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Proposée le 13/04/2009 par Nadie
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Pendant des mois, Ute continua à observer les ébats de sa mère avec Erik. Elle vit sa mère prise dans toutes les positions. Ute prenait de plus en plus de risques pour trouver le meilleur angle de vue, il lui arrivait de haleter bruyamment quand elle se masturbait, heureusement les deux amants étaient trop occupés pour s'apercevoir de quoi que ce soit.
Chaque soir avant de s'endormir elle se caressait en pensant au long et gros sexe d'Erik.
Elle s'imaginait à la place de sa mère. Cela tournait à l'obsession.
Entre les visites d'Erik, Ute s'était mise à écouter à travers la porte de ses parents, à regarder par la serrure. Mais quand son mari lui faisait l'amour, la mère de Ute semblait nettement moins satisfaite que lorsqu'elle se faisait baiser par Erik.
Ute n'en pouvait plus, la masturbation ne lui suffisait plus, elle se mit donc en quête de quelqu'un qui pourrait enfin faire d'elle une femme. Aucun des garçons de sa classe ne l'attirait, ils manquaient de maturité, et pensait-elle probablement d'expérience, elle lorgnait du côté des classes supérieures, mais là il semblait que les garçons n'étaient pas attirés par son corps qui n'était plus celui d'une enfant mais pas encore celui d'une femme.
Comme ses parents ne l'autorisaient pas encore à sortir cela lui compliquait un peu les choses.
Un mercredi, après avoir assisté aux ébats de sa mère et Erik, alors que revenus dans l'épicerie, ils s'occupaient des commandes, Ute demanda à sa génitrice l'autorisation de se rendre chez une amie. Sa mère lui accorda sa permission et Ute sortit du magasin. Elle s'arrêta derrière le coin, près du parking où Erik garait sa voiture, et attendit l'arrivée de celui-ci. Erik arriva. Ute lui demanda s'il allait vers le centre et s'il pouvait l'y déposer. Le jeune homme répondit que ce n'était pas son chemin mais qu'il pouvait la rapprocher. Elle prit place dans la voiture et Erik démarra. Sans le regarder Ute dit : « Je suis au courant. Je vous ai vus. Vous devez arrêter ! »
Erik ne se démonta pas, et demanda calmement : « Pourquoi ? »
Ute lui répondit : « Ce n'est pas bien. Pour mon père. »
« Et ta mère, tu y penses ? » dit Erik.
« Ma mère, c'est une pute ! » rétorqua Ute.
Erik freina brusquement et rangea son break le long du trottoir.
Il dit : « Ecoute, ta mère et moi ne faisons de mal à personne, tant que ton père ne sait rien il ne souffre pas, et elle ça lui fait du bien, ça lui permet de rester aux côtés d'un homme qui ne la satisfait pas au lit. Si ce n'est pas moi ce sera quelqu'un d'autre. »
Ute prit son souffle et toujours sans regarder Erik elle dit : « Prenez-moi à sa place ! ».
Erik ne s'y attendait pas. Il ne put s'empêcher de rire.
« Quoi ? » fit Ute.
« Tu sais ce que je risque ? »
Ute sans répondre tendit sa main vers le sexe d'Erik, et commença à le caresser à travers la toile du pantalon.
« Tu risques ça, et tout ce que j'ai vu faire à ma mère.»
Ute sentit le sexe d'Erik durcir et elle sut qu'elle avait partie gagnée.
Erik démarra et prit la direction d'un parking souterrain.
Pendant le trajet Ute avait glissé sa main dans le pantalon et elle caressait maintenant la peau douce du sexe d'Erik d'une main et de l'autre se caressait elle-même.
Erik chercha un endroit un peu à l'écart pour stationner. Il coupa le moteur et descendit habilement son pantalon, puis autoritaire il dit à Ute : « Suce ! ».
Ute approcha sa bouche de la bite d'Erik, l'odeur qui s'en dégageait après qu'il eut baisé la mère de Ute eut d'abord un effet répulsif sur celle-ci, mais Erik la prit par le cou et la ramena autoritairement vers son sexe.
« C'est ce que tu voulais, alors vas-y maintenant !»
Pour la première fois de sa vie Ute prit dans la bouche un sexe d'homme.
Elle crut suffoquer tant il était énorme mais Erik ne relâchait pas la pression sur son cou.
Il lui ordonna de retirer son jeans et sa culotte. Puis à genoux sur le siège elle recommença à pomper Erik tandis que celui-ci glissait un doigt expert dans sa fente humide. Le va et vient du doigt d'Erik lui procurait un plaisir qui n'avait rien à voir avec celui qu'elle se donnait elle même.
Erik ne relâcha pas le cou de Ute avant d'avoir joui dans sa bouche.
Aussitôt qu'il eut éjaculé, il arrêta ses caresses et lui dit méchamment de se rhabiller et de sortir de la voiture. Il n'avait pas apprécié son chantage et voulait lui donner une leçon.
Ute lui répondit : « Non, pas avant que tu me fasses l'amour. »
Erik éclata de rire : « Moi je baise, je ne fais pas l'amour, et là, j'ai mon compte pour aujourd'hui. Mais tu peux m'appeler quand tu as le feu au cul. Et sache que je n'ai pas l'intention d'arrêter de baiser ta mère et tu ferais bien de l'observer, tu as beaucoup à apprendre, sale morveuse. »
« Embrasse-moi.» lui demanda Ute.
« Ca non plus je ne fais pas » et il lui tendit une carte de visite avec son numéro de téléphone.
Elle sortit de la voiture, humiliée et heureuse cependant.
Erik démarra sans un regard vers elle.