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Proposée le 29/01/2009 par Melo_Malice
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Je ne sais pas trop où j'étais, sûrement chez toi. Je venais juste de me réveiller et je me suis assise dans ton lit. À ce moment-là, j'ai senti ton bras se glisser sur mes hanches et mon ventre : tu m'attira vers toi tout doucement. On était donc couché en cuillère lorsque j'ai décidé de me retourner. Dans mon rêve, je te regardais intensément car tu rayonnais de par ta mâle beauté si charmante et désarmante. J'ai tendu, délicatement, mes mains sur ton visage et je t'ai embrassé comme jamais je ne l'avais fait auparavant: tout en douceur, tout tranquillement...
Tes mains qui, quant à elles, étaient au creux de mes reins, ont monté et passé en dessous de ma camisole pour me l'enlever. J'ai rompu l'étreinte que faisaient nos langues et à présent, débordante de désirs, j'embrassais tes joues, ton cou, je mordillais ton épaule et j'embrassais goulûment ton torse. Soudain, tu te couchas sur le dos et tu m'agenouillas, les jambes de chaque côté de ton corps sublime.
La vue t'était offerte, comme un cadeau du ciel : j'avais les seins nu et les rayons du soleil se reflétaient dans mes cheveux. Tu frôlas mon corps du bout des doigts, comme si j'étais trésor. Ça me faisait frissonner et toi encore plus! Alors, à mon tour, j'ai décidé de t'agacer et je glissai mes mains sur mon corps, sur mes hanches, mon ventre et mes seins, tout en remontant mes doigts de fée pour remonter mes cheveux en faisant de petits mouvements de baladi... C'était enjôleur et je savais que tu appréciais.
Pendant ce temps là, toi tu tenais fermement mes hanches et caressait mes fesses de par-dessus ma petite culotte. Je me renversa par derrière et tu enlevas aussitôt ce dernier morceau de tissu que tu aurais voulu déchirer tant tu étais excité. Ce que tu vis te bouleversa. Tu étais fort intrigué hier soir par la douceur velouté de mes plus intimes horizons... Dans le noir, tu ne pouvais pas distingué que ma chatte n'était ni trimée ni rasée, elle était épilée. De plus en plus tenté, tu embrassais ma jambe droite en approchant ta bouche de ma chatte toute humide déjà... Je poussais de doux rires et gémissements qui sonnaient pour toi comme un hymne au désir. Ces plaintes te motivaient à aller plus vite, à atteindre ce délicieux endroit qui me faisait crier de plaisir comme tu l'avais appris durant la nuit. Extrêmement à fleur de peau, mon corps se cambrait sous tes baisers si tendres à mesure qu'avançaient tes lèvres de ma source inépuisable de sensations fortes...
Arrivé enfin à ton but, tu inséras brutalement ta langue en moi. Le cri qui en découla provoqua une vague en toi... Ses caresses bousculèrent en moi toutes informations, le jour et l'heure qu'il était, si j'avais chaud ou froid? Je n'en savais rien! Quand tout à coup, sans que tu ne t'y attendes, un formidable orgasme surgit en moi... et sur toi... Secouer de spasmes, les yeux mi-clos, les tremblements m'assaillaient de par et d'autres... Je pleurais, je riais, je criais, c'était incroyable! Tu ne savais plus que faire... Tu étais si excité de me voir ainsi bouleversée, tu ne pouvais plus contenir ta joie... Ne sachant pas trop que faire, tu m'appelas tranquillement et me redressas...
Je reprenais mes esprits, encore plus excitée et sauvage que tout à l'heure : « Mmmm.... Je t'adore!»
De façon féroce, je me pencha sur toi, encore un peu défaillante mais bien déterminée. Je baissa ton slip et décida de te faire une de ces fellations que tu te souviendrais longtemps... Après de bien longues minutes qui t'avaient parues très courtes pourtant, j'arrêtais subitement sous prétexte que j'avais senti le plaisir t'envahir, mais que ce n'était pas encore fini...
« Ok... me répliqua-tu alors, mais fait ce que je te dit »
Le flot de protestations que tu attendais ne vinrent pas. En guise de réponse, tu n'as reçu que mon mordillement de lèvres qui te signifia que j'en étais ravi.
Tu me pris par le bas des hanches et me coucha sur le ventre, une jambe relevée te laissant un point de vue unique sur mes fesses un peu relevées. Tu me frottas le dos et quand ta main arriva sur mon épaules, tu t'en ai servi comme d'un point d'appui et tu t'enfonça en moi très doucement, cm par cm... Je souriais, je soupirais, j'adorais ça... Comment savais-tu exactement ce qu'il me fallait pour me faire fondre?! Ta paume continuait son chemin mais tes doigts, cette fois aussi s'en mêlèrent! Et oui! Tu me jouais dans les cheveux tout en me pénétrant... J'aime tellement ça que ça m'en fait ronronner et dans ce cas-ci même trembler... Tu prenais maintenant une cadence constante, de plus en plus rapide! Ouf... C'est délicieux!!! Sauf que tu t'arrêtes, comme ça, curieusement... Sans trop te retirer, tu me retournes pour apprécier mon corps mais surtout mon visage pleins d'expressions d'épanouissement... Te voir ainsi au-dessus de moi, en ce matin si parfait, j'ai l'impression que tu es un dieu... Je t'admire comme ça : avec ce regard qui te dit que j'ai une entière et puissante confiance en toi, que je m'abandonne... Tu reprends alors ton rythme, mais plus fort en poussant encore plus vigoureusement en moi...
Si mon premier orgasme était puissant, celui là n'est rien comparé au premier car en ce second tu as jouis avec moi... Il est tellement intense qu'il t'expulse hors de moi, que je me cambre, que je cris de toutes mes forces m'agrippant aux oreillers de façon si solide que tu penses que la taie va céder... Et tout doucement, j'arrête de crier, et je perds conscience... Pour trente secondes! Ensuite, je m'endors et tu me retournes et me blottis contre toi, mes jambes enlacées autour des tiennes...