sac à foutre

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Proposée le 18/10/2008 par malice

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Je m'étais endormie sans attendre Eric, mon homme. Je savais qu'en général il rentrait assez tard de ses soirées chez ses potes. Je dormais sur le ventre, dans notre lit, étendue de tout mon long, nue.
Je devais dormir depuis assez longtemps car je ne l'ai pas entendu arriver. Il est entré sans bruit dans la chambre à la seule lumière du couloir, et il m'a embrasser le cou, les épaules, le dos. Il descendait la couette en même temps que ses lèvres, jusqu'à me découvrir entièrement. A présent il m'embrassait les fesses, glissait sa langue au plus loin qu'il pouvait pour m'inciter à me redresser un peu, à m'ouvrir à lui. Bien sûr, je commençais à émerger, mais doucement, comme dans un rêve. C'était drôlement agréable d'avoir comme du coton dans la tête et toute cette douceur sur mon corps. Une douce chaleur commençait à inonder le bas de mon corps et bien sûr sans même que j'y pense j'écartais les jambes, je me cambrais un peu, je lui laissais le loisir de venir visiter de ses lèvres, de ses doigts, cette partie de mon intimité à laquelle il mettait le feu.
Il me léchait maintenant copieusement et son doigt titillait mon clitoris avec une tranquille insistance. Il commence à me connaître et à savoir exactement ce que j'aime. Il fait entrer le plus loin possible sa langue dans mon vagin puis me lèche comme un petit chat qui laperait du lait. Ensuite il remonte, et comme je suis sur le dos sa langue effleure mon anus, un peu crispé, qui se mouille de sa salive.
Je suis très excitée, la tête encore brumeuse, les yeux toujours fermé. J'adore ce moment, mais j'ai déjà hâte de la suite. J'ai envie qu'il me prenne, qu'il me prenne fort, comme ça, sur le dos, qu'il vienne vite en moi. Mais il fait durer le moment, et je me cambre de plus en plus. Bientôt il commence à introduire un doigt, puis deux dans ma chatte qui ne demande que ça. En même temps il continue à m'embrasser les fesses, il caresse mon dos, mes épaules, mon ventre, on dirait qu'il a huit mains à lui tout seul. Et ses doigts se font plus actifs, ils bougent en moi, sortent et entrent de plus en plus vite. Bientôt il en met un troisième et son pouce de l'autre main me caresse doucement l'anus et je me laisse aller de plus en plus à mon désir. Moi qui n'aime pas trop la sodomie, là je me prends à rêver qu'il s'enfonce profondément en moi. J'aimerais être pleine de lui et je sens que j'en désir plus, encore plus. Il doit le sentir, mais il me fait mariner encore un peu, je mords mon oreiller, je fais onduler mon bassin pour que ses doigts me fouillent au mieux, je me tends vers lui au maximum espérant qu'il me prenne, là, vite.

Soudain, les caresses s'arrêtent et j'entends qu'il enlève ses fringues. Le cliquetis de sa ceinture me fait sourire, mais je ne bouge pas. Je veux qu'il me prenne comme il m'a surprise, je ne veux pas me réveiller entièrement, rester dans cette moiteur brumeuse, dans ce rêve éveillé. Je l'entends qui s'éloigne, qui chuchote même on dirait, mais je dois rêver, ou alors il chantonne. Il revient vite et le bruit que j'entends, je le connais aussi. C'est le sachet du préservatif féminin qu'il ouvre. Ce qu'il appelle poétiquement le « sac à foutre ». C'est un préservatif qui se met dans la fille et qu'elle peut garder plusieurs heures. On utilise souvent ça, car Eric est du genre Kalachnickov. Son engin est long est fin, il envoie vite (trop vite) mais il peut mitrailler souvent. Il nous arrive de faire l'amour jusqu'à 10 fois par nuit, mais ça ne dure pas plus de dix minutes à chaque fois. Du coup, nous avons choisi ce système de contraception. Je le garde sur moi, souvent je me rendors à moitié et un quart d'heure plus tard, ses caresses me réveillent et on remet ça. Au matin, en retirant le « sac à foutre » on peut apprécier la récolte de la nuit. Au début ça me faisait bizarre. J'aurais préféré faire l'amour pendant une heure d'affilé et je lui en voulais un peu, mais j'ai pris goût à nos rapports en pointillés, à cet amour nocturne à moitié endormi, et puis j'aime Eric et je sais qu'il est comme ça, on fait avec.
Bref il m'installe le préservatif et je sais que cela signifie que pour lui la nuit ne fait que commencer. Tant mieux. Demain c'est dimanche, pas de soucis donc et puis vu comme il m'a incendié avec ses caresses, une seule fois ne suffirait pas...
Je suis presque à quatre pattes maintenant, la tête toujours sur l'oreiller, je ne l'ai pas regardé depuis le début, ce pourrait presque être quelqu'un d'autre, sauf que je reconnais trop bien sa façon de faire et la texture de ses doigts. Il s'agenouille derrière moi, et là, ni une, ni deux, il me la met d'un coup. De surprise je pousse un petit soupir. Puis il commence de lents allers-et-venues. Qui me permettent de bien le sentir tout du long. Ses mains m'ont accrochées les hanches, c'est lui qui donne le rythme, impose la cadence. Moi, la tête écrasée dans l'oreiller je ne fais que subir, mais franchement, là, il pourrait me faire n'importe quoi je ne protesterais pas. A vrai dire, je le trouve même trop sage, car au fond, j'adorerais qu'il m'encule, là, aussi soudainement qu'il m'a prise. Mais je n'ose pas lui demander. Et d'ailleurs, je gémis tellement à chacun de ses assauts, qui se font plus rapprochés, que je ne peux rien prononcer. Le plaisir commence à monter. J'aimerais que ça ne s'arrête jamais. Malheureusement, je le connais, et j'essaie de savourer un maximum ce qu'il me fait car je sais que ça ne durera plus très longtemps. Je le sens qui grossis encore en moi, il va de plus en plus vite, de plus en plus fort. L'oreiller amortit les coups car sinon, j'aurais la tête explosée contre le mur. Je geins mais je ne jouis pas encore, pas entièrement, je sens que cela monte, ça monte, il ne faudrait surtout pas que ça s'arrête!
Malheureusement, je l'entends déjà qui râle sous son propre plaisir. Je ne peux pas m'empêcher de crier « Oh, non, non, pas déjà! » même si je sais que cela est humiliant pour lui.
Très vite il se retire de moi, il lâche mes hanches, je le sens qui descend du lit mais il remonte presque aussitôt et il reprend la même place, ses mains sur les hanches et il me remet aussi vite une belle bite bien dure, comme si rien ne s'était passé. Je me redresse un peu, de surprise, je ne comprends plus rien. Ca ne peut pas être un gode, puisque ses deux mains me tiennent. Je n'ai pas le temps de me poser la question très longtemps, ni même de me retourner pour regarder car Eric m'attrape le tête à deux mains et m'embrasse goulûment. Puis il me chuchote à l'oreille « N'aies pas peur, savoure! Tu vas voir, pour une fois, ça va durer des heures ».
Je ne sais quoi répondre, d'autant que l'autre, derrière reprend là où Eric s'était arrêté. Et mon plaisir aussi. J'ai à peine le temps de penser, de me défendre. Eric est en train de m'offrir à un inconnu. Qui sait, peut-être même que je le connais. Impossible de savoir. Eric est en train de m'offrir à un inconnu et moi je reste là, la croupe en l'air, cambrée à mort, je m'offre à lui comme une salope. Je cache ma tête dans l'oreiller, cela étouffe aussi mes cris car j'ai honte d'avoir du plaisir, de plus en plus de plaisir, avec je ne sais pas qui et devant mon homme qui ne doit pas en perdre une miette. Mon inconnu a un sexe un peu plus large que celui d'Eric. Et il est un peu plus fougueux aussi. Sans doute n'est-il pas là pour la tendresse, il s'en fout un peu lui, de mon plaisir à moi, il vient prendre son pied à lui, il vient se taper la gonzesse d'un copain, une petite chienne, qui accepte de se faire prendre en levrette par n'importe qui. Sans doute aussi il doit sentir que c'est de ça dont j'ai envie. Puisque maintenant, ça y est, sans le chercher, sans le savoir, je viens de basculer du côté des salopes, alors qu'il y aille franchement!
Et il y va franchement. Ses mains m'agrippent le coté des cuisses, il les serre à m'en faire mal, comme si c'était deux poignées. Et comme ça il me guide, il me tire contre lui, avec une force qui ne me laisse aucun choix, c'est presque trop, trop vite, trop fort, je n'arrive plus à savourer ce qu'il se passe. Peut-être a-t-il peur que je ne veuille pas, il prend ce qu'il a à prendre comme un voleur, comme un violeur. Ce qu'il ne sait pas c'est que je suis d'accord. Eric m'a si bien mis le feu et sa présence est tellement rassurante que je suis prête à n'importe quoi, à recevoir n'importe qui. Jamais je ne me serais cru capable de ça.
Le type y est tellement allé à fond qu'il ne tarde pas à jouir. Mon sac à foutre se remplit. Il descend du lit à son tour et à ma grande surprise un autre monte. Et reprend la place. Un peu moins violent celui là. Un type très doux même qui commence tout en douceur. De nouveau je sens le plaisir qui revient. Le type d'avant m'avait bloqué, celui là est en train de me gagner. Je ne sais pas comment il fait, il semble onduler. Je ne contrôle plus rien, et je commence à vraiment couiner. Je lâche des « oh oui » des « c'est bon !» comme jamais je n'ose. Je me pelote les seins en même temps. Ça doit lui donner des idées car il se met à chercher mon clito et à le titiller des doigts tout en me labourant admirablement. Je ne pense plus à ce que j'aimerais, à ce qu'il faudrait faire, bien loin l'idée de la sodomie, je suis déjà bien comblée. Mais Eric s'approche de mon visage. Il m'embrasse avec fougue et c'est encore meilleur de le sentir si proche, c'est comme s'il s'était coupé en deux. Je l'embrasse, je le mange même plutôt. Je me libère une main pour le caresser, je lui caresse le dos, les fesses, puis comme une perdue, je lui attrape la queue et me met à la masturber. Il est déjà bien dur. Sa vigueur revient vite. Il se redresse et je le prends dans ma bouche. Je le suce délicatement, entre deux râles. Je sens que mon troisième étalon est au bord de capituler. Je ne sais pas s'il y en a encore d'autres derrière, je ne sais rien, je me laisse totalement faire, tout en suçant mon homme avec gourmandise. Ça y est, il explose en moi. Il se retire et il y a comme un temps de latence. Je continue à sucer mon amoureux quand tout à coup, quelqu'un se replace derrière moi. Est-ce un nouveau bonhomme, le même, je ne sais pas, mais au lieu de me pénétrer aussitôt il m'embrasse les fesses, me lèche l'anus, me doigte le clito. Je me laisse entièrement faire. Il finit quand même par entrer. Ce ne peut donc pas être le même que juste avant et il est beaucoup moins brusque que le numéro deux. Un nouveau bonhomme donc, qui ne semble pas très à l'aise d'être là. Il semble vouloir mener sa petite affaire en vitesse, et il a bien raison car maintenant que le chef de la maison a retrouvé sa vigueur il pourrait le foutre dehors. Sauf que le chef de la maison en question m'explose vite dans la bouche. Cela laisse de nouveau un bon quart d'heure de jeu. Le type en profite pour accélérer. Excité aussi sans doute de me voir avaler ainsi la semence de mon homme. Ma bouche étant libre j'ai tout loisir de donner à mon tour de grands coups de reins, ce que je ne me gêne pas de faire, car le numéro quatre est un peu timoré. Je prends un peu les choses en main. Ça doit l'exciter car à son tour il finit par se vider les couilles en moi. Un autre type prend sa place et la ronde continue. Puis un autre et encore un autre à moins que ceux du début ne reviennent, je n'en sais rien, je ne compte plus, cela doit bien faire deux heures que je me fais tringler dans le noir, la seule lumière du couloir, filtrée par la porte entrouverte ne me permet pas de savoir qui sont mes visiteurs, je les vois entrer, sortir de la chambre, je les sens entrer, sortir de moi, impossible de mettre des visages sur ces corps et au fond, je ne le veux pas. Eric revient près de moi. On s'embrasse, au bout d'un moment on se met même à discuter, tandis qu'un des types continue son petit travail. Je lui dis « T'as pas honte de faire ça à ta femme? » Il répond « Non, tu n'as pas l'air malheureuse! ». Il a bien raison. Je le suce encore un peu. Puis j'ose enfin lui dire: « Tu pourrais m'enculer pour finir? ».
Il me fais un sourire coquin. Il ne s'attendait peut-être pas à ça, mais il n'y a pas l'air hostile. Bien au contraire. D'une phrase sans appel, il fout dehors le type qui me labourait qui sort et ferme carrément la porte ce qui nous laisse dans le noir. Il se place bien derrière moi et là dans un soupir mutuel de plaisir il entre tendrement dans mon petit trou et m'encule copieusement pour mon plus grand plaisir. Sa belle bite bien dure fait de petits va-et-vient et chaque anneaux de mon cul le sens passer. La sensation est sans appel et je hurle carrément de plaisir. Lui aussi. Et on se retrouve bientôt tous les deux immobilisés de bonheur, écroulés l'un sur l'autre, comblés.
Un peu plus tard, on retire le sac à foutre. Il n'a jamais été aussi plein et ça nous fait rire. Je ne sais si j'aimerais renouveler ce genre de soirées trop souvent, mais cette expérience a été inoubliable.

Octobre 2008