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Proposée le 4/12/2008 par Venena
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Nous avions passé la journée à nous envoyer des messages. Vous m'aviez envoyé des ordres par mail : enlever ma petite culotte, passer devant votre bureau comme si de rien n'était, puis me baisser pour ramasser un stylo que j'aurais fait tomber. Vous avez profité de l'occasion pour déceler une trace légèrement humide sur ma jupe, pour enfoncer un doigt dans ma chatte. Puis vous m'aviez demandé d'apporter un dossier important en salle de réunion pour que vous puissiez le sentir. Vous m'aviez ordonné d'envoyer une photo de mon entre-jambes par mms avant d'aller vous masturber dans les toilettes.
Vous m'aviez parlé de vos désirs pour notre prochaine rencontre, vous m'aviez parlé de liens, de martinets, de petite jupe sans rien en-dessous, de votre queue qui bandait dur pour moi, de mon corps offert à vous, de votre désir que je réprime mes soupirs (vous saviez très bien que j'en suis incapable), faute de quoi je serais punie.
Tous ces messages, échangés sur un ton badin et sévère à la fois - il n'y a que vous, Monsieur, pour réussir ce mélange - m'avaient excitée. A la fin de la journée je ne pouvais plus travailler, mais quand je vous l'ai dit, vous m'avez vertement envoyée sur les roses. Je n'avais pas le droit de me toucher, pas le droit de vous rejoindre dans votre bureau, pas le droit de vous sucer.
Que le droit d'attendre d'être sommée à notre prochain rendez-vous.
Et vous êtes sorti du bureau en même temps que moi. Dans l'ascenseur, vous ne parliez pas, vous contentant de me regarder, pendant que la tension sexuelle entre nous atteignait des sommets insoutenables. J'avais dû ouvrir un bouton supplémentaire de mon chemisier, on voyait la dentelle de mon soutien-gorge, orphelin puisque ma culotte était dans la poche de votre veste. Mon cur battait fort, soulevant ma poitrine, faisant trembler le mince tissu de mon vêtement. Nous sommes entrés dans le métro. Personne que nous connaissions n'était là. La rame était bondée. Vous vous êtes frayé un passage jusqu'au coin, me tirant par le bras. Vous avez enlevé votre veste. Puis, vous m'avez attirée à vous, m'enlaçant par derrière, votre bouche au creux de mon cou, dans ce geste que l'on voit aux couples tendrement amoureux. Je fus surprise : une telle tendresse n'était pas dans vos habitudes. Vous avez écarté quelques cheveux de ma nuque. Vous me teniez par la taille, votre veste pliée sur votre bras cachait ma jupe, mes fesses sentaient naître une bosse dans votre pantalon, et je vous entendis murmurer : « joli ton petit soutien gorge ... » Votre main cachée sous votre veste remonta ma jupe. Je voulus protester. Votre étreinte se fit plus ferme : « ne bouge pas petite salope, ne bouge pas, ne fais pas un bruit, sinon je fais tomber ma veste et tout le monde verra la chienne que tu es. » Je fis de mon mieux pour paraître normale. Votre main remonta ma jupe jusqu'en haut de mes cuisses puis glissa en dessous.
Elle vérifia d'abord si j'étais bien épilée, effleurant mon sexe ; puis, satisfaits, vos doigts se posèrent sur le petit bouton (celui que vous appelez mon « interrupteur à plaisir »), et le caressèrent, doucement, dans le sens des aiguilles d'une montre. Je mordis mes lèvres pour réprimer un soupir. Je remarquai aussi que mes tétons durcissaient, ce qui allait se voir sous mon chemisier si léger.
Délaissant cet endroit pour se rapprocher de l'abîme de ma féminité, vous y fîtes glisser un, puis deux doigts. Loin en moi. Très doucement, très lentement. Une fois, deux fois, trois fois des mouvements de va-et-vient. Puis vous les enfonçâtes au plus loin, et les fîtes bouger, là, en moi, comme vous savez que j'aime. Je ne pus m'empêcher d'expirer un peu fort. « Fais très attention. » vous entendis-je. Vos doigts se retirèrent et vinrent rejoindre à nouveau mon clitoris. Humides de moi, ils glissèrent dessus, puis l'astiquèrent fort pendant quelques secondes. Cela m'arracha un soupir que je tentai de masquer : « ah ! Ah, au fait, Caro te passe le bonjour, elle m'a demandé de tes nouvelles »
Je me cambrai un peu pour mieux sentir cette bosse dans votre pantalon, pour vous sentir bander contre mes fesses. Ma jupe était remontée si haut, que seuls vos vêtements séparaient votre belle queue de l'endroit où je désirais la sentir. Je n'osais vous le dire, car comme vous me l'aviez sévèrement fait remarquer, ce n'était pas à moi de vous demander de me prendre, mais à vous de vous servir. Je m'abandonnai à votre étreinte, votre bras me serrai toujours la taille m'empêchant de m'écarter de vous, et vos doigts me massaient adroitement le clito ; ils plongeaient en moi, puis revenaient sur le petit bouton de rose tout gonflé, de plus en plus gonflé, de plus en plus sensible sous vos caresses adroites. Je tentai de remuer le bassin imperceptiblement pour vous sentir à mon gré mais votre étreinte se fit plus ferme. J'observai les passagers autour de nous : tout à leurs journaux et à leurs i-pods, ils ne remarquaient rien à notre manège, à part une jeune fille, étudiante sans doute, qui ne nous lâchait pas du regard. Ses yeux étaient rivés sur l'endroit où votre main faisait -oh, juste un peu- bouger le tissu de votre veste. Nos regards se croisèrent et elle me fit un sourire complice. J'y répondis, mais à ce moment vos doigts s'agitèrent plus fort, et je gémis. Assez fort pour que plusieurs visages se tournent vers nous. J'essayai de faire comme si de rien n'était, comme si j'avais simplement réagi à quelque chose que vous m'aviez dit ; une femme, outrée, descendit à la station suivante. L'étudiante rit, un homme me regarda l'il lubrique. J'entendis votre chuchotement au creux de mon oreille : « qui c'est qui va passer pour une salope ? En plus je t'avais dit de faire très attention, je risque de devoir sévir si tu ne m'obéis pas. »
Mais vos doigts me tourmentaient toujours et je sentais monter cette humiliation que vous avez le don de faire naître, et qui fait éclore mon plaisir à chaque fois que je suis avec vous.
Je me pressai contre vous, sentant vos doigts s'affoler, entrer en moi, ressortir, caresser mon clitoris, entrer en moi et recommencer. Je renversai ma tête sur votre épaule, vous enfonçâtes une dernière fois vos doigts puis les fîtes tourner sur mon clitoris, et ce fut comme un éclair dans ma tête, un divin étourdissement, des vagues de spasmes parcourant mon corps, et je me mordis les lèvres et me retins de mon mieux, mais je n'ai jamais réussi à réprimer un cri de jouissance. Je réussis à l'étouffer, mais un grognement profond s'échappa de ma gorge pendant que je jouissais sur vos doigts agiles.
Je repris conscience. Mon corps se relâcha, votre bras autour de ma taille se desserra un peu. Votre bite était toujours gonflée contre mes fesses, mais vos mains descendirent sommairement ma jupe, et l'écran de votre veste disparut. J'avais joui devant tout le monde, je me sentis humiliée et exposée.
« Tu as aimé, hein ? vous entendis-je, tu as bien joui ? j'espère que tu sauras t'en souvenir, j'ai été très gentil avec toi. Mais toi, tu n'as pas bien obéi, tu as fait du bruit et maintenant tout le monde sait que tu es une petite cochonne. Et tu seras punie la prochaine fois que je voudrai de toi. »
Le métro entra dans une station. Je vous regardai descendre et rester sur le quai, attendant le prochain métro. Quant à moi je restai là, les yeux au sol, fixant cette petite goutte par terre qui provenait de moi.
Je rentrai chez moi, pleine de cette jouissance que vous m'aviez offerte, humiliée devant ces inconnus, avec cette envie de vous encore, nue sous ma jupe, les seins douloureux de n'avoir pas été touchés.
J'attendis ce prochain message qui me sommerait de me mettre à votre disposition.
Il ne tarda pas.