule le long de la hampe, la rendant luisante. Bernard a posé sa joue sur la cuisse de sa mère pour mieux apprécier, il est fasciné par le spectacle qu'il contemple, il caresse le dos de la suceuse avec grâce.
- C'est génial comme tu fais Sylvie ! Combien tu es belle comme ça ! Dit Bernard d'une voix rauque et haletante.
Sylvie interrompt sa fellation et répond :
- Si tu savais comme c'est bon Bernard !
- Tu es elle, très belle Sylvie. Chuchote Bernard.
Il approche légèrement son visage de celui de Sylvie pour lui donner un baiser sur la joue. Mais Sylvie détourne son visage pour lui présenter ses lèvres, le baiser est inattendu et surprenant, bien que ces jeunes soupirants soient habitués à embrasser leur parent, pour eux c'est nouveau et plus frais. Le baiser est assez court sous le regard des parents admiratifs. Sylvie et Bernard se regardent comme si ils découvrent un trésor et pour reprendre le sujet en cours elle dit subtilement à Bernard :
- Embrasses la toi aussi Bernard... Goûtes la ! Tu verras comme c'est bon.
Très étonné par cette proposition et quelques fractions de secondes suffisent à Bernard pour prendre une décision, il est très excité par ce baiser et la folle ambiance, il ne veut décevoir personnes, il se penche sur la virilité que lui présente Sylvie, un peu hésitant, il lape le gland brillant, il aime tout de suite. Il le suce comme il a vu faire Sylvie, il le sort pour l'examiner et le reprendre dans sa bouche. Sylvie lui caresse sa nuque, le dos et le bas des reins, heureuse de voir son copain s'occuper de cette façon de son papa.
Albert et Jeanne sont aux anges, ils ne réagissent pas d'emblée pendant leur baiser, Jeanne a bien senti l'absence de son fiston entre ses cuisses, elle l'a remplacé par ses doigts pour une douce masturbation, elle est sur le point de prendre son pied.
C'est Albert qui réagit le premier car il sent la pression des têtes des deux gamins sur ses cuisses. Sylvie lèche les couilles de son père pendant que Bernard avale le gland. Les deux adultes cessent leur patin, Jeanne voyant le jeu des deux jouvenceaux, se caresse de plus belle en gémissant.
Albert s'agite affolé par le plaisir que lui donnent les deux ados. L'excitation est si forte que cette fois il ne peut se retenir. Sa queue sort de la bouche du gamin et de longs jets blanchâtres sortent par saccades venant asperger les visages des deux lycéens.
La verge encore agitée de petits soubresauts quand les deux suceurs passent leur langue mutuellement sur leur visage pour enlever le sperme. Puis ils s'embrassent à leur tour à pleine bouche. Les deux parents à peine remis de leurs émotions regardent ce joli tableau formé par leurs progénitures, en leur susurrant des mots doux et les caressant le plus passionnément.
Chapitre II
Ce tableau vivant n'aurait jamais existé si les parents n'avaient pas parlé pendant plusieurs heures de leurs gamins. Durant ces instants, Sylvie et Bernard se connaissent mieux que si ils avaient passé ensemble leur jeunesse. Leurs passions dévoilées par les parents ont agit considérablement sur leur libido. Nos quatre protagonistes n'ont plus aucune timidité, plus de pudeur, grâce à ce dialogue, tous les quatre ont appris à dévoiler leur entière intimité.
Jeanne et Albert se perçoivent différemment. Leur vie a complètement changé depuis ce dernier dimanche, ils ont envie l'un de l'autre, alors qu'avant il n'y en avait que pour leurs enfants. Ils ont trouvés un moyen pour se rencontrer très rapidement sans les enfants. Ils se sont donnés rendez-vous dans un restaurant de bonne table le mardi à midi. La conversation traîne un peu sur le sujet mais la bonne humeur est présente. Le repas se déroule à merveille. La cuisine est excellente et les deux amants passent un merveilleux moment. Le temps presse pour Jeanne et Albert qui se sentent attirer de plus en plus. Les jambes se touchent, se frôlent. Albert propose de prendre le café à son domicile, Jeanne n'a pas le temps de répondre que déjà les lèvres d'Albert se posent délicatement sur les siennes. Ils vont à l'automobile et échangent encore un long baiser. Jeanne s'abandonne totalement entre les bras d'Albert qui la serrent avec amour.
Juste arrivés à la maison d'Albert, ils s'étreignent, les mains courent de part et d'autre sur les corps, Albert masse les fesses avec tendresse puis les seins qu'il flatte tendrement. A son tour, Jeanne caresse le torse d'Albert et descend lentement vers son bas-ventre. Lorsque leurs lèvres se séparent, ils restent enlacés quelques instants. Jeanne s'éloigne un peu d'Albert pour lui dire assez directement :
- On se déshabille ? dit-elle. Qui commence ?
- Heu...... Albert avale sa salive...... Et si on se déshabillait mutuellement ?
Jeanne réfléchit un instant, puis sourit d'un air entendu :
- D'accord ! Mais je sens que je vais libérer un serpent bien malheureux dans sa prison de tissus...
- Je n'y peux rien... C'est grave ?
Ils enlèvent les vêtements un à un, tour à tour, dévoilant les corps petit à petit. Ils ne sont pas sur des terres inconnues. Leurs regards ne se quittent pas. Jeanne respire profondément, sa poitrine s'élève au rythme rapide de son souffle, parcouru par moment de tressaillements incontrôlés. Albert recule tel un sculpteur découvrant son oeuvre, il la contemple en étouffant sa joie. Jeanne prend alors ses petits seins à pleines mains puis les malaxe d'un seul geste, pour les libérer de la pression qui s'était trop longuement exercée sur eux.
Jeanne demande brusquement :
- Et maintenant ?
- Maintenant ?..........On va bien s'aimer !
Répond Albert en la poussant dans la chambre juste à coté et la faire tomber gentiment sur le lit. Jeanne frissonne de plus belle, elle arque les reins, lorsqu'elle sent la pointe de la langue envelopper son mamelon, elle lâche un soupir. Pendant de longues minutes, des mains, des doigts, des lèvres, de la langue et même des dents, Albert rend un hommage vibrant à cette poitrine longtemps désirée. Le corps de Jeanne ploie sous le plaisir trop neuf et trop fort. Ses lèvres gonflées entrouvertes sur un souffle profond, yeux mi-clos dont la lumière assombrie par la fermeture des stores, filtre entre les paupières bistrées, poitrine impudiquement tendue vers le ciel et soulevée par les soupirs de plaisir. Sa taille se creuse par un imperceptible ballet des hanches, jambes nonchalamment repliées et légèrement écartées sur une toison brune, épaisse et palpitante. Jeanne est un irrésistible appel aux sens, le plus puissant des aphrodisiaques. C'est d'une voix grave et basse qu'Albert murmure :
- Mon Dieu, ce que tu es belle.
Jamais il n'a désiré une femme comme il désire Jeanne en cet instant. Tout son corps se tend vers elle, il a soif de sa peau, de ses odeurs, soif de la toucher, de la caresser, de s'enfoncer en elle. Et, en même temps, malgré l'urgence de son désir, il souhaite étirer ce moment jusqu'à l'éternité. Réfrénant son désir de la posséder là tout de suite, désir qui devient douloureux à force de se brider. Ces deux êtres ont l'habitude de prendre du plaisir avec leurs enfants, maintenant il faut passer une étape supérieure.
Albert pose d'abord sa bouche sur celles de Jeanne, il la respire longuement, caresse les lèvres renflées de la pointe de la langue. Instinctivement, Jeanne s'arque, vient à sa rencontre, ouvre ses lèvres et mêle sa langue à celle de son amoureux. Tous les feux se rallument, sa peau réclame de nouvelles caresses, son corps se tend, elle ressent un vide intense au creux du ventre, un vide qu'elle souhaite ardemment remplir. Albert embrasse, caresse, lèche, masse copieusement et consciencieusement chaque parcelle du corps qui ondule de plus en plus. Jeanne a fermé les yeux, concentrée sur des sensations inouïes qui se propagent en elle, depuis nombreuses années qu'elle n'a pas eu un vrai homme expérimenté. Enfin, après l'avoir fait languir de longues minutes, Albert ne lâche pas des yeux le visage de Jeanne, il pose sa main à plat sur le mont de Vénus qu'il masse doucement puis avec plus de force, un doigt s'enfonce et atteint les chairs douces. Electrisée, Jeanne gémit et soupire. Albert plonge le visage entre les cuisses, respirant le parfum suave, cette bouche qui concentre les plus grands plaisirs du monde.
- N'arrête pas, s'il te plait, murmure Jeanne le souffle court, sans réfléchir.
Jeanne gémit doucement d'abord, puis plus bruyamment. Une sensation indescriptible irradie son sexe enflammé, une douceur si violente, une boule de plaisir qui roule, roule, roule et finit par exploser comme un feu d'artifices qui l'incendierait d'étoiles. Jeanne crie. Albert ne cesse pas ses caresses, au contraire. Jeanne crie encore, cri de jouissance, Albert continue à lécher doucement le sexe ouvert.
Jeanne ouvre les yeux et lui sourit avec douceur. Elle le regarde longuement, des pieds jusqu'à la tête
- Je veux te voir. Dit-elle avec une dernière trace de timidité dans la voix.
Fascinée, elle ne peut détacher son regard de l'excroissance qui palpite. Doucement, presque timidement, Jeanne approche la main et l'effleure du bout des doigts. Au comble de l'excitation, Albert retient sa respiration pour que cette simple caresse presque innocente ne le fasse jouir immédiatement. Sans réaliser les tourments qu'elle déclenche, Jeanne continue son exploration manuelle, la raideur de la verge qu'elle mesure en la pressant, mettant Albert au supplice. La paume frôle les bourses, les palpe, s'amusant de voir la verge tressaillir et vibrer de plus belle sous l'assaut. Enfin, Jeanne dépose un baiser léger sur le gland. Albert se mord les lèvres mais ne peut empêcher une goutte de perler. Jeanne suce et tête doucement le gland gorgé de sève. Elle sent le sexe se durcir par à-coups sous sa langue, gonfler et trembler. À quelques secondes de ne plus pouvoir se retenir, Albert quitte l'écrin des lèvres.
Jeanne s'allonge sur le lit et lui tend les bras. Albert la rejoint. Les deux corps s'épousent, hanches contre hanches, ventre contre ventre, poitrine contre poitrine, peau frémissante contre peau frémissante, sexe tendu contre sexe ouvert. Les mains de Jeanne se promènent sur la nuque d'Albert, sur son dos sculpté, sur ses fesses musclées qu'elles attirent contre elle. Enfin, Albert se cale sur ses bras et introduit sa queue au bord de l'explosion dans le sexe brûlant et étroit de Jeanne, Envahie par un sentiment de plaisir nouveau, elle referme ses jambes sur lui comme pour l'enfoncer au plus profond d'elle-même. Albert va-et-vient doucement mais profondément en elle, retenant son plaisir dans l'espoir d'emmener Jeanne avec lui dans l'orgasme. Les battements de son cur s'accélèrent inlassablement, et cette colonne vivante et trépidante, plantée au plus intime d'elle-même, qui l'emplit, qui fait vibrer ses chairs, qui palpite, tressaute et fait jaillir une nouvelle chaleur dans son ventre. Albert ne peut se retenir plus longtemps, il étouffe un cri dans la chevelure gorgée d'arômes de pluie et de sexe. Jeanne halète, plongée dans l'ouate de l'orgasme, les tensions ont portées l'excitation à bout, l'extase puissant les emmène au plus profond pour se déverser en jets impétueux.
Epuisés tous les deux, Albert s'effondre sur Jeanne, le nez dans le cou de sa tendre. Doucement, elle lui caresse les cheveux et la nuque. Elle sourit dans le vide, sourit à Albert qui ne la voit pas, sourit au plafond impassible, sourit à la vie qui s'ouvre à elle, sourit à la Jeanne nouvelle amoureuse.
***
Le dimanche suivant les deux familles sont à nouveau réunies chez Albert et Sylvie cette fois. Jeanne et Bernard sont venus à midi pour le déjeuner. La conversation va bon train sur les relations précédentes et celles à venir. Tous les jours de la semaine au lycée et à la maison, Sylvie et Bernard n'ont pensés qu'à ce dimanche, ils sont dans un enchantement sans limite, ils sentent monter en eux une véritable passion qu'ils étaient loin de soupçonner il y a seulement huit jours. Ils savent que leurs parents ont fait l'amour dans la semaine et qu'ils sont tombés follement amoureux. Ils sont bien conscients que si leurs parents s'aiment c'est quand même un peu grâce à eux.
Tout le monde a particulièrement soigné son look, sans être vulgaire, chacun a mis un petit accent de sexy. Jeanne et Albert font la conversation comme à l'habitude, les enfants les écoutent avec attention en mangeant. A la fin du repas, Albert fait passer ses deux invités au salon pendant que Sylvie va préparer le café. Jeanne complimente Albert du repas elle dit :
- Mais tu es un trésor ! Tu cuisines comme un chef ! Tu fais tout comme ça ?
Il est vrai qu'Albert et Sylvie avaient préparés ce repas avec beaucoup d'engouements.
Jeanne sans attendre de réponse pose sa main sur le bras de son fils :
- Ca te dérange si j'embrasse mon chéri ?
Elle embrasse Albert qui à son tour, l'attrape par le cou pour lui rendre le baiser qui se prolonge une minute.
Sylvie revient avec les cafés qu'elle pose sur la table basse et s'assoie sur le tapis devant le fauteuil de Bernard, tous deux matent leurs parents enlacés, ils sont fiers d'eux, si bien que Bernard rejoint Sylvie sur le sol et ils se mettent à imiter leurs parents en s'embrassant à pleine bouche. Il faut dire qu'ils attendaient impatiemment cet instant depuis une semaine. L'après midi est doux, la température très agréable, la baie vitrée est grande ouverte et les stores mi baissés sur un petit jardin bien entrenu.
Albert allonge Jeanne sur le canapé, elle met ses mains sous sa nuque, son chemisier remonte ce qui la gène un peu, elle le déboutonne pour découvrir sa petite poitrine libre. Albert s'agenouille devant le canapé, pose sa tête sur l'avant bras pour venir glisser sur un sein. La bouche trouve le bourgeon que la langue taquine. Un ronronnement de l'intéressée répond à cette caresse. La main de Jeanne vient sur les épaules d'Albert pour le soutenir. Albert suçote les tétons en caressant le ventre de sa dulcinée.
Fascinés, les ados contemplent ce manège, l'atmosphère particulière leur fait perdre tous repères familiers. Ils sont comme sur un nuage de voir cette scène. Bernard se redresse, pose une main sur la hanche de Sylvie, juste au-dessus de la ceinture du jean, l'autre remonte sous le débardeur et saisit un sein. Elle se laisse aller sans quitter des yeux les gestes de son père. Un souffle vient caresser sa nuque, lui murmurer des mots doux qu'elle entend mais n'écoute pas :
- Regarde comme ils sont beaux, comme ils sont heureux. On ne peut pas être jaloux devant un tel bonheur.
La tête de Sylvie bascule en arrière pour mieux écouter les belles paroles de Bernard, puis elle fait passer son débardeur par-dessus sa tête. Bernard la saisit aux épaules et l'invite à s'allonger. Le tapis moelleux l'accueille, une bouche s'empare de ses seins. Elle ferme les yeux, dans ses pensées elle ne sait plus qui la caresse, son père ou son copain, elle est bien. Après quelques minutes Bernard déboutonne le jean, Sylvie se met debout instantanément, sort pantalon et culotte, totalement nue, elle reprend sa position sur le tapis. Bernard ne se dégonfle pas, il se libère de ses vêtements. Sans embarras ni honte, comme si ils se connaissent depuis des années, Bernard reprend ses caresses. Il n'est pas habitué à prendre l'initiative, mais c'est grâce à sa mère qu'il connaît bien le corps féminin, celui-ci est différent, c'est relativement nouveau pour lui. Il caresse doucement du bout des doigts l'entre jambe, c'est bien moins touffu que sa maman, ça lui parait tout neuf. Son majeur se replie, suit la fente qui commence à suinter. Le bouton lui semble petit par rapport au grain de riz de sa maman. La main de Sylvie s'est glissée sur le bas ventre de Bernard et rencontre le gland au niveau du nombril. Le garçon s'allonge à coté de sa compagne. Il reprend les seins en bouche, il rapproche légèrement son bassin pour que Sylvie puisse saisir la verge afin de le masturber. Elle trouve une verge légèrement plus petite que celle de son père mais plus dure.
La tête de Jeanne a basculé sur le coté. Elle ouvre les yeux et voit les enfants unis. Cette image ne la choque ni ne la fâche, elle fait tourner le visage d'Albert pour qu'il regarde, il sourit comblé du bien-être et du bonheur de sa fille. Aucun signe de jalousie dans le regard des parents sur leurs enfants, au contraire, ce sont deux personnes pleines de sagesse et de béatitude qui admirent ce qu'ils ont de plus cher au monde. Dans leur nirvana, ils entendent cette expression de bonheur, ils se regardent, croisent leur regard et s'étreignent fortement.
Jeanne soulève son bassin pour faire appel. La bouche d'Albert vient se poser sur son triangle. Elle replie les genoux, écarte les jambes pour lui faciliter le travail. Il lèche doucement la saignée, trouve le petit bouton qu'il taquine avec sa langue. Jeanne saisit la tête entre ses mains, la guide et s'en sert comme d'un coussin avec lequel elle se frotterait. Albert soulève les cuisses afin de mieux atteindre le périnée. Sa langue va de la rosette au clitoris, ce contact lui procure comme un choc électrique. La langue s'insinue dans le vagin, Jeanne s'ouvre complètement elle voudrait toute se livrer à la langue. Transmission de pensée ou expérience, Albert comprend ce désir et affûte sa langue en poinçon pour qu'il ouvre ce nouveau chemin. C'est l'apothéose et un long cri modulé, ininterrompu, sort de la bouche de la maman. Jeanne a serré ses cuisses sur la tête d'Albert durant toute sa jouissance. Puis elle se relâche, écartée sur le canapé. Enfin elle attire Albert qui bascule sur elle, les yeux clos, les cuisses grandes ouvertes,
Jeanne enserre de ses jambes son amoureux, sa main va à la recherche de la bite serrée entre les deux corps et la guide dans sa chatte. Les mains de Jeanne posées sur les fesses d'Albert l'attirent sur elle, sans avoir donner le moindre coup de rein, la queue fichée en elle la fouille comme un intrus. Les souffles s'emmêlent sous le même sentiment qui les traverse. Jeanne referme encore plus ses jambes sur les reins d'Albert qui commence à mouvoir son corps de haut en bas Les corps s'harmonisent dans des mouvements gracieux qui s'impriment l'un à l'autre, ils cherchent et trouvent sans le vouloir un synchronisme naturel, comme une danse initiatique et instinctive. Cela produit un petit bruit de friction humide un peu obscène. Musique sublime de la queue, du vagin et du souffle des bouches auxquels se mêlent peu à peu les halètements de plaisirs. Le rythme monte encore, les reins se mettent à battre une sarabande de plus en plus folle, le cri venant de Jeanne devient une plainte continue et modulée. Les bras d'Albert sont en appui pour que chaque coup porté soit un coup qui la pénètre profondément.
La machine semble s'emballer, rien ne pourrait la retenir, la sève monte le long de la verge. Albert enfouit ma tête au creux de l'épaule qu'il mord à faire mal. Le cri de Jeanne est devenu une longue plainte rauque avec de curieux accents dans les aigus avant de finir en plainte de bête blessée, presque un sanglot. Le couple reprend son souffle dans une ivresse bien réelle accentuée par le regard des jeunes observateurs.
En effet Sylvie et Bernard ne peuvent détacher leur yeux de leurs parents tout en continuant leurs caresses réciproques. Après ce terrible spectacle, ils se demandent si ils doivent aller plus loin, ils se regardent un peu surpris de l'ampleur de l'exhibition. Ils restent enlacés un long moment. Enfin Bernard passe une jambe entre celles de Sylvie, sa cuisse vient frôler la petite chatte. Elle écarte largement les jambes pour faciliter ce contact si doux. Bernard masse doucement avec sa cuisse et ce frôlement est absolument délicieux. Le sexe de Bernard est trempé de jus intime. Les deux jeunes amoureux ferment les yeux et savourent cet instant unique. Ils frottent leurs bassins, entament des mouvements désordonnés. Les lèvres ne se quittent plus. Ils se serrent de plus en plus fort.
Jeanne et Albert ressentent qu'une intense et tendre complicité s'est instaurée entre tous les quatre, ils sont assez satisfait d'avoir montrer à ce qu'ils ont de plus cher au monde comment c'est l'amour, qu'il n'y a pas que des sucettes et des branlettes. Ils se lèvent et comme par transmission de pensée, ils avancent doucement vers leur trésor. Jeanne dit :
- Ho mes chéris, combien vous êtes mignons comme ça tous les deux, vous ne pouvez savoir quel plaisir on a, n'es pas Albert ?
- Oui c'est merveilleux, quand je vois ma petite Sylvie heureuse...... Avec Bernard, on aurait pas pu rêver mieux. C'est formidable Jeanne.
L'amour charnel des parents pour leurs enfants est toujours présent, ils viennent de prendre leur plaisir sous les yeux de leurs gamins, maintenant à leur tour d'admirer le joyeux duo formé par leurs précieux héritiers.
Encouragés par les anciens, les jeunes puceaux font monter la température des corps aussi bien de leurs parents que chez eux en multipliant les caresses manuelles. Albert et Jeanne poussent la table basse pour faire de la place et se glissent de chaque coté du jeune couple et comme tous bons parents qui se respectent ils ont envie de faire voir comment ça marche... Mais surtout pour mieux profiter de la scène. Les deux adultes se tripotent le sexe sans décoller les yeux de leurs progénitures
Enfin les deux jeunes amoureux se détachent, ils font chacun un demi tour pour se retrouver avec leurs parents respectifs comme pendant les soirées à la maison. Les deux nouveaux couples s'enlacent pour se prouver qu'ils sont toujours présents. Les caresses échangées entre parents et enfants vont beaucoup plus loin, ce qui est logique. Jeanne constate que Bernard bande plus fort que d'habitude.
- Je suis bien avec Sylvie maman, elle me donne beaucoup de bonheur, vois comme je suis dur.
Dit Bernard à sa maman en montrant sa tige toute droite et dégoulinante.
- Laisse moi te nettoyer mon bébé.
Sans attendre la réponse, elle pose sa bouche sur la cuisse de son gamin et se met en devoir de sucer ce gland bien brillant. L'idée vient à Bernard d'en faire autant, il s'incline donc vers le bas ventre de sa mère et fouille avec sa bouche dans les poils frisés pour trouver les lèvres et lécher tous les restes dans la chatte de la précédente pénétration. Le bout de sa langue passe le long de la vulve en douceur comme une récompense et comme sa maman lui a bien appris. Ils se retrouvent tête bêche tous les deux ce qui n'arrange pas les choses du coté de Bernard.
Tandis que Sylvie est assise entre les jambes de son père, qui d'une main palpe un sein et l'autre main s'agite sur la jeune chatte. Tous les deux regardent avec envie Jeanne et Bernard. Lorsque Jeanne jette un il vers Sylvie, elle à un petit choc, elle se dit qu'elle doit lui donner son Bernard, que ce n'est pas très correct de sa part de monopoliser ce tendre amour, il lui faut réparer cette petite faute. Elle pousse son fils sur le coté, l'étend sur le dos, la tige bien droite vers le plafond, il se demande pourquoi on l'abandonne si prêt de la jouissance.
Jeanne prend le visage de Sylvie entre ses mains et pose ses lèvres sur la bouche entr'ouverte, le regard dans les yeux d'Albert qui n'est qu'à quelques centimètres. Lentement mais sûrement le baiser prend forme, les bouches se soudent, les langues se lient pour redonner confiance à Sylvie. Jeanne lui caresse en même temps les épaules, la poitrine où elle rencontre une main d'Albert, puis elle s'insinue entre les cuisses. Sylvie s'offre totalement sans pudeur, elle comprend qu'elle a retrouvé une mère, elle saisit cette chance qu'est cette femme qui lui donne en même temps un amoureux et le bonheur de son père.
- Sylvie tu es vierge, n'es pas peur, aies confiance en moi, tout va bien se passer.
Lui dit Jeanne pour que tout le monde entende.
- Mais je veux, je veux Bernard, oui, s'il te plait Jeanne.
En disant ses mots, Sylvie se laisse emmener par Jeanne sur le tapis, couchée sur le dos, offerte, elle se caresse la chatte. Jeanne regarde Albert, ils considèrent Bernard, ils ne savent plus si ils sont de trop ou si ils doivent soutenir le programme suivant. Evidemment l'amour qu'ils ont en commun pour leurs enfants est plus fort, Jeanne amène son fils sur Sylvie, pendant qu'Albert s'est mis à genoux devant le visage de sa fille, il lui prend la tête, la pose sur ses cuisses en guise d'oreiller. Il caresse les cheveux et la poitrine de sa fille ne lui voulant que du bonheur. Bernard se laisse conduire par sa mère, voyant là, un plaisir supplémentaire à cette délicieuse séance. Il est sur les genoux entre les jambes de sa chérie, maintenu par derrière par sa maman, il sait ce qu'il va se passer, il bande comme jamais il n'a bandé. Sa maman prend la tige palpitante, se baisse pour la sucer encore un peu par gourmandise, il faut dire qu'elle est fière de cette bite, elle est belle, bien droite, bien raide. Aucun mot ne sort des bouches, les trois acteurs attendent que Jeanne décide. Elle frotte le gland suintant sur la fente ouverte, Sylvie et Bernard n'en peuvent plus d'attendre, Bernard pousse son membre gonflé dans l'étui brûlant qui s'ouvre progressivement.
- Ho oui Bernard, oui mon Bernard.
Le cri sourd est venu de Sylvie qui ouvre encore plus les jambes pour aspirer le membre en remontant son fessier. Fou de joie par ce spectacle peu commun, Albert et Jeanne caressent les deux corps assemblés et secoués pas les petits coups de rein successifs de Bernard. C'est Jeanne qui la première pose ses lèvres sur le corps en sueur de son fils, elle glisse sa langue entre les fesses bien exposées, elle ne peut résister aux odeurs excitantes qui s'échappent du couple. Elle ronronne en léchant toute la raie du cul, les couilles, même la petite chatte y passe sous la langue fouineuse. Sans le vouloir, Jeanne prend goût, elle s'attarde sur la tige de son fiston qui rentre et sort entre les lèvres roses un peu malmenées du jeune chaton. Ils ont criés tous les deux en même temps, Sylvie a été surexcitée par la bouche de Jeanne, quand à Bernard il ne pouvait plus attendre, il a jouit dans son amoureuse sous les yeux des parents puis s'est écroulé, abattu sur Sylvie.
Les deux jeunes amoureux gémissent toujours de bonheur en se séparant pour reprendre leur souffle, Bernard est étendu à coté de Sylvie, Albert est toujours à leurs têtes et Jeanne entre leurs jambes. Ils débitent des paroles apaisantes qui détendent les enfants. Jeanne et Albert sont enchantés de l'excellent déroulement du dépucelage. Albert caresse les cheveux de Bernard par reconnaissance du bonheur qu'il a donné à sa fille. Albert a repris de la vigueur par la beauté de cet accouplement, Jeanne est au ange, elle savoure l'extase de son gamin, ses deux mains n'en finissent pas de caresser les quatre cuisses plus ou moins entrelacées. Le climat se réchauffe rapidement chez les parents émoustillés par cette tragédie surréaliste, Ils sont seuls au monde, concentrés sur leur jeu, en phase les uns avec les autres.
Sylvie sent que Jeanne lui caresse les poils qui dissimulent l'entrée de sa grotte, alors qu'Albert est émerveillé par l'adresse et la douceur de Bernard envers sa fille, il ne sait que faire pour le remercier. Il balade ses mains sur les poitrines des jeunes corps. Toutefois la curiosité l'emporte et la nature lui a donné le goût de l'excès, il va d'un sein de sa fille aux petits tétons de Bernard. Il détaille, avec une lenteur qui ne fait qu'augmenter son plaisir
Jeanne se fait progressivement indiscrète à l'entrée de la jeune chatte. Le contact est merveilleux pour Sylvie qui tout comme Bernard éprouvent une sensation de bien être dans ce repos bien mérité. La maman caresse les lèvres intimes de Sylvie puis le clitoris qui se réveille à nouveau. Immédiatement Sylvie recommence à s'humidifier, instinctivement, Jeanne accélère ses caresses, elle est enchantée de voir Albert manifesté sa joie sur Bernard. Les mains des parents vont et viennent sur les corps des ados en se croisant, ils sont pris d'une joie nouvelle qui s'accroît encore par l'espèce d'interdit qui flotte dans l'air depuis toujours.
Les visages se penchent sur les bouches des jeunes, Jeanne embrasse son fils et Albert sa fille. Ils veulent en faire plus, dans leur emportement, les baisers s'approfondissent davantage et chaque main continue l'exploration suivit cette fois par les lèvres. Ils contournent les poitrines, se glissent sous les aisselles, tournant en cercle, souples et agiles. Ils ne sont même plus conscients, qui embrasse qui. Quand Albert sent peser ce membre moyen contre sa joue, splendide, jeune, droit et bien dur, parcouru par des vibrations insensibles qui frémissent le long de son visage. Il s'écarte un peu pour voir cette chose qu'il trouve formidable, il l'a prend en main plus par amusement en regardant Jeanne. Puis voyant que ses trois partenaires attendent la suite, Albert effleure lentement de son museau la colonne de chair qui fait un doux mouvement de roulis, puis s'attache définitivement au gland qu'il pénètre dans sa bouche. La jeunesse palpitante d'où se dégage une légère épaisseur de mousse âcrement odorante sur la petite toison chaude, Albert sombre dans les plus obscures profondeurs qu'il n'est imaginé. Les mains d'Albert vont alternativement des fesses aux couilles, alors qu'il se concentre sur la jeune verge.
Les deux femmes sont restées un moment à observer les deux hommes avec beaucoup d'attention. Jeanne ne peut plus attendre, elle se jette pratiquement sur Sylvie, elle pose ses lèvres sur la toison noire qu'elle absorbe. Sylvie sent le souffle chaud sur mon pubis, complètement anéanti, elle laisse à Jeanne toute à son initiative. La bouche arrive aux lèvres intimes. Evidemment Sylvie mouille de plus en plus, la langue caresse les grandes lèvres avant de s'attarder sur le bourgeon qui n'attend que cela. Pendant toute cette opération Jeanne s'est progressivement placée tête bêche par rapport à Sylvie qui voit maintenant la chatte à quelques centimètres de son visage. L instinct la pousse à poser ses lèvres sur le pubis épais et soyeux. Jeanne écarte largement les jambes et présente alors son sexe à la jolie demoiselle. Les deux femmes sont attirées comme des aimants, elles passent leurs bras autour des fesses pour bien se coller l'une à l'autre.
Bernard s'étale dans un bienheureux étirement, tout en laissant son sexe pénétrer la gorge triomphante, il se retourne avec un savant mouvement pour saisir la queue d'Albert pleine de vigueur, plus grosse et plus longue que la sienne, Bernard n'est pas impressionné, au contraire, armé d'une volonté de faire du bien, il absorbe la verge en manquant de s'étouffer, tandis qu'à deux mains il palpe les fesses et tente leur plis central.
Les longs murmures ajoutent à cette atmosphère une volupté foudroyante, où les quatre monstres touchent le point crucial et plus aigu que la première secousse, ça éclate et jaillit en même temps. Ils sont tous accablés et pantelants mais sûrement prêts à recommencer.
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