Ute (1)

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Proposée le 14/03/2009 par Nadie

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Ute descendit du train et se dirigea vers la sortie de la gare avec son unique valise.
Elle prit place dans un taxi et tendit au chauffeur une carte avec l'adresse où elle devait se rendre. C'était la première fois qu'elle venait à Bruxelles et elle observait avec intérêt les quartiers traversés. Elle devait en principe passer un an dans cette ville pour parfaire son français. Elle avait trouvé une place comme jeune fille au pair auprès d'un jeune couple avec un enfant. Un petit salaire, mais le gîte et le couvert assuré avaient tranquillisés les parents de la jeune allemande qui avaient, sans trop de problèmes, accepté de la laisser quitter le nid.
Ute ne savait pas grand-chose du couple chez qui elle allait travailler et vivre, si ce n'est qu'il était avocat et elle, fonctionnaire européenne, que leur seul enfant était un petit garçon de quatre ans, et qu'ils habitaient un quartier huppé de la capitale. Elle avait droit à une chambre dont on lui avait envoyé des photos par mail, qui lui sembla spacieuse, confortable et décorée avec un goût certain, il y avait une petite télé, une mini chaîne hifi, une petite salle de bain attenante lui était réservée, elle recevrait en plus un pécule de 150 €. En échange elle devait conduire et aller chercher Nicolas à l'école, s'occuper de son petit déjeuner et de son souper lorsque ses parents rentreraient tard, elle devait s'occuper de l'enfant les week-end si le couple décidait de partir quelque part. Elle était censée apprendre quelques rudiments de sa langue natale à Nicolas. En dehors de cela elle avait la liberté d'aller et venir, d'occuper son temps comme bon lui semblerait. Et on lui avait demandé fermement de ne recevoir personne dans la maison. Ute n'avait pas trouvé cette exigence démesurée, car on lui certifia qu'elle n'aurait pas à s'acquitter d'autres taches dans la maison. Une femme de ménage venait tous les jours pendant quatre heures pour s'occuper de l'entretien. En ce début de mois de septembre ensoleillé Ute avait toutes les raisons d'être souriante, de voir l'avenir avec optimisme. Quand le chauffeur arrêta son véhicule devant la maison où elle allait résider, elle eut un motif supplémentaire de satisfaction, la demeure était belle et luxueuse avec un petit jardinet en façade, et un petit chemin de gravier qui courrait sur le côté et menait à un grand jardin à l'arrière. Elle qui avait travaillé tout l'été dans l'épicerie de sa mère pour se constituer une petite réserve d'argent, pourrait peut-être profiter des derniers jours de soleil pour remédier à son teint trop pâle.
Elle appuya sur la sonnette et quelques instants plus tard la porte s'ouvrit sur une grande et belle jeune femme aux cheveux blonds accompagnée d'un adorable petit garçon tout aussi blond qu'elle. La maîtresse de maison de maison se présenta, elle s'appelait Alba, elle avait un accent charmant que Ute n'identifia pas comme étant italien avant que Alba précise son origine. Dans l'esprit de Ute toutes les italiennes étaient brunes, petites et un peu rondes, mais c'est vrai que l'on imagine toutes les allemandes blondes et grandes, alors qu'elle était plutôt menue et avait des cheveux noirs. Alba lui fit visiter les pièces de la maison qu'elle était appelée à utiliser puis elles montèrent à second étage où se situait la chambre qui était dévolue à Ute. Alba signala à la jeune fille en passant au premier étage que leur chambre et celle de Nicolas, ainsi que son bureau et celui de son mari se situaient là.
En ouvrant la porte de sa future chambre Ute constata que les photos n'étaient pas trompeuses, et qu'en plus c'était bien plus spacieux que ne le faisaient paraître les photos.
Le téléphone sonna, Alba s'excusa, dit à Ute de s'installer et dévala les escaliers suivie par Nicolas.
La jeune allemande fit le tour du propriétaire, ouvrant les portes de son armoire, les tiroirs du bureau. Elle entra dans sa petite salle de bain où tout était impeccable.
Elle entreprit de défaire son maigre bagage, car elle était habituée à voyager léger et qu'elle s'était dit qu'elle aurait bien plus de choix à Bruxelles que dans sa petite ville de province pour refaire sa garde robe. Une fois ses vêtements soigneusement rangés. Elle se déshabilla et prit une longue douche, puis elle prit de nouveaux vêtement, une robe légère qui la mettait plus en valeur que le jean et le sweet qu'elle portait en arrivant.
Puis elle descendit à la recherche de Alba.
Alba était à la cuisine, elle préparait du café tout en téléphonant, elle parlait en italien, beaucoup plus rapidement que lorsqu'elle s'exprimait en français. Si le français était familier à Ute pour l'avoir étudié pendant de longues années l'italien lui était totalement étranger.
Alba fit signe à Ute de s'installer à la table, Nicolas vint l'y rejoindre et lui demanda si elle voulait jouer avec lui et lui tendit une petite boite contenant les pièces d'une petite voiture à construire en Légo. Quand Alba eut terminé sa conversation, elle rejoignit Ute à la table, et lui apporta un expresso fumant. Elle lui demanda si elle était satisfaite de sa chambre. Ute lui répondit par l'affirmative et but une gorgée du breuvage fumant et savoureux que lui avait apporté Alba, rien à voir avec celui que préparait sa mère, les italiens savent y faire en matière de café. Alba semblait un peu embarrassée de devoir lui annoncer qu'elle et son fils partaient le soir même en week-end dans leur maison de campagne et que son mari les rejoindrait en sortant du travail. Elle dit à Ute qu'elle aurait du lui demander d'arriver le lundi plutôt que le vendredi et que si elle ne se sentait pas à l'aise seule dans la maison elle voulait bien lui payer une chambre d'hôtel en ville. Ute déclina l'offre, elle n'était pas peureuse, et la perspective de rester seule pendant plus de deux jours la réjouissait plutôt, elle aurait ainsi le temps de prendre ses marques.
Alba lui donna toutes les consignes, lui montra où se trouvaient les boisons, les conserves, les surgelés, il y avait de quoi tenir un siège et vers cinq heures elle sortit son Alfa-Roméo du garage, attacha son fils dans le siège pour enfant et démarra en faisant un signe de la à Ute,
après lui avoir dit qu'elle pouvait se servir des vélos qu'il y avait dans le garage si le cœur lui en disait.
Ute calcula qu'à cette heure là son père devait être rentré du chantier où il travaillait comme contremaître et elle téléphona à ses parents pour leur dire à quel point elle était contente.
Puis la faim se fit sentir et contre toute attente dans la maison d'une italienne, elle trouva une pizza industrielle dans le congélateur. Elle l'enfourna. Elle avait envie d'un verre de vin pour l'accompagner mais n'osa pas ouvrir l'une des bouteilles du maître des lieux. Elle s'installa dans le salon et mangea sa pizza en buvant du coca et en regardant une série à la télé, comme l'adolescente qu'elle était il y a peu encore. Le voyage l'avait fatiguée et elle s'endormi dans le fauteuil. Quand elle s'éveilla il faisait nuit. Une nuit encore chaude et estivale. Elle s'étendit sur son lit sans se déshabiller et s'endormit presque instantanément. Son sommeil fut perturbé par ce rêve qu'elle faisait souvent :
Elle devait avoir quatorze ans, c'était le mercredi après-midi, elle n'avait pas école et aidait sa mère au magasin, un représentant en produits d'entretient arriva, et sa mère se rendit avec lui dans la réserve afin de vérifier l'état du stock. Ute s'occupa de l'unique cliente du magasin puis se replongea dans sa revue pour adolescents mais sa tante Emma téléphona pour parler à sa mère, Ute partit la chercher mais en arrivant près de la réserve elle entendit une conversation un peu bizarre, étouffée, elle s'approcha sans bruit et elle vit sa mère qui caressait une protubérance à travers le tissus du pantalon du représentant, celui-ci la traitait de pute et de salope, et bizarrement sa mère avait l'air d'apprécier de se faire ainsi maltraiter.
Troublée elle retourna dans le magasin et dit à sa tante que sa mère la rappellerait plus tard.
Ute se réveilla son sexe était dégoulinant, son ventre était en feu, elle se leva et descendit à la cuisine, elle ouvrit le réfrigérateut, prit un concombre qu'elle passa quelques secondes sous l'eau chaude, puis debout, appuyée contre le mur elle l'enfonça dans son vagin, elle le fit coulisser en elle avec de plus en plus de vigueur jusqu'à ce qu'elle jouisse dans un cri, épuisée elle se laissa glisser lentement le long du mur, pour se retrouver assise, les fesses nues sur le carrelage de la cuisine.
Elle mordit avec gourmandise et sans aucune pitié dans le cucurbitacé qui avait pourtant apaisé ses ardeurs de manière très satisfaisante. (A suivre )