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Proposée le 21/03/2009 par franvel
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Trois fils de leur mère
Ces dix dernières années sont vides dans ma vie depuis la disparition de mon mari, François, on s'aimait comme des fous, avec cet accident professionnel, il a disparu de ma vie en me laissant toutefois trois fils, trois beaux garçons. C'est ce qui m'aide à vivre, à me battre pour leur assurer un avenir. Tout mon temps leur est consacré pour qu'ils vivent bien, d'une façon sereine, en essayant d'oublier cette tragédie. J'ai touché une belle prime d'assurance, la maison a aussi été payée par la compagnie, je n'ai donc pas de souci matériel.
L'aîné, Hervé dix huit ans est presque un homme. Gabin le deuxième est très prêt de son grand frère avec treize mois de moins. Le petit dernier, Simon qui va avoir sur ses seize ans. Hervé veut toujours remplacer son père, enfin il essaie, en étant autoritaire sur ses frères. Dans l'ensemble ils s'entendent merveilleusement bien et font tout pour que je sois satisfaite. Si je ne les avais pas, jamais j'aurais supporté cette vie sans François. Évidemment il était hors de question d'amener un autre homme à la maison. Alors je me suis construit ma petite routine, le travail, les études pour les enfants, les vacances. J'ai bien gardé des contacts avec quelques d'amis, mais toutes seules ce n'est pas très gai, je repousse donc les chances de les voir souvent.
Hervé a toutes les filles qui lui courent après mais je vois que c'est moi qui compte avant tout et j'en suis fière. Gabin, lui a un faible pour une fille de son bahut et le petit Simon, c'est le plus calme, il ne dit jamais rien. Le soir chacun fait ses affaires en pyjama, sur leurs cahiers, sur l'ordinateur, à leurs jeux, ou à la télé. Moi j'ai les travaux de la maison, cuisine, vaisselle, lavage etc....
Samedi derniers alors que j'allais me coucher, rompue d'une dure journée au bureau, la petite voix de Simon m'interpelle :
- Tu ne restes pas maman ?
- Non mon chéri, je suis fatiguée, je vais me reposer.
- Mais on a un truc à fêter !
- Oui, c'est vrai !
Hervé s'est redressé et a le même regard suppliant que son petit frère.
- Tu devrais t'asseoir, ce soir c'est une grande soirée !
- Ha oui et quoi ?
- C'est ton anniversaire maman enchérit Gabin de son ordinateur.
- Ho !!! Comme c'est gentil d'y avoir pensé. Bon.... Ben..... je vais mettre mon pyjama et j'arrive...
Quand je reviens de ma chambre, il y a une nappe sur la table basse du salon, des bougies, un gâteau a été découpé et mis dans des assiettes, une bouteille de champagne et quatre flûtes. Je suis surprise de la rapidité du service, je m'approche, prends la bouteille de champagne. Lorsque je leur demande où ils ont pris tout ça, tous les trois la bouche en cur :
- C'est notre secret !
Hervé me prend la bouteille et me fait signe de m'asseoir dans le canapé, malgré ma lassitude, je souris contente et émue de ces intentions. L'amour que porte mes enfants pour moi me fait fondre en larmes.
Mes garçons viennent m'entourer et me dire combien ils m'aiment.
Je reprends mes esprits et c'est Gabin qui lance :
- Alors on l'ouvre cette bouteille ?
Je me retourne et avec un petit sourire je lui demande si il est bien certain de pouvoir boire ça à son âge. C'est en se tapant fièrement sur le poitrail qu'il m'annonce qu'il est un grand maintenant. Tous éclatent de rire, c'est Hervé qui fait le service. Pour la soirée, ils ont même prévus un film romantique, ce qui me touche encore plus. Chacun regagne sa place, Je m'installe au bout du canapé, les pieds posés sur la table qui est largement assez grande pour tout contenir, pendant que Gabin et Simon occupent l'autre moitié du canapé. Le film démarre, on est vite plongés dans le petit écran et le nez dans le gâteau au chocolat. Je savoure ce moment unique avec une joie intérieure qui me fait oublier ma fatigue.
Eprouvée par toutes ces émotions, mes paupières deviennent lourdes malgré tout, je me laisse somnoler un instant. C'est Gabin qui me réveille en se pressant contre moi pour me faire un câlin. Aucun de mes trois fils ne s'est rendu compte que je dormais. Ce petit somme m'a permis de recharger mes accus. Gabin met sa tête sur mes cuisses, je lui caresse les cheveux, je sais que ça l'énerve un peu, alors je glisse ma main sur son ventre sous sa veste de pyjama ce qui le fait ronronner comme une chatte pendant que je tente de retrouver le sens du film. Machinalement je continue de caresser son ventre jusqu'à ce que ma main bute sur quelque chose. Rapidement je remonte mes doigts. Gabin n'ose plus bouger, moi non plus puis je reprends mes mouvements en évitant de trop descendre pour ne plus heurter la sensibilité de mon fils, qui contre tout ce que je peux penser est réellement entrain de grandir. Difficile de penser que cet ado a une belle érection qui déforme le devant de son pantalon de pyjama.
Simon suit sans réaction la scène. Hervé est un peu gêné, lorsqu'il tourne son regard vers moi, ses yeux tombent sur le bas ventre de son frère, son regard reste fixé. Je ne sais plus trop quoi faire ou dire, mon grand retournera vers la télé à un moment ou à un autre de toute façon. Mais cette fois Simon voit la réaction de son grand frère et curieux de savoir ce qui attire son regard se retourne à son tour. Quand ce dernier voit l'érection de Gabin il ne peut se retenir.
- Et bien Gabin, on dirait que tu grandis de partout !
- Pffffffffff. Et alors ? Regarde le film plutôt !
- T'as vu Vevé ? (c'est comme ça qu'ils surnomment leur frère Hervé) C'est vrai qu'il devient un homme le petit Gabino... bon il doit juste apprendre à ce contrôler en présence d'une dame c'est tout...
- Ouai... heureusement que c'est maman... si c'était Lucie...
- Hé ho ça va... lâchez moi... et puis Lucie elle sait quoi faire avec....au moins moi j'en ai une meuf !
- Ouai ouai c'est bon... la ramène pas avec ta miss, tu nous a toi-même dit cet après-midi qu'elle te saoulait.
Après quelques palabres sans valeur, Hervé et Simon se retournent vers la télé légèrement vexés. Gabin se déplace pour s'arranger un peu, il décolle sa tête de mes cuisses pour la placer différemment et remonter son pantalon de pyjama et ainsi faire buter son petit membre contre ma main, Une rapide excuse sort de sa bouche qui du coup se replace comme il était. Je me penche pour lui donner un bisou sur le front.
Cependant l'érection de Gabin me tracasse, ce sexe tendu est toujours bien apparent, et je ne cesse de me demander ce que cette Lucie a bien pu déjà faire on mon petit chéri. Suivant les mots des garçons, il n'avait pas fait que s'embrasser. J'avais déjà parlé des filles avec le plus grand, mais je n'avais jamais senti le bon moment pour le faire avec Gabin et encore moins avec Simon. L'urgence pourtant s'en faisait sentir, je parlerais demain à mon fiston ou alors dans la semaine. Après tout je ne suis pas certaine qu'ils en aient vraiment besoin, aujourd'hui les jeunes connaissent beaucoup de choses. Le film dure encore, je sens des fourmis dans mes pieds. J'essaie d'étirer mes jambes mais avec la tête de Gabin ce n'est pas facile, me sentant gigoter, il se soulève et à nouveau le membre durci vient encore me frôler. Cette fois-ci le garçon ne s'excuse pas, je regarde la bosse tendue de son pantalon et je me demande si c'est bien normal qu'un quart d'heure après il soit toujours dans un tel état.
Par moment le regard d'Hervé se tourne vers le canapé. Il ne dit rien, mais je sais qu'il voit toujours l'érection de son frère. Pour Simon c'est déjà de l'histoire ancienne. Ce n'est que quelques minutes plus tard que le regard de mon plus grand semble se poser ailleurs, c'est sur mes genoux nus. Mes jambes sont engourdies et je n'ai pas senti ma chemise de nuit remonter par les gestes de Gabin. Ma tenue reste tout de même convenable. Pourtant Hervé revient à la charge, je croise son regard, il s'empourpre et retourne vite à la télé. Je vérifie encore puis je vois qu'en fait le visage d'Hervé n'est plus sur mes genoux mais sur mes cuisses, tout aussi dénudées. Je ne sais pas quoi faire, je devrais rabaisser ma chemise de nuit mais j'ai peur que mon Gabin le remarque et relance une salve de quolibets à son frère. Je tente donc de me concentrer sur le film, un bref coup d'oeil à l'horloge, une demie heure de passée, plus qu'une heure tout au plus.
Cinq minutes passent avant que Gabin ne gigote encore. Je n'en crois pas mes yeux, mon enfant est toujours dans un état certain d'excitation, il tente comme il peut de réajuster son pantalon. J'en profite pour bouger un peu mes jambes mais les mouvements de l'un et de l'autre ne fait que remonter encore plus ma chemise de nuit qui est maintenant en haut de mes cuisses. Rapidement je tente de redescendre le tissu mais Gabin a déjà repris position sur mes cuisses, ma chemise semble bloquée sous moi. Je sens l'air agir sur ma peau, les cheveux de Gabin me chatouille un peu, pas de façon désagréable. Ma main reste sur son épaule. Mais ce petit chenapan ne l'entend pas de cette oreille, il saisit ma main pour la replacer sur son ventre. Un peu maladroite, je tente de suivre le mouvement mais c'est presque toute ma paume qui vient frôler le petit membre durci. Cette fois, Gabin ne réagit même pas. Peut être qu'une érection aussi prolongée l'a engourdit, pensais-je.
Quand mon regard remonte sur l'écran, je vois celui d'Hervé qui nous fixe puis se détourne à nouveau. Je suis quand même gênée. J'ai bien fait la leçon à mes garçons, « pour dormir on met un pyjama, les slips ou les caleçons c'est pour la journée, on ne garde pas de sous-vêtement sale pendant la nuit ». Alors moi, avec une chemise de nuit aussi longue, pourquoi j'en porterais ? La tête de Gabin se trouve appuyée contre le haut de mon pubis. Assise comme je suis, si mon garçon se tourne il aura une vue imprenable entre ses jambes. Une heure de film, un film pas si mal d'ailleurs, mais les secondes ont l'air de durer des minutes. Gabin a un peu glissé, ça m'arrange bien j'ai maintenant ma main sur son torse plus que sur son ventre. Par contre j'ai une cuisse découverte presque entièrement, tandis que la tête de mon fils repose sur l'autre. J'essaie de me soulever doucement et de remonter un peu ma jambe bloquée. C'est le moment que Simon choisit pour faire une pause pipi. Sans rien demander à personne le garçon se lève, appuie sur la télécommande pour mettre le film en pause et se précipiter aux toilettes en allumant le lustre du salon, la lumière blafarde inonde tout le monde un instant, juste le temps que les deux autres frères grognent contre le troisième, celui-ci se confond en excuses feintes et court au petit coin.
Rapidement je baisse les yeux et voit que Hervé contemple le haut de ma cuisse, il doit voir une partie de ma toison. Je réajuste ma chemise de nuit, pousse la tête de Gabin et part en direction de ma chambre pour me servir des toilettes de sa salle de bain. A l'intérieur, assise sur les commodités, je tente de reprendre mes esprits. Que mon fils est vu mon pubis n'est pas très grave dans l'absolu, mais pourquoi cela la me rend si... humide. Quand j'essuie les dernières gouttes je me rend bien compte qu'il y a autre chose que de l'urine entre mes lèvres intimes. J'ai honte, le feu me monte aux joues, comment peut-on être excité par son fils ? Je rajuste ma chemise de nuit, j'entends Simon courir vers le salon, mon dieu, ce garçon ne sait pas marcher, il court tout le temps, je reviens dans le salon. Où les trois garçons m'attendent, ils ont chacun une coupe de champagne à la main, Hervé m'en tend une. Gabin semble plus calme d'un coup, même si une tache humide macule le devant de son pyjama.
- A nous !
- Oui à nous !
- Vous devriez faire attention mes enfant, c'est de l'alcool quand même...
- A nous !
J'ai à peine pris une gorgée que je vois mes trois garçons descendre leur flûte cul sec. Je me dis qu'ils vont être saoul avant d'aller au lit. Mais bon, c'est aussi la fin de la petite souffrance pour eux, alors... Cette fois je m'assois normalement sur le canapé, Gabin revient prendre sa place précédente, il attend bien que je pose mes pieds sur la table mais ne me voyant pas bouger, il s'allonge à moitié dans le canapé, un peu dépité. Le film reprend et c'est un quart d'heure plus tard que je sens la main de Gabin se glisser sous mes cuisses pour poser sa tête, comme il l'aurait fait avec un oreiller. Je suis mal avec ce bras sous moi, je gigote, tente de garder les cuisses serrées, j'ai peur d'engourdir le bras de mon fils. Gabin relève son visage et me regarde perplexe, puis, comme vaincu, il part de l'autre côté du canapé posé sa tête sur l'accoudoir.
Ainsi libérée je me mets à mon aise, les jambes remontées sous moi. Je place bien ma chemise de nuit, histoire d'être sûre d'éviter tout nouvel incident, et quand je regarde mon fils je m'aperçois qu'à nouveau son sexe se dresse dans son pantalon de pyjama. Je n'en crois pas mes yeux, le film n'avait rien montré de bien excitant, même pour un garçon de cet âge, et je me demande maintenant si cette érection n'est pas due à mes charmes. Mais non ! Pas pour un garçon qui est mon propre fils !
Le film se poursuit, tout le monde semble absorbé par l'histoire et pourtant, toujours sur le canapé, Gabin s'amuse à faire passer ses jambes sur les miennes. Il les caresse, les chatouille du plat du pied ou avec ses orteils. Cela me fait rire par moment mais me trouble. Ce simple petit jeu prend un tout autre aspect quand je vois que son érection gagne de l'ampleur à chaque fois qu'il glisse un pied jusqu'à au-dessus de mon genou. Le pénis de mon fils ne semble pas vouloir de repos. Et le pire c'est qu'il ne semble plus du tout s'en soucier. Hervé de l'autre coté, lui, par contre, ne loupe rien du jeu qui se déroule sur le canapé. Encore moins quand il avance à son tour son pied sous ma chemise de nuit. Instinctivement je plaque ma main sur le pied impudent à travers le coton. Le jeune homme est un peu surpris, il me regarde pour que je relâche son pied. Je ne suis pas prête à laisser ce genre de stratagème prendre. Si Hervé veut que ça ressemble à un jeu, soit, je répondrai sur le ton du jeu, mais rien n'arrivera. Je comprends très bien que mon fils, à son âge, soit tourmenté par tout ce qui touche la féminité, et comme je suis la seule représentante féminine à la maison, je dois subir ses ardeurs ? Mais ce genre de problème n'était jamais survenu précédemment. Pourquoi maintenant ?
Le film se termine enfin. Je me sens épiée, observée. Par Hervé qui surveille sûrement ce que Gabin peut faire, et par Simon qui le guette sans en avoir l'air. Gabin se retourne, il s'étire, me sourit et me demande comment j'ai trouvé le film. Hervé est debout devant moi, il me tend la main pour m'aider à me lever quand son regard tombe dans mon décolleté avec une fermeture à cinq boutons grossiers. Un pan était resté plié et Hervé a une vue plongeante sur presque tout un sein. Je suis le regard de mon fils et rabat rapidement le pan de ma chemise. Mais ce n'est pas possible ! Qu'est-ce qu'ils ont ce soir ?
Hervé balbutie un peu et me demande si je veux quelque chose maintenant.
Je lui souris, au moins il donne l'impression de ne pas l'avoir fait à propos. Je réponds gentiment que je vais sûrement aller me coucher. Mais mes garçons me lancent un regard réprobateur accompagné d'un « bouh » de désappointement. Ils savent bien que je vais me coucher beaucoup plus tard le samedi soir, parfois même après Hervé. Ce serait bien la première fois que j'irai au lit si tôt. Mais j'avais besoin d'être tranquille sans trois garçons infernaux autour de moi. Je me retrouve prise au piège. Je finis par accepter un café et un autre film à la télé.
Après une salve de hourra, mon café est servi, le film lancé et le calme revenu. Je me réinstalle à mon aise sur le canapé, Simon est aux toilettes et va sûrement venir leur dire bonne nuit avant d'aller dans sa chambre. Mais quand Simon revient c'est pour s'installer à son tour sur le canapé, tout contre moi, comme il l'était au début de la soirée. Cette fois le petit Simon en posant sa tête sur mes cuisses met aussi une main sur mon genou. C'est vrai qu'il doit être à peine neuf heures, la soirée avait commencé tôt. Je n'allais pas envoyer mon petit au lit à neuf heures le premier week end des vacances. Alors je glisse une main sous mes genoux pour coincer ma chemise de nuit et me détendre pour regarder le feuilleton. En fait le contact de la tête de Simon sur mes cuisses est loin d'être désagréable.
Gabin s'appuie sur mon côté droit, la tête légèrement posée sur mes seins. Je commence à être un peu agacée. Ce qui me fait par contre vraiment rougir c'est le regard de Gabin, qui un peu dubitatif, fixe ma poitrine déformée par la tête d'Hervé. Elle semble vouloir durcir, pourtant il ne fait pas froid ! HO NON ! Je ne vais pas à nouveau être excitée par ses garçonnets. Je me redresse un peu pour que mon fils arrête de jouer à cache-cache derrière mes seins. Je remarque très vite que, soit mon fils est plus que malin, soit la chance est de son côté. En me redressant j'ai laissé échapper le pan de chemise coincée sous moi et maintenant Hervé qui se trouve assis sur le tapis, me caresse le mollet nu. Ses caresses s'arrêtent à la lisière de ma chemise mais j'ai tout intérêt à la coincer à nouveau. Cependant la main de mon fils qui va et vient sur ma jambe me donne déjà des frissons. Ses doigts sont si doux, si légers. Je me concentre sur la télé, je vois qu'il s'arrête à la lisière de la chemise, mais à chaque passage de ses doigts il repousse le vêtement. Le tissu se déplace lentement à chaque fois, et c'est plusieurs centimètres de peau dénudée que mon fils gagne. Au bout d'un moment j'ai les genoux à l'air.Gabin se lève, se place derrière moi et vient me donner un merveilleux massage des épaules comme il a quelques fois l'habitude de me le faire.Hervé ne bouge pas d'un pouce, il ne joue plus avec le pan de ma chemise de nuit. Je ronronne, miaule presque sous les doigts agiles de Gabin. C'est vrai qu'il est doué, il l'a toujours été. J'ai presque failli pousser un cri quand les doigts de Gabin ont glissé sous le col de ma chemise et venir frictionner mes épaules. Rapidement je regarde mon décolleté, tout va bien, je lève les yeux pour voir où se pose le regard de Gabin mais c'est dans le mien que ses yeux plongent. Je me détends à nouveau et savoure les derniers cercles que décrit mon Gabin sur le haut de mon dos.
Après quelques minutes, Hervé reprend ses caresses, il arrive à ses fins ; ma chemise de nuit ne couvre plus du tout mes genoux. Mais c'est qu'il me déshabillerait complètement s'il pouvait ce salopiot. Je ne lui en veux pas, c'est de son âge comme on dit, il veut s'amuser, mais ça n'empêche que je ne suis pas à l'aise. Maintenant Hervé a complètement découvert mes deux genoux et une partie de son visage est maintenant colée sur ma peau. Je veux me redresser quand Simon à son tour passe derrière moi pour me masser à son tour. Je n'émets qu'une vague protestation, comment lui dire non alors que Gabin vient de le faire. Mais Simon ne frotte pas sur ma chemise de nuit, il attaque directement dessous. Je me contracte, mais les doigts de mon garçon me détendent tellement. Ses massages sont différents de ceux de son frère. Plus fermes, plus appuyés, chaque muscles et ligament rouler sous ses mains déjà puissantes pour son âge. Simon est plus jeune et son touché a quelque chose de plus virile, de plus mature. Je passe un bras sur ma poitrine pour cacher les pointes qui n'en finissent pas de rappeler leur présence. Après avoir repris sa place à mes cotés, Gabin repli ses jambes et sa tête glisse sur mes cuisses à la place de Simon. Se faisant le tissu sous sa tête glisse de concert et la joue de Gabin est maintenant lovée sur ma peau nue. Ce n'est d'ailleurs plus ma jambe qu'Hervé caresse doucement mais mon genou et ma cuisse. Quand les doigts frêles passent sur l'intérieur de ma cuisse, j'ai un frisson qui me parcourt de bas en haut. Dans son genre, il est très doué lui aussi et ne semble pas se lasser de cajoler mes genoux et mes cuisses. Je sais que ma chemise n'ira pas plus haut, le contact du visage de Gabin contre ma peau m'électrise.
Gabin se tourne un peu, se replace, c'est maintenant son souffle qui glisse sur ma peau. Cette douce chaleur est insoutenable. Mon corps réagit à ces petites stimulations, j'ai beau me concentrer sur le film, je n'arrive pas à enlever de son esprit la moiteur qui émane d'entre mes jambes. J'ai honte, honte que ces attouchements assez innocents quand même arrivent me mettre dans un état pareil. Je me demande si ils sont vraiment conscients de ce qu'ils font. Je n'ai jamais eu d'homme depuis la disparition de mon mari. Mais comment je peux comparer des mains d'hommes aux caresses gentilles de mes enfants adorés ? Je ne suis pas vraiment chatouilleuse mais quelle femme pourrait supporter sans réagir qu'on la touche à ces endroits ? Surtout par ses propres rejetons !
Le film se termine et je ne suis pas sûre d'avoir tout suivi. Les films laissent la place aux programmes des chaînes, l'atmosphère se détend. Hervé est déjà debout, il explique à Simon que ce n'est pas comme ça qu'on doit masser des épaules, c'est de la peau, des muscles, des nerfs et pas une pâte à pétrir. Et sous les yeux attentifs de Gabin, à genoux sur le canapé, Hervé place ses mains sur mes épaules et entame un nouveau massage.
Hervé décrit chacun de ses mouvements, Gabin et Simon regardent attentivement. Que peuvent-ils voir de là je me demande, si ce n'est les doigts du grand frère agir sous le tissu. Le cours d'Hervé est magistral, ses mains aussi. Il appuie un peu plus, fait des gestes un peu plus amples. La fermeté de son touché rend encore meilleur le massage, il allie cette part de féminité en lui avec la fermeté de Simon. Peut être a-t-il été vexé que je ronronne sous les doigts de Simon. Par moment les mains d'Hervé descendent sur mes bras. Je n'y prête pas spécialement attention, ma chemise est fermée normalement, mais quand il remonter ses mains en les glissant légèrement devant, c'est sur la base de ma poitrine que les doigts de mon fils vagabondent. Il ne reste pas, et repart aussi vite qu'il y est venu mais son geste se répète. Je ne sais plus quoi faire. Si il était seul je n'hésiterais pas à lui faire remarquer. Et pourtant il me semble plus audacieux que d'habitude. Ses doigts osent aller toujours un peu plus loin sur ma poitrine sous le regard de ses deux frères. Dans un sens je suis contente d'avoir une belle poitrine. Les mains sur elles sont si douces, si attentionnée.
C'est un feuilleton qui démarre, Je fais le vide dans ma tête pour essayer de le suivre. La tête de Simon va et vient imperceptiblement le long de mes cuisses. Je me demande ce qu'il fait dans un premier temps puis au bout de quelques minutes il a dégagé le terrain pour ainsi dire, puis son visage repose entièrement sur mes cuisses nues. Je tente de me rajuster, de me redresser mais c'est peine perdue, tout ce que j'arrive à faire c'est d'écarter un peu plus mes cuisses. Pour se remettre correctement il faudrait que je me relève complètement. En attendant la tête de Simon est fichée contre mon ventre et son souffle effleure l'intérieur de mes cuisses. C'est comme une marée qui monte et descend et amène à chaque passage son flot de sensualité chaude. Il n'est plus question de moiteur entre mes cuisses mais d'une humidité inquiétante. Ma respiration est un peu plus courte et mes gestes approximatifs. Je ne sais plus où mettre mes mains d'ailleurs. Gabin prend ma main comme il l'a déjà fait et la place sur son ventre. La main de Gabin parcourt maintenant presque toute la totalité de mes cuisses, ses doigts viennent se perdre à l'intérieur de mes cuisses, à quelques centimètres seulement de mon intimité, j'ai du mal à retenir un nouveau soupir. Je me rends compte que la main de Gabin n'est plus aussi assurée, il doit bien savoir ce qu'il fait cet enfant, hélas, il ne s'arrête pas. Il ne va jamais trop haut mais reste toujours dans cette partie sensible et chaude de ma personne.
A ce moment, je ne sais plus où j'en suis, je jure que dès la fin de cette série télévisée je cours dans ma chambre. Ca doit être ça, trop de frustrations accumulées, trop de pulsions que j'ai dû enfouir, et maintenant mon corps demande réparation. Enfin une page de publicité arrive. Soulagement, Gabin se lève et veut prouver à son frère qu'il peut faire aussi bien que lui. A nouveau Gabin plonge ses mains sous mon col de chemise de nuit et vient malaxer mes épaules. Mais là, Gabin va directement sur mes bras.
Le col de ma chemise de nuit est étiré entre les poignets de Gabin. Le massage est des plus agréables, c'est vrai, mais pour éviter tout incident je me penche un peu en avant. Gabin n'a plus trop le choix, il doit se concentrer sur mon dos. Le visage de Simon a presque recouvert ma poitrine. Gabin appuie fermement sur mes épaules et sur mon dos. Ses mains fermes me font pencher encore plus en avant et mes seins s'appuient fermement sur le visage de Simon. Instinctivement je me redresse ce qui oblige Gabin à poursuivre son massage sur mes bras. Je ne peux me retenir de frissonner et de laisser échapper un faible « hooooooo ». Gabin n'a que le côté de mes seins dans ses mains, mais c'est bien cette partie de mon corps qu'il masse un court instant. Les mains de ce petit monstre ont l'air de rester une éternité sur ma poitrine. Quand je reprends suffisamment mes esprits pour vouloir dire quoi que ce soit. J'en arrive à me demander si mes enfants ne sont pas de mèche mais c'est une idée folle, ce ne peut être qu'une succession d'accidents malencontreux. Et que puis-je reprocher à mes fils alors que moi-même suis ostensiblement excitée par la situation. Je ne vois même plus le feuilleton tant mon esprit tente de trouver une solution à cette situation. Je suis là sur le canapé avec la chemise de nuit retroussée jusqu'à la taille, mon plus jeune fils la tête entre mes seins, l'aîné dorlote de sa joue mes cuisses nues et les mains de Gabin caressent mon dos et ma poitrine. Je remarque que d'ailleurs, quand Gabin a tiré sur le col de ma chemise de nuit ça a eu pour effet de la faire encore monter un peu, débarrassant Hervé de quelques tissus entre sa tête et mon entrejambe.
Quand Hervé glisse à nouveau sa main sur l'intérieur de mes cuisses, je suis certaine de l'avoir senti frôler les poils de mon intimité. Huit à neuf ans sans avoir d'homme dans son lit, je n'ai plus vraiment cherché à entretenir ma pilosité à cet endroit. Je fais juste attention qu'aucun poil disgracieux ne dépasse de mon maillot en plein été mais pour le reste, c'est la forêt vierge. C'est cette forêt vierge qui semble être le prochain but à atteindre pour les doigts de mon fiston. Je me redresse ou plutôt enfonce mes fesses dans le canapé mais cela n'a pour résultat que de permettre à ce petit chenapan de reculer encore un peu sa tête pour qu'il soit plaqué contre mon ventre. Je tente de me convaincre que jamais mon garçon n'aura le courage de me toucher là directement et pourtant, là où je sens le contact de ses doigts ne doit plus en être très éloigné. Deux centimètres peut-être trois, ça doit être tout ce qui sépare le majeur de mon Hervé du lieu où il a vu le monde pour la première fois.
Mais enfin le générique de l'épisode annonce la fin de la série du feuilleton, je prends appuie sur l'accoudoir et fait mine de me lever quand je vois sur l'écran qu'un autre feuilleton est programmé. J'ai envie de crier : « Arrêtez avec vos sales pattes, arrêtez de me peloter vous commencez à m'énerver sérieusement, je préfère aller dans ma chambre » J'aurais peut-être dû mais je ne l'ai pas fait. Je reste là abasourdie et en même temps rassurée de voir que je suis très aimée par mes enfants.
Rassurée de voir que je ne quitte pas ma place, les garçons me disent qu'ils vont prendre soin de moi, Ainsi Gabin reprend son massage sur mes épaules mais ne descend pas plus que ça sur mes bras. Je me sens un peu soulagée, peut-être a-t-il senti qu'ils étaient allés un peu trop loin lui et ses frères, d'ailleurs quand je regarde leurs yeux, je vois bien que le champagne a fait son effet. Je sursaute quand une paire de main saisit de mon pied droit.
C'est Hervé qui vient me faire un massage des pieds. Il sait que j'adore ça, surtout le soir après avoir fait les courses ou après une longue balade. Il sait comment il faut tenir le pied fermement et bien presser la plante. Mais ce soir le toucher est très léger ça devient des chatouilles. Hervé sait bien jauger, doser en parcourant tout mes pieds de ses doigts agiles. Par moment je suis bien obligé d'écarter ce qui amène Simon à glisser un peu plus entre mes cuisses. Je glisse de moi même au fur et à mesure pour m'allonger doucement et laisser Hervé manier mes pieds. Ce qui fini par cacher mon dos et maintenant Gabin ne peut plus faire autrement que d'agir sur mes bras et le haut des seins. Ma chemise de nuit a bien entendu fini de se retrousser et une partie des cheveux de Simon sont maintenant directement en contact avec le haut de mon pubis.
C'est bien Simon, le petit dernier qui, maintenant, mine de rien, glisse sa main gauche sous mes fesses. Je n'en reviens pas ! En fait, jusque là sa main était sous mes cuisses immobiles mais ma nouvelle position à placer logiquement cette main sous mes fesses, enfin, sous une fesse. Hervé, de son côté a déplacé son effleurage vers mes genoux pour frôler mes cuisses. Je me relève pour que Simon retire sa main, mais je n'ai pas pensé que suivant la façon dont est installé Simon, il avait une main dessus et c'est sur mon intimité que vient se plaquer son autre main. Sans réfléchir une seconde je me laisse tomber et mon postérieur vient se poser directement sur la petite main de Simon, ses doigts bien placés entre les deux fesses.
Le feu embrase mes joues et mon intimité. Je rassemble tout mon courage et doucement demande à Simon de retirer sa main de dessous mes fesses, que je ne voudrais pas l'écraser ou lui faire mal. Simon retire sa main à contre cur, il ne peut dire non, tout ceci doit rester une série d'incidents malencontreux. Mais incidents ou pas Simon a bel et bien sa main plaquée sur mon pubis. J'ai à nouveau en confiance et me dis qu'il va retirer sa main d'entre mes cuisses pour se rajuster, mais quand je sens les petits doigts humides de mon fils je ne peux me retenir de rougir à nouveau. Mon tout petit avait les doigts recouverts de ma mouille. Quelle honte !
Cependant les stimulations n'allaient pas s'arrêter là, Hervé tout en regardant la télé continue ses câlineries. Il a lui-même les jambes sur le canapé, repliées sous lui. Je me retrouve donc presque allongée de tout mon long. Au bout d'un moment, Simon, sans aucune gêne, se retourne complètement pour faire face à mon ventre et l'embrasser juste au-dessus de mon pubis. Comment peut-il oser ? Simon a un accès complet à mon entre jambe. C'est alors que pour la première fois je réalise que trois paires de mains parcourent ma peau nue. En fermant les yeux, je pense que je n'ai plus de chemise de nuit. C'est bien les doigts que je sens sur le haut de ma poitrine, c'est bien les mêmes mains qui remontent ma chemise. Je veux protester quand Hervé tire à nouveau sur ma jambe droite pour l'attirer un peu plus à lui, il a de la force ce gamin car je ne peux me retenir et glisse un peu plus sur le canapé. Il n'y a bientôt plus que ma tête qui repose sur l'accoudoir alors qu'évidemment les mains de Gabin dérapent sur ma poitrine, mais cette fois, pas sur le haut, c'est mes seins qu'il pétri de la même façon.
Après diverses manipulations Gabin retire complètement ses mains étirant le col de ma chemise et un nouveau bouton se dégrafe. Ma respiration devient irrégulière. Quand je veux refermer le haut de ma chemise, je sens le chatouillement humide de Simon qui parcourt mon ventre de petits bisous. Je baisse les yeux sur le jeune impudent mais à nouveau Hervé tire légèrement mais fermement sur ma jambe, il étend un peu les siennes et dans un même mouvement ramène mon pied contre son ventre. Voici pas que je sens quelque chose de dur venir buter mon talon. Je n'ose même pas regarder l'érection que je devine je tente de tirer mon pied. En contractant ma cuisse je pousse imperceptiblement Simon qui vient alors déposer un baiser un peu plus bas, à cinq centimètres tout au plus de ma toison. Hervé qui saisi mon recul, se confond en excuse, me promettant qu'il ferait attention à ne plus me chatouiller. Mais ce n'est pas des chatouilles que j'ai ressenti c'est son membre durci. Je regarde l'expression de Gabin, il se penche pour déposer sur mon front un tendre baiser. Rien de bien érotique, un baiser sur le front, comme je l'aurais fait pour l'envoyer au lit. Heureusement que la pièce est dans la pénombre et chacun ne voit pas bien ce que fait l'autre. J'ai les seins gonflés sous les attouchements de Gabin, comment le renvoyer sur le fauteuil alors que les deux autres sont là sur le canapé. Je me sens perdue, je n'ai pas la force de résister, ils sont trois contre moi à me vouloir je ne sais quoi, mais un nouveau danger m'interpelle.
Hervé masse de plus en plus haut, la position devient inconfortable et pour laisser moins de liberté au garçon je déplie un peu ma jambe. Ainsi Hervé ne pourra pas aller plus loin et du coup Simon se retrouve dans une mauvaise position qu'il corrige aussitôt, sa main se pose sur ma hanche. Je m'aperçois que ma chemise de nuit est maintenant roulée au-dessus de ma taille. Et oui, Simon continue de déposer de tendres bisous sur ma peau en passant de mes cuisses au bas de mon ventre. Il semble évident qu'il ne regarde plus la télé mais a une vue parfaite sur mon entre jambe. Le massage de Gabin et surtout sa façon de tirer sur ma chemise a eu pour résultat de défaire le dernier bouton et je me retrouve avec le haut de ma poitrine dévoilée, le col étiré de part et d'autre de mes bras.
Il va bien finir ce feuilleton, il faut que je quitte ce salon absolument ! Je pourrais bien partir maintenant mais après tout c'est bien moi qui me laisse faire pour en arriver là... Comment pourrais-je le reprocher à mes garçons.
Mais... qu'est-ce que... Hervé a posé ses lèvres sur un mollet, il remonte un peu ses jambes et pose les miennes sur ses genoux, ainsi il n'a plus qu'à descendre la tête pour parcourir toute ma jambe de bisous. C'est intolérable... Mais c'est tellement bon. C'est grisant et il m'est impossible de trouver la force pour me lever. Simon embrasse mon nombril maintenant... Comment a-t-il réussi à... Et puis je m'empourpre d'un coup quand je découvre que cet ado a entièrement découvert mon bas-ventre. Sa bouche descend de plus en plus centimètres par centimètres. Je suis prisonnière, Gabin me maintient le haut de mon corps avec ses caresses, Hervé m'enserre gentiment les jambes et c'est le plus jeune qui est là où c'est le plus périlleux.
Prise de panique je veux dire non mais le son qui sort de ma bouche ressemble plus à un gémissement qu'à une réprimande et pour lui répondre la langue d'Hervé trace une route de mon gros orteil jusqu'au haut de ma cuisse. Où a-t-il bien pu apprendre une chose pareille ?!? Je bouge à peine que Simon arrive à déposer un baiser dans l'épaisseur de mes poils. Je voulais crier mais rien, ma langue est paralysée.
Quelle idée aussi d'avoir un canapé aussi large !
D'un autre côté les deux garçons peuvent parfaitement tenir l'un contre l'autre. Cependant Simon laisse de la place à son grand frère, il remonte son visage sur mon ventre. C'est quand Simon me fait face que je m'aperçois qu'il a les yeux fermés. J'ai l'impression de le revoir, tout bébé, chercher ma poitrine pour venir téter.
J'ai à peine le temps de sentir les lèvres de Simon au-dessus de mon ventre que de nouvelles lèvres viennent couvrir mon cou. C'est Gabin qui enfouit son visage dans mon épaule. Son souffle est chaud, humide et si doux contre ma peau que je laisse échapper un «hooo nooooon » mais tellement faible. Cette fois l'ouverture de ma chemise a emprisonné mes bras et le seul mouvement que je peux encore me permettre c'est de me tenir à l'accoudoir.
Hervé n'est d'ailleurs pas en reste il est arrivé largement au haut de ma cuisse en essayant de ne pas déranger Simon.
Je me sens transportée à mille lieues de la réalité, mon corps s'embrase, se consume peu à peu. C'est Hervé qui me ramène soudainement sur terre quand ses baisers atteignent cette fois l'endroit magique, le haut de ma fente trempée. Et c'est la panique qui s'empare de moi. J'ai d'un coup une vision globale de la scène et me vois à demi allongée sur le canapé, mon intimité offerte à mon fils ma chemise de nuit qui n'est plus qu'un bandeau de tissus autour de mes avant-bras. C'est fait, la langue darde mon bouton.
Simon remonte encore un peu plus libérant toute la place nécessaire pour Hervé entre mes cuisses, un long gémissement sort de ma bouche. Dans un dernier effort je cherche à me sortir de là, je relève mes bras pour tenter de faire remonter ma chemise de nuit sur mes épaules mais Gabin a déjà ses mains sur mes seins. Le tissu glisse, Gabin prolonge mon geste en me faisant passer les bras au-dessus de ma tête. Le col de ma chemise est si étiré que je ne sens même pas le tissu glissé autour de mon visage.
« Noooon pas çaaaaa » sont les seuls mots que je peux prononcer quand ma chemise est entièrement sortie, mais ça n'a rien d'un cri ou d'une remontrance, juste d'un dernier vestige de pudeur qui me quitte. Le visage de Gabin est devant le mien, ses lèvres s'appuient sur les miennes. Sa langue vient chercher la mienne. Je dois protester, je veux protester, mais alors pourquoi lui je lui rends son baiser. Peut-être pour les mêmes raisons que j'ai mis tant de temps pour venir couvrir ma poitrine de mes mains, mais Simon a déjà pris possession de mon buste de ses mains fines.
Quand mes mains arrivent sur celles de Simon, ce dernier fait déjà rouler mes tétons entre ses doigts. Mais mes deux fils qui m'embrassent ou me caressent la poitrine n'est rien à coté d'Hervé qui à trouver l'entrée de ma grotte intime. Je sens son nez buté contre mon clitoris au fur et à mesure qu'il tente d'enfouir sa langue toujours plus profondément et maladroitement. Je me rends compte que j'aurais pu refermer mes jambes mais je n'ai pas bougé. L'humiliation se mêle aux vagues de plaisir et ce n'est plus une protestation qui meurt étouffée dans ma bouche mais un long gémissement de désir. Guidée, contrôlée par les six mains qui me parcourent je glisse encore un peu plus sur le canapé, une main enfouie dans l'épaisse chevelure d'Hervé. Je rends le baiser à Gabin qui revient à la charge avec fougue, pendant que Simon malaxe un de mes seins maladroitement. Hervé glisse maintenant ses mains sous mes fesses, je sens un doigt fin envahir mon vagin quand sa langue arrive enfin sur mon clitoris. Hervé a passé ses mains de part et d'autre de mon intimité, il m'écartèle pour me dévoiler entièrement. Je devine qu'il regarde avec curiosité cet endroit jusque là secret. Je ne suis plus que frissons, gémissements, soupirs. Mon corps se couvre de sueur et mon bas ventre est gluant de sécrétions et de salive. Simon passe d'un sein à l'autre, mes tétons sont dressés, tout fier qu'on prenne à nouveau soin d'eux. La langue d'Hervé accomplit des miracles sur mon clitoris, je ne peux m'empêcher de rouler mon bassin en tous sens, il devient plus sûr de lui.
Mon plaisir monte de plus en plus vite en moi. Le feu embrase mon ventre et se propage dans tout mon corps, mes muscles se contractent, je pousse un long cri assourdi par les lèvres de Gabin. Mes trois garçons ne s'arrêtent pas pour autant avec ces ondes de bien être qui submergent tout mon corps. Mes fesses bondissent sur le canapé alors que dans mon intimité agissent les doigts de mon aîné. Le petit Simon suit mes mouvements sans quitter ma poitrine. Je retombe lourdement avec un orgasme rare qui me rappelle une certaine époque déjà lointaine. Ma contraction est si forte que le grognement que je pousse alerte mes trois fils qui restent plantés là, sans plus rien faire, juste à regarder leur mère être possédée par la jouissance. J'ai l'impression d'être dans un autre monde, de perdre pied, tout tourne dans ma tête. Aucune main de mes gamins ne bouge. Même Hervé reste figé avec un doigt légèrement enfoncé dans mon postérieur et trois autres dans mon vagin. Gabin s'est éloigné de mon visage pour me laisser respirer et se rapprocher de Simon. Ils me contemplent, leurs visages embués de larmes. Hervé se détache de son uvre pour rejoindre ses deux frères, tous les trois ont l'air fier de leur initiative.
Au bout de quelques minutes, je reprends mes esprits, je n'ose pas ouvrir les yeux, comment pourrais-je me confronter au regard de mes enfants. Puis j'entends Gabin me murmurer à l'oreille combien il m'aime. Puis c'est le tour de Simon qui me déclare tout l'amour qu'il me porte et enfin Hervé tout satisfait de lui, reprend le même refrain. Je tombe sanglots et au milieu de mes larmes, j'avoue à mes fils combien je peux les aimer et combien je tiens à eux. Mes garçons m'expliquent que tout ça faisait partie du cadeau qu'ils voulaient me faire.
Assise au milieu du canapé, j'ouvre peu à peu les yeux et voit le regard de mes trois fils debout devant moi. Je trouve aussi leur regard admiratif et plein d'amour pour moi, ils sont si heureux d'avoir pu donner du plaisir à leur mère là, ils sont là, devant mon corps nu, je crois qu'ils me trouvent belle. Mes yeux descendent sur la déformation des pantalons de pyjama par une érection normale. C'est sans vraiment réfléchir que j'avance ma main vers la proéminence d'Hervé. Je le malaxe à travers le fin tissu, puis tire le pantalon vers le bas pour dévoiler le membre turgescent du garçon qui une fois libéré vient claquer contre son ventre musclé.
Sous les yeux amusés des deux autres J'entame une lente masturbation.
Hervé fini de se débarrasser de son pyjama aidé par ses deux frères qui le rapprochent très doucement de moi, quand la tige tendue se retrouve au-dessus de mon visage, je me vois obligé de lui donner quelques bisous sur le bout du gland pour finalement le prendre entièrement dans ma bouche. Hervé ferme les yeux, tout son corps frissonne sous mon contact, je pense que c'est tout nouveau pour lui. Gabin, serré contre Hervé contemple mon visage sur l'ardillon de son frère. Je prends la ceinture élastique de son pantalon pour la tirer vers le bas et me saisi de l'objet légèrement plus petit que l'aîné. Très tendu lui aussi avec le bout non décalotté mais baveux, les pauvres petits, ça les travaille ! Du bout des doigts, j'effleure la tendre bébête pendant que Simon continue à sortir le reste du pyjama de Gabin et à son tour se mettre dans la même tenue. Simon se place l'autre coté d'Hervé en se tenant sur son épaule, ils forment un tableau unique tous les trois ainsi. Simon a la plus petite, c'est normal, je le prends très délicatement de l'autre main comme une mère le ferait à son bébé et lui fait un commencement de masturbation.
Les garçons se laissent guider par leur maman, quelques soupirs sortent de leur bouche, je ne cesse de sucer mon Hervé et dans un même temps je fais venir le petit Simon sur moi, ce qui m'oblige à abandonner ses deux frères pour m'allonger dans le canapé, sa tête vient reposer sur ma poitrine. Je glisse ma main entre son corps et le mien pour me saisir du petit membre tendu et le guider à l'entrée de ma chatte. Je dois appuyer sur les fesses du garçonnet pour qu'il trouve le courage de me pénétrer. C'est instinctivement qu'il entame un va et vient. Et bientôt sans plus aucune retenu mon Simon me fait l'amour comme un véritable amoureux Gabin et Hervé nous regardent avec un air réjoui. Le couple en action gémit, soupir, geint. Je me trouve un peu gênée de me donnée toute à Simon et rien à ses deux frères, il y a eu transmission de pensée, car ensemble ils nous étreignent. Hervé pose sa bouche sur mes lèvres, sa langue s'introduit. Le baiser de Patrice n'a rien à voir avec celui de Gabin, sa langue prend son temps dans ma bouche, ses lèvres épousent bien les miennes. J'appuie sur les fesses de Simon qui accélère le rythme, c'est quand j'ai caressé de l'index son anus que nous sommes parti, sa semence a envahi mon corps, j'ai de nouveau jouit dans un plaisir mutuel ; essoufflés tous les deux, nous sommes restés quelques moments sous les caresses stimulantes des deux autres garçons.
Hervé et Gabin se dégagent, Simon se relève lentement, le bigoudi en confiture se retire de mon corps, coulant et enfin au repos. Je me lève du canapé en mettant Simon à ma place couché sur le dos. J'explore son jeune corps imberbe de mes mains et mes lèvres, je prends sa vergette dans ma bouche comme pour lui faire un petit nettoyage. C'est d'un douceur incomparable, je le sucerai jusqu'à la fin des temps mais les deux frangins m'embrassent le dos juste pour me rappeler qu'ils sont là. Je me mets debout, face au premier venu, c'est Gabin, je l'enlace comme pour danser un slow. Ma Bouche prend le sienne, on s'embrasse férocement. Je constate que Simon n'est plus dans le canapé, je pousse Gabin pour qu'il se place dans le canapé, il se laisse guider. Je me mets à califourchon, je prends sa virilité rigide, plus grosse que celle de Simon mais toujours dépourvue de poils, et m'empale lentement. Une grimace se dessine sur son visage, suivit d'un sourire des plus charmeur. Malgré qu'il ne soit pas encore d'une taille d'adulte, je le sens quand même comprimé mes chairs. Je n'en reviens pas d'être aussi étroite après avoir donné naissance à ces trois beaux garçons. Certainement que les années d'abstinence ont dû aider à cet état.
Je me soutiens sur le torse de mon Gabin et ainsi débute un va et vient, l'un comme l'autre, savourons chaque mouvement, chaque sensation.
Je tends une main vers Hervé, il s'avance la carotte bien droite en avant et me regarde m'accroupir sur son frère. Je saisis le membre, l'approche de ma bouche. Hervé me fixe les yeux comme si j'allais le manger alors que ma langue se promène tout le long de la hampe.
Hervé sent aussi le désir de me prendre, mais chacun son tour. Je suis trop concentrée sur Gabin que je ne peux pas bien m'occuper d'Hervé. Simon regarde son grand frère qui attend son tour, il vient contre nous trois, dépose des bises sur mon visage se saisi de la tige d'Hervé le plus naturellement et avec tendresse ses doigts encerclent la colonne de chair, Hervé a la plus grosse des trois, c'est normal c'est lui l'aîné. Simon pose ses lèvres sur le gland suintant, pour moi c'est terriblement excitant. Je continue à m'activer sur Gabin avec cette image en tête. Puis tout se ralenti pendant un moment, Gabin me caressent les fesses, les écartent. Simon abandonne Hervé pour venir sur mes reins. Quand je sens sa langue sillonner mon périnée et mes grandes lèvres, jamais je n'aurai pu croire que cet enfant si calme et ordonner pouvait me faire cette chose. Jamais mon mari ne m'avait ainsi touché, il y avait beaucoup de tabous à ce moment, mais maintenant je viens de perdre tous les miens. Je me cambre un peu plus, je me couche en avant sur Gabin pour donner de l'aisance à mon Simon autant qu'il le désire. IL caresse délicatement les testicules de son frère, remonte sur la zone où les deux sexes sont emboîtés, sa langue se fait pointue pour pénétrer mon petit trou.
Il est jeune et la vigueur revient très vite à cet âge, son haricot s'est raidi à nouveau. Gabin ne peut s'empêcher de se figer un instant quand la langue de Simon vient se poser sur la base de son membre.
Je ne peux m'empêcher de grogner quand je sens un doigt dans mes fesses. Les doigts de Simon sont fins et assez courts, mais il me faut un peu de temps pour m'adapter à cette nouvelle intrusion. Simon retire son doigt le met à sa bouche et replonge de plus belle dans mon endroit le plus secret. Je constate quand même qu'il pénètre avec une grande facilité. Je veux tout partager avec mes garçons, toute me partager. Alors je prends le poignet de Simon pour l'attirer en avant. Le garçonnet ne comprend pas tout de suite mais rapidement il saisit où je veux en venir. Il se relève et, en le guidant de ma main, il dirige sa tringle contre mon anus. Il ne lui faut pas appuyer trop fort pour qu'il soit dans mes entrailles. Quand Gabin sent l'introduction de son frère il ralentit la cadence jusqu'à s'arrêter. Il savoure tout d'abord cette nouvelle sensation puis la pression qu'il inflige à nouveau à son pénis. Les deux garçons entament un va et vient dans mon corps. Simon est trop jeune pour savoir se contrôler et tout ceci l'a tellement excité qu'après quelques secondes, son crayon est si comprimé dans mon petit trou, qu'il envoie à nouveau toute sa semence dans mon derrière. Le sperme de mon fils me fait l'impression d'un lavement, jamais je n'aurais pensé avoir un tel plaisir non pas une jouissance mais un grand moment de satisfaction. Gabin couvert de sueur se contracte, son corps tremble, ses mouvements saccadés. Après un bref moment, je relève son visage et regarde mon fils l'air dubitatif. Comment cet adolescent peut arriver à aussi bien se maîtriser.
Hervé caresse mon visage comme si je venais de faire une épreuve sportive. Il m'embrasse les cheveux, le front, les joues la bouche, le cou, les épaules, enfin le temps de me ressaisir. Gabin et Simon ayant pris leur pied, se libèrent de mon corps pour venir s'asseoir à mes cotés ; Je peux maintenant me consacrer entièrement à mon Hervé. Je lui prends les deux mains pour l'attirer devant moi, devant mes yeux ébahis se dresse le membre viril gonflé de mon aîné. Si le pieu de chair qui oscille doucement devant mon visage me surprend c'est que je n'ai pas eu beaucoup le temps de l'admirer. Je m'aperçois qu'il est beau, tendre, non pas énorme comme leur père, mais comme quelque chose de fragile et en même temps de viril. Une étrange émotion me saisit en imaginant le plaisir qu'une femme devait ressentir à être pénétrée par cet objet vivant. Hervé se contraint au silence, me laissant uvrer à ma guise. Les yeux fixés sur la hampe de chair turgide, je referme les doigts autour avec émoi.
Dans un grognement de satisfaction, Hervé lance son bas-ventre en avant, me faisant ainsi comprendre son désir d'être plus amplement caressé. J'entreprends aussitôt d'agiter ma main refermée, la faisant coulisser de haut en bas. Fixant avec extase, et envie, cette virilité orgueilleuse, je repousse délicatement le prépuce pour dégager complètement le gland brûlant et tremper. Durant quelques minutes j'active ainsi mes doigts tout le long, je masturbe avec un plaisir extrême cette jeune virilité, ce qui ne fait qu'accroître encore l'intense désir qui lui taraude les entrailles, Hervé se cambre en laissant échapper un petit gémissement de contentement.
- C'est bon mon trésors ?
Lui demandais-je toute heureuse du résultat de ma voluptueuse caresse.
- Tu aimes ?
Gabin et Simon assis à mes cotés, contemplent mon ouvrage, ils semble impressionnés par le plaisir que prend leur frère. Ne voulant pas restés inactifs ils caressent toutes les parties de nos corps avec des gestes synchronisés. Je pense qu'ils veulent que je reste toujours aussi passionnée avec Hervé. Simon passe derrière Hervé, s'accroupit pour lui palper les boules, Gabin, le visage contre le mien, entreprend de sucer son frère. Je peux dire que pour moi la tension remonte rapidement. J'ai de nouvelles effluves entre les cuisses, pour quelqu'un de fatigué, j'ai quand même une sacré réserve. C'est en spectatrice que je suis maintenant, Simon et Gabin m'ont remplacés sur leur frère. Je ne peux m'empêcher de caresser ma chatte juteuse. Je pense qu'Hervé ne peut plus tenir et moi non plus d'ailleurs. Je fais signe aux deux jeunes de se pousser, je m'allonge mes en tirant Hervé par le membre reluisant. Il s'installe entre mes jambes, je le veux en moi, ces deux frères guident l'organe vers mon vagin imbiber, ils frottent le gland sur mon clitoris. Ils sont à genoux caressant mes cuisses et celles de leur grand frère. Je soulève mes fesses pour faciliter l'introduction du goupillon prêt à éjaculer, avec douceur Hervé se fond dans mon ventre, pendant quelques secondes nous n'avons pas bougés savourant l'union tant attendue de nos deux corps. Hervé a commencé à imprimer de lents mouvements d'aller et retour avec son bassin. Mouvements qui rapidement s'accélérèrent avec la montée du désir. Ce furent très vite de véritables coups de boutoir, m'arrachant à chaque fois des cris de bonheur. La vision que j'avais fait monter mon excitation à son plus haut point. Son magnifique visage, son corps de sportif, un vrai homme mon fils. A ce rythme et vu l'excitation dans laquelle nous nous trouvons, je sens que je vais de nouveau jouir.
L'orgasme de l'un a déclenché la jouissance de l'autre mais ça n'a aucune importance. Tout ce qui compte maintenant pour moi c'est de sentir son liquide dans mes entrailles.
Il nous faut bien dix minutes pour récupérer et penser à bouger. Les trois garçons viennent se serrer contre moi pour partager un long et tendre câlin.
Je suis allé me coucher la dernière. Chacun de des garçons a pris une douche, m'a embrassé langoureusement sur la bouche et a rejoint son lit. Je me suis enfin effondrée sur mon lit.
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