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Proposée le 16/11/2008 par Carole M
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J'ai connu Julien dans un cadre purement professionnel. Il représentait un de mes principaux fournisseurs. Pourtant, notre relation a rapidement été ambiguë, avec de nombreuses allusions. Ce jeu plaisait autant à l'un qu'à l'autre, si bien qu'il s'est incidemment développé, renforcé, jusqu'au moment où il s'est avéré plus prudent d'utiliser nos messageries privées pour certains de nos échanges. Une décision qui a ouvert définitivement toutes les portes. A peine un mois plus tard toutes les barrières étaient tombées. Au cours d'un échange j'ai annoncé à Julien que j'adorerai avoir un mec à ma disposition, que j'utiliserai et jetterai selon mes envies. Je ne sais plus lequel de nous deux avait utilisé l'expression « gode sur jambes », mais elle représentait assez bien mon idée : avoir à ma disposition une bonne queue lorsque j'en aurais envie.
Je n'ai pourtant pas particulièrement un tempérament de dominatrice, je suis même, à l'inverse, plutôt du genre « docile et vicieuse », mais j'avais envie de passer de l'autre côté de la barrière ... juste une fois.
Quoi qu'il en soit Julien a finalement accepté d'être cet homme, et je ne suis pas prête d'oublier notre première soirée. Ce soir là j'avais une folle envie de sexe et je m'étais décidée à l'appeler pour voir si nos discutions se concrétiseraient ...
- bonsoir Julien. Si tu es libre ce soir c'est le bon moment pour honorer ton engagement. Va prendre une douche, enfile juste un pantalon de toile et une chemise, et ramène ta queue à l'hôtel de la gare.
- J'y suis dans moins d'une heure ....
- 45 minutes, et déjà opérationnel. Je veux qu'aucun doute ne soit possible sur le fait que tu es nu et en érection sous ton pantalon. Si nécessaire tu te branles devant la porte de la chambre avant de frapper, mais tu te présentes devant moi excité et disponible.
- Je ne te décevrai pas ...
- J'y compte bien. Bien entendu l'hôtel est à ta charge, tu paieras la note avant de monter ...
Dés que j'ai raccroché je me suis préparée pour arriver à l'hôtel avant lui. Julien est arrivé à l'heure, et exactement dans la tenue exigée. Il a frappé doucement et j'ai ouvert sans lui laisser la place nécessaire pour entrer. Je me suis avancée vers lui et j'ai immédiatement posé une main sur sa queue, à travers son pantalon. J'ai redessiné ses formes et souligné de la main le relief imprimé dans le tissu, cherchant lentement à bien reconnaître la queue des couilles, dans le détail. Ma main branlait tout à la fois et Julien devait lire dans mes yeux le plaisir que je prenais à ainsi le peloter dans le couloir. Une fois satisfaite de mon exploration je me suis collée contre lui pour l'embrasser, et j'en ai profité pour lui peloter savamment le cul.
- J'adore caresser un bon chien bien docile pour lui dire bonjour
- Il y a beaucoup de choses que tu adores ...
- C'est vrai. J'aime aussi exprimer mes envies assez crûment. J'aime dire ce que je fais, vais faire, ou ce que je veux que tu fasses. Je pourrais par exemple te dire dés maintenant que je vais te rendre juteux à point et que je suis déjà impatiente de m'empaler sur ta queue, mais avant cela j'ai envie que tu me lèches de la tête au pied, que tu me caresses, et que tu me montres tout ton savoir faire de bouffeur de chatte. Je te choque ?
- Non, et tu serais bien la première à réussir à me choquer lorsqu'il s'agit de sexe ...
- A la bonne heure. Dans ce cas pour l'instant ce qui m'intéresse c'est que tu te mettes à poil devant moi, sans précipitation. Ou plutôt non, vire uniquement les fringues en dessous de la ceinture. A partir d'ici elles ne te sont plus d'aucune utilité.
Julien m'a regardé un peu incrédule, mais il n'a pas bronché et il a commencé à doucement défaire la boucle de sa ceinture, en me regardant. De mon côté je me suis un peu reculée pour mieux pouvoir l'observer, avec une main tendue vers l'avant pour qu'il reste dans le couloir. Il a défait le bouton de son pantalon, descendu sa braguette, et il s'est accroupi pour défaire les lacets de ses chaussures. J'attendais devant lui, en le regardant avec un demi sourire. Il a posé ses chaussures et ses chaussettes à côté de lui, bien rangées, tandis que ma curiosité s'aiguisait ...
Julien s'est alors relevé et il a lentement baissé son pantalon, sans me lâcher des yeux. Je n'ai pas bougé. Je suis restée à regarder sa magnifique queue en érection, et mon petit chien bien docile à moitié nu dans le couloir de l'hôtel.
- Magnifique. Retire entièrement ton pantalon et ensuite relève légèrement ta chemise que je puisse tranquillement t'admirer. Et n'oublie pas de te retourner que je puisse aussi profiter de ton petit cul. Ensuite tu pourras entrer et fermer la porte derrière toi. Tu iras t'installer gentiment à genoux devant le fauteuil pendant que je me prépare. A mon retour je veux voir une bonne queue bien raide entre tes mains entreprenantes, je veux que tu sois en train de te branler. Mais attention, interdiction formelle de jouir.
Julien n'a rien dit. Je l'ai laissé en plan sur le palier et je suis allé me déshabiller dans la salle de bain. Deux minutes plus tard j'étais déjà prête, mais il faut dire que j'étais sérieusement excitée par la situation. A mon retour j'étais entièrement nue sous un porte-jarretelles, avec mes talons haut, et Julien m'attendait docilement, à genoux devant le fauteuil, en train de se masturber. Je me suis assise face à lui et j'ai pris ses couilles dans ma main droite pour légèrement tirer dessus en le regardant droit dans les yeux. Il s'est laissé faire en continuant à s'astiquer devant moi, fier de me montrer une queue on ne peut plus opérationnelle. J'étais ravie ...
Je me suis confortablement installée au fond du fauteuil avec un demi sourire, et sans le lâcher des yeux j'ai repris le contrôle des opérations.
- Viens me lécher maintenant. Commence juste au dessus de ma chatte et remonte ta langue jusqu'à mes seins, en t'attardant sur mon nombril. Je veux que tu lèches la moindre parcelle de mes seins, et surtout en dessous, que tu me mordilles très légèrement les tétons. Prends tout ton temps et profites en pour balader tes mains sur mon corps, le caresser délicatement. Je veux que tu me caresses de la tête au pied, et que pendant tout ce temps ta langue ne cesse pas de me lécher. Tu oublies juste ma petite chatte, tu auras tout le temps nécessaire pour t'en occuper un peu plus tard ...
La demie heure qui a suivie a été divine. Julien m'a même léché les pieds, sucé les orteils. C'était la première fois qu'on me léchait les pieds et j'ai trouvé ça vraiment délicieux.
Puis j'ai eu une sérieuse envie de passer à la vitesse supérieure, et j'ai largement écarté mes jambes pour les poser de chaque côté des accoudoirs. Le fauteuil était vraiment très large, et la position était presque inconfortable, mais j'avais envie de me montrer entièrement ouverte et offerte devant lui. J'avais envie d'être totalement indécente et de le provoquer un peu ...
- Allez, montre moi que tu sais aussi te servir de ta bouche et de ta langue pour faire jouir une jolie chatte en chaleur. Viens doucement embrasser les poils de ma chatte, bouche fermée, les lisser délicatement sans toucher ce que tu vas bientôt lécher comme un bon petit chien. Visite chaque recoin, de chaque côté. Profites en pour déposer un baiser humide au creux de l'aine, cette zone est délicieusement sensible pendant les préliminaires ... oui, comme ça. Maintenant embrasse doucement la partie charnue de ma chatte. Caresse toujours mes poils avec tes lèvres, en soufflant de l'air chaud. Je veux sentir ton souffle chaud parcourir ma chatte de haut de bas, dans le sillon, jusqu'à mon cul. Profites en pour l'embrasser lui aussi, intimement. Oui ... dépose juste un petit coup de langue furtif sur mon anus. Hum... Maintenant remonte tes mains le long de l'intérieur de mes cuisses, et viens poser tes deux pouces de chaque côté de mes lèvres. Ecarte-les délicatement, étire-les. Remonte doucement le long des lèvres, jusqu'en haut, puis redescend. Ouvre moi bien. Prends entre tes doigts la petite peau plissée qui dépasse au dessus de ma chatte. Etire la, oui ... comme ça ... encore un peu plus... Tu es une salope très douée tu sais. Remontre moi ta queue que j'admire une nouvelle fois mon gode de la soirée. Hum ... maintenant approche le bout de tes lèvres de ma chatte et mordille là, sans les dents. Glisse ta bouche le long de ma chatte ouverte et étale bien ma mouille sur tes lèvres. Oui .... Maintenant mets y la langue, une bonne langue bien chaude pour ma petite chatte toute chaude, et aussi un doigt, mais pour caresser mon petit cul, titiller mon anus, le dilater. Plus tard on inversera, et tu essaiera de rentrer ta langue dans mon cul pendant que tu me doigteras, mais pour l'instant contente toi de bien me lécher et utilise ta deuxième main pour faire rouler délicatement mon clitoris avec deux doigts. Pas mal .... Enfonce ta langue dans ma chatte ... va le plus loin possible. Non ... il m'en faut plus. Glisse deux doigts dans ma chatte, enfonce les mais ne va pas tout droit. Elargis-moi, de chaque côté, comme si tu me préparais pour recevoir un gode hors norme. Entre aussi un peu plus loin dans mon cul, vas doucement rejoindre par derrière les doigts de ton autre main pour caresser les deux côtés de ma paroi vaginale. Hum ... ok ... à poil maintenant ... et assieds toi sur le lit. Je veux voir ta queue droite comme un I et prête pour que je m'empale dessus. Tu m'as très bien préparée, et il est temps de voir si tu seras autant à la hauteur avec ta queue qu'avec ta bouche. Et ne t'avise surtout pas de vider tes couilles avant que j'ai pleinement pris mon pied.
Julien à peine assis, je me suis installée à califourchon au dessus de lui et j'ai présenté ma chatte au dessus de sa superbe queue, pour m'empaler dessus, l'avaler.
- Hum, c'est tout de même bien mieux qu'un gode. Ne bouge surtout pas, et laisse moi te baiser selon mon envie.
Les mains de Julien se sont posées sur mes hanches. Je me soulevais et m'abaissait très vite sur sa queue prête à éclater. Julien menait une lutte pathétique et désespérée pour tenir le plus longtemps possible, et alors qu'il était au bord de la jouissance, tandis que je savourais pleinement sa queue, je me suis figée. Je me suis entièrement assise sur sa queue, clouée par le plaisir et à deux doigts de jouir ...
- Je veux que tu jouisses maintenant, et que tu me dises haut et fort que tu es en train de jouir lorsque ce sera le cas.
- A ce stade je n'aurais aucune difficulté à me montrer obéissant.
- Et ensuite tu seras encore mon petit chien bien docile ?
- Pourquoi ?
- Parce qu'une fois que j'aurai joui et que j'aurai vidé tes couilles, j'irais bien un peu plus loin avec toi. Beaucoup plus loin même ...
Carole M
maboitecoquine@hotmail.com