Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 1/12/2008 par koh-lanta019
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Tu es debout face à moi qui suis assis à ta place, ta jupe est à tes pieds, j'écarte ton string pour titiller ton bouton d'amour. Tu gémis sous mes caresses, je passe ma main sur ton minou qui commence à mouiller terriblement....
Je lèche ma main pour goûter ta mouille, je suis tellement excité que ma queue est à l'étroit dans mon treillis de combat.
Assise sur ton bureau dans une position indécente, les jambes écartées et légèrement repliées, tu commences à te masturber.
J'en profite pour me lever, ôter mon ceinturon qui tient mon denim qui tombe sur mes chevilles. Ta main droite est attirée par la bosse formée dans mon boxer. Mais je ne t'en laisse pas le temps, le boxer suit le même chemin que le pantalon.
Emerveillée par ce que tu vois, surtout par sa grosseur, tu reprends une masturbation frénétique, tes jambes gesticulent de manière désordonnées.
Je ne veux pas te voir jouir ainsi :
- Retournes-toi et penches-toi !
Tes mains cherchent désespérément un appui, tes jambes forment un V inversé, je dois me mettre légèrement sur la pointe des pieds car tu portes des chaussures à hauts talons.
J'écarte ton string et pose ma main gauche sur le tatouage que tu as au bas du dos :
- Vas-y prends-moi, m'ordonnes-tu.
Ma bite s'enfonce dans ta chatte sans problème tellement tu mouilles. Tu lâches un cri d'admiration et de bien-être :
- Oh mon dieu, qu'elle est grosse...vas-y ...fais-moi jouir...
Je prends possession de tes hanches. De tes bras tendus tu saisis le bord de ton bureau, ta poitrine est écrasée contre celui-ci mais je fais attention de ne pas te faire mal tellement tu m'excites.
De plus en plus vite ton fessier va à la rencontre de ma queue, je ne bouge plus, tu mènes la danse comme une tigresse :
- T'arrêtes pas !!! ...Oh mon dieu !!!!!....Ca y est... Ouiiiiiiii...... Je jouiiiiiiiis.....
La pièce résonne de ta jouissance et du bruit de mon bas ventre sur tes fesses où l'on aperçoit quelques gouttes de sueur.
Toute tremblante de ton orgasme, je te relève pour te serrer dans mes bras. Tu te retournes, te mets à genoux pour saisir ma bite et commencer à la branler...
La suite si tu veux...
Du bout des lèvres tu embrasses mon gland prêt à exploser. Tu enfournes ma queue jusqu'à la base des couilles caressées par ta main gauche, tu m'arrache un cri :
- Que ta bouche est chaude...
Ta fellation est rythmée par mes mains qui maintiennent ta tête. Mes coups de hanches sont de plus en plus rapides, tes mains agrippent mes fesses, à chaque poussée tu sens mes couilles sur ton menton.
Tu manques de t'étouffer car tu te retires pour tousser, je m'en inquiète :
- Ca va ?
- Oui, t'inquiète pas, continue.
Je te baise littéralement la bouche, mes jambes commencent à tremblées. Sans te prévenir, je me retire et te maintien la tête de la main gauche, je me masturbe de plus belle avec l'autre main :
- Ca y est ....ça viiiient...
- Non pas sur le visage, dans ma bouche, cries-tu !!
C'est vrai tu es dans ton bureau et risquer de croiser tes collègues avec des traces de sperme
sur le visage ne ferait pas sérieux. Tu sors ta langue, j'y dépose mon gland :
- .....Ouiiiiiiiiiii.....aaaaaaaaaahhhhhhhhhh...
Un premier jet de foutre chaud s'écrase au fond de ton gosier et malgré un mouvement de recule tu n'as pas d'autre choix que d'avaler.
Les suivants, moins importants, se déversent sur ta langue que tu gardes en bouche avant de te relever et de m'embrasser. Nous en avons plein nos bouches !
Fatigués mais comblés par nos caresses mutuelles, nous nous rhabillons :
- Allez ...filles... retournes à la caserne, ils t'attendent, me dis-tu.
J'ouvre la porte de ton bureau. Tu passes une dernière fois ta main sur mon sexe, moi je dépose un tendre baiser sur la joue.
La porte se referme derrière moi et un bras me saisis et me secoue :
- Hey, Patrick...réveille toi...Il est l'heure de retourner.
Je me rencontre que je m'étais assoupi dans le fauteuil qui se trouve derrière mon bureau et que je venais de rêver, heu...non fantasmer sur jeune femme sympa.