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Proposée le 25/03/2009 par caruso
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Ceci s'est passé il y a quelques années.
Dans un précédent courrier, j'avais raconté comment j'avais surpris, ma femme Bernadette, jolie petite blonde de 36 ans en compagnie d'un de ses camarades de travail entrain de faire l'amour.
J'avais fait part de leurs ébats, en les regardant, malgré la colère, j'avais pris du plaisir à les observer, et je n'avais rien dit à mon épouse.
Quelques temps plus tard, j'ai fais part à ma femme de ce que j'avais vu ce jour là.
Très surprise, elle avait tout d'abord niée, mais devant certaines précisions, elle avait reconnue m'avoir trompé, elle m'avait juré qu'il n'y avait eu qu'une seule fois, qu'elle m'aimait et ne recommencerait plus.
Deux ans s'étaient écoulés paisiblement, la vie avait repris comme avant, jusqu'à ce mercredi après midi où elle me téléphone, pour me dire qu'elle rentrerait tard, car elle avait une fin de mois assez difficile à boucler avec son chef de service.
J'ai trouvé qu'elle avait une voix bizarre et la façon dont elle me présenta la chose me laissa pensif, cela m'a paru un peu louche. En débauchant je décide donc de passer discrètement la voir à son bureau.
Bernadette travaille dans une entreprise assez importante, elles sont plus de trente secrétaires, elle a changé de chef de service depuis 4 mois.
D'après ses dires, c'est un homme de 40 ans, célibataire, assez sportif et assez grand, soit disant très séduisant, bien porté sur le sexe, il est vrai qu'avec toutes ces jeunes femmes, qu'il dirige !
La semaine dernière, mon épouse, m'a dit que la sous chef de service partait à la retraite et que vu son ancienneté, elle était pressentie pour la remplacer.
Cette place l'intéresse particulièrement, son salaire sera doublé, et elle s'occupera de distribuer le travail, ainsi que de la gestion, du recrutement et de l'embauche de ces jeunes filles, secrétaires ou comptables.
J'arrive devant l'entreprise, les employés sont entrain de débaucher, j'attends vingt minutes et je monte discrètement jusqu'à son bureau, je connais parfaitement les lieux, pour y être venu assez souvent.
La porte du bureau est légèrement ouverte, il n'y a personne, j'entre, le bureau de son chef est contigu au sien, la porte est entrebâillée, d'où s'échappe des bruits et des rires.
Je m'approche et regarde, je suis positionné de telle façon que je peux voir sans être vu.
Je suis cloué sur place, son chef, un grand et corpulent black, est assis à son bureau, sur ses genoux à califourchon, Bernadette. Ils sont entrain de s'embrasser fougueusement à pleine bouche, je devine les langues qui s'entremêlent.
Son partenaire a passé ses larges mains qu'il promène sous le petit haut de ma femme qui pousse de petits cris. Sa jupe est relevée, je peux voir son petit slip.
Bernard, c'est son nom, dénude le haut de sa partenaire, il suce goulument ses petits seins et descend ses mains vers l'entrecuisse bien écartée de ma femme.
Que faire ? entrer dans le bureau, et provoquer un scandale, ma femme perdra à coup sûr son travail, ce n'est pas le moment car nous avons besoin de son salaire.
La main de Bernard est maintenant dans la petite culotte de mon épouse qui ouvre bien grand ses cuisses tout en gloussant de plaisir, il écarte maintenant le petit slip en dentelle rouge, et pénètre avec un de ses doigt, sans aucune difficulté la petite chatte bien lubrifiée de ma chérie.
J'observe avec colère ce gros doigt coulisser dans la petite moulette bien ouverte de ma femme qui en couine de plaisir.
Au bout d'un certain temps, il soulève sa partenaire, et la dépose devant lui, il se lève et ôte son pantalon et son slip.
Je suis stupéfait par ce que je vois, il a un sexe hors norme, assez gros, et surtout très long, il avoisine les vingt centimètres.
Je ne vois pas la tête de mon épouse, mais elle doit être très surprise, elle qui a une petite minette très étroite, cela va lui faire tout drôle d'être pénétrée par une aussi longue et grosse bite.
Il se remet dans son fauteuil, il la fait mettre à genoux et lui intime l'ordre de le masturber, ensuite, il prend sa tête avec ses mains et la rapproche de son sexe, elle le lèche, mais ce qu'il souhaite c'est autre chose.
Elle a de la peine à absorber un tel engin, il la force, elle hoquète et manque à plusieurs reprises de s'étouffer.
Passé ce supplice, il la dénude entièrement, la positionne dans son fauteuil cuisses bien ouvertes et relevées assez haut, il entreprend de lui manger son petit abricot qui de part sa position est bien ouvert, il la lèche sans ménagement avec son épaisse langue, mordille son clito, enfonce sa langue dans l'intimité juteuse de sa partenaire qui est toute rouge et qui halète et transpire sous ses caresses.
A un moment, je vois ma femme se raidir et trembler de tout son corps, elle vient de jouir, il plonge sa langue à la rencontre le la jouissance de Bernadette.
Il ne va pas être déçu, car d'ordinaire, elle mouille abondamment.
Elle a du mal à reprendre ses esprits tant cela a été violent.
Il finit de se dénuder, la prend par les hanches et la positionne sur son bureau, cuisses bien ouvertes.
C'est vrai que c'est un bel homme bien musclé, ma petite femme, toute fine parait bien frêle comparé à son partenaire.
Il positionne son gros gland à l'entrée de la petite moule bien ouverte et toute juteuse de mouille, Bernadette anxieuse, se met sur ses coudes pour suivre cette pénétration qui devrait s'avérer assez juste et surtout assez laborieuse, vu l'étroite minette de mon épouse.
Le gland avance lentement se frayant un passage en écartant les lèvres, il est stoppé dans sa progression, la petite vulve, grande ouverte, et bien lubrifiée ne peut absorber un tel intrus. Il pousse, ma femme grimace et se mord les lèvres, Bernard prend Bernadette par les hanches et donne un coup sec qui a pour effet de franchir la porte, mon épouse pousse un cri, étouffé par un profond baiser.
Aucun des deux amants n'ose bouger, puis je vois la queue s'enfoncer lentement pour se bloquer au deux tiers de sa longueur, bien encrée au plus profond de son vagin.
Bernadette transpire et halète fortement sous les assauts répétés de son amant.
Je suis impressionné de voir cette bite coulisser tel un piston bien huilé à l'intérieur de l'intimité de mon épouse qui gesticule et s'écarte au maximum.
Il positionne les jambes de mon épouse sur ses épaules, écartant et pénétrant encore plus profond sa chatte, elle souffle et à des difficultés pour respirer, sa bouche est grande ouverte.
Etre aussi bien prise, par une aussi grosse et longue queue, sentant venir le plaisir, je la vois se raidir, agripper son amant, en le griffant, elle crie sa jouissance sous les poussées de son chef, qui n'a qu'une idée, faire pénétrer son sexe entièrement.
Malgré tous ses efforts, la grotte intime de ma femme ne peut avaler cette queue .
Il se retire enfin de l'abricot bien fendu et tout juteux, il prend sa partenaire par les hanches et la positionne sur le canapé pour la prendre en levrette, Bernadette bien écartée et cambrée au maximum n'attend que la pénétration.
Il la prend et la besogne activement, arrachant un cri à mon épouse à chaque fois qu'il percute le fond de son vagin tout dégoulinant de jouissance.
Cette bite toute luisante se retire et se positionne maintenant devant l'anus dilaté de sa secrétaire, avec ses mains, ma femme écarte ses fesses au maximum, Bernard en profite pour y planter son doigt qu'il fait coulisser aisément..
Il faut dire que mon épouse est une adepte de la sodomie, elle possède de nombreux godes et plugs assez imposant qu'elle s'enfile régulièrement, bien souvent il lui arrive de partir travailler un petit plug dans l'anus, elle le garde une bonne partie de la journée.
De ce coté là je sais qu'elle supportera et appréciera cette belle queue, il n'a aucune difficulté à la pénétrer sous les encouragements assez crus de ma femme.
Bernadette trémousse son petit cul pour qu'il la pénètre entièrement, mais elle est bien trop longue, Bernard la besogne sans ménagement, au bout d'un moment, il éjacule longuement et crie sa jouissance, après un cours instant sans bouger, il retire son membre tout luisant et maculé de sperme et d'excréments.
Il lui a mis une belle dose, car de son petit trou s'échappe un filet de sperme assez abondant.
Les deux amants s'enlacent, en se soudant dans un profond baiser, leurs corps tout transpirant est impressionnant à voir.
Ils se dirigent vers la douche en riant et en s'embrassant.
J'en profite pour m'éclipser, jaloux et vexé d'avoir vu ma femme jouir aussi fortement et prendre autant de plaisir sous les caresses et les pénétrations de son amant.
De retour à la maison, j'ai attendu Bernadette qui arrive un peu plus d'une heure après, il est aux environ de minuit.
A son arrivée, elle m'embrasse, je lui mets la main sur les fesses, elle me repousse vivement, me disant qu'elle a eu une journée fatigante, j'en suis convaincu.... Si elle savait !
Je lui en ai parlé un mois plus tard, elle m'avoua que c'était dans le contrat que son chef lui avait proposé pour avoir le poste qu'elle convoitait, et qu'elle a obtenu.
Son chef selon ses dires, ne lui a jamais plus fait l'amour, quelques baisers ou attouchements, il est vrai qu'il n'a que l'embarras du choix autour de lui.
Je vous raconterai un autre épisode qui a suivi, car mon épouse de par son poste était devenue responsable du recrutement, et en fait, dans cette affaire j'ai eu quelques compensations .....