Aventure africaine

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Proposée le 18/03/2009 par Valcour

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

C'est dans les pages "relaxation" du programme de spectacles bimensuel "Confetti" que j'ai trouvé le numéro de téléphone de Keyah. Et ce n'est pas sans difficultés que je suis arrivé à l'escalier C2 d'un bâtiment de béton brut planté au milieu de dix autres dans un ensemble déprimant qui n'ose même pas s'intituler "Résidence". Escalier sonore, rampes de métal rouillé, peinture qui se décolle en lambeaux, portes minces qui laissent passer les cris aussi bien que les décibels de ce qu'ils appellent improprement "musique". Arrivé au troisième sans ascenseur, j'ai sonné, impatient de faire sa connaissance.

La porte s'est entr'ouverte sur ses grands yeux noirs et son sourire accueillant. J'ai suivi son dos laissé nu par une courte robe de plage d'un bleu électrique. Elle balançait souplement des fesses et je me faufilais derrière elle entre des paniers de bouteilles vides, des cartons et des meubles placés là faute de place ailleurs. Sa chambre était complètement occupée par un grand lit, une armoire avec un miroir et une étagère encombrée de lotions démaquillantes et autres préservatifs. Un crucifix avec son rameau de buis sec et poussiéreux, encadré par des photos passées au soleil de Jean-Paul II et de "mère" Teresa dominaient le lit. Nos ébats allaient être placés sous divine protection.

-- 120, c'est d'accord ?

Elle aurait pu dire 200, j'étais déjà fasciné par sa démarche tentatrice, par ses seins libres et généreux enveloppés de façon très lâche par le tissu aérien de sa robe et par ses lèvres pulpeuses de femme noire, sensuelle de la tête aux pieds.

Tout en agaçant mes lèvres de furtifs baisers, elle s'est mise à me déshabiller en prenant soin de placer ma chemise sur le dos d'une chaise et mon pantalon bien dans ses plis, ce que je ne fais jamais comme il faut au grand dam de ma femme. Me voir nu et raide la mettait toute en joie. Sa robe vite ôtée, elle s'est révélée dans sa magnifique nudité. J'avais bien deviné la fermeté et le volume de ses seins, mais pas les larges aréoles d'un brun presque noir qui les couronnaient et qui faisaient paraître claire sa peau pourtant sombre.

Sur sa taille fine, sur la peau soyeuse de ses hanches, sur celle, plus fraîche de ses fesses rondes et charnues, mes mains s'affolaient de n'être que deux. Elle souriait de mon agitation, elle frottait ses seins contre ma poitrine, elle posait des baisers sur mes épaules et dans mon cou, elle s'émerveillait professionnellement de ma raideur que ses mains pleines d'énergie s'appliquaient à exalter.

Sans un mot et sûre de son effet, elle s'est allongée sur le dos, les cuisses grandes ouvertes. Ma langue est venue seconder mes mains dans leur exploration brouillonne, mes lèvres se sont emparées de son clitounet et se sont employées à le faire bander.

-- C'est bon, oui, c'est bon, continue, t'es un ange.

Elle s'est mise à serrer les cuisses et à soupirer des douceurs si rapidement que j'ai pensé qu'elle simulait. Mais les spasmes qui animaient son Mont de Vénus et le liquide tiède et sucré qui s'en écoulait témoignaient de la réalité de son plaisir. Un bel orgasme l'a secouée, un cri rauque de chatte en rut a traversé sa gorge. Je maintenais la pression de ma langue pour prolonger son plaisir, et c'est alors que derrière moi, la porte s'est ouverte.

-- Maman, j'ai mal aux dents.

-- Viens Bicou, a-t-elle dit en reprenant son souffle.

Un garçonnet de 3 ou 4 ans s'est approché, noir comme sa mère et mignon tout plein avec de grands yeux malicieux et des cheveux bouclés.

-- Il est gentil le monsieur ?

-- Oh oui, très gentil avec maman.

-- J'ai mal aux dents.

Keyah lui a donné à sucer un téton gonflé encore du plaisir qui l'avait parcourue. Et j'ai repris mon travail de langue pour lui offrir un deuxième déferlement. Il est venu d'autant plus vite que nous étions deux à nous occuper de ses zones érogènes.

-- Regarde comme ta maman fait plaisir au monsieur.

Nous lui avons fait une démonstration de 69. Sentant mon impatience explosive, Keyah m'a enfilé la capuche de latex et je l'ai prise en levrette. Elle ondulait des hanches et du dos, elle soupirait comme cinq minutes auparavant. Je lui tenais les fesses écartées pour apercevoir les contractions de son œillet coincé au creux d'un profond sillon culier et que je me promettais d'honorer de ma langue un jour ou l'autre.

-- Maman, j'voudrais une petite sœur.

Ce n'était pas pour Keyah le moment de répondre. L'enfant ne perdait pas une miette du ballottement des seins de sa mère et du plaisir qu'elle manifestait à être pénétrée. Je chuchotais à Keyah des mots d'amour.

-- C'est bon, ton ventre est si doux, ma belle chatte noire.

-- Maman, est-ce qu'il nous fait une petite sœur le monsieur?

-- Mais non Bicou, regarde, il est là le jus du monsieur.

Elle a montré à son fils la capote pleine de sperme qu'elle venait de me retirer.

-- Maman, j'veux du chocolat.

-- Viens à la cuisine.

Elle est partie toute nue avec son fils pour lui préparer du goûter. J'aurais aimé qu'elle reste allongée avec moi. Nous aurions pu bavarder pour faire encore mieux connaissance. Peut-être m'aurait-elle remercié du plaisir que je lui avais offert par de vrais baisers que ses lèvres pulpeuses étaient sans aucun doute habiles à prodiguer. Pour cette fois, c'était raté. Je me suis rhabillé et je l'ai rejointe à la cuisine pour profiter de sa superbe nudité.

-- Maman, il est gentil le monsieur ?

-- Mais oui Mamadou, regarde les billets tout neufs qu'il m'a donnés. Tout à l'heure, on ira faire les courses.

-- Tu m'achèteras des Kinder?

-- C'est pas bon pour les dents.

Elle s'affairait nue comme Eve dans sa cuisine, ses seins gigotaient, ses fesses brillaient dans la lumière de fin d'après-midi comme le bronze patiné d'une antique statue de déesse.

-- Prends-en toi aussi, pour refaire tes forces.

Elle m'a servi comme à Mamadou du jus d'orange et des biscuits fourrés au chocolat. Ces gros biscuits étouffants dont je me régalais il y a maintenant cinquante ans existent donc toujours! C'est un petit morceau de "temps retrouvé" de mon enfance que je croquais avec le chocolat du biscuit, et l'idée m'a traversé que ma mère aurait pu être une belle femme noire.

Elle avait des courses à faire, elle m'a raccompagné à la porte, elle a glissé entre mes lèvres le bout rose de sa langue et m'a remercié d'un long baiser dont mes lèvres gardent encore un souvenir ému. Je suis sorti de son immeuble tellement exalté que j'ai failli me faire renverser par un bus.


Trois jours après, impatient comme un gosse de refaire ce qui lui a plu, j'ai pris un nouveau rendez-vous avec Keyah. J'ai acheté pour son fils une belle voiture de course, bleue comme sa robe avec des piles pour l'éclairage et un vibreur qui simulait le bruit d'un moteur.

Cette rencontre allait-elle être à la hauteur de la première ? J'en attendais beaucoup et c'est avec une pointe d'inquiétude que j'ai regardé les heures passer jusqu'au moment délicieux où j'ai sonné. J'ai formé à ce moment le projet d'écrire un essai sur l'érotisme des boutons de sonnettes, et spécialement de ceux en forme de téton. La porte s'est ouverte en grand, mais sur un autre visage que celui de Keyah.

-- Entle mon gars, e' va pas talder.


C'était une grosse noire, très ronde comme on dit poliment, qui m'accueillait de sa voix grave à l'intonation typiquement africaine. Le tutoiement d'entrée, un grand sourire chaleureux, des épaules et des bras enveloppés de chair grasse et laissé nus par une sorte de robe-tube sans bretelles retenue par ses seins volumineux m'ont laissé de cette femme une forte impression. D'une démarche traînante elle m'a emmené au salon.

-- Alol', tu viens baiser un cul d'néglesse? Keyah, c'est ma nièce. Son pèle est inconnu, sa mèle est molte et son mali l'a foutu l'camp.

-- ...

-- T'es du genle à aimer les néglesses. Ya des blancs comme ça. Y en a pas mal. C'est qu'on est chaudes, nous les néglesses.

J'étais un peu étonné qu'elle parle de "négresses", terme "colonialiste" que je pensais désormais tabou. Je lui ai répondu, naïvement mais sincèrement :

-- Et accueillantes, chaleureuses, je dirais même maternelles.

Elle ponctuait ses propos de grandes claques sur mes cuisses et elle est partie d'un grand rire quand j'ai dit "maternelles". Elle a glissé sa main jusqu'à ma braguette pour voir comment je bandais.

-- T'as bonne bite. Bonne bite poul beau cul d'néglesse.

Keyah est alors arrivée essoufflée des trois étages. Elle a sorti de son sac des papiers administratifs, et s'est mise à parler à sa tante à toute vitesse dans une langue africaine, le wolof comme je l'ai appris plus tard. Elles se sont embarquées dans une longue discussion, où j'ai reconnu les mots "Sécurité Sociale" et "attestation". Le ton montait, comme si elles se disputaient, mais c'était juste une conversation animée. Keyah a fini par dire à sa tante en me regardant quelque chose qui voulait dire sans doute:

-- C'type est venu pour baiser. J'vais lui vider les couilles, et ça nous f'ra un peu d'fric pour bouffer.

-- Bonjour Keyah, si tu as des problèmes avec ta banque ou autre chose, je pourrais peut-être t'aider.

-- C'est pas la banque, c'est la Sécu, ils veulent une attestation de vaccin. On regardera ça après.

Elle m'a mené à la chambre.

-- Ton fils n'est pas là ?

-- Il est à la maternelle.

-- J'ai un cadeau pour lui.

-- Ouahh, elle est super cette voiture. Il va être content. Merci, t'es un ange.

Elle m'a remercié d'un baiser, aguicheur mais trop bref, laissant néanmoins ma langue taquiner la sienne.

Nous nous sommes retrouvés nus. Elle m'a laissé promener longuement mes lèvres un peu partout sur elle, dans son cou, sur ses seins, sur son ventre, au creux de ses aisselles. Elle était ailleurs, elle pensait peut-être à son fils, ou à la Sécurité Sociale, ou bien elle était simplement fatiguée. Elle sentait bon la "néglesse", sa peau était moite d'une transpiration délicieusement musquée. J'ai sucé ses tétons, comme l'autre jour le faisait son fils. Elle a commencé à frémir, je suis descendu jusqu'à la peau soyeuse de ses cuisses. Je les ai ouvertes en grand pour contempler avant d'y goûter la coupe fraise-chocolat de son adorable chatte. J'y ai plongé ma langue assoiffée aussi profond que possible. Je maintenais ses cuisses levées haut pour atteindre entre ses fesses l'œillet qui m'attendait avec gourmandise.

Son clitoris était gonflé, comme l'était certainement le pénis de son fils quand il nous regardait, et j'ai fantasmé un instant que je le suçais aussi.

-- C'est bon, t'es un ange, ah c'est bon , continue.

Sans précipiter le mouvement je lui laissais le temps de goûter la montée du plaisir. A chaque pression de mes lèvres, je sentais son bourgeon grossir un peu plus, et ses gémissements se faisaient plus profonds. Au moment crucial, la porte s'est ouverte dans mon dos. La tante était venue chercher un torchon dans l'armoire.

-- Putain de mec, tu la fais joui' la Keyah.

Elle a continué en wolof à l'intention de sa nièce occupée à son plaisir. S'étant bien rincé les yeux, elle est ressortie avec son torchon.

Keyah avait tellement joui que son ventre a tremblé quelques minutes. Ses tétons étaient sensibles, elle a refusé que je les suce. Je me suis contenté de poser des baisers furtifs sur ses paupières et dans son cou, tout en écoutant son souffle reprendre un rythme plus calme. Et tel un missionnaire couché sur sa bonne africaine, je l'ai enfilée. Mes allées et venues l'ont ranimée, l'électricité nous a traversé tous les deux, et nous avons joint nos lèvres pour mêler nos langues et nos soupirs.

Je suis sûr que la tante avait écouté derrière la porte, j'ai cru entendre son souffle ému, mais elle n'est pas revenue prendre un torchon. Nous avons pu savourer notre plaisir dans le silence qui s'imposait. Keyah reposait sa tête sur ma poitrine et le miroir de l'armoire reflétait la mosaïque des peaux noire et blanche de nos corps amoureusement enlacés.

Nus et sans gêne, nous sommes allés nous rincer à la salle de bain. Je me suis rhabillé pour aller saluer la tante voyeuse, mais Keyah est restée nue. Je n'ai eu pas de mal à lui indiquer quelle attestation relative aux vaccins de son fils la Sécurité Sociale demandait.

-- Ah, la pute, t'aime le montler ton cul d'néglesse, viens là salope.

Avec une vigueur inattendue, elle a attrapé Keyah, l'a couchée à plat ventre sur le canapé et s'est mise à la fesser d'importance. Ce devait être une habitude, car au début Keyah riait, mais excitée par ma présence, la matrone ne ménageait pas les coups et les claques pleuvaient. Keyah semblait sur le point de pleurer.

-- Bonnes claques poul un cul d'néglesse.

Et s'adressant à moi:

-- Viens consoler ta putain, fous'y la langue dans l'cul, t'aime ça glos cochon d'blanc.

Sans me faire prier, j'ai baisé les fesses endolories et j'ai glissé ma langue jusqu'au trou plissé qui n'a pas tardé à s'ouvrir pour se laisser pénétrer le plus possible.

L'instant de la séparation, cruel, est venu. Mon Eve noire m'a raccompagné jusqu'à la porte et m'a remercié pour tout, y compris pour les 150 euros, par un long baiser sensuel et velouté, comme j'avais deviné que ses lèvres pulpeuses savaient les octroyer.

Les semaines suivantes, j'ai rencontré Keyah à plusieurs reprises, de façon plus intime que les deux premières fois. Elle ne ménageait ni son temps, ni ses baisers, ni ses caresses, et je lui ai donné 180, puis 200. Le montant du cadeau s'est stabilisé à 220 euros, ce qui me rendait difficile de la voir plus d'une fois par semaine.

Ayant appris que mon anniversaire était proche, Keyah m'a invité à une "petite fête en mon honneur". Sa tante devait en être, ce qui me donnait à espérer quelque chose de pimenté.

Keyah et quatre amies ou cousines m'attendaient rassemblées autour de Seynabou, sa tante qui trônait avec autorité dans un boubou de cérémonie rouge vif richement décoré de motifs que je n'ai pas pu regarder en détail. Elles étaient très gaies dans leurs robes de couleurs vives et variées. J'ai pensé un instant qu'elles avaient déjà vidé quelques bouteilles, mais elles étaient simplement joyeuses de cette fête. Leurs propos en wolof étaient entrecoupés de grands éclats de rire.

-- Happy birthday to you, Alain,

Malaïka, originaire de Martinique a apporté un "punch planteur" et un "blanc-manger"(*) de sa confection. Le punch a échauffé un peu plus la conversation dont je ne comprenais pas grand'chose.

-- Le cadeau, le cadeau...

Seynabou m'a présenté solemnellement une demie noix de coco où se trouvaient des papiers pliés. J'en ai choisi un et j'ai annoncé:

-- Zaza.

Les regards excités et les applaudissements se sont tournés vers la gagnante, la plus discrète de toutes.

-- Toute nue, toute nue,...

En un clin d'œil Zaza, la “ timide ” s'est débarrassée de sa robe.

-- Alain, tout nu, Alain tout nu,...

Mon cadeau, c'était donc Zaza. J'ai commencé à la caresser et à la baisoter sur le tapis sous les yeux des cinq femmes qui chantaient, frappaient des mains et commentaient nos ébats. D'habitude, je préfère le calme et la discrétion, mais le caractère imprévu de la situation a contribué à me stimuler. Zaza n'a pas tardé à crier le plaisir que ma langue lui donnait et les applaudissements ont fusé. Elle s'est retournée pour m'offrir ses fesses rondes et charnues. Cambrée le plus possible, elle les levait bien haut en écartant les cuisses. Au creux de son buisson de poils noirs et crépus, la fente rose où luisait la cyprine s'impatientait d'être pénétrée.

Les femmes battaient des mains à mon rythme. A chaque enfournement j'avais l'impression de grossir un peu plus et Zaza remuait du ventre pour que je m'enfonce en elle le plus profondément possible.

-- Lou-lou-lou-lou,...

Un hululement joyeux a salué notre orgasme. Sans se presser Zaza m'a nettoyé le gland avec sa langue, s'est essuyée la chatte, et le punch a circulé.

-- Le cadeau, le cadeau.

Je pensais que c'était fini mais Seynabou m'a présenté la noix de coco pour un nouveau tirage. J'ai commencé à m'inquiéter, je n'allais pas pouvoir tirer six coups.

-- Seynabou.

Cri de victoire! Sans attendre l'invitation collective, elle s'est mise toute nue. Elle était vraiment majestueuse avec ses énormes seins, les multiples replis de chair de son ventre et ses fortes cuisses grêlées de cellulite. Elle rayonnait comme une reine-mère dirigeant joyeusement sa tribu.

C'est en 69 que nous nous sommes longuement léchés. L'énergie de sa langue et de ses mains, la forte odeur de sa chatte humide et chaude où se mêlaient des fragrances de sueur, d'urine et de cyprine m'ont redressé sans tarder. Seynabou a crié plusieurs fois son plaisir en claquant ses cuisses contre mes oreilles. Je continuais à pincer son gros bourgeon entre mes lèvres et à l'astiquer du bout de ma langue, mais elle a pris l'initiative de m'allonger sur le gros coussin de son ventre.

-- Y s'y plend bien, le p'tit salop, Y m'lend folle avec sa langue. Baise-moi, j'veux ta queue, p'tit salop.

Chacune de mes poussées dans son ventre était accompagnée de grandes claques sur mes fesses. Une main coquine me pressait les couilles et une autre s'est mise à masser mon cul. Avec un tel soutien, je ne risquais pas de débander, et mon second coup est parti, avec la même vigueur que le premier.

Keyah m'a donné du punch et des racines de gingembre à grignoter pour que je sois à la hauteur pour les suivantes. J'avais les joues en feu, et pas de honte comme vous pouvez l'imaginer.

-- La suivante, la suivante.

Le sort a désigné Malaïka, puis Keyah, puis Aminata et Mariatou. Elles m'ont offert leurs lèvres, leurs seins, leurs ventres et leurs fesses. Ma langue n'a pas failli à l'agréable tâche de les faire jouir. Je suis tombé amoureux de leurs peaux noires et soyeuses, de leurs lèvres charnues et pleines de tendresse, de leur enthousiasme à goûter mes caresses et à me maintenir en forme. Mais les dernières désignées par le sort n'ont été honorées aussi bien que les premières.

Pour rattraper cette injustice, j'ai proposé de refaire la tournée des chattes dans l'ordre exactement inverse. Cette proposition a été acceptée avec enthousiasme. Et l'on attendrait pas mon anniversaire suivant pour la réaliser.

Il me restait une heure pour redescendre sur terre avant retrouver ma femme à la gare Saint-Jean qui allait revenir de chez ses parents.

(*) Crème à base de lait, d'œufs, d'amandes et de fruits rouges, et parfumée à la vanille et à la menthe fraîche.

Commentaires : A. Valcour, avalc@free.fr