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Proposée le 23/10/2008 par Lolo
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Depuis quelques années maintenant, je travaille dans une bibliothèque. J'ai 35 ans. Mon boulot consiste surtout à ranger les livres qui l'attendent et de m'assurer que les réserves soient en ordre.
L'année dernière, une nouvelle technicienne de surface à été engagée. 19 ans,un visage à vous couper le souffle, de long cheveux noirs, de type maghrébine et surtout un corps tout en rondeurs. Bref personne n'y resta insensible. Elle donna le ton tout de suite, la drague et la tchache ne l'intéresse pas. Elle est la pour faire son boulot, point barre.
Nous avons sympathisé et notre relation fut toujours amicale et courtoise.
Il y a deux mois de cela, son petit ami l'a laissée tomber et elle devint plus curieuse question "sexe".
Toujours subtilement ou dans des discutions banales, elle s'arrangeait pour poser une question anodine:
- Comment ça va avec ta femme ?
- Es tu fidèle ?
- As tu déjà essayé une fille de couleur ?
Je répondais toujours franchement et sans arrière pensée...
Un jour comme j'allais reclasser quelques livres je la vis justement dans la réserve 4, celle ou je range les livres pour enfants. Elle prenait les poussières sur les étagères libres et avait du mal à atteindre les planches du dessus. Je lui proposai de l'aider. Je lui pris son éponge, me mis sur la pointe des pieds et commencais à frotter à sa place. Comme elle était entre le sceau et moi, elle me rinçait l'éponge en se retournant et en se penchant. C'est la, quand le tissu se tendit que je vis qu'en dessous de son cache poussière elle n'avait qu'un petit string tout mini.
- Tu ne laisses pas ta jupe quand tu travailles ? lui demandais je.
- Si mais j'ai fait une énorme tache à la pause tout à l'heure et je l'ai enlevée. Me répondit Solina.
- Tu devrais en faire plus souvent... Mais c'est dommage qu'on aperçoive ton string en dessous, lui dis-je, surtout qu'il ne doit pas servir beaucoup vu sa taille !
Elle me dit alors que cela n'était pas mon problème et que je devrais avoir honte de regarder ses fesses comme cela. Que si je continuais elle achèverais bien sans moi.
- Ca va ne t'emballe pas, lui dis-je, je vais aux toilettes et je reviens, je ne regarderai plus.
Sur ce, je vais aux toilettes faire mon besoin et je retourne dans la réserve 4. Nous recommençons le travail et arrivé deux étagères plus loin je remarque en frottant la planche un morceau de tissus. Je le prends et qu'est ce que je vois ? Son string.
Je suis soufflé. Je me retourne alors sur Solina les yeux interrogateurs...
- Ne dis pas un mot, tais toi et fais ce que je te dis m'imposa-t-elle.
Elle s'allongea alors à même le sol, me regarda d'un air coquin et sévère à la fois puis commença à déboutonner son vêtement de travail par le bas.
- Je veux que tu me regardes, que tu ne dises pas un mot et que tu ne n'aventures pas à me toucher.
Elle s'était alors déboutonnée jusqu'au dessus du nombril et je pouvais voir ses joies jambes et son pubis épilé. Elle me fixait toujours droit dans les yeux et doucement, très doucement, gardant les pieds joints elle écarta les jambes.
La vue de sa vulve luisante ainsi exposée me mit dans tout mes états mais je ne bougeai pas.
- Je te plais? demanda-t-elle.
- Donnes moi l'éponge !
Je lui donnai.
Solina commença à se caresser avec cette dernière. L'eau coulait entre ses jambes et sur son ventre.
- J'aimerais voir tes siens, luis dis-je.
- Tais-toi, tu auras ce que je te donne et rien d'autre.
Elle s'assit, les fesses toujours dans l'eau et les jambes écartées.
- Va me chercher ma brosse et ferme la porte en même temps.
Je m'exécute et lui ramène la brosse. Je ferme également la porte.
Elle se mit alors à genoux et commenca à lécher le manche de bois sur une bonne partie de sa longueur, puis simula une fellation du tonnerre sur celui-ci. Mon pantalon était bien gonflé et mon sexe me gênait prisonnier dans le tissus. Elle le remarqua et me dit d'ouvrir mon pantalon et de sortir ma verge.
- Je veux maintenant que tu te masturbes devant moi. Dit-elle
Elle continuait de sucer le manche et de se frotter la chatte avec l'éponge humide pendant que je commençait à faire aller ma main sur mon pénis.
Des petits couinement de plaisir sortait de sa bouche et en queques secondes elle jouit tout en me regardant.
Ensuite Solina se releva.
- Maintenant tu arrêtes. Prends la brosse et mets-toi comme sur un balai de sorcière puis approche.
Elle se pencha en avant tout en me tournant le dos puis introduisit le bâton entre ses lèvres vaginales. Elle commença à se faire aller et les couinement reprirent. Tant bien que mal, d'une main je tenais le balais entre mes jambes et de l'autre me branlais.
C'était un peu comme si nous faisions l'amour, mais sans se toucher. A un mètre l'un de l'autre.
Cette fois se sont carrément de petits cris qu'elle poussa lorsqu'elle jouit. Un petit jet liquide sauta de sa vulve et à sa vue j'éjaculai sur le sol.
Elle se retourna me regarda et sans mot dire se mit à quatre pattes. Lentement elle avança jusqu'aux taches de sperme et se mit à les lécher. Elle releva la tête, fit encore un pas et happa mon sexe dans sa bouche. Elle fit quelque va et viens puis me regarda à nouveau.
- Range tes affaires et referme ton pantalon. Ensuite tu sors. Pas un mot à qui que se soit, pas même à moi. Et n'oublie pas que je m'occupe de la réserve 4 le vendredi
Voila, je ne sais pas ce qui se passe les autres jours dans d'autres réserves. Peut être suis je le seul, peut être pas... Mais personne ne dis rien, elle non plus. Nos relations n'ont pas changées sauf que maintenant j'ai hâte d'arriver en fin de semaine.