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Proposée le 19/12/2008 par caramel
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A quand remonte mon dernier ébat sexuel ? Ce fut la question que je me posais un matin en en me levant ! Je ne parlais pas seulement de faire l'amour mais vraiment de prendre mon pied.
J'eus beau réfléchir, quelques images un peu floues en tête... ah ! Non, pas celui la... et lui, non plus... Vraiment très loin ! Replongeant la tête dans l'oreiller, une douceur m'envahit et je ne sais si ce fut du plaisir ou de l'envie qui fut né mais il fallait y remédier et vite !
Je me dis qu'il était temps que je reparte à la chasse tel un fier chasseur ! Mes atouts : mon charme, ma physionomie. Je me décris simplement : brune, taille moyenne, assez forte poitrine, rondeur là où il faut et juste ce qu'il faut (pour piquer votre curiosité, je ne dirais pas les tailles). Je suis assez féminine, plus quand le désir pour un homme est la.
Aujourd'hui est le jour J, je feuillète rapidement mon agenda, afin de savoir qui pourrait être bien ma proie pour ce jour. On sort le grand jeu : touche de maquillage, brushing, escarpins, robe de saisons... Qui sera l'élu, mon choix s'arrête sur 2 personnes :
Stéphane : le beau collègue de bureau, divorcé, la quarantaine, brun, très attentionné. Après avoir fêter le départ en retraite d'un collègue, on a flirté un soir. Il est charmeur, sensuel, il a une voie très suave qui me fait fondre comme neige. Et comme une conne, toute coincé, je dis non, car ami de travail, j'ai peur des on dit....
Ou Abed, un jeune homme, rencontré sur le net, prise de sympathie, d'amitié, j'ai finis dans ces bras un matin, je ne peux pas dire si c'était vraiment du désir et l'expérience d'un inconnu mais on s'est revu plusieurs fois et j'aime toujours autant son côté du sud, un peu bestial.
Autant essayer quelque chose de plus intriguant, excitant, ce sera Stéphane.
Arrivé au bureau, toute pouponnée, quelques remarques sur ma tenue, des regards qui se retournent mais je n'en veux qu'un aujourd'hui et c'est Steph qui m'intéresse, personne d'autre. Son bureau est pas très loin du mien, je passe, je ne m'arrête pas, rien qu'au bruit de mes talons, il se doit de lever la tête ; chose qu'il fait.
Comme si de rien n'était, je me mis au travail sans quitter son bureau des yeux. (L'avantage est que tous les bureaux étaient séparés par des grandes portes vitrées). Au cours de la matinée, le voici qui sort et qui vient en direction de mon bureau.
- Salut belle demoiselle! me dit-il. Depuis quand tu ne me dis plus bonjour le matin !? Et en quel honneur es tu aussi belle aujourd'hui. Tout en me posant, toutes ces questions, il se penchait doucement vers moi, murmurant presque chaque fin de phrase et il avait les yeux rivés sur mon décolleté.
- Bonjour Steph, ne m'en veux pas, je suis un peu préoccupée en ce moment, mais merci d'avoir dit 2 fois que j'étais belle. C'est peut être pour te plaire...
A mon tour, de jouer à son petit jeu, le regard doux, la poitrine en avant.
- Si c'est le cas, c'est réussi et je suis pas indifférent.
- Tant mieux alors.
Quelques échanges de banalités sur le travail, un peu la famille et je mets court en prétextant d'aller chercher un dossier. En réalité, je voulais qu'il me voit debout, je le frôle en passant légèrement ma main sur son sexe et en lui adressant un petit sourire plein de sous entendus. Je partis et j'ai su que j'avais marqué un point car il était tout abasourdi de ma prise d'audace.
Une heure plus tard, je reçus un e-mail de sa part, disant qu'il avait bien aimé notre entrevu et qu'il aimerait terminer ce que l'on avait commencé quelques semaines plus tôt. Tout en lisant son mail, il voyait ma réaction depuis son bureau. Je levais la tête, lui souris. Ma réponse fut la suivante : « rdv chez moi, ce soir 20h. »
La journée se poursuivit de la même manière, échange de regards, de petits effleurages lorsque que l'on se croisait dans les couloirs...
Enfin nous voici au soir, toute la journée, je ne cessais de penser à l'excellente soirée que j'allais passer. Je me prépare : douche, lait sur le corps, parfums et je me vêtis d'une robe la plus légère possible ; dîner léger, bougie parfumé... enfin bref la totale !
20h pile, j'attends la sonnette d'entrée, je ne peux vous cacher que mon cur a battu à mille à l'heure.
- Bonsoir ma belle, tu es ravissante me dit-il en m'embrassant sur la joue.
Il était d'une élégance, il avait mis un costume 3 pièces, bouquet de fleurs dans une main, champagne de l'autre. Je devais être écarlate, toute mon assurance est partie en l'espace d'un instant. Il fut amusé de ma réaction, je ne bougeais plus devant la porte.
Après quelques secondes de silence et le temps que je reprenne mes esprits, je pus enfin lui dire bonsoir et lui dire à quel point il était élégant.
Il entra et je lui fis signe de s'installer sur le canapé en cuir noir. Je servis le champagne en me penchant bien devant lui afin qu'il est une vue complète sur ma poitrine, j'ai mis un soutien gorge noir en dentelle pour l'occasion. Il l'a regardé et souris, je fis mine de rien.
- Sympa ton appartement, seule pour ce grand espace ?
- Qui te dis que je suis souvent seule... lui répondis-je avec un petit sourire malin.
Je m'assis à côté de lui et nous continuâmes ce petit jeu de questions avec pleins de sous entendus pour arriver au but pour lequel il était venu. Il jouait aussi avec beaucoup plus d'insistance avec le pli de ma robe et petit à petit, il me caressait le bras ensuite il descendit au niveau de la cuisse.
- J'aime beaucoup la douceur de ta peau me dit-il en murmurant.
Il s'approcha encore plus de moi et me déposa un baiser dans le cou. Voyant que je n'ai pas émis d'opposition, il me déposa un autre baiser vers l'oreille.
- J'ai très envie de toi, tu m'excites beaucoup là, me dit-il. Dis moi que toi aussi, tu as envie de moi, j'ai vu ta façon de marcher, de montrer ta belle poitrine. A chaque mot prononcé, il me parcourait le corps de ses mains.
- Je meurs d'envie de toi, je te désire Steph, j'ai envie que ce soir, tu me fasses tout oublier, j'ai envie que tu jouisses de mon corps comme tu l'entends. Tout en lui susurrant ceci, je commençais à le déshabiller et j'entrepris de m'asseoir à califourchon sur lui. Je l'embrassai aussi langoureusement que possible et à ma grande joie, je sentis son sexe gonfler de plaisir.
- Ooooh ma belle, regarde déjà l'effet que tu me fais.
Pris dans un accès d'euphorie, il me pelota les seins, défit ma fermeture éclair dans le dos et se mit à me les embrasser, caresser, sucer, mordiller, l'un après l'autre. Je ne faisais que gémir, il associait la douceur avec un peu de bestialité. Il me touchait le dos, m'empoignait par les hanches, descendait sa main jusqu'à mes fesses.
-oooh, steph, c'est bon, ouiii, continue. J'enfonçais sa tête, pour bien le sentir complètement. Mon string était trempé, je n'en pouvais plus, il le sentit lorsqu'il glissa sa main jusqu'à mon clitoris qu'il sentit bien gonflé.
-Je n'en peux plus, steph chéri, je t'en supplie, pénètre moi de ton gros sexe.
- Supplie-moi encore de te faire plaisir, mais avant, tu dois aussi me faire une petite gâterie petite coquine, moi non plus, je ne tiens pas dans mon pantalon, quelqu'un est entrain de suffoquer.
- Tout ce que tu veux mon cur.
Ainsi, je m'exécutais, j'avais tellement envie de le voir avant, je l'avais imaginé de le sentir en moi, l'avoir en bouche, pouvoir jouir dessus. Je voulais qu'il se souvienne à jamais de la fellation que j'allais lui faire.
Il était déjà torse nu, tout en l'embrassant, je lui défaisais la ceinture et glissais pour me retrouver à quatre pattes en face de son sexe qui avais déjà un peu mouillé son boxer gris. Je le caressais, déposais de petit baisé et finis par le sortir. Il bandait fièrement telle une pointe érigée en face de moi, son sexe était énorme, il était circoncis, on voyait ses veines gonflés.
- Mmmmhh, ton sexe est beau et fort, je sens que l'on va bien s'amuser tout les deux.
- oui, et tu n'as encore rien vu, vas-y, il est tout pour toi, suce le, fais moi plaisir.
Je le pris d'une main, l'autre étant posée sur sa cuisse et je commençais par léchouiller juste le gland, je le titillais avec ma langue. Je l'engloutis petit à petit, j'effectuais des mouvements de va et vient. Alternant le rythme, suivant ces gémissements. Allant jusqu'au plus profond de ma bouche.
- ouii, comme ca, oh putain c'est trop bon, me dit-il en me tenant par la tête.
Je le suçais ainsi encore et encore, jusqu'à ce que ce soit lui qui me dise d'arrêter.
- Tu es trop bonne, je ne te regarderais plus jamais pareil, désormais au travail, ma petite suceuse.
- Je pourrais en dire autant de toi, tu bandes comme un chef, j'attends la suite avec impatience.
Il me déshabilla et m'allongea aussi vite sur le
canapé, il m'embrassa sur toute les parties de mon corps, rien ne lui échappa. Il se mit à me caresser de nouveau le clitoris, l'entrée de mon vagin et glissa lentement un doigt, je gémis sur le coup. Tout mon corps frissonna, je ressentis une chaleur qui m'envahit.
- Steph, vas y, enfonce le au plus profond, je te veux, je veux sentir ton sexe brulant, fais moi l'amour mon chéri.
A ces paroles, il me pénétra aussi sec, j'eus une vive douleur mais qui fut vite remplacé par le plaisir. On n'entendait plus que le bruit de ces bourses contre mes cuisses.
- Tu aimes ma belle, tu prends ton pied.
- ouiiii, vas y, c'est bon... J'haletais comme un petit chien, je n'arrivais même plus à formuler une phrase.
Lui aussi râlait à son tour, me touchait les seins. Je fondais sous l'impact de ses mouvements, je voyais ses muscles se contracter, je sentais toute sa puissance qui se dégageait et sa volonté à vouloir me faire plaisir. Il me regardait régulièrement soucieux de savoir si je prenais mon pied ou pas.
Sentant qu'il allait jouir, il accéléra le rythme vraiment très fort, au point que je le griffais dans le dos.
- Ouiii, aahh, oooh steph, je.... J'ai joui à ce moment. Peu de temps après, il fit de même en poussant un râle.
Il s'allongea sur moi et nous restâmes un moment dans cette position sans bouger. Encore tout essoufflé, il me caressait les cheveux, moi le dos. J'étais heureuse, mon corps avait encore quelques spasmes, je n'osais parler, je savourais ce moment de plénitude.
Au bout de 5 min environ, je luis dis :
- Est ce que ca va ?
- Oui, très bien, tu m'as épuisé mais qu'est ce que c'était bon. Sous tes petits airs, je ne te croyais pas du tout comme ça...
Je ne pu m'empêcher de rire, mais heureuse de savoir qu'il avait pris son pied.
- La soirée ne fais que commencer mon cher, tu as encore d'autres surprises qui t'attendent.
- Mmmh, intéressant, comme quoi ?
- Tu verras... Dis je d'un air le plus coquin. Pour l'instant, on va aller manger un bout pour nous ressaisir et je te montrerai ensuite.
- Seulement en me disant cela, tu vas me le réveiller !
- Mais c'est le but !
Rhabillés juste d'un peignoir, nous mangeâmes, tout de même, le dîner que j'avais préparé. Ce fut un moment, plein de tendresse, de regard, de rire et je l'emmenais en direction de ma chambre où quelques accessoires nous attendaient pour de nouvelles parties de plaisir.
Ce fut une soirée plus que mémorable, je n'avais jamais autant jouis en une soirée, nos relations se sont plus qu'affinées avec le temps et nous nous voyons régulièrement avec à chaque fois, une sensation, une expérience nouvelle.